AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


vous voulez vivre à center bay ? sans trop payer ?
cette colocation devrait vous ravir !

jouer de la musique est votre passion, venez rejoindre ce groupe de musique.

 

 Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.

Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyVen 29 Sep - 22:27

X
Siloë &Maya
Maya n’avait jamais été proche de sa famille, elle avait plusieurs cousins ou cousines et elle devait sûrement ignorer l’existence de nombreux cousins. Elle n’était absolument pas famille, détestant participer aux repas traditionnels  des jours de fête ou autres connerie dans le genre. Elle détestait être vue comme la bête de foire qu’on regardait du coin de l’œil, tout ce qu’elle faisait n’était jamais assez bien pour ses parents et même si elle ne se l’avouait pas vraiment, elle souffrait de ce rejet. Elle ne savait pas ce qui clochait en elle pour que ses parents et ses frères et sœurs ne l’aiment pas.


La seule personne ne l’ayant jamais jugé était son regretter frère et Maya était complètement perdue sans lui, elle ne pouvait demander de l’aide à personne et elle souffrait de cette situation, même si elle ne le montrait absolument pas. Elle songea à cela en voyant son père faire un discours télévisé sur un sujet économique qui n’intéressait absolument pas la blonde, mais elle écoutait quand même sans vraiment savoir pourquoi. Elle finit par éteindre son poste de télévision en supportant plus cette vision avant de quitter le canapé. En voyant l’heure, elle se rappela qu’elle n’avait pas vu son chat depuis un petit bout de temps. Ce qui n’était absolument pas normal.


En effet, pour le plus grand plaisir de la jeune femme, son chat était un grand amateur de câlin qui venait dès que la jeune femme avait le malheur de s’asseoir quelque part et il n’était pas venu lorsqu’elle était en train de regarder la télé. Prise de panique, elle fouilla chaque recoin de l’appartement appelant son chat comme une mère en détresse avant de fouiller autour de chez elle. A court d’idée, elle contacta l’une de ses cousines habitant en ville lui demandant de venir le plus vite possible. Son chat était son petit bébé et maya était folle d’inquiète se retenant difficilement de pleurer.


Elle continua d’appeler son chat avant de voir sa cousine arriver, elle alla à sa rencontre en courant se moquant complètement de sa tenue ou encore de la tête qu’elle pouvait bien avoir. Tu es enfin là, merci beaucoup d’être venue, je ne sais pas où il pourrait être et vu qu’il est encore tout petit j’ai peur qu’il se soit fait écraser sur une route ou qu’il souffre dans un coin. C’est mon bébé chat tu comprends, enfin tu ne comprends peut-être pas, mais tu pourrais m’aider à le chercher ? J’avoue que je suis complètement perdue et je fais sûrement finir par craquer si l’on ne le retrouve pas.




B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Jeu 19 Oct - 22:08, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptySam 30 Sep - 12:54

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Tu te trouvais à ton domicile, sur ton ordinateur. Tu travaillais doucement mais sûrement sur le livre de ton colocataire. Tu étais tranquillement chez toi, sans l’un des garçons pour venir à te déranger. Le calme te faisait du bien. Tu savais que tu devrais voir ton petit ami plus tard. Une idée qui te ravissait de moins en moins ces derniers temps. Tu t’épanouissais dans ton travail et ça t’aidait. Le voir te faisait du mal. Il te faisait mal, physiquement mais tu n’avais pas la force et l’envie quelque part de le quitter. Loin de là car tu l’aimais. Tu venais de te faire un café alors que tu entendis ton portable vibrer. Tu vis le nom de ta cousine et décrochait alors. Elle semblait paniquée au téléphone, te demandant si tu pouvais venir. Elle avait un soucis avec son chat. Tu lui promettais donc d’arriver le plus vite possible. Tu laissais tes affaires avant de partir jusqu’à chez ta cousine. Tu sonnais finalement à sa porte, après être arrivée quelques minutes après. Tu hochais la tête à ses paroles, elle semblait vraiment avoir peur. « D’accord on va prendre ça par le début, où est ce que tu la vu pour la dernière fois ? » Tu lui demandais mais elle s’en souvenait peut être pas. Tu réfléchissais afin de pouvoir l’aider au mieux. « Tu as essayé de l’attirer avec des croquettes ou du pâté ? » Peut être qu’elle l’avait déjà fait aussi mais bon, parfois cela pouvait marcher. « Tu as vérifié toutes tes pièces ? Les petits coins ? Sinon on peut aller faire un tour dehors voir si on le retrouve. » Il était peut être à l’extérieur, caché. Il pouvait être dans un coin pas loin et étant apeuré.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyLun 2 Oct - 13:21

