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EXORDIUM.

Azarël, mon berger allemand vient me réveiller avec une de ses façon préféré : me lécher le visage avant de monter sur le lit pour me faire comprendre qu'il est l'heure de se réveiller mais encore pire, qu'il veut sortir. Je cache rapidement mon visage sous mon oreiller en râlant. « Azarël, descend de la s'il te plait ! Tu pues de la bouche bordel ! » Je sens le gros poids de mon chien se laisser tomber sur le lit, se qui me préviens qu'il est coucher a coter de moi. Je soupire doucement en retirant mon oreiller de mon visage puis je le regarde. En venant lui donner quelques caresses sur le haut de sa tête j'attrape mon téléphone, la première chose que je vois c'est un message d'Aaron. Je ne peux pas m'empêcher de sourire en le lisant, mais c'est le moment où je remarque l'heure que je me mets a couiner de triste. « Az' bordel... il est 8 heures du matin ! Tu pouvais pas me laisser dormir un peu plus ? » Je le regarde avec des yeux tristes, je peux l'entendre émettre un petit bruit de tristesse en cachant son museau sous ma couette. Il n'aime pas quand je « râle ». Je soupire une nouvelle fois, puis je le regarde en soulevant la couette. « Bon, j'ai compris t'as pas envie ! » je me redresse doucement, lui redresse son museau pour me regarder faire. Je retire la couette de sur moi pour lui jeter dessus avant de me lever rapidement. Alors que je suis entrain de m'étirer, je comprends qu'il est fier de lui quand je sens sa queue s'agiter et frapper contre mon mollet nue. Je rigole doucement, et je m'avance alors vers ma cuisine, j'ouvre la porte vitré pour qu'il puisse sortir avec Uriel qui lui était tranquillement coucher. Mais il comprit lui aussi qu'il pouvait sortir enfin. Mon pauvre Uriel, il commence à se faire vieux malheureusement, je peux le voir à sa façon de marcher mais surtout de descendre du canapé, avec beaucoup de mal. Je secoue doucement la tête puis je viens prendre mon petit déjeuner, café, fruit et tartine de pain au beurre. Tout passe tranquillement. Alors que je vais a la douche, c'est en ressortant que j'ai une vilaine nausées qui me vient. Je fronce alors des sourcils doucement, mais je n'ai pas le temps de souffler que, je cours au toilette. Pensant alors que j'ai manger quelques choses de pas frais, je hausse simplement des épaules puis je retourne me préparer. Aujourd'hui j'avais prévu, mais je t'es aussi prévenu que je venais te voir. Je prends tout le temps qu'il me faut pour me préparer mais surtout je prends un peu de temps pour moi pour me poser dans mon canapé, regarder mes mails par rapport a mes prochains rendez-vous ou ceux que j'ai en cours. Puis aussi je viens alors parler avec mon binôme, enfin on s'appelle comme ça à la boutique. On s'amuse très bien tout les deux puis je trouve qu'il a des idées assez magique mais il réussi parfaitement a reposer sur papier mes idées précises. Enfin, faut que j'arrête de rêver, alors que je remarque l'heure sur mon téléphone je fais un bon pour aller enfiler mes chaussures mais aussi ma veste que je mets avec une écharpe fine. Si je suis tomber malade, mieux vaux pas que je continue le traitement. Je prends la laisse de Azraël et il comprend vite que l'on sort. Je prends alors mon sac puis je prends mon gâteau que j'ai fais dans mon autre main. J'aime tellement faire des gâteaux, alors pourquoi pas t'en faire profiter ? Je n'avais pas peur de marcher longtemps pour arriver chez toi. J'ai bien sûr mon permis, mais, je n'ai pas de voiture et pour ceux, je préfère la marche ainsi que les transports en commun que la voiture. Sportive que je suis, je ne veux pas rester les fesses dans une voiture que l'on peut faire énormément de chose à pied. Puis ça fais du bien à mon chien qui en profite et qui joue toujours son fier à mes coter. Une fois arriver chez toi, mais surtout ayant les mains prises, je regarde mon chien et d'un ton autoritaire je lui dis : « Azarël, assit ! » Il le fait sans rien dire, c'est alors que je peux le détacher mais aussi venir frapper a ta porte pour montré ma présence devant chez toi. Quand la porte s'ouvre, de mon plus beau sourire je te tends mon gâteau « Bonjour fraaaaangin d'amour ! Je t'es fais un gâteau, promis je ne vais pas t'empoisonner, tu sais que je pourrais jamais te faire ça ! » je dis sur le ton de l'humour, une fois que tu l'as pris en main je peux venir te faire une accolade et un baiser sur ta joue. Azarël connaît la maison a force et entre, te fais quand même un petit fête puis il va s'installer dans son coin comme toujours.

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**○ inscrit le** : 28/11/2017

Je termine d'envoyer un sms à Ryan pour savoir si on peut se voir ce soir. Autours d'une bière ou peu importe. Terrible ce qu'il se passe avec mon meilleur ami. A peine sorti de prison que je me rendais à son chevet à l'hôpital. Je suis du genre assez pessimiste concernant les personnes qui sont dans le coma. Enfin les premières semaines l'espoir est permis. Mais passé six mois, je ne crois plus à un réveil. Heureusement Ryan n'a pas été jusque là. Au-delà du coma, c'est surtout l'amnésie qui est terrible. Pire que tout même. J'ai eu du mal au départ à savoir où était ma place parmi Ryan et Sawyer. Encore maintenant j'ai l'impression de jongler. Je suis terriblement peiné pour mon amie et en même temps on ne peut pas « forcer » Ryan à quoique ce soit. Je ne sais même pas si la situation est difficile à vivre pour lui. Vu qu'il ne sait pas ce qu'il est en train de perdre. Peut-être un jour retrouvera-t-il la mémoire. En attendant, tu me sors de mes pensées en toquant à la porte. Ma soeurette. Du moins je présume. Tu as dit que tu venais. Je serais déçu de voir toute autre tête que la tienne. Je plaisante. Je me lève et viens t'ouvrir. Pour tomber sur toi évidemment. Toujours un plaisir de te voir débarquer chez moi. Même si je l'apprécie encore quand il s'agit d'une surprise. Quoique. Tu viens les mains chargées alors forcément tu marques des points ! Soeurette adorééee. Le petit câlin qui va bien. Et ta bonne humeur qui envahit déjà mon appartement. Drôle de plaisanterie qui te passe par la tête. Mouais. Ca dépend quel type « d'empoisonnement ». Je serais pas étonné de savoir que tu as « malencontreusement » confondu le sel et le sucre. Je ris de bon coeur et te laisse entrer. Faut dire qu'on s'en est déjà fait des farces de ce genre. Pour ça que nous sommes si soudés chez les Clarke. Que ce soit nous deux ou n'importe qui d'autre de la fratrie. Azra entre en coup de vent et s'installe tout tranquillement. De quoi me donner l'occasion d'une nouvelle petite blague. Et tu dis pas bonjour toi. Je vois que t'as bien été éduqué … Un sourire amusé sur mon visage et je te regarde juste du coin de l'oeil pour guetter ta réaction. Attendant une nouvelle petite pique ou une simple grimace. Je reporte alors l'attention sur ton petit présent. Pas si petit que ça. Cette tarte paraît délicieuse. J'en salive d'avance. Je sais que je te le répète souvent mais je me lasserais jamais de tes gâteaux. Surtout depuis que je suis revenu de prison. Ils n'ont jamais étaient aussi bons que ces derniers mois. Et à notre tour on va se poser. Histoire de papoter deux petites minutes. Puis je te proposerai un truc à boire en accompagnement de cette tarte. Car je compte bien faire en sorte qu'elle ne reste pas entière très longtemps …

