Chris _ Viens me le dire de profil si t’es un homme !

Christopher "Chris" Peñali

Ce qui importe c’est pas ce qu’on a, mais ce que l’on fait avec ce que l’on a.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ (1) La famille c'est important à tes yeux, tu as eu la chance d'en avoir une et pour rien au monde tu voudrais qu'on te l'enlève. Vague souvenir d'une autre famille. Une qui est morte à tes yeux. Souvenirs que tu ne veux pas voir ressurgir. Parce que les Peñali sont ta famille. Peut-être pas de sang, mais l'amour est tout aussi important, voir plus fort que des liens de sang. Tu t'es jamais senti exclus avec eux, bien au contraire tu sais que tu fais parti de cette formidable famille. Tu sens chanceux. (2) Tu as mis du temps avant de te sentir à ton aise dans cette nouvelle famille. Les deux premiers mois tu ne parlais pas, tu faisais une sorte de blocage. Ils ne t'ont jamais forcé et puis un soir tu as parlé, envers Nathan. Il a été le premier vers qui tu t'es tourné et dont tu as accordé ta confiance. Un lien s'est rapidement crée entre vous. Gamin tu le suivais partout, il t'a aidé à grandir et devenir l'homme que tu es aujourd'hui. Heureusement pour lui, comme pour toi, tu ne le suis plus partout, mais vous êtes toujours aussi proche. (3) Gamin tu avais un petit problème, il t'arrivait souvent de faire pipi au lit. Rien de méchant, mais tu en avais honte. C'est d'ailleurs Nathan qui s'en est aperçu en premier et qui t'a par là suite aider. Par la suite tu as compris que c'était un problème bien plus psychologique, ton corps exprimait ta souffrance intérieure. Il a fallu du temps, mais tu as fini par régler cela et à présent tu es propre. Encore heureux à ton âge. (4) Tu as toi même choisi ton second prénom. Lorsque tes parents t'ont fait part de l'idée de t'adopter et de faire parti de la famille Peñali officiellement, tu as tout de suite demandé à avoir un prénom hispanique comme tes frères et sœurs. Rogelio est ton second prénom, tu l'as trouvé dans un livre et c'est celui qui t'a plu. C'était ta façon de leur montrer que tu voulais faire être des leurs, que tu étais enthousiasme à l'idée de faire partie de cette famille. Tu remercies souvent la vie de les avoir placé sur ta route ou l'inverse ? (5) Ton prénom, le premier qu'on t'a donné, tu t'en souviens, malgré que tu tentes d'oublier tout ça. Dick c'est ainsi que ta mère 'biologique' t'a baptisé, avant de s'enfuir avec son nouveau Jules. Tu ne sais rien de tout ça, encore moins qu'elle a renoncé à ses droits parentaux. Tes parents ont menés une enquête avant ton adoption, père inexistant, peut désireux de t'avoir, mère drogué, qui a enchaîné les mecs et qui ne voulait pas de toi. Gamin laissé de côté, qui a fini par trouver son bonheur, grâce à eux. Tu n'as jamais dit à tes parents ton vrai prénom, seul Nathan le sait. Tu ne veux plus de ce passé, en rentrant chez les Peñali, tu t'es fait une promesse à toi même : oublier le passé. T'as tout enfoui et tu n'y as plus jamais songé. (6) Une partie de ton enfance est restée ancré en toi, sans savoir comment. T'as toujours été attiré par l'océan, sans te souvenir que tu vivais près des docks avec ta mère. Ton terrain de jeu c'était le port et ses conteneurs. L'océan était ta musique. Une musique qui t'a toujours plu et que tu as retrouvé en grandissant. T'as décidé d'en faire ton métier et t'as jamais regretté ce choix. Tes parents ont compris, tu ne fais pas un métier prestigieux, mais tu t'en moques. L'important est que tu t'épanouisses dans ce que tu fais et que tu prennes plaisir à te lever tous les matins. (7) A l'inverse de tes frères t'as jamais été doué dans tes relations amoureuses. D'après Nathan, les badboys ça attirent les greluches ou autres sortes de filles. Et des conquêtes t'en as eu, des moins sérieuses au plus intrigantes. Tu as toujours été la cause de la rupture, t'arrivais pas à te projeter plus loin .. et puis tu vis assez mal l'abandon. Préférant partir avant qu'elle ne voit qui tu es ... Oui tu penses ainsi, ça t'es plus facile. (8) Toi t'es pas le genre bavard, tu parles quand tu as quelque chose à dire. Les gens pensent souvent que tu es froid, mystérieux, et tout un tas d'adjectifs du même style. Ils sont loin de s'imaginer que dans la vraie vie tu peux être un parfait boutentrain. Tu es marrant, un humour assez décalé, t'aimes pas parler, mais tu sais toujours sortir "la" phrase. Pour ce qui est de la partie mystérieux, on va dire que tu n'aimes pas spécialement parler de toi. C'est pas une chose qui te parait évidente, c'est bien pour ça que les psys n'ont jamais été efficace durant ton enfance. (9) Tu fumes, trop peut-être, c'est ce qu'on arrête pas de te dire. Sauf que tu n'y peux rien, t'es addict. Autant tu sais te passer d'alcool autant tu as besoin de ta clope dès le réveil. On ne peut pas dire que tes parents ont appréciés lorsqu'ils t'ont vu fumer pour la première fois, puis ils s'y sont faits. Toute façon t'as jamais tenu longtemps loin d'elle. En revanche, tu ne bois que des bières, le reste t'importe peu et t'en as fini avec tes déboires avec les forces de l'ordre. On peut dire que les nuits au poste de police auront servis de leçon. (10) Voiture ou Moto ? Ton choix s'est vite fait : moto. Tu n'as d'ailleurs pas ton permis voiture, tu as directement passé celui de deux roues. Tu adores les sensations que ta moto te procure, la vitesse, l'adrénaline et surtout la liberté. Oh oui tu l'aimes ta moto, plus que tout au monde. C'est ton petit bijou, ta petite Quinzel comme tu l'aimes l'appeler. Oui tu lui as donné un petit surnom et ça lui va bien.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ boyd holbrook</pris> chris peñali