X
Siloë &Maya
Maya n’avait jamais été aussi heureuse de voir sa cousine. Son chat n’était peut-être qu’un animal, mais pour elle, il s’agissait de son enfant et la blonde devait ressembler à l’une de ses mères perdues que l’on voyait parfois au parc qui criait dans le vide le prénom de leurs gamins. La peur rongeant leurs entrailles, tout sens pratique évaporé de leurs esprits.



Elle était complètement hors de contrôle et la première question de sa cousine la ramena légèrement dans le moment présent. La dernière fois que j’ai vu mon chat, bonne question, je n’ai même pas fait attention. Laisse-moi réfléchir. Elle laissa passa cinq minutes avant d’être vexé par la seconde remarque de la jeune femme. Tu me prends pour un débile, mon bébé a eu des croquettes, du pâté et de l’eau fraîche et je me suis baladé pendant des heures avec son pâté favoris et j’empeste le poisson non pas par plaisir ou par soudaine envie de sentir le hareng, mais parce que je tenais cette foutue gamelle dégueulasse.


Elle se passa la main dans les cheveux, bien consciente de crier après sa cousine sans vraiment de raison et elle ferma les yeux quelques instants, écoutant son cœur battre à une allure folle dans sa poitrine. Excuse-moi, je suis complètement folle d’angoisse et j’ai la sensibilité d’une femme enceinte de huit mois, enfin je n’ai jamais été enceinte donc ma comparaison est sûrement complètement pourrie. Je vais te montrer l’endroit où je l’ai vu la dernière fois et on pourrait faire le chemin vers l’extérieur en regardant à nouveaux les petits coins de l’appartement.

Elle attendit l’approbation de sa cousine avant de lui faire signe de la suivre accueillant un perroquet sur son épaule au passage. Ce sont les animaux de mon colocataire, ne t’inquiète pas. Elle désigna ensuite le petit panier du chat avec son doigt montrant le dernier endroit où elle avait aperçu son bébé.



B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Mar 3 Oct - 21:42, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyLun 2 Oct - 16:46

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Lorsque ta cousine t'avait appelée, paniquée, tu avais décider de la rejoindre. En effet, elle semblait complètement paniquée par rapport à son chat. Tu n’avais donc pas hésiter pour la rejoindre, d’autant plus que tu étais disponible. Une fois que tu étais arrivée, tu réfléchissais alors à comment tu allais pouvoir l’aider. Son chat était important et tu te doutais que c’était difficile pour elle de ne pas savoir où il était. Elle se mit à s’énerver contre toi, même si tu savais que ce n’était pas vraiment contre toi mais parce qu’elle était angoissée. Tu ne lui en tenais donc pas rigueur. « D’accord bon on oublie la nourriture, on va réfléchir à autre chose. » Tu lui disais alors que tu faisais en sorte de mettre en action tes neurones afin de réfléchir à quelque chose. « Ce n’est rien ne t’en fais pas et d’accord, on fait comme ça. » Tu lui disais avec un sourire, tentant de la rassurer. Tu t’avançais en compagnie de la jeune femme afin qu’elle te montre l’endroit où elle avait vu son chat pour la dernière fois. En passant, tu remarquais également le perroquet de son colocataire. « Oh ce n’est rien. » Tu lui disais car, après tout, ton frère avait bien un chien à votre apparement. Angus en avait pas de son côté et tu aimais beaucoup les animaux. Tu n’avais donc pas de soucis. « D’accord hum.. on peut se partager ton appartement en deux peut être ? Je prends une partie et toi l’autre et si on le voit on s’appelle ?" Tu lui demandais, te doutant que vous seriez beaucoup plus efficace comme cela. « Si on ne le trouve pas ici alors on ira chercher dehors, ça te va ? » Tu lui demandais, attendant sa réponse.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMar 3 Oct - 21:43

X
Siloë &Maya
Maya était chrétienne, enfin sa famille était chrétienne et elle devait accompagner ses parents à la messe chaque dimanche. Elle était baptisée, avait passé sa première communion et toutes les étapes d’une parfaite catholique. Elle ne s’était jamais demandé si elle était croyante ou non, elle suivait le mouvement sans se poser de questions. Elle portait une croix autour du cou lorsque sa famille était présente, mais elle ne l’avait pas dans la vie de toutes les jours n’en voyant pas l’intérêt.