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EXORDIUM.

Ouais j'avais envie de venir te voir, j'avais envie de voir mon grand frère adoré. Soeurette adorééee. je souris en te serrant dans mes bras, du moins avec mon seul bras de libre en faite, vue que je tiens mon gâteau dans mon autre main. C'est alors que je te le tends puis que je viens te dire que oui j'aurais pu mettre quelque chose dedans pour t'empoisonner. Mouais. Ca dépend quel type « d'empoisonnement ». Je serais pas étonné de savoir que tu as « malencontreusement » confondu le sel et le sucre. Je me mets a rire aux éclats quand tu me dis ça, mais oui, oui c'est sur que j'aurais pu le faire, mais non. « Roooh tout de suite, comme si j'aurais voulu le faire. Bon peut-être que sans faire exprès j'ai confondu le chocolat noir avec du chocolat au lait. » je rigole doucement en te disant ça, bien sûr que non j'ai pas confondu, mais j'aime bien te taquiner. Et oui, oui chez nous on a toujours fait des petites blagues comme ça. Quand tu me fais entré, je viens alors retiré mes chaussures a l'entré, laissant mes belles et grosses chaussettes polaires apparaître mais surtout que j'ai toujours retiré mes chaussures avant d'entré chez toi ou même chez nos frères et sœurs. Bien sûr que j'aurais pu les laisser mes chaussures mais non je n'ai pas envie. Alors que Azraël file s'asseoir à sa place, je te regarde faire. Et tu dis pas bonjour toi. Je vois que t'as bien été éduqué … Je me mets a rire doucement, puis quand je le vois arriver rapidement vers toi en bougeant la queue dans tout les sens mais surtout en venant te tourné autour pour réclamer des câlins je rigole encore plus. « Et oui il est bien éduqué, qu'est-ce que tu crois il m’obéît au doigt et a l'oeil lui au moins, pas comme toi, le vilain grand frère ! » je rigole a nouveau en m'éloignant bien sur de toi pour ne pas me recevoir cette petite tape quand je dis des bêtises. Puis quand tu vas à la cuisine je te suis et me permets de m'installer sur l'une de t'es chaises en déposant mes pieds sur le rebord et passant mes bras autour de mes jambes. Je sais que je te le répète souvent mais je me lasserais jamais de tes gâteaux. Je rigole doucement, et hausse doucement des épaules.« Tu sais, ce n'est qu'un simple gâteaux, rien d'extra tu sais ! Mais... J'en veux bien un part monsieur le serveur ! » je dis avec un large sourire en tendant mes mains pour que je puisse avoir une part. « Et... Un grand, et méga gigantesque de chocolat chaud avec des marshmallow ! » je souris en grand en te regardant. Oui la chiante est présente.

**○ inscrit le** : 28/11/2017

Je plaisante mais en vérité je me doute que tu ferais pas une bêtise du genre pour un si grand gâteau. S'il s'agissait d'un petit muffin, là, ouais, je dis pas. T'aurais pu y glisser un ingrédient tout à fait spécial qui m'aurait donné des haut-le-coeur. Mais une grande tarte ? Pas vraiment. Ce serait du trop gros gaspillage. Oh ça c'est kif-kif. Puis parfois suffit qu'il y en ai pas d'une sorte ou de l'autre au magasin … Ca arrive ouais. Le goût n'est pas sensiblement le même mais dans un gâteau ou une tarte, mélangé avec d'autres ingrédients, c'est à peine si on remarque la différence. A moins de vraiment abuser sur la quantité de chocolat. Mais on fait jamais ça chez nous. Noooon. Je te fais donc rentrer. Je te fais même plus la remarque pour les chaussures. C'est pas comme si elles étaient sales en plus. Enfin, c'est pas une mauvaise chose non plus. J'engueule ton chien. Parce que ouais, le vilain dit même pas bonjour. Sauf qu'il suffit que je dise ça pour qu'il s'amène tout tranquillement et réclame des caresses. Le fourbe. Et tu te gênes pas pour plaisanter à ton tour. Me considérant même de « vilain ». Non mais ce qu'il faut pas entendre. Je câline Azra en te répondant. Hé ! Non mais c'est toi qui doit m'obéir déjà. N'inverse pas les rôles ! Et je ne vais pas me laisser diriger par deux petites chipies ! Toi. Et ta jumelle. Qui est déjà plus raisonnable que toi. Enfin non. La jumelle maléfique c'est toi après tout. Et je rigole. J'aime bien plaisanter avec ça ouais. Vous me menez la vie dure ! On sait tous qui dirigeait à la maison quand on était plus petit. Et il s'agissait pas d'Aidan. Ni de moi. Cette tarte donc ! On part s'installer sur le canapé. Je t'en remercie de cette tarte. Et ouiii, je sais que c'est « rien » après tout. Mais voila. Bon bah la prochaine fois je dirais rien alors. Et tu pourras me faire une remarque sur le fait que j'ai rien dit … Les femmes … On sait jamais sur quel pied danser avec vous. Et j'éclate à moitié de rire. Pire qu'une femme encore, t'es une petite sœur. Tu triples la dose de « chiantise ». Au moins. Mais je te tends quand même une part. Mais je sais pas si tu le mérites ! Au moins, si tu goûtes avant moi, ça me permet d'être sûr qu'il y a aucun « poison ». Malin hein ? Sauf qu'évidemment, tu t'arrêtes pas là … Et avec ça ce sera tout ?? Allez vas-y, blague là-dessus, je te vois arriver. Je me lève. Tu diras encore que je suis vilain. Et je m'en vais préparer ça. Et sortant ta tasse en attendant. La tienne, celle à personne d'autre. Bon par contre j'ai plus de marshmallow. Enfin j'ai un paquet d'ouvert mais … Ils sont tous sec. Durs. J'aurais du les jeter depuis une semaine au moins … Je voudrais pas que tu te casses une dent et que tu m'accuses quoi … Ok, c'est extrême. Mais on est pas si loin de la vérité. Et puis y'a de la tarte alors, autant profiter de ça. Et je reviens m'asseoir, ta tasse en main. Madame … C'est bon ? Je peux m'asseoir tranquille maintenant ?