l'histoire de ma vie

J’aime pas les maisons hantées parce que c’est comme être en couple... Tu y entres tout confiant et quand tu es engagé c’est pas ce que tu pensais et ça fait peur

Main sur le front, tête qui tourne. Ton crâne va exploser et le bruit de fond n'aide en rien. « Peñali debout » qu'elle te dit la voix. Tu grognes un peu, te relevant comme tu peux. La tête dans le cirage, t'es pas beau à voir, mais tu t'en fous. Ça valait le coup, enfin c'est ce que tu as pensé sur le coup. Là tu ne sais plus trop, cette gueule de bois reste bien. La grille s'ouvre et elle te laisse sortir, relevant les yeux au ciel. Ce n'est pas la première fois que tu rencontres Tess, elle t'a déjà mis à l'amende et plusieurs fois. Seulement ce soir t'as été plus loin, t'as encore dépassé tes limites. Tes yeux se plissent face à la lumière. Ta gorge est sèche, t'as réclamé de l'eau, mais on t'a dit non. Soit disant tu as besoin de décuver en paix et apprendre de ton erreur. À tes yeux tu ne vois pas l'erreur, tu es jeune, tu testes tes limites. Y a rien de mal là dedans, puis bon ce n'était qu'une petite soirée… enfin ça c'est la partie dont tu te souviens. Tu as des doutes pour la suite, vu que le reste est un peu flou. Imaginant que ça a dû être spectaculaire pour que tu finisses au poste pour décuver. Ta première nuit au poste de police, tu soupires en attrapant tes affaires. Priant pour que ça ne soit pas tes parents qui se trouvent derrière cette porte. Ce n'est pas eux que tu as appelé et dieu soit louer. Ils ne sont pas là, c'est le visage de Nathan qui apparaît et ça te fait du bien. Il finit de régler quelques papiers et toi t'as envie de dormir. Ton lit est bien meilleur que cet endroit. Tu te poses à ses côtés, attendant son regard, t'as un brin peur de la suite .. il t'attrape par le cou .. « J'me demande c'que j'vais faire de toi, » qu'il te sort en te ramenant vers la voiture. Tu n'arrives pas encore à savoir s'il est énervé ou pas. À dire vrai, ta migraine est bien trop forte et puis t'es bien trop fatigué pour cogiter. Main sur la portière, tu regardes Nate. « Tu diras rien aux parents ? » que tu finis par dire. Écho à la première phrase que tu lui as dit y a de ça dix ans plus tôt. Cette phrase qui vous a lié et surtout la première que tu as prononcé, après deux mois de silence. À l'époque Nate était venu dans ta chambre car il t'avait entendu crier. Il t'a trouvé en train de cacher tes draps, au lieu de le dire aux parents, il t'a aidé. T'expliquant que ça pouvait arriver à tout le monde faire pipi au lit, il t'a même aidé par la suite avec ce 'petit' problème. « à ton avis, allez monte t'as b'soin d'une douche et d'un petit déj. » Un sourire apparaît sur ton visage, tu demandes pourquoi l'espace d'un instant tu as douté. Peut-être parce que c'est la première fois qu'il vient te chercher dans cet endroit ? Et que t'as eu peur de le décevoir, mais t'es loin de savoir que ça ne sera pas la seule fois qu'il viendra te chercher au poste. Parce que des déboires avec les policiers tu vas en avoir …