En entendant sa cousine émettre l’idée de se séparer pour fouiller l’appartement, elle hocha la tête et se surprit à adresser une prière à Dieu avant de partir à son tour visiter l’appartement. Heureusement que tu es venu avec tes bonnes idées, je me charge du fond, je ne voudrais pas que tu rentres dans la chambre de mon colocataire. Ce n’est pas contre toi, mais je ne sais pas s’il accepterait qu’une inconnue découvre son univers alors qu’avec moi il s’en moque. Enfin je pense qu’il s’en moque, je ne lui demande jamais lorsque je veux l’embêter de bon matin. Maya fit un sourire malicieux avant de fouiller à nouveau son appartement de fond en comble à la recherche de son bébé chat.

Cependant, malgré tous ses efforts, elle ne trouvait pas une seule trace de son chat et elle revient à son point de départ attendant sa cousine quelques instants. Sa déception fut perceptible lorsqu’elle vit ses dernières revenir avec aucun chat dans les bras et elle ne prit même pas la peine de poser la question, partant en direction de la porte. Allons-nous promener dans la rue, j’espère qu’il n’a pas fait de mauvaises rencontres, je ne l’avais pas encore habitué à la vie en extérieur. Je ne l’ai pas depuis longtemps et je n’ai pas pensé à faire cette formalité qui m’aurait bien été utile. Je suis blonde, mais tu dois avoir l’habitude non ?


B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Mer 4 Oct - 21:25, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMer 4 Oct - 10:50

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Tu essayais d’aider ta cousine comme tu le pouvais. Tu savais que tu le vivrais mal également si tu venais à perdre ton animal. Ton frère avait un chien et, même si ce n’était pas le tien, tu l’aimais beaucoup. Tu serai donc assez triste s’il venait à le perdre. « Pourquoi ça ? Il est spécial ? » Tu lui demandais même si tu te moquais bien de visiter la chambre de son colocataire. Tu n’étais pas venue pour cela et puis, tu avais déjà assez à faire avec ton propre colocataire. Tu te mis à chercher de l’autre partie de l’appartement. Cependant, tu ne trouvais rien non plus de ton côté. Tu revenais au point de départ, retrouvant ta cousine. Il vous restait plus qu’à aller fouiller à l’extérieur, voir si vous trouviez quelque chose. « Mais non, ce n’est rien tu sais. Tu ne pouvais pas savoir ce qui allait se passer. On va le retrouver, je suis sûre. » Tu tentais de rassurée ta cousine et puis, à deux vous ne pourriez qu’être plus forte. Tu arriverais à retrouver son chat, en sa compagnie. Tu l’espérai en tous les cas. « Peut être que avant on pourrait faire des affiches ? Comme ça, si quelqu’un le voit ou le recueille il pourra toujours te contacter ? Tu as une photo de ton chat je suppose ? » Tu lui demandais même si tu devais te douter que la réponse serait positive. Lorsqu’on avait un animal, on faisait toujours en sorte d’en prendre le maximum de photos. Parfois on en prenait quand on trouvait son animal drôle, ou autre mais il y en avait au moins une dans notre téléphone. Tu en avais également de ton côté du chien de ton frère.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMer 4 Oct - 21:26

X
Siloë &Maya
Maya secoua la tête en entendant la question de sa cousine, vu la manière dont elle avait présenté les choses, elle pouvait comprendre qu’une incompréhension apparaisse et elle préféra mettre les choses au clair ne voulant pas que son coloc souffre d’une fausse image.