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EXORDIUM.

Oh ça c'est kif-kif. Puis parfois suffit qu'il y en ai pas d'une sorte ou de l'autre au magasin … Je hausse doucement des épaules en te regardant tout en souriant. « Vrai mais non j'aime beaucoup prendre le même du devrais le savoir a force ! » je dis en souriant aussi. Ca ne mets jamais arriver de changer mes produits habituelles mais surtout pour mes gâteaux. Alors que je suis entré chez toi, je retire mes chaussures comme toujours et je m'avance tranquillement chez toi, je la connais ta maison a force alors oui je prends mes aises en te laissant engueuler mon chien qui lui reviens tout fou. C'est alors que je rigole doucement en te disant que tu devrais faire de même quand je te dis quelques choses, mais bien sûr tu sais très bien que je rigole vue ta réaction.Hé ! Non mais c'est toi qui doit m'obéir déjà. N'inverse pas les rôles ! Et je ne vais pas me laisser diriger par deux petites chipies : Je me mets a nouveau a rire a t'es paroles. Alors que je voulais répliquer tu es plus rapide que moi. Enfin non. La jumelle maléfique c'est toi après tout. Je prends un air faussement choqués et je viens alors te tapoté l'épaule quand tu dis ça. « Comment ose tu mentir comme ça ? Sache qu'on était toujours deux a être diabolique, je te rappelle le coup de ton lit tout retourné un jour quand tu es rentré, c'était Alénya pas moi alors que tu t'était venger sur moi. » je te dis en te tirant la langue. Alors qu'on es installer sur le canapé, alors que tu me parle de mon gâteau je joue ma chieuse, comme toujours avec toi. Bon bah la prochaine fois je dirais rien alors. Et tu pourras me faire une remarque sur le fait que j'ai rien dit … Les femmes … On sait jamais sur quel pied danser avec vous. Je rigole doucement en venant te pousser un peu avec mon épaule, c'est vrai qu'en plus d'être une femme maintenant je suis ta sœur, alors c'est pire. Mais j'aime bien, j'ai trop être chiante avec toi, si le jour ou je ne le suis pas c'est qu'il y a vraiment un gros problème. Alors que tu viens me tendre ma part, je te fais mon plus grand sourire en la prenant. « Merciiii ! » je croque un coup dedans et te demande le chocolat chaud de la mort qui tue que tu sais trop bien me faire. Et avec ça ce sera tout ?? je secoue la tête de gauche à droite en riant doucement, car non ça ne sera jamais tout avec moi. Tu diras encore que je suis vilain. je hausse a nouveau des épaules en riant tout en te regardant partir. Bon par contre j'ai plus de marshmallow. Enfin j'ai un paquet d'ouvert mais … Je te regarde choquée. « Pourquoiiiiiii ? » je te dis en prenant un air triste. Je voudrais pas que tu te casses une dent et que tu m'accuses quoi … je pouf doucement de rire en t'écoutant. « T'abuse de les avoirs laisser comme ça quand même ! » je dis doucement en riant un peu, mais quand tu reviens je prends ma tasse, la mienne entre les mains puis je te souris « Merci gentil frère ! » Je dis en souriant, puis une fois ma part finit, car j'ai eu le temps de la manger pendant que tu préparais mon chocolat, je viens ramener mes jambes sur le canapé et boit doucement une petite gorgée du chocolat. Madame … Quand tu me dis ça, je tourne le visage vers toi en souriant doucement. « Monsieur, j'aurais une... pas une requête, mais, un petit, tout petit truc a t'annoncer. » je dis en souriant doucement, Alénya la pas mal prit, mais elle la mal prit quand elle su avec qui j'étais. Alors j'espère que ça ne sera pas la même chose pour toi.

**○ inscrit le** : 28/11/2017

Non mais je sais bien. Pareil tu sais aussi. Quand on a nos petites habitudes alimentaires hein ? Pourquoi acheter le même produit mais d'une autre marque ? Sauf si le stock de ce qu'on prend d'habitude est vide. Alors là pas trop le choix. Je te laisse donc entrer. Toi et ta bête. Brave bête. Qui ne dit pas bonjour. Pas tout de suite. Mais il revient. Bien appris. Et tu plaisantes là dessus. Sur moi. Tu oses te moquer de ton frère ! Alors forcément je surenchéris. J'inverse ce que tu me racontes là. Comme si c'était moi qui devait être aux pieds de mes sœurs. Non mais. Encore Alé c'est la gentille. Mais toi … Je rigole. Et tu dénonces lâchement ta sœur. Ooooh ça c'est très petit d'accuser Alé. Surtout qu'elle n'est pas là pour se défendre. Il n'y a qu'une jumelle maléfique pour faire ça ! Et reconnaître le coupable c'est mon boulot je te signale ! Toc ! Argument de poids pour le grand frère Clarke. Qu'avez-vous à dire pour votre défense sœurette Clarke ? Rien ? Si ? De toute façon, je suis juge et juré pour le coup alors j'ai raison tu as tort ! Je rigole je rigole. Pareil avec ma boutade suivante sur les femmes en général. Petit coup d’épaule pour signaler ton mécontentement mais bien vite oublié avec une part de dessert. De rien. Mais évidemment tu me laisses pas tranquille. Chocolat chaud. Une vrai princesse je vous jure. Avec ça ? Parce que tu veux autre chose. Et bin et bin. J'avoue je devrais jamais poser cette question. T'as toujours quelque chose à demander ! Enfin non j'exagère. Alors j'ai des chamallow. Et pas le temps de terminer que tu poses cette fameuse question qui horripile les gens, surtout quand ce sont les enfants qui demandent « Pourquoi ». Du coup je t'explique. Et tu me réponds. Bah ouais je sais mais bon. Ca sèche trop vite ces machins là aussi. Et puis je n'y ai plus pensé. Ca arrive. C'est pas le premier truc plus bon que je jette. Même si j'essaye de faire attention et que parfois tant pis je mange quand même. Bon ! Je peux enfin aller m'asseoir. C'est pas trop tôt. Et je me la joue serveur en t'amenant ton chocolat. Mais faudrait pas que tu te la pètes. Je te ramènerai sur terre. Ou ce sera toi ? Car tu as … une nouvelle. Oh ? Ah ? Vas-y je t'écoute. Je me fais relativement sérieux. Sans savoir ce dont il est question. Même si tu souris alors ça devrait le faire. Pas une mauvaise nouvelle je pense. Mais du coup c'est pour ça que tu viens aujourd'hui me dire bonjour ! Bref. J'attends.