« Donc toi et Albane s'est fini ? » Relevant les yeux de ton bol de céréales, tu regardes ton frère. Il cherche à creuser en toi, mais pourtant tu lui as tout dit. Fini, over, tu ne reviendras pas en arrière, tu sais que c'est la meilleure décision que tu es prise. Enfin .. pour elle, elle ne peut pas rester avec un gars comme toi. T'as pas envie qu'elle gâche son avenir pour un mec comme toi, elle mérite mieux, bien mieux. « Tu sais que tu es con ? » Tu arques un sourcil, tu connais ton frère et tu sais qu'il a un truc derrière la tête. La bouche pleine tu le regardes. « C'est pas nouveau, mais encore » Oui tu aimerais bien qu'il soit un peu plus explicite sur ses pensées. « tu comprendras un jour. » Tu ouvres la bouche et les céréales s'échappent de ta bouche. « T'es pas sérieux ? » il t'envoie une serviette dans la tronche. Il ne va pas te laisser ainsi, sans explication ? Apparemment oui. « Non, mais j'suis pas comme toi, puis on a pas tous envie d'avoir une lionne. » référence à ta belle sœur, tu l'adores mais elle a un sale caractère. Trop peu pour toi. Non toi l'amour tu y crois sans y croire. Tu n'y prêtes pas attention, si ça doit te tomber dessus et bien tu acceptes … Séducteur et joueur, t'aimes aussi t'amuser sans te prendre la tête. C'était différent avec Albane, au début tu ne pensais à rien, cette gamine qui a débarqué dans ton vie. Son frère qui a failli te dégommer en apprenant votre relation. Parce qu'elle est plus jeune, beaucoup plus jeune, mais que tu t'en moques. Parce qu'Albane tu l'as toujours respecté, traité comme il le fallait, t'as pas fait ton salaud avec elle. Oh que non. Première relation pour toi, première nana qui arrive à te garder près d'elle. Alors oui elle a compté et oui tu y a mis un terme, comme ça, sans explication. Lui disant juste que c'était fini, que c'était mieux pour elle. Ces mots tu les penses. Tu ne veux pas qu'elle s'accroche à un gars comme toi, lorsqu'elle a parlé de tout abandonner, tu as paniqué, encore plus à l'évocation d'un potentiel bébé. Tu l'aurais pas abandonné, oh que non. Tu connais ça et jamais de la vie tu feras subir cela à ton enfant. Alors non tu lui as dit, que tu serais là, pour elle et pour l'enfant, si enfant il devait y avoir. Sauf que c'était une erreur, mais pas pour la demoiselle. Parce qu'elle en voulait, elle voulait de cette vie. Pas toi. Parce qu'elle mérite son avenir, qu'elle n'a pas fait des études pour rien. À l'inverse de toi, alors oui pour elle, tu l'as quitté. Parce que c'était mieux ainsi. Soufflant. Tu replonges ta tête dans ton bol, n'essayant pas de comprendre ce qu'il veut dire par plus tard. Peut-être qu'il a raison, peut-être pas. T'en sais rien. T'as que vingt cinq ans et le temps devant toi avant de te poser. C'est sûr tu n'es pas comme tes frangins, eux qui avancent amoureusement, font des plans sur leurs avenirs. Toi ? Toi ta vie de célibataire va reprendre son cours. « au fait » tu relèves à nouveau la tête. « Quoi tu vas pas me demander de porter à nouveau un costume de pingouin ? » Une fois ça t'a suffit et tu as été traumatisé pour la vie. Tu le regardes lever les yeux au ciel. « active on va être en retard ! » te demandant bien ce qu'il compte t'annoncer, tu pries juste pour de nouveau ne pas porter de costume. Toute façon il ne peut pas se marier à nouveau, enfin tu crois … toi et l'amour .. non t'abandonnes d'y comprendre un truc.  