Elle adorait l’embêter, mais elle ne voulait lui créer une mauvaise réputation non plus donc autant agir avant qu’une idée fausse ne s’inscrive définitivement dans le cerveau de sa cousine. Mon colocataire n’est pas méchant, d’ailleurs je ne suis même pas certaine que ta présence le générait, mais dans le doute je ne préfère pas. Je n’aimerais pas qu’il invite des gens dans ma chambre sans mon accord donc je ne lui fais pas ce que je n’ai pas envie qu’il me fasse tout simplement.

Elle hocha la tête en se dirigeant vers la porte de l’appartement réagissant ensuite aux propos de son interlocutrice en descendant les escaliers ayant déjà hâte de fouiller l’extérieur pour savoir si son chaton s’y trouvait. Je n’avais pas pensé aux affiches, mais je pense que l’on va déjà chercher dehors et sinon on va faire des affiches. J’espère qu’avec une forte récompense, les gens seront plus enclins à m’aider pour trouver mon bébé. Elle fit un soupir avant de mettre ses mains dans les poches de son jean étant assez frileuse.


Elle  n’osa pas vraiment bouger, ayant peur d’être déçu si elle ne trouvait pas son chat, parce qu’elle savait qu’elle n’avait pas beaucoup de chance de retrouver son bébé. Lorsque les chats sortaient, ils finissaient souvent par disparaître pour toujours, elle espérait juste que son chat allait rentrer à la maison comme un grand. Après il n’était jamais sorti de l’appartement donc elle ne savait pas s’il pouvait retrouver sa maison grâce à son flair ou une connerie dans le même genre.


B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Sam 7 Oct - 17:28, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyVen 6 Oct - 20:52

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Tu te doutais bien que ta cousine ne vivait pas avec un tyran ou un colocataire méchant. Au contraire. Sinon, tu te doutais qu’elle ne serait pas dans cet appartement. Tu comprenais donc le pourquoi celle-ci ne te laissait pas entrer dans sa chambre. De toute façon, tu n’avais pas envie d’y rentrer enfin, tu voulais simplement aider ta cousine à chercher son chat. « Non, je me doute, de toute façon j’ai déjà assez avec mon propre colocataire. » Ce n’était rien de mal, non. Tu n’avais simplement pas l’habitude de vivre avec un aveugle et donc, tu devais apprendre à gérer cela. Tu t’en sortais pas trop mal ces derniers temps. « Je te laisse chercher dans sa chambre. » Mais finalement, elle n’avait rien trouve et toi non plus. Cela te frustrait un peu d’ailleurs car tu aimerai aider ta cousine. Vous alliez devoir chercher ailleurs. Tu lui avais proposer de faire des affiches. Des fois, cela pouvait aider et il y avait même des recherches sur les réseaux sociaux. « D’accord on va faire comme ça et on pourra poster sur internet aussi. Je pense que les gens peuvent nous aider, ils aimeraient que ce soit le cas, si c’était à eux que ça arrivait. » Tu l’espérai en tous les cas et tu avais envie de croire qu’il y avait encore de bonnes personnes dans ce monde. Tu ne pouvais pas en avoir la certitude malgré tout. Tu sortais à l’extérieur avec ta cousine. « Par où est ce que tu veux que l’on commence ? » Tu lui demandais alors, elle devait peut être mieux savoir les endroits où son chat aurait pu aller. « Tu veux qu’on fasse comme l’appartement ? Que l’on se partage les lieux ? » Tu lui proposais une fois encore.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptySam 7 Oct - 17:30

X
Siloë &Maya
Maya n’avait plus songé au fait que sa cousine vivait également en colocation, après elle n’avait jamais rencontré le colocataire de la jeune femme. Cela ne l’inquiétait pas plus que cela sachant que Siloë savait qu’elle pouvait venir chez sa cousine à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Maya aurait accueilli sa cousine par tous les temps, sans rien lui demander parce qu’elle était sa famille d’une part, d’autre part parce qu’elle était en permanence ainsi. Maya était capable de recueillit toute la ville si quelqu’un le lui demandait et c’était encore pire avec les chatons ou les chiens qu’elle voulait adopter à chaque fois.