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EXORDIUM.

Non mais je sais bien. Pareil tu sais aussi. Je rigole doucement quand tu me dis ça, ouais tu n'es pas mon frère pour rien en faite, on a les mêmes habitudes et ça, on s'en cache pas de se le dire mais surtout de se le montré quand on le peut. Une fois rentré, une fois que tu je t'es agacer sur le fait que mon chien m'écoute plus que toi, sur le ton de l'humour bien sûr, sinon ça serait bizarre, la petite sœur qui commande le plus grand des frères ? Ouais c'est bizarre. Puis on en vient au fait que Alé est la plus gentille de nous deux. C'est de la que j'essaye de me défendre comme je le peux, mais surtout que j'aime bien la faire passer pour méchante mais quand je dis la vérité, personne ne me croit. J'avoue aussi qu'on a fait plusieurs fois des conneries ensembles et je ne m'en cache pas une seule seconde. Ooooh ça c'est très petit d'accuser Alé. Surtout qu'elle n'est pas là pour se défendre. Il n'y a qu'une jumelle maléfique pour faire ça ! Et reconnaître le coupable c'est mon boulot je te signale ! Je viens alors prendre un air choquer quand tu me dis ça. « Mets le coup de ton métier sur le tas, encore une fois, mais part moment, c'était elle la plus méchante et jamais personne ne me croit que je le dis de toute façon. » je te tire la langue et c'était la vérité, je croise mes bras, puis j'en ai profiter de m'asseoir sur ton canapé, m'installer comme si j'étais chez moi. Mais c'est vrai que tout est oublier avec ce gâteau, et je viens alors, me permettre de te demander ce fameux chocolat chaud, ouais, ouais j'en ai envie puis en faite j'ai aussi envie de t'embêter c'était aussi le but de ma visite, enfin pas que. Mais on en vient de la conversation des chamallow, ouais je joue ma gamine qui pose les questions débiles et énervante, je sais que tu n'aimes pas trop ça et j'en joue pas qu'un peu. Bah ouais je sais mais bon. Ca sèche trop vite ces machins là aussi. je viens alors pouffer de rire quand tu me dis ça. Je te regarde. « Avoue que tu veux juste te donne encore une excuse de les avoirs laisser au fond du placard et de les avoir oublier ! » Je souris en te disant ça, puis quand tu me donnes mon chocolat je joue ma gentille, la gentille sœur qui te remercie comme il le faut. Je sais que intérieurement ça te fait sourire voir même rire alors je continue. Jusqu'à se que je reprenne mon sérieux, un sérieux qui en vaux la peine car je te dis que j'ai quelque chose a te dire, t'avouer. Ah ? Vas-y je t'écoute. C'est quelque chose de sérieux mais aussi que me rends quand même la plus heureuse au monde, je viens alors boire doucement une gorgée de ma boisson puis je la dépose sur la table doucement. Je viens alors te regarder. « Tu te souviens de Aaron ? » commençons part le début, ouais ça serait plus simple. Puis comment tu ne peux pas te souvenir de lui, le mec que j'ai aimer plus que tout au monde pendant les mois qu'on était ensemble mais qu'on est rester amis malgré tout. « Voilà, on sait remit ensemble, on veut voir si ça marche a nouveau tu vois, si c'est possible que ça tienne et je t'avoue qu'il est devenu... différent, il est plus doux, a l'écoute, plus... je ne sais pas trop comment te dire ça, mais il a réussir a me faire voir son coter de lui amoureux et pas cœur de pierre ! » la raison de notre séparation ? Son foutu cœur de pierre ! Mais quand il a été là pour moi a cette période, que tu ne sais pas, la période assez sombre il ma aider, remonté mais aussi aimer. Je me racle doucement la gorge en te regardant. « Et bah … Tu vas être tonton et nous parents ! » je dis avec un sourire sur mes lèvres, j'espère que tu ne vas pas réagir comme Alé, tu ne vas pas t'énerver toi aussi...

