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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis

tout est parti d'un simple match sur lovemaker,
mais jusqu'alors elles ne se sont jamais rencontrées dans la vie réelle
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 Same blood in our veins [Aubrey & Liam]

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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyJeu 21 Déc - 22:29


Mon frère me promet d’être là aussi en tout temps. Je sourie le plus qu’il m’est physiquement possible de le faire. Inutile que je répète pour la centième fois à quel point cela me rend heureuse, n’est-ce pas ? Vous le savez déjà. […] Désolé. Je ne peux pas m’en empêcher. Je suis juste trop contente pour ne pas le dire encore encore et encore. Je sais ça va être chiant à force j’en suis consciente, mais je suis née comme ça. Reste à savoir si je tiens ça de mon géniteur ou de maman. Hum… je ne saurais dire. Maman me semble plus… comment je pourrais dire ? Réservé ? Non. Plus raisonnable je dirais. Mais ça peut-être une forme de réserve quelque part. Je n’en sais rien. Et je m’en fous aussi tant qu’on y est. Je n’ai pas envie de songer à maman pour le moment. Je préfère me laisser vagabonder à mes rêveries maintenant que j’ai la confirmation qu’on va apprendre tout les deux à se voir malgré nos emplois du temps chargés. Je ne sais pas si le mien est vraiment plus libre que celui de mon frère. Peut-être. Faudrait que je fasse un comparatif. Enfin, s’il veut bien me donner une idée précise du contenu de ces semaines sinon ce n’est pas grave. Je n’en ferais pas un drame de n’avoir que des horaires plus qu’approximatives. D’ailleurs, la chose qui m’occupe le plus l’esprit là c’est cette histoire de GPS intégré à ma combinaison. Je me demande bien où il se situe. Je le cherche un peu partout où mes yeux peuvent potentiellement le voir. Sans succès. C’est mon frère qui vient à ma rescousse en m’indiquant sa localisation. Il est dans la ceinture bien cousu à la combinaison. Tant pis. Je ne vais certainement pas abimer une combinaison pour savoir à quoi ça ressemble. Je préfère dix fois plus me rendre utile en aidant mon frère. Je suis ces indications pour ramasser la toile de parachute. Par mimétisme, je retire mon casque tout comme lui dès qu’il le fait. Je ne sais pas pourquoi j’ai attendu tout ce temps. Peut-être dans le doute de faire une bêtise. Je suis en terrain inconnu en ce moment. La jeep nous rejoins. Je salue son chauffeur avant d’y grimper du côté passager. Mon frère y grimpe une fois qu’il a tout rangé dans le coffre. C’est parti pour l’aéroport. J’observe le paysage en route sans ouvrir une seule fois la bouche. On pourrait croire que c’est la présence du type au volant qui est responsable de mon étrange mutisme mais ce n’est pas le cas. En faite, j’aimerais bien convier mon frère à une activité moi-aussi. Quelque chose qui lui permettrait de me découvrir. Or je ne sais pas encore trop quoi lui proposer pour la suite. Quand je ne suis pas à l’université je suis à l’appart’ en train de créer, et quand je ne suis pas à l’appart’ je sors avec mon flirt du moment. Je ne peux pas lui suggérer un cours de peinture ! Et pourquoi pas ? Je n’en sais rien. Je me dis que ça l’ennuierait au bout de quelques minutes. On a aucune adrénaline à faire glisser un pinceau sur une toile, à mélanger de la peinture sur une palette. On a juste le plaisir de laisser son esprit prendre le contrôle du reste. Ça peut lui plaire. Hum. A voir. La jeep arrive à destination. Je remercie le chauffeur en quittant le véhicule. Ensuite, je suis docilement mon frère jusqu’au vestiaire où il me redonne mes effets personnels. Je les récupère, souriante. Ensuite je me déleste des baskets et de la combinaison. C’est un peu dommage que se soit déjà terminé. D’ailleurs, à ma montre je constate que ça va être bientôt le temps des aurevoirs pour aujourd’hui. Je soupire de façon triste, les yeux ancrés sur le bout de mes bottines noires. Mon frère m’encourage à le regarder à nouveau en me faisant part d’une idée. Le sourire retrouvé, je lui réponds instantanément _ Ouiiii. Je serais ravie de découvrir ce café en ta compagnie. Mon enthousiasme n’est pas feint. Je désire réellement aller là-bas avec lui pour gratter encore quelques minutes en sa compagnie. Sur ces bons mots, nous regagnons côte à côte le parking ou nous attends la magnifique Porsche rouge. God, j’avais presque oubliée cette petite merveille. Je la rejoins en sautillant. Je suis ravie de pouvoir faire à nouveau une balade à son bord. Je grimpe du côté passager dès que je suis à sa hauteur. _ Tu as beaucoup de voitures de ce genre ? Je lui demande intrigué, en admiration pour ce modèle. _ Où c’est l’unique que tu possèdes ? Il peut ne pas être collectionneur. Moi, je le serais à sa place. La question ne se pose même pas.