Heureusement pour elle, elle avait appris en grandissant qu’elle ne pouvait pas loger toute la misère du monde et elle arrivait à se contenir, même si elle ressentait de plus en plus l’envie d’adopter un chien. Une envie qu’elle essayait de refréner n’étant pas certaine d’avoir le temps de s’occuper d’une autre bête. Puis son colocataire avait déjà un chien et Maya n’était pas persuadé que l’animal accepterait une autre présence canine sous son toit, déjà qu’elle avait craint qu’il n’accepte pas son chaton. Heureusement la cohabitation avait l’air de bien se dérouler et Maya en était plus que ravie.


Écoutant avec attention les propos de son interlocutrice, elle hocha la tête pour seule réponse ne croyant pas vraiment en la bonté des gens et elle espérait revoir son chat sans devoir faire appel  à d’autres personnes. Oui, je te propose de prendre à gauche et je prends à droite ? On pourrait se partager le terrain de cette façon et cela nous évitera de fouiller deux fois le même endroit. Elle attendit l’approbation de sa cousine avant de partir de son côté fouillant encore et encore les extérieurs. Ne voyant rien, elle s’arrêta pour se passer la main dans les cheveux essayant de ne pas craquer.


B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Mar 10 Oct - 12:54, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyDim 8 Oct - 17:09

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Comme ta cousine, tu vivais en colocation. Seulement, tu ne souhaitais parler de ton colocataire. Après tout, tu n’avais rien à dire à son sujet. Dans le sens où il y avait rien entre vous. Il était un ami et puis, tu t’occupais également de son livre. Il n’y avait rien de plus à dire. Du côté de ta cousine, tu ne savais pas. Seulement, la jeune femme savait qu’elle pouvait compter sur toi si jamais elle avait un soucis ou avait besoin d’un conseil. C’était probablement pour cela que celle-ci t’avait appelée afin que tu l’aides à retrouver son chat. Tu avais essayé, en sa compagnie. Tu avais cherché à l’intérieur de l’appartement mais vous n’aviez rien trouver. De ce fait, vous aviez décider d’aller voir à l’extérieur. Tu lui avais proposé de prendre une partie et elle de prendre l’autre. « Oui ça me va comme ça. » Tu lui disais alors que tu partais en direction côté gauche. Tu avais beau chercher pourtant mais tu ne trouvais pas grand chose. Rien à vrai dire. Tu n’avais pas trouvé son chat, ni même aucun autre animal dans le coin. A croire qu’ils s’étaient donnés le mot. Tu retournais à un point de départ et tu soupirais en voyant que ta cousine semblait ne rien avoir trouvé également. « Je pense que l’on devrait retourner chez toi et préparer des affiches. » Tu lui proposais une fois encore. « On pourra redescendre pour en mettre dans les boîtes aux lettres et en accrocher aussi. Peut être que quelqu’un l’as recueilli chez lui. » Mais tu ne pouvais pas le savoir, malheureusement. « Tu sais s’il y a un vétérinaire pas loin ? Ils l’ont peut être recueillis. » Parfois, des personnes y déposaient des animaux trouvés.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMar 10 Oct - 12:54

X
Siloë &Maya
Maya était horriblement déçu en voyant sa cousine revenir sans aucun chaton dans les bras et elle se retenait difficilement de pleurer comme une gamine. Son chat était son bébé et elle l’avait perdu par son unique faute et elle n’était pas prête à se le pardonner. Elle écouta la jeune femme avec attention avant d’hocher la tête à ses propos bien plus logiques que ceux de Maya. Au moins l’une d’entre elles avait un cerveau.

Elle fit signe à sa cousine de la suivre répondant aux réflexions de la jeune femme dans l’ascenseur. Elle n’avait pas le moral et ne voulait pas monter les escaliers, une habitude qu’elle avait normalement. Ton idée n’est pas bête et je te propose d’appeler le vétérinaire et les différents centres recueillant des animaux de la région avant de commencer les affiches. Si par miracle l’un d’eux à récupérer mon chaton, on ne perdra pas de temps à faire des affiches et je pourrais retrouver mon bébé plus rapidement. Elle ouvrit la porte de son appartement à la jeune femme avant de se diriger vers le salon prenant son ordinateur présent sur la table basse.