Tes yeux fixent cette maison. Une maison que tu ne connais trop bien, ta clope à la main. Cela fait déjà un moment que tu es planté devant cette maison, le cul sur ta moto. Tu n'es pas décidé à rentrer. Non pas encore, tu savoures ce petit moment, ton petit moment. Aujourd'hui ce n'est pas n'importe quel jour. Aujourd'hui ça fait trente ans. Trente ans que tu as une vie, une vraie. Trente ans que tu as toujours la page sur le gamin que tu étais. Tu en as fait du chemin entre temps. Des décisions t'en as prise, des bonnes comme moins bonnes. Trente ans qu'ils t'ont offert une famille, mais bien plus : une vie. Tu t'es jamais posé la question à savoir ce qu'il serait advenu de toi si tu n'avais pas franchi les portes de cette maison ce jour-là. S'il y avait eu une place pour toi autre part. Non ces questions tu les as vite laissé de côté. Trente ans aujourd'hui que tu goûtes le plaisir de la vie. Tout cela grâce à eux. Grâce à cette famille qui t'a tout donné, sans faire de préférence. Tu n'as peut-être pas le même sang, les mêmes gênes, mais tu sais que tu as ta place ici. Des événements t'en as vécu et ils ont toujours été là .. rectification : il a toujours été là. La vie t'a offert un frère et tu la remercies tous les jours pour cela. Pour ta famille, mais surtout pour Nathan. Il a toujours été là pour toi. Couvrant tes années de galère ou de rébellion, ça dépend de quel point de vue on regarde. Tu lui en as fait voir de toutes les couleurs, mais il a toujours été là. Te soutenant du mieux qu'il pouvait et tu lui as rendu l'appareil. Témoin à seize ans pour son mariage, premier voyage, premier pas dans un autre pays. Nate il t'a toujours fait confiance et tu l'en remercies chaque jours pour ça. Elle finit de se consumer entre tes lèvres. La déposant au sol et l'écrasant avec ta chaussure. Oui tu es chanceux. Chanceux d'avoir trouvé une famille, un frère et une vie. Parce qu'ils n'ont jamais rien dit quand tu as annoncé ton projet d'être mécanicien nautique, surpris c'est sûr, mais contents. Contents pour toi, parce que tu avais trouvé ta voix. De plus tu semblais avoir laissé tes arnaques et autres plans foireux de côté. Tu t'es repris en main et ça c'est grâce à Bobby, ce vieux gaillard qui bosse sur le port. Port qui est devenu ton refuge. Rêve voir cauchemar que tu fais toujours. Il t'arrive encore de te réveiller en sueur à cause de ses songes, le cœur en alerte, l'impression de tout perdre. Ça tu n'en parles à personnes. C'est ton jardin à toi. Tu n'as pas envie de te confier sur ce côté 'sombre', pas même à Nate et pourtant tu lui dis tout. Tu ne veux juste pas qu'il s'inquiète pour rien, car c'est rien pour toi. Juste des cauchemars, des visions flous, un passé que tu ne veux pas voir resurgir. Parce que t'es bien ainsi. Alors oui tu es chanceux, tu attrapes ta bouteille et ton casque. Décidé à pénétrer dans cette maison, ton second repère. On ne peut pas dire que ta belle sœur apprécie que tu fasses comme chez toi, mais bon .. à force elle a fini par capituler. Parce que t'es encore plus chiant qu'elle et que lorsque tu as décidé un truc et bien … c'est pas demain la vieille que tu vas l'oublier. Têtu comme une mule ? Un brin. Tu dis que c'est ton côté hispanique qui ressort, et ça amuse toujours. Trente ans aujourd'hui que tu souris à la vie … et ça ? C'est grâce à eux, ou plutôt lui. Celui qui ouvre la porte à ce moment même. « T'as vu j'ai sonné cette fois ! » que tu dis en tendant la bouteille et pénétrant dans les lieux. Trente ans qu'il partage ta vie et ça... ça n'est pas prêt de changer.