@Liam Drake
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyVen 22 Déc - 1:19


Le petit café que j’ai en tête me fait penser à Aubrey. Les murs sont peints de couleurs vibrantes et chaleureuses. Les tables sont différentes les unes des autres, constitués de matériaux recyclés. L’ambiance y est très rustique, mais en même temps moderne avec l’accord des matières brutes et des surfaces d’acier brossé assez industrielles. C’est un petit coin vraiment unique qui expose quelques toiles d’artistes locaux même. J’ai l’intuition que cela va lui plaire. Je ne suis donc pas surpris par sa réponse. Je nous conduis jusqu’à ma voiture qui fascine toujours autant ma sœur. Elle se questionne d’ailleurs sur le nombre de mes acquisitions. Je lui souris tout en démarrant le moteur. Le ronronnement familier de la Porsche est désormais notre bruit de fond alors que je nous fais avancer. « Des décapotables, je n’en ai qu’une. Mais des voitures, j’en ai deux autres : Une Cadillac CTS-V Carbon Black et le dernier modèle de la Range Rover fraîchement arrivée à mon garage qui n’a même pas encore roulé. Sauf que je songe à acheter un autre modèle sport. Peut-être une Corvette de style moderne, tu en penses quoi ? » Je lui demande pour me faire une idée de ses connaissances automobiles. Qu’elle soit une néophyte ou une experte ne change rien aux étoiles qui brillent dans son regard alors que je rejoins une fois de plus l’autoroute pour nous ramener à Wellington. Je nous fais cette fois emprunter une sortie avant celle que j’aurais prise normalement. La raison : les paysages. Il n’y a rien de mieux que de pouvoir observer les paysages à bord d’une décapotable. La route que j’emprunte nous amène donc sur le bord de l’eau. Des plages occupées et des monticules de roc se dévoilent autour de nous. La route nous conduit ensuite vers de grands espaces paisibles alors que nous regagnons le centre du territoire. Le vert est omniprésent en cette période de l’année. Je me permets d’aller un peu moins vite pour qu’Aubrey ait le temps de distinguer le plus de détails et de couleurs possibles. Nous atteignons ensuite les premiers quartiers de Wellington. Des rangées de maisons similaires et différentes à la fois. Les différences sont parfois prononcées, d’autres fois plus discrètes. Parcourir ainsi les rues étroites est agréable car le soleil nous réchauffe le dos et le vent nous caresse à peine. Je nous amène enfin vers les rues plus passantes, revenant progressivement à la cohue typique des grandes villes. Une fois arrivée au café, je nous stationne en parallèle en me guidant à l’aide des miroirs et de mes yeux plutôt qu’en laissant le véhicule le faire tout seul avec l’assistance intelligente. Je suis de la vieille école. J’aime évaluer moi-même mes distances. Je me tourne vers ma sœur après avoir retiré la clé du contact. Je garde mes lunettes de soleil sur mon nez alors que je traverse la rue et que j’ouvre la porte de l’établissement pour Aubrey. Je la laisse explorer un peu le charme de l’endroit des yeux alors que je m’approche du comptoir. Je commande un café aux grains très amers avant de demander à inclure la commande de ma sœur à ma facture. Je migre au second comptoir pour régler le paiement et recevoir mon gobelet. « La terrasse ? » Je propose à l’anglaise alors que je porte le café à mes lèvres et pour en prendre une première gorgée. Je lui laisse le choix de la table. Je conserve ainsi mes lunettes de soleil, ce qui me permet de passer inaperçu aux yeux de certains fans de boxe qui sont plus nombreux qu’on peut le pense. Assis au soleil, je porte mon dos bien contre le fond de la chaise, faisant en sorte que je suis très confortable. Je soupire doucement en voyant au loin ma Porsche. « Tu aimerais avoir une voiture comme la mienne, dis-moi ? Ce n’est pas si dispendieux que cela, je t’assure. Et puis, c’est idéal pour remonter l’égo. » Je dis sur un ton d’abord neutre et maîtrisé. Je bois même une gorgée de café, toujours avec la même attitude. Je finis toutefois par craquer en voyant la tête de ma sœur et je ris longtemps.
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyVen 22 Déc - 12:03


Je dégaine mon téléphone de mon sac à main. Je cherche sur l’application internet les modèles que me cite mon frère. En faite, je suis une fan de voiture mais je n’y connais absolument rien en dehors du fait qu’elles soient jolies. Du coup le web est mon ami. La première que je découvre, la cadillac, m’impressionne complètement. _ Wow la classe. Tu l’as en blanc ? Si oui elle est vraiment magnifique cette voiture. Même plus qu’en noir. Enfin ta peut-être la noire cela dit. Je n’imagine même pas le confort à l’intérieur. Ça doit être largement au dessus de ma mini voir même de la Porsche. Je conserve la page pour me renseigner dessus ultérieurement. Dans l’immédiat il me reste un second véhicule à découvrir : la dernière sortie de Range Rover. Je siffle admirative en voyant cette beauté. _ Tu aimes les grosses voitures à ce que je vois. Je souligne amusée. Quand soudain, je me rappelle d’une connerie que disait une fille au lycée à Londres : que les mecs compensaient la taille de leur sexe par celle de leur voiture. Hum. C’est gênant cette idée. Surtout que je suis certaine que mon frère n’a pas de problème à ce niveau là. Enfin. Non. Je ne veux pas savoir du tout ça. Ça fait partie des choses pour lesquels je suis d’accord qu’il garde son jardin secret. Je préfère immédiatement cherchée la dernière marque qu’il m’a citée pour un futur achat. Une corvette. Comme il en veut une moderne, je précise 2018 sur google. Fuck. Elles sont somptueuses. J’ai les yeux d’une enfant devant un immense sapin de noël tout illuminé devant tant de beauté. _ Je pense que tu ne devrais pas hésité du tout. Je réponds enjouée. _ Ils proposent de véritables petits bijoux. Bon j’ai aucune idée de ce qu’elles valent niveau technique, ou si elles surpassent celles que tu possède ou pas, mais je sais que c’est un excellent choix. Je le regarde subitement. J’ai quelque chose à lui demander tout d’un coup. _ Oooooh. Je pourrais t’accompagner lors de l’achat dis-moi ? J’aimerais trop voir comment il négocie, s’il négocie. Car oui il se peut qu’il n’en est pas besoin vu sa notoriété. Dire que je trouve ça complètement dingue d’avoir un frère célèbre. C’est presque incroyable. Certains pourraient croire que je débarque dans sa vie aujourd’hui parce que j’espère profiter de sa colossale fortune. Mais ce n’est pas du tout dans mes intentions. Je suis véritablement là pour la personne qu’il l’est. Il est là le cœur de mon plaisir actuellement. Partager avec mon grand-frère une même passion pour les belles voitures. J’aime d’ailleurs comme à l’allée le trajet sur l’autoroute. Je pense que je ne me lasserai jamais de cette sensation formidable que me procure une telle voiture en mouvement. Même à une vitesse plus basse. Je range mon téléphone pour profiter des paysages pleinement. Je m’appuie sur mon avant bras sur la portière pour les contempler avec admiration. _ C’est vraiment super jolie la Nouvelle Zélande. Je déclare le regard perdu sur une plage que l’on longe. _ Quand j’ai quitté l’Angleterre pour venir ici, j’avais peur de le regretter, mais finalement je suis contente de découvrir que je peux être encore totalement émerveillée après douze ans. Fuck. Douze ans. Ce que le temps s’écoule vite. Après plusieurs kilomètres de panorama fabuleux, la Porsche rejoins la ville et son agitation. J’observe souriante les gens qui s’attardent sur le véhicule. C’est génial la fierté que ça procure d’être au cœur de ce petit bolide. Ça me permet de comprendre pourquoi mon frère à choisit un métier le mettant en avant. C’est galvanisant. Enfin je pense. Nous arrivons à destination. Comme précédemment, je quitte le véhicule comme mon frère pour le suivre jusqu’au café sur le trottoir d’en face. Il pousse la porte. J’entre en le remerciant d’un hochement de tête. Waouh. La décoration est vraiment atypique, fantastique. On dirait presque un atelier d’artiste où s’entrepose des milliers d’œuvres d’arts. Il y a des toiles inconnues. Et les tables, god. Elles sont similaires à des sculptures à mes yeux tant elles sont le reflet d’une inspiration différente, unique. Je cesse de les contempler quand la fille au comptoir m’interpelle. Je m’excuse de mes divagations avec amusement, puis commande un thé glacé frappé à l’hibiscus. Elle m’invite à le récupérer au second comptoir où mon frère se trouve, son café à la main. Il suggère la terrasse. Je trouve que c’est une bonne idée. J’accepte. Lorsque nous y sommes, je choisis une table où je prends place aussitôt. Je dépose mon thé sur celle-ci. Je ne suis pas pressée de le boire. Je préfère plutôt admirer la Porsche qui nous fait face. Ça ne manque pas à l’attention de mon frère. Il me demande si j’aimerais en avoir une aussi. Bien sûr ! Seulement, je ne pense pas que nous ayons la même définition du mot dispendieux. Je le regarde d’ailleurs d’une façon un peu bête, comme si mon cerveau avait figé suite à sa remarque. _ Euh… j’en doute grand-frère. J’annonce au retour à la normale. Autant être honnête. _ Je dis pas si j’avais ouvert mon propre cabinet de médecine générale, ou si j’avais poursuivis mes études pour travailler avec Marty à l’hôpital, j’aurais largement pu me faire plaisir. Mais là, avec mon travail d’ouvreuse au cinéma, et mes études d’Arts, je crois que ma Mini Cooper S est le meilleur investissement. De plus faut savoir que j’ai deux gros chiens et un meilleur ami qui ne conduit pas. Va caser tout ce beau monde là-dedans pour les vaccins chez le vétérinaire. Ça ne marcherait pas. _ Non. Ça fait partie des choses qui me sont inaccessibles. Peut-être si un jour je suis reconnue pour mes créations. Qui sait. Je soupire. Ce n’est pas demain la veille.

@Liam Drake
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptySam 23 Déc - 2:37


J’acquiesce pour lui indiquer que la couleur de ma Cadillac est belle et bien blanche. Le manteau blanc est toujours le plus prestigieux pour une voiture. Il est plaisant à l’œil, donne beaucoup de prestance aux courbes du véhicule. Le seul défaut est que la saleté est constamment visible sur un modèle de peinture blanche. Par chance que j’adore laver les voitures sinon je pense que je pourrais aller jusqu’à me débarrasser de la Cadillac à cause de cela. Aubrey va vérifier à même son téléphone chaque modèle dont je lui parle et j’aime bien cette initiative. Ça montre que sa l’intéresse et qu’elle veut voir de quoi je fais référence pour me témoigner de son appréciation ou non de tout ce qui est discuté. À son commentaire sur ma préférence pour les voitures de grand format, j’éclate de rire. « Elles ne sont pas si grosses que ça. Le Range peut-être, mais pas les autres. » Je lui précise en secouant la tête d’un côté puis de l’autre, le sourire aux lèvres. Aubrey approuve mon choix d’une Corvette moderne comme prochain achat et je la regarde alors qu’elle aimerait être présente lors de l’achat. « Bien sûr, juste que ce n’est pas très palpitant comme ça se passe entre les quatre murs du petit bureau d’un vendeur. Viens plutôt à la réception de la voiture, ça s’est excitant. » Je précise en nous conduisant à travers les paysages de la Nouvelle-Zélande. J’apprends qu’elle réside au pays depuis douze ans. Je ne pensais pas que ça faisait si longtemps. J’avais donc raison de soupçonner qu’elle n’habitait plus avec sa mère au moment où j’ai eu l’opportunité de la retrouver. Je nous conduis jusqu’au café où je laisse ma sœur admirer le décor comme j’espérais qu’elle allait le faire. Je propose ensuite de nous installer sur la terrasse qu’offre l’établissement afin de profiter du soleil. Il est bon de rester sous sa chaleur, je trouve. Voyant qu’elle a toujours autant d’admiration pour la Porsche, je tente de la convaincre de s’en procurer une si le cœur lui en dit. Son expression me fait sourire. Sa réponse me donne énormément d’informations sur sa vie. Un, elle a étudié en médecine, mais a finit par laisser tomber contrairement à son ami Marty. Deux, elle est employée d’un cinéma. Trois, elle étudie désormais en arts, ce qui correspond très bien à l’impression d’artiste qu’elle me donnait. Quatre, elle a une Mini Cooper S, ce qui n’est pas non plus un déshonneur. Cinq, elle a deux gros chiens. Ça explique les quelques poils blonds que j’ai remarqué sur son pantalon et ses bottines tout à l’heure. Six, elle rêve d’être reconnue pour ses créations. Pour ça, je peux aider. « Et bien, je peux t’acheter une œuvre déjà si tu me montres ce que tu fais. Il y aura toujours une place dans ma villa pour une toile ou tout ce que tu auras envie de faire pour moi. Et non, je ne veux pas de cadeau. Je vais payer pour tes efforts et ton talent, comme il se doit. » Je lui affirme en étant très sérieux sur le fait que je ne souhaite pas de traitement de faveur. Si ça peut lui donner un coup de pouce financier du même coup, c’est gagnant/gagnant. Je reviens sur le sujet des voitures. « Mais ce que je veux dire, c’est que si tu as envie un jour de te payer un petit luxe, tu sais que je suis disponible pour te conseiller sur le modèle idéal. S’offrir une voiture est un cadeau comme un autre. Je t’assure. » J’insiste en voyant qu’elle ne sera peut-être pas du même avis à ce sujet. Je bois une nouvelle gorgée de café. Je viens ensuite déposer le gobelet sur la table. « Sinon, est-ce qu’il y a quelque chose que tu savoir sur moi ? J’en apprends beaucoup sur toi, mais j’ai le sentiment que ce n’est pas très équitable. Du coup, tu as l’autorisation de me poser absolument toutes les questions qui te passe par la tête, tu sais. Je ne vais pas m’offusquer parce que tu cherches à me connaître. »
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyLun 1 Jan - 22:08


Mon frère éclate de rire à ma remarque sur la taille de ces voitures. J’en fais de même spontanément. Ma remarque était un peu stupide mais elle ne l’a pas vexé. En faite je ne sais même pas s’il l’a réellement comprise. Enfin, s’il a assimilé cette idée que certaines personnes se font au sujet du rapport de la taille d’une voiture d’un homme par rapport à celle de son sexe. J’imagine que oui vu qu’il en a rit. Mais bref peu importe. Mon frère me dit qu’en dehors de la Range elles ne sont pas toutes si grosses que ça. Je le crois. D’ailleurs sa Porsche est à une taille que je dirais normal. Quant à la corvette à venir, elle sera tout autant de la même dimension je présume. Ce que tu peux te perdre dans des détails futiles quand même. Je confirme. Je recentre immédiatement ma concentration sur l’objet de ma soudaine demande qui reçoit une réponse a laquelle je ne m’attendais pas. Mon frère n’a rien contre le fait que je sois présente à l’arrivée de nouvelle venue dans sa collection automobile, mais préfère plutôt que je vienne à sa réception bien plus excitante. Je suis d’accord. Je n’avais pas vu ça sous cet angle mais oui. Il a raison. Une transaction dans un bureau ça n’a rien de palpitant en face d’une petite balade dans cette beauté. J’accepte donc avec joie cette suggestion. _ Je serais là à la réception alors. J’ai déjà hâte d’y être. En faite de manière générale j’ai déjà hâte d’être à toutes les activités que peut me proposer mon frère. C’est la même chose pour le café dont il m’a parlé à l’aéroport. Je suis impatiente de le découvrir. Je patiente donc en admirant les paysages que nous offre le trajet en bavardant. J’en dévoile un peu spontanément sur moi. J’aime bien l’idée de permettre à mon frère d’en apprendre davantage sur moi sans avoir à poser des questions. Je suppose que je fais bien vu qu’il ne me fait aucun reproche à cela. Arrivés au café, nous prenons place à la terrasse avec nos boissons. Je dépose la mienne sur la table pour admirer la jolie Porsche stationnée juste en face. Mon frère me demande si j’aimerais en avoir une comme celle-ci. C’est évident. Seulement contrairement à ce qu’il m’affirme, ce n’est pas un luxe que je peux me permettre dans l’immédiat. Je n’ai pas un travail qui rapporte assez – la faute à mon choix d’être une artiste à la place d’un médecin – et j’ai deux chiens plus un meilleur ami à transporter à l’occasion de visite chez le vétérinaire. Non vraiment. Même avec de l’argent de côté, la mini que je possède reste ma meilleure option. Elle est un peu petite mais les deux grosses boules de poils sont habituées à s’y serrer. (Rires) Je suppose à haute voix que lorsque mon talent sera reconnu je me ferais ce plaisir. Ce qui ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Mon frère me propose de m’acheter une de mes œuvres qu’il exposera dans sa villa. J’écarquille les yeux aussitôt. _ Tu es sérieux ?! Il ne veut même pas que je lui offre ce que je peux faire pour lui ! Je tomberais presque de ma chaise tant j’imaginais pas qu’il me ferait une telle offre. Surtout que c’est con dit comme ça mais je n’ai jamais donnée de valeur à aucune de mes œuvres ! Je ne saurais même pas quel somme mettre à une toile ou qu’importe la création ! _ Euh… je bredouille encore interdite. _ Tu sais je… j’ai jamais vraiment songé à me faire de l’argent sur mes créations. Je les donne toujours. C’est la première fois que quelqu’un parle de me payer pour mon talent et… ça me touche. Vraiment. Je suis sincère. Qu’il veuille faire ça pour moi me fait vraiment plaisir. Je pourrais me lever pour le serrer dans mes bras mais je n’en fais rien. Je l’écoute plutôt me dire qu’il sera là pour me conseiller si un jour je veux m’offrir une belle voiture. Je lui sourie de toutes mes dents. _ Je ne manquerai pas de faire appel à toi ce jour là grand-frère. Je lui affirme avec détermination. Je ne laisserais pas cette opportunité passée. Je n’en laisserais aucune passée. Je prends mon verre de thé pour en boire une gorgée. Mon frère me demande s’il y a quelque-chose que j’aimerais savoir sur lui. Il fait part d’une certaine inégalité sur le processus de ce découvrir. Ce qui n’est pas faux. Depuis qu’on se parle je ne sais pas vraiment grand-chose de lui en dehors du fait qu’il est un passionné de sports extrêmes, qu’il est boxeur, et qu’il aime une belle blonde qui s’appelle Lexie. Je décide donc de saisir son invitation à lui poser des questions sans hésiter. Seulement je n’ai pas envie de lui poser un milliard de questions à la suite. J’ai envie qu’il se confie à moi spontanément. Qu’il me dise ce qu’il a envie que je sache. Je lui réponds donc souriante, doucement. _ Je vais peut-être t’étonner mais je n’ai pas de questions précises. En faite j’ai envie que tu me dises ce que tu as envie de me dire. Que l’on ne se limite pas à une série de questions. Que tu me parles comme tu as envie de me parler de toi. Ça peut-être sur n’importe quel sujet. Tout ce que tu pourras m’apprendre sur toi me fera plaisir même le détail le plus insignifiant aux yeux des autres.

@Liam Drake
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyMar 2 Jan - 3:53


J’observe ma sœur quelques secondes. Je hoche la tête pour confirmer que je suis bel et bien sérieux avec l’idée de lui acheter de ses œuvres. Je trouve même que c’est exactement ce qui me manque à la villa. Alors, pourquoi pas du même coup encourager Aubrey. Cela la rend toutefois un peu confuse et je comprends pourquoi alors qu’elle m’avoue que jusque là elle n’a jamais songé à vendre de ses créations. Ce ne sont en effet pas tous les artistes qui cherchent à faire un commerce de leurs œuvres. Par contre, je trouve cela dommage que ma sœur ne puisse pas recevoir de récompense monétaire en plus d’encouragements et de compliments des gens qui reçoivent ses créations. Chaque chose à de la valeur, surtout ce qui est fait avec talent et cœur. Je souris donc à Aubrey. « Je ne vois pas où est le mal de vendre quelques unes de tes créations si l’argent ainsi obtenu te permet d’en faire d’autres. Comme chaque œuvre est unique, forcément elles peuvent autant avec une valeur monétaire que sentimentale. Je veux dire, l’art est une forme d’expression. Tu as transmis des émotions, des idées, des croyances mêmes à travers tes créations. Les gens peuvent ressentir à coup sur ce que tu as cherché à transmettre. Moi je payerai pour ce genre d’œuvre unique. » Je lui propose ensuite de la conseiller pour ses prochains achats automobiles et cela lui provoque un tel sourire qu’il est contagieux. Je lui souris également et mon regard brille aussi derrière mes lunettes fumées. Cela va me faire plaisir de lui rendre ainsi service avec mon expertise. Ça fait partie de ce qu’est pour moi la définition d’un grand-frère. Il se montre présent, certes. Mais il est surtout capable de transmettre des choses à sa sœur comme il le ferait à sa fille. Le grand-frère à des connaissances qu’il partage pour aider sa sœur, rien de moins. Puisque mes connaissances en boxe ne peuvent pas vraiment lui être très utile, autant profiter de l’encyclopédie des véhicules et de la mécanique que renferme mon crâne. Je suis content que cela lui plaise. Comme le silence retombe entre nous, je lui propose de me poser la moindre question qui pourrait résider dans son esprit et qu’elle est peut-être trop gênée pour me demander. Je l’intimide peut-être encore un peu. Je souhaite donc lui enlever cette impression si elle demeure. Elle décide alors de me donner carte blanche. Elle veut évidemment tout savoir. Comme je ne peux pas vraisemblablement tout lui dire puisque c’est impossible malgré ma mémoire phénoménale, je décide de faire un tri et de tenter de couvrir le plus de sujets significatifs possibles avec le temps à disposition. Je vais commencer ainsi et le reste elle pourra le découvrir avec le temps. « D’accord, alors, je vais tenter de ne pas passer trop du coq à l’âne même si forcément ça risque d’arriver pour tout couvrir. Déjà, je suis le fils unique de Jack notre père et de Lizzie qui était ma mère. Elle est morte il y a six ans d’une maladie d’Alzheimer précoce. La maladie est apparue alors que j’avais cinq ans. À cause de ça notre père est devenu distant et je restais avec ma mère par obligation. Disons que je n’ai pas eu une belle enfance et adolescence à cause de cela mais on ne peut rien y changer. Il ne faut pas que tu t’inquiètes pour cela, ça m’a rendu plus fort. Ado, je voulais être militaire, comme Jack. Je cherchais à le rendre fier de moi. Je me suis donc enrôlé à dix-huit ans. J’étais un soldat d’infanterie. De la chair à canon, si l’on veut, même si je n’ai jamais quitté les États-Unis pour aller en mission. Je suis resté en service jusqu’à mes vingt-et-un ans. Ça ne me correspondait pas au final donc j’ai choisis de faire autre chose de ma vie. Ensuite, j’ai tenté des petits boulots à gauche et à droite avant d’hériter d’un club de boxe par un ami. C’est là que j’ai commencé à pratiquer et que j’ai été coaché par d’anciens champions. J’ai fais la connaissance d’un bon ami à moi, Jeffrey. Il m’a fait rencontrer son père, Roy. Il a été mon premier entraîneur et ce jusqu’à très récemment. Il est décédé au début du mois. Je ne voulais pas vraiment parler de ça, mais bon, tu as le droit de savoir. » Je baisse les yeux un moment avant de reprendre sur moi et de poursuivre. « J’ai rejoins les pros grâce à eux. Je suis resté un moment à LA pour me faire un nom et une réputation avant de commencer à parcourir le monde pour boxer. Chaque endroit amenait son lot de défis et c’était tellement stimulant. Depuis que je suis en Nouvelle-Zélande toutefois je me sens un peu comme chez moi. Je ne ressens plus de besoin de changer de pays. Du coup, je pense rester. C’est à voir. Je ne suis pas quelqu’un qui me projette dans l’avenir et qui se fait des plans donc je laisse cela entre les mains de Dieu. » Je ris à cette dernière mention. « Je suis croyant, pratiquant à l’occasion oui, mais par respect pour ma mère. Sinon, je suis un as de la cuisine, ce qui en général surprend les gens. C’est que je dois me soumettre à des diètes très strictes avant les matchs et du coup je me suis mis à tout cuisiner de A à Z pour être certain que le pain que je mangeais par exemple contenait vraiment la bonne quantité de nutriments et de calories, etc. Sinon, le truc le plus bizarre sur moi est probablement le fait que je possède un rapport médical de nombreux spécialistes qui ont évalués mon intelligence étant enfant car notre père craignait que je sois… comme ma mère, j’imagine. J’ai encore les résultats de ce rapport d’une cinquantaine de pages qui atteste que j’ai une intelligence proche de celle d’un génie. Je ne trouve pas que je sois si extraordinaire que ça. Disons qu’il ne faut pas que tu me demandes de mémoriser une longue séquence de nombres parce que si dans dix ans tu me dis de te la répéter tu serais surprise de constater que je vais y parvenir sans même y réfléchir. Le parachutisme, tu connais déjà. Donc, voilà. Je pense avoir fait le tour. »
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyMar 2 Jan - 19:02


Mon frère a une vision de mes œuvres passionnantes. Il les décrit comme jamais personne ne les a décrite avant. Les cernant même mieux que je ne les cerne moi-même. Et il a raison sur toute la ligne. Chacune de mes créations transmet une émotion, une idée. Elles ont une valeur unique. Jusqu’à maintenant je n’y voyais qu’une valeur sentimentale mais il est vrai que si elles peuvent m’aider à me payer mon matériel pour d’autres à venir, je ne cracherais pas sur l’argent. J’accepte donc son offre d’un immense sourire sincère. _ Je serais ravie de te vendre autant de mes créations qu’il te plaira d’acquérir. Tu n’auras qu’à passer à l’appartement et nous en rediscuterons plus sérieusement. Je ne veux pas qu’il achète à partir d’une photo sur instagram. Je veux qu’il puisse les admirer réellement sur tous leurs angles pour avoir un véritable coup de cœur. En espérant qu’il en ait un. Il se peut aussi qu’il n’aime pas du tout. Enfin nous verrons. Pour le moment mon frère me propose d’apprendre à le connaître et je trouve ce sujet plus intéressant. Toutefois je ne veux pas lui poser une série de questions bêtement. Je veux qu’il me parle de lui comme il le désire. Je lui offre l’opportunité de le faire immédiatement. Mon frère ne refuse pas. Il me signifie même qu’il va tenté de ne pas trop passer du coq à l’âne pour que je suis bien le découvrir. J’hoche affirmativement du visage, large sourire aux lèvres. Il commence par me parler de notre père, Jack. Il est son fils unique. Cela fait plaisir de découvrir que nous n’avons pas d’autres frères et sœurs inconnus. Sa maman s’appelait Lizzie. Elle morte il y a six ans d’une Alzheimer précoce. Je grimace légèrement par compassion pour lui. Surtout lorsque j’entends qu’il s’est occupé seul de sa maman pendant que Jack se montrait distant. Il m’avoue qu’il n’a pas eu une enfance ni une adolescence toute rose à cause de ça et que l’on ne peut rien y changer. C’est malheureusement exact. Il poursuit en me demandant de ne pas m’inquiéter pour ça parce que c’est ce qui fait sa force aujourd’hui. J’accepte d’un nouveau hochement de tête. Je découvre qu’à l’adolescence il a voulu devenir militaire comme notre géniteur. Or, ce n’était que dans le but de le rendre fier. Je ne connais que trop bien ce sentiment avec maman. Il a finit par quitté l’infanterie à l’âge de vingt et un ans. Je note que nous avons un point commun. Nous ne savons pas nous forcer très longtemps à devenir ce que nous ne sommes pas. Il s’est même cherché professionnellement, comme je me cherche encore un peu. Il a cumulé des petits boulot avant de d’hériter de la salle de boxe d’un ami. Ça fait partie de ces petites informations qu’on peut trouver quand on s’intéresse à sa carrière. J’apprends toutefois des choses que les utilisateurs du net ne peuvent pas savoir. Qu’il a fait la rencontre de Jeffrey