Elle le brancha à l’imprimante et imprima la liste des vétérinaires et des associations présentes dans le quartier avant de la déchirer en deux. Je vais te donner le numéro de sa puce d’identification et on se partage la liste en deux. Il y a à peu près le même nombre de numéros, tu peux prendre le fixe de l’appartement, je prendrais le portable. Inutile que tu gaspilles l’intégralité de ton forfait pour moi. L’idée te paraît bonne ou tu as une meilleure idée ? Mon cerveau est un peu à la dérive et je ne suis pas certaine d’être complètement logique.


B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Ven 13 Oct - 21:57, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMar 10 Oct - 18:53

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Tu avais fouillé comme tu le pouvais, tu avais chercher à trouver le chat de ta cousine mais en vain. Tu étais déçue, presque comme si c’était le tien. Cela ne l’était pas mais Maya faisait partie de ta famille et était donc importante. De ce fait, tu étais triste parce que tu ne l’avais pas trouvé. Elle ne semblait pas non plus l’avoir retrouvé puisqu’elle ne le tenait pas dans ses bras. De ce fait, tu tentais de proposer à ta cousine de faire ces affiches que tu lui avais proposé plus tôt. « C’est vrai oui tu as raison, on peut faire ça. Peut être que on le retrouvera comme cela en effet. » Tu lui disais alors que tu entrais de nouveau dans l’appartement de ta cousine. tu la laissais récupérer son ordinateur et imprimante. Tu écoutais ta cousine et la laissais faire pour les vétérinaires et association. « Non c’est parfait on se partage ça ira plus vite je pense. » Tu lui disais alors que tu récupérai le téléphone fixe. Tu prenais également la feuille avec le numéro de puce ainsi que les numéros à appeler. « Je te laisse téléphoner ici, je vais me mettre dans la cuisine ce sera plus simple. » Puis bon, on ne risquait pas de s’entendre non plus si on parlait en même temps toutes les deux. Ce serait également compliqué que de savoir ce que la personne au bout du fil serait en train de nous dire. Au final, cela nous agacerait plus qu’autre chose. « Tu veux boire ou manger quelque chose avant ? Je sais que ce n’est pas chez moi mais reprendre des forces pourrait nous faire du bien. » Non pas que tu étais affamée ou quoi mais tu proposais tout de même à ta cousine. Tu pouvais lui préparer du café ou quelque chose.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyVen 13 Oct - 22:00

X
Siloë &Maya
Maya n’avait pas beaucoup d’espoir concernant le fait de retrouver son chat, mais elle était heureuse d’avoir fait appel à sa cousine, elle ne voyait pas assez la jeune femme à son goût surtout qu’elle l’aimait beaucoup et autant dire que c’était assez rare dans sa famille. Elle était donc ravie de passer du temps avec elle, même si les circonstances étaient vraiment atroces. Elle aurait dû l’appeler avant, mais il était trop tard pour les regrets et elle espérait passer un bon moment avec sa cousine une autrefois. Elle avait une tonne de chose à lui dire, elle n’en ressentait pas vraiment l’envie pour le moment. La disparition de son chat l’inquiétait beaucoup trop et elle se contenta de hocher la tête lorsqu’elle lui proposa d’appeler depuis la cuisine.

Cependant sa phrase sur le fait de manger ou de boire un truc lui fit prendre conscience qu’elle n’avait pas été une bonne hôtesse. Se levant en hâte du canapé, elle s’approcha de sa cousine absolument honteuse de son attitude. Je suis désolé, je n’ai même plus songé à te proposer un truc, je suis la pire hôtesse du monde et ma chère mère m’engueulerait jusqu’à la fin de ma vie si elle me voyait.


Elle se dirigea vers la cuisine avant d’ouvrir son réfrigérateur regardant ce qu’elle avait dedans. Je peux te proposer un reste de pâte et des nuggets végétariens ? Si tu veux on coloc à de la viande, mais ne comptes pas sur moi pour te cuisiner un cadavre, mes convictions sont contraires à ce genre de pratique. Concernant les boissons, je t’invite à regarder directement dans le frigo. Elle fit un fin sourire avant de commencer à préparer une table sommaire, sortant des couverts et des verres pour sa cousine et elle réchauffant en même temps le plat de pâte dans le micro-onde. Pour le dessert, il reste quelques trucs, excuse-moi encore d’être une si mauvaise hôte, d’ailleurs assis toi et ne fait rien.