**○ inscrit le** : 28/11/2017

Tu me fais marrer. Tu me fais vraiment marrer oui. Et j'ai forcément quelques petites répliques qui me viennent en tête. Dur dur de choisir … Mooooh Caliméro. « C'est trop injuste ». J'éclate de rire. C'est vrai que tu as vraiment eu une enfance malheureuse … Alé qui avait tout pour elle et rien pour toi … Je secoue la tête doucement. En plus Camilla ça commence Caliméro ! Coïncidence ? Je ne pense pas … Bon allez plus sérieusement … Que tu dises pas qu'on ait toujours « privilégié » ou préféré ta sœur à toi. T'es tellement malheureuse que je te fais ce chocolat chaud de bon coeur. Bon ok c'est pas la mer à boire non plus. Si je faisais pas ce genre de choses pour un membre de la famille quand même … On en vient à discuter chamallow. Tu m'engueules. Bah bravo. Le monde à l'envers ici. C'est que ce genre de trucs, à peine ouvert déjà c'est plus bon. Ou pas. J'essaye juste de chercher un peu les excuses oui. Mais ! … J'ai pas forcément pensé au fait que j'avais effectivement un paquet d'ouvert dans l'armoire oui. Si je me mets à manger ce genre de truc tous les jours … J'ai pas envie de prendre de la bidoche ! Je veux garder ma forme oui ! Mais bon en vérité même si je me laissais un peu aller niveau bouffe, je sais que je compenserai par le sport et l'activité physique. Je peux enfin venir me poser dans le canap'. Manger un bout de ce gâteau alors que tu bois ton chocolat. T'écoutant attentivement car tu as visiblement quelque chose à me dire. Viens alors cette question. Quelle question. Comme si j'allais oublier … Je soupire un peu. J me souviens de lui oui … Pas la peine de me dire la suite hein. « On s'est remis ensemble ». Je le vois venir grand comme une maison. Et … bingo. Bon je lui en ai jamais voulu à ce garçon. Après tout je peux pas le forcer à t'aimer. Et c'est même … mieux qu'il t'ait quitté à l'époque. Sauf que là … Peut-être que les choses ont changé. Il a pris de la maturité tout ça. Il a changé à t'entendre. Alors ouais peut-être que … je vais te surprendre un peu. Et bien si c'est vraiment le cas je suis content pour toi. J'espère juste que … Qu'il s'est vraiment rendu compte de certaines choses de son côté et qu'il te fera pas souffrir. J'espère juste qu'il te prendra pas pour une conne mais … Enfin je crois pas que ce sera le cas. Je me trompe ? En tout cas tu peux être sûre que … Qu'il a pas intérêt à trop faire le con non. Sinon je me charge de son cas. Mais ce n'est pas tout non … Je te regarde. Je fronce les sourcils. Je … me remets un peu plus droit. Tu as l'air vraiment sérieuse … … Est-ce que … Tu te moques de moi là ? Merde. Je suis tellement maladroit. Parce que si c'est vrai … Oh non. Si c'est vrai … Cam' quand même … Un enfant quoi !

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Mooooh Caliméro. « C'est trop injuste ». C'est vrai que tu as vraiment eu une enfance malheureuse … Alé qui avait tout pour elle et rien pour toi … Je viens alors lever les yeux au ciel quand tu me dis ça, ouais mon prénom commence pareil mais bon, en réalité c'était plutôt vrai. Elle a toujours été la chouchoute et c'était toujours moi qui me faisais engueuler pour ses conneries. Mais bon c'est comme ça et je ne réponds pas à ça, même si tu m'as fais ce chocolat, tu es comme tout les autres, tu n'avoues pas que tout le monde la toujours préféré. C'est alors que j'esquive aussi un peut le sujet parce que je sais qu'avec mes hormones ça va me jouer des tours, et je préfère te parler de tes marshmallow tout dure dans ton placard. Mais ! … J'ai pas forcément pensé au fait que j'avais effectivement un paquet d'ouvert dans l'armoire oui. Si je me mets à manger ce genre de truc tous les jours … J'ai pas envie de prendre de la bidoche ! Je me mets a sourire gentillement. « Ca ne te ferais pas de mal, tu es maigre comme un clou frangin ! » ok je te taquine mais c'était pas trop faux d'un coter ! Je t'ai vue bien plus en chaire, parce forcement niveau gras, mais niveau muscle. Mais bon après c'est pas à moi de te le dire, mais, au moins je te l'ai fais comprendre si on peut dire ça comme ça. Mais alors que tu te serre d'un part de gâteau je me perds de te parler d'un truc sérieux. Oui c'est vrai sérieux, j'ai juste peur de ta réaction. C'est alors que je te demande si tu te souviens d'Aaron. J me souviens de lui oui … bien sûr que tu t'en souviens, mais je te dis la suite, qu'on sait remis ensemble. Je te regarde et t'écoute. Et bien si c'est vraiment le cas je suis content pour toi. J'espère juste que … Qu'il s'est vraiment rendu compte de certaines choses de son côté et qu'il te fera pas souffrir. J'espère juste qu'il te prendra pas pour une conne mais … Enfin je crois pas que ce sera le cas. Je me trompe ? Je hoche doucement la tête de haut en bas. « Ne t'en fais pas, on a longuement discuter, mais aussi on y est aller doucement. Ce ne fait pas un mois qu'on est ensemble mais bientôt dix maintenant Jax... » je te dis doucement en déposant alors ma tasse sur la table basse. « Je n'ai rien dis avant parce qu'on vouloir si ça allait marcher et... ouais ça marche maintenant. Donc je sais se qu je fais t'en fais pas. » Sauf que la suite, je ne sais pas, j'avais encore plus peur de ta réaction en faite. Mais bon, je lâche aussi la bombe qu'en réalité je suis enceinte de lui maintenant. Je t'observe, quand tu fronces les sourcils comme ça c'est pas si bon signe que ça. … Est-ce que … Tu te moques de moi là ? Je soupire a nouveau, puis je me lève doucement en baissant mon tee-shirt qui était remonter. Je prends alors dans mon sac une feuille de prise de sang, je viens te la mettre dans les mains et te montre la ligne du bout du doigt. « Non je ne me moque de personne Jackson. » Je dis en venant laissant tomber mon dos dans le fond du canapé. Puis je me redresse rapidement. « Pourquoi ? Pourquoi je me moquerais de vous avec cette nouvelle ? Déjà Alénya la mal prit mais le prit c'est qu'on sait engueuler... » je te dis en soupirant et passant mes mains dans mes cheveux pour les mettre en arrière. « Elle n'accepte pas Aaron mais encore moins que je sois enceinte. » je hausse des épaules. « Mais toi aussi tu vas me dire que je suis trop jeune, que je n'ai pas la tête sur les épaules pour avoir un enfant ou encore mieux, que je ne suis pas mature pour ça ? » j'avais plus envie de m'énerver la dessus, je te dis tout ça dans un soupire...

**○ inscrit le** : 28/11/2017

Hein ? Moi ? Maigre comme un clou … T'es con. Que tu m'aies dit ça il y a quatre mois ok je comprends. La prison c'est pas génial niveau bouffe. Même si on fait pas mal d'exercices pour s'entretenir. Mais là. Sérieux quoi … Non pas sérieux. Je sais bien que tu déconnes. Je suis très très bien comme je suis. Je changerais rien. Toi par contre … Petit sourire en coin. Et bim. Accueille cette pique comme tu le souhaites petite sœur. Je vais pas me laisser faire. Et si je me permets la remarque c'est parce que je sais que t'as pas de complexe. Sans quoi j'aurais pas plaisanter avec ça. Même si c'est vrai que comparée à ta sœur, t'es un peu plus en chair. Si le ton est léger, ça dure pas longtemps. Sa faute à lui. Cet homme qui t'a quitté. Mais maintenant vous semblez de nouveau ensemble. Et si ça marche bien … J'espère juste qu'il joue pas au con. Si c'est genre il trouve pas une autre fille alors il revient vers toi … Enfin je sais pas quoi en penser. Attends … Dix mois que vous vous êtes remis ensemble et t'as rien dit à personne ?? Et j'ai rien remarqué … Ouch. Mauvais le grand frère. Et Alé ? Si elle savait elle m'aurait dit je pense. Merde alors … Bon faut dire j'ai peut-être pas toute ma tête les mois d'avant. Même si là ça fait trois mois que c'est bon. D'accord. Je sais très bien que … Ce qu'il en est pour toi. Pas pour lui. Même s'il n'a jamais fait trop le con non plus par le passé. J'espère juste que … Que ça se terminera pas comme ça c'est terminé avant. Voir pire. Ouais. Pourvu qu'il t'aime maintenant. Si vous savez ce que vous faites hein … Enfin je garderai un œil à tout ça. Pour pas que tu souffres. Et comme on dit qu'une nouvelle n'arrive jamais seule … Ok j'aurai peut-être pas du te dire ça. Car là je passe pour un con. Parce que tu sors tous tes trucs là. Et surtout. Preuve du sérieux absolu, ce « Jackson » en fin de phrase. Quand on m'appelle comme ça c'est que … ça plaisante pas non. Pas besoin de me montrer tout ça si tu me dis être sérieuse je te crois. Tu mentirais pas sur un truc comme ça. Du coup. Qu'est-ce que je peux dire moi maintenant ? Bon tu me laisse pas parler. Et tu me fais part de ce que tu ressens. Une engueulade avec Alé. Ca m'étonne pas. Euh non. C'est pas la question de la maturité mais plus … La situation actuelle avec le père de l'enfant je dirais. Vous aviez pas vraiment prévu d'avoir un enfant si ? Comment … Comment c'est arrivé ? Ouais … Je pose vraiment ces questions. J'en reviens presque pas moi-même mais … Si c'est un « accident », on peut pas vraiment t'en vouloir. T'es pas la genre à t'envoyer en l'air sans penser aux conséquences. Et mon Dieu j'en reviens pas que je dise ça de ma sœur … Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise hein ? Je pourrais te sermoner ouais. Mais t'as plus seize piges. C'est peut-être pas … comme ça que je me voyais devenir tonton mais maintenant … que c'est fait bah … moi comme n'importe qui je pense qu'on sera là pour toi. Même si tu risques d'être encore plus chiante d'ici six-sept mois … Tentative de petit trait d'humour ? Mouais.

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EXORDIUM.

Je suis très très bien comme je suis. Je changerais rien. Toi par contre … Je lève alors doucement les yeux au ciel, bien sûr que je ne vais pas répondre la peine de répondre car oui, oui je vais te dire que je suis très bien comme je suis et tu le sais très bien en réalité. Mais bon, ce n'est pas du tout sur ça que notre discutions tourne sur autre chose, sur ma relation avec Aaron, oui oui je t'avoue que ça fait un moment qu'on est ensemble, un long moment même plus longtemps que tu ne le pense en réalité. Attends … Dix mois que vous vous êtes remis ensemble et t'as rien dit à personne ?? Et j'ai rien remarqué … Je laisse un petit soupire m'échapper quand tu me dis puis je hoche la tête de haut en bas. Mais je viens hausser des épaules en te regardant. « Oui, on ne voulait rien dire avant, avant... que ça soit fixer entre nous, avant qu'on soit sur et que notre couple dur tu vois ? » je soupire doucement. « Alé ne sait pas que sa fait aussi longtemps ne dit rien s'il te plait... » je te dis doucement, mais aussi dans un ton qui te supplie limite en réalité. D'accord. Je sais très bien que … Ce qu'il en est pour toi. Pas pour lui. Même s'il n'a jamais fait trop le con non plus par le passé. J'espère juste que … Que ça se terminera pas comme ça c'est terminé avant. Voir pire. je secoue alors la tête de gauche à droite en te regardant. « Non, non ne t'inquiète pas ! C'est pour ça qu'on a attendu pour le dire ! » je te le dis a nouveau, oui je sais que tu as compris, mais bon je préfère le répéter en réalité... Mais c'est comme ça. Alors que la discutions tourne sur l'enfant que je porte. Bien sûr que tu m'as demander si je me moque de toi, mais bien sûr quand je t'appelle « Jackson » tu sais que ça va pas aller, que oui, oui c'est sérieux, que oui je ne mens pas du tout mais surtout je ne plaisante pas. Pas besoin de me montrer tout ça si tu me dis être sérieuse je te crois. j'avais quand même sortie mon truc, mais surtout que oui je ne mentirais pas la dessus. Mais je rajoute que je me suis engueuler avec Alénya. Je peux très bien voir que ça ne t'étonne pas du tout, pas une seconde même. Puis je te parle de maturité, mais oui, tu pensais que je n'allais pas parler de ça mais si. Euh non. C'est pas la question de la maturité mais plus … La situation actuelle avec le père de l'enfant je dirais. Vous aviez pas vraiment prévu d'avoir un enfant si ? Comment … Comment c'est arrivé ? Quand tu me demande des plus l'enfant je grimace doucement. « T'es sur de savoir ? » je te regarde quand je vois que oui tu veux le savoir. « Non on a pas vraiment prévu d'avoir un enfant Jax... C'est un accident si je peux dire ça comme ça, mais... On a décidé de le garder je ne veux pas perdre cette enfant... » Je te regarde en haussant doucement des épaules, oui oui je ne veux pas le perdre et personne ne voudrait. Si je n'aurait pas voulu le garder est-ce que j'en aurais parler ? Non je ne pense pas... Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise hein ? Je pourrais te sermoner ouais. Mais t'as plus seize piges. je hausse doucement des épaules, que tu me dise que tu seras là si j'ai besoin et que, que tu sera a mon écoute ? Je ne sais pas, mais j'en dis pas un mot vue que tu continues. C'est peut-être pas … comme ça que je me voyais devenir tonton mais maintenant … que c'est fait bah … moi comme n'importe qui je pense qu'on sera là pour toi. Même si tu risques d'être encore plus chiante d'ici six-sept mois … Quand tu parles des six-sept mois a venir en me disant que je serais chiante je ne peux pas m'empêcher de sourire, je viens doucement te donner un petit coup d'épaule. « Tu sera encore plus a mes petits soins frangin ! »

**○ inscrit le** : 28/11/2017

Ouais … Bon … Je comprends. Je dois bien avouer que par le passé j'ai moi-même parfois été très discret sur mes relations. Je ne suis jamais resté très longtemps avec la même femme il faut dire. Hormis Mia que j'aurais pu vous présenter. Ce qui était un peu de hors de question vu qu'on ne voulait pas que ça se sache. Compliqué. Je vais pas revenir là-dessus. Ouais ouais c'est compréhensible. Ca aura éviter de faire « péter un câble » à tout le monde au cas où tu nous aurais dit un mois plus tard que finalement c'était terminé … Surtout à Alé. Alé qui ne sait d'ailleurs pas tout. Bravo. Et pourquoi tu lui as rien dit ? Je ferais gaffe ok. Même si j'aime pas trop garder ce genre de trucs pour moi. On a tous nos secrets les uns envers les autres. Sans doute que tu lui dis pas pour pas la vexer, trahir sa confiance. Parce que vous êtes censées tout savoir de l'autre les jumelles. J'espère juste pour toi que … Que cette fois-ci c'est la bonne. Visiblement c'est le cas. Alors j'hoche doucement de la tête. On sait jamais de quoi demain sera fait mais oui j'espère pour toi. Je vais pas dire que c'est une nouvelle dure à encaisser. Mais je vais sans doute redoubler de prudence quant à ton bien-être dans les jours à venir. Surtout que … une « bonne » nouvelle n'arrive jamais seule. Sauf que là c'est plus une bombe qu'une nouvelle. Merde Cam' ! Qu'est-ce qu'il vous a pris quoi … A moins que. Alors ouais comme un con je demande si l'enfant est voulu. Plus ou moins. Je ne dis pas ça cash. J'ai mes doutes et mes doutes sont … plus que des doutes. Un « accident ». Je me doute. J'aurais été étonné du contraire. Etonné et … choqué je pense. C'est ta vie et tu fais ce que tu veux. Je suis peut-être ton grand frère mais je décide pas pour toi. Mais ouais j'aurais été … j'aurais eu du mal à comprendre. Tu m'étonnes qu'Alé a pété un plomb. Déjà moi là je suis bien trop étrangement calme je trouve. Je me permets même une … petite plaisanterie. Ce qui te fait sourire. Bon moi peut-être un peu moins. Ouais. Enfin n'abuse pas trop … Là c'est moi qui abuse. Si je peux pas être là pour toi je serais un fameux con. Bien que l'avenir prouvera qu'entre Nova, le boulot, et tout le reste, c'est pas évident. Bon au moins t'es pas enceinte d'un inconnu. Si tu m'avais dit ça je peux te dire que … J'aurais réagi différemment. Là t'aurais eu une bonne leçon de morale ouais …

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Ouais ouais c'est compréhensible. Ca aura éviter de faire « péter un câble » à tout le monde au cas où tu nous aurais dit un mois plus tard que finalement c'était terminé … Je viens doucement hausser des épaules quand tu me dis ça, mais aussi je laisse un petit hochement de la tête se faire en te regardant. « C'est exactement ça... Puis ouais je voulais attendre, se qui se comprends quand même ? Ok, quand tu es adolescent tu aimes avouer a tout le monde que tu viens d'avoir un copain mais là... J'ai préféré attendre quand même. » C'est aussi que je te demande de ne pas le dire a Alé pour le moment, pas tant que ça soit moi qui lui ait dit, sinon sa serait encore la guerre entre nous deux. Et pourquoi tu lui as rien dit ? Je ferais gaffe ok. Même si j'aime pas trop garder ce genre de trucs pour moi. Je soupire doucement en te regardant, mais oui j'aimerais que tu ne dis rien, c'est aussi pour ça que je te dis ce petit secret. « Tu es le seul de la famille a le savoir pour le moment... Donc ouais, je sais que c'est pas simple un secret pour personne je le sais mais là... Vue comment ça prendre une tournure j'aimerais juste que tu gardes le secret s'il te plait Jax... » J'ai toujours su ou me confier, quand ce n'était au près de Alé, c'était au près de toi ou bien même de notre frère, le second. Je savais que vous nous écoutiez comme personne mais surtout que vous avez plus la tête sur les épaules que nous les plus jeunes. Vous aviez toujours une petite truc de bon sens a nous dire, une petite protection malgré tout, sans qu'on s'en rende réellement compte mais vous l'avez vous aussi. Vous voulez que notre bonheur et c'est aussi pour ça qu'on vous en parle à vous en premier. Nos grands frères. Mais le sujet tourne alors sur l'enfant, s'il était voulu. Oui et non, oui on aurait aimer des enfants plus tard mais pas là, pas comme c'est arriver. Après tout, j'ai une bonne conscience je ne me vois pas avorté et le perdre. Tout en perdant a nouveau Aaron. Je me doute. J'aurais été étonné du contraire. Etonné et … choqué je pense. C'est ta vie et tu fais ce que tu veux. Je suis peut-être ton grand frère mais je décide pas pour toi. Mais ouais j'aurais été … j'aurais eu du mal à comprendre. Je viens alors replier mes jambes devant moi en posant mes pieds sur le canapé, je viens alors éviter ton regard a t'es paroles. Je hausse doucement des épaules. Puis je viens lâcher : « Toi aussi tu aurais préférer que je ne le garde pas alors ? » Plusieurs fois je l'ai entendu, pas de Aaron, mais je l'ai entendus bien trop de fois. Après ce n'était pas trop tard, mais je ne me vois pas de vivre avec la mort d'un enfant sur la conscience, notre enfant. Je soupire doucement, puis quand j'entends ta petite plaisanterie, je relève le regard sur toi, et j'avance que tu allais plus t'occuper de moi avec ça. Ouais. Enfin n'abuse pas trop … Je souris doucement en haussant des épaules. « Pourquoi pas tiens ? » Après tu savais très bien que je te taquine la dessus, et que je ne suis pas du genre a venir te voir tout les quatre matins pour te demander de t'occuper de moi. J'étais rapidement partie de la maison et pris mon appartement seule pour que je puisse être libre, alors oui je ne suis pas de ce genre là. Bon au moins t'es pas enceinte d'un inconnu. Si tu m'avais dit ça je peux te dire que … J'aurais réagi différemment. Là t'aurais eu une bonne leçon de morale ouais … Je fais un oui de la tête en te regardant. « C'est sur, mais, je ne suis pas du genre a le faire avec des inconnus en faite. » Je me rends compte qu'on commence a parler de ma vie sexuel, je fronce doucement des sourcils. « On va arrêter ici, ça ne regarde moi ça part contre, sinon tu vas faire des cauchemars ! » je dis en souriant doucement.

**○ inscrit le** : 28/11/2017

J'hoche de la tête. Bon oui ça se comprend quoi. Surtout que ... qu'il s'agit de lui. Sans vouloir lui manquer de respect. S'il s'agissait d'un autre petit copain t'aurais certainement pas attendu longtemps. Je ne le ferais pas moi non plus je pense. Je vous dirais la chose sans forcément rentrer dans les détails. Juste un petit « je vois quelqu'un » c'est suffisant. Il n'y a pas que ça. Tu me demandes aussi de me taire sur la durée de votre relation. Je sais honnêtement pas ce qui est le pire. Enfin si. Le pire ce serait d'apprendre que tu t'es remise avec Aaron depuis une semaine et que t'es enceinte de lui. Et c'est la version que t'as donné à Alé. Tu m'étonnes qu'elle devienne folle ... Ok ... M'enfin si je peux te donner un conseil autant lui dire. Plus t'attends plus ça va être pire. Et si elle l'apprend par quelqu'un d'autre que toi. Surtout que ça va. C'est pas pire à encaisser que de savoir que t'es enceinte. C'est même ... « léger » par rapport à ça oui. On continue d'en parler. Calmement. Ca doit te changer d'Alé. Je sais pas si tu t'attendais à ça de ma part. Tu vas le garder cet enfant. Heureusement d'ailleurs. Oui j'aurais été ... choqué que tu ... ne le garde pas. Pourtant t'as l'air de comprendre le contraire. Alors je te reprends immédiatement. Hein quoi ?? Mais non enfin. Qui a dit ça ?? Alé a dit ça ?? Je dis justement le contraire Cam' ! Que j'aurais été choqué que tu décides de ne pas le garder. Je me suis peut-être mal exprimé sans doute ... Je m'empresse de réparer ce quiproquo. Enfin ! Tu me connais mieux que ça non ?? Je suis pas forcément contre l'avortement mais ... Si ce genre de situation m'arrivait avec ma petite amie du moment, je souhaiterais qu'elle le garde. Heureusement cette incompréhension est vite réparée. Je veux pas que tu penses ça Cam' oh ! On se taquine un peu ensuite. Il faut bien. C'était pas ... la « fête » que j'espérais pour l'annonce que je sois futur tonton mais on s'en contentera ma foi. Et je finis par te dire que je préfère Aaron qu'un gars venu de nulle part. Tu te livres un peu à moi en disant que les inconnus c'est pas ton genre. Ce que je pensais plus ou moins. Je rigole de ta dernière remarque. Ouais non t'as raison je veux pas savoir. Pas besoin de ce genre de détail non. Je continue de rire doucement. Me remettant quand même à peine de la nouvelle. J'étais quand même bien loin de m'imaginer tout ça quand t'as débarqué ... La possibilité m'aurait même pas traversé l'esprit d'ailleurs.

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Ok ... M'enfin si je peux te donner un conseil autant lui dire. Plus t'attends plus ça va être pire. Et si elle l'apprend par quelqu'un d'autre que toi. Je te regarde en hochant la tête, après c’est que je n’ai pas trop eu le temps vue qu’elle était plus focaliser sur le fait que je sois retourner avec Aaron et que je sois enceinte de lui simplement… Après la conversation part sur l’enfant qui commence seulement a pousser, c’est vrai que j’ai entendus des trucs comme je viens de te dire, mais on sait mal comprit tout les deux je pense. Hein quoi ?? Mais non enfin. Qui a dit ça ?? Alé a dit ça ?? Je dis justement le contraire Cam' ! Que j'aurais été choqué que tu décides de ne pas le garder. Je me suis peut-être mal exprimé sans doute ... Je vois que tu répare ton erreur et je fais de même : « Non non elle ne ma pas dit, mais desdits collègues que j’ai au boulot tu vois. Ce n’est pas de la famille bien sûr que non, sinon penses-tu je serais bien plus énervé que ça quand même ! » Je dis pour rectifier moi aussi mon erreur, et oui je te connais mais des fois on peut dire des choses qui veut dire totalement autre chose. Mais on arrive rapidement à oublier ce petit problème vue qu’on arrive à se taquiner l’un comme l’autre. C’est sur que c’était la meilleure nouvelle mais fallait que je te le dise avant tout lieux, mais je vois aussi que mon petit gâteau n’est pas trop de réconfort sauf pour moi… vue que je me penche pour en reprendre une part. Mais je te dis clairement les choses sur le fait que je ne suis pas du genre a coucher avec des inconnus, mais j’esquive aussi rapidement le sujet en te disant que tu allais faire des cauchemars si on continue la dessus. Ouais non t'as raison je veux pas savoir. Pas besoin de ce genre de détail non. Je souris amusée et je te fais un oui de la tête, c’est clair qu’on a plus 15 ans surtout toi. J'étais quand même bien loin de m'imaginer tout ça quand t'as débarqué ... Je croque dans la part de gâteau puis en ayant la bouche à moitié pleine je viens te répondre. « Je sais je n’allais pas te cacher ça jusqu’à ce que j’ai un bide énorme quand même, mais j’étais surtout venu pour t’offrir ce gâteau et prendre des nouvelles de mon vieux frère qui préfèrent rester planquer chez lui ! » Je te dis en souriant malgré que je mange, puis je viens finir ma part de gâteau. « Tient je vais de dépoussiérer ! » Je me lève dans un bout et je remets mon tee-shirt en place et je te regarde. Azarël se lève aussi il a de suite compris que j’allais sortir. « Aller lève ton cul on se bouge ! »

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