B-Ever


.


Dernière édition par Maya Schepper le Mar 17 Oct - 13:10, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyDim 15 Oct - 12:19

Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Siloë&Maya


Tu avais essayé comme tu le pouvais de retrouver le chat de ta cousine. Elle avait essayé également de retrouver son chat, évidement. Seulement, tu n’étais parvenue à rien et elle aussi, malheureusement. Tu avais pourtant essayer. Tu avais fait ce que tu pouvais. Tu étais triste pour ta cousine de ne pas avoir pu l’aider et ne pas avoir trouvé son chat. Il y avait d’autres solutions bien entendu et tu espérai que cela fonctionnerait mieux. Tu étais retournée en compagnie de Maya jusqu’à son appartement. Tu lui proposais de manger quelque chose ou boire. Elle méritait de prendre une pause et toi aussi. Peut être que cela irait mieux ensuite. « Mais non ne t’excuses pas et puis tu étais préoccupée aussi pour ton chat, c’est normal. » Tu ne pouvais pas lui en vouloir pour cela. Tu supposes même que tu aurai été pareil si cela avait été ton animal, ou même le chien de ton frère. Tu suivais ta cousine dans la cuisine alors qu’elle regardait ce qu’il y avait pour manger. « Oh ne t’en fais pas des pâtes cela m’ira totalement. J’adore cela. » En même temps, qui n’aimait pas les pâtes ? Personne tu supposes. Tu cherchais donc dans le frigo du jus de fruit. « Tu veux boire quoi ? » Tu demandais à ta cousine, te tournant alors vers elle. Tu sortais la bouteille et la déposait sur la table. « Mais non, arrêtes de t’excuser ce n’est pas grave tu sais. » Non, tu ne lui en voulais pas pour cela. Tu te servais alors du jus puis tu venais à t’installer sur la chaise. Tu buvais une gorgée de ton verre et regardait ta cousine faire. « Tu veux que je t’aide pour quelque chose ? » Non pas qu’il y avait beaucoup à faire mais bon.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. EmptyMar 17 Oct - 13:11

X
Siloë &Maya
Maya n’étant pas une grande cuisinière, elle se contenta de mettre de la matière grasse végétarienne dans un poêle, attendit que la poêle soit assez chaude avant de mettre les nuggets végétariens à l’intérieur.

Elle se tourna vers sa cousine lorsque cette dernière lui demanda la boisson qu’elle voulait boire, jeta à nouveau un coup d’œil à sa casserole avant de venir s’asseoir en face de sa cousine. Merci pour le verre et je n’ai pas besoin d’aide pour réchauffer des pâtes et des nuggets, il va juste falloir faire gaffe que l’aliment ne brûle pas. Ce serait bien mon genre et vu que je ne veux pas gâcher de la nourriture. Maya surveillait de temps à autre sa poêle, retournant les aliments. Une fois cuits, elle mit le tout sur une assiette avant de faire un dernier voyage pour sortir les pâtes du micro-onde. Elle posa le tout sur la table avant de servir sa cousine puis de se servir elle. Si tu veux de la sauce, tu regardes dans le frigo, je pense que nous avons un peu de tout. Elle fit un geste en direction du frigo n’ayant plus la force de ce lever, même si elle était assez sportive, il y avait des jours où elle ne voulait plus bouger.


En voulant manger ses nuggets, elle remarqua qu’elle n’avait pas de couteau et alla vite en chercher un. Tu me dis s’il te manque quelque chose, j’avais l’habitude d’avoir des employés mettant la table lorsque j’étais enfant. Enfin cela remonte à loin, tu vas bien toi ? Tu as vécu quoi de nouveau dans ta vie ? Nous ne nous sommes pas vu depuis longtemps alors certaines choses ont dû changer non ? Maya prit une gorgée de son verre en attendant la réponse de sa cousine curieuse de savoir sa vie, les derniers événements, des trucs courants.



B-Ever


.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. (#)   Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Washington irving disait : il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes de faiblesse, mais de forces, ce sont les messagers de l’incommensurable chagrin et de l’indicible amour.
Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
island bay ::    :: trash :: rps-
Sauter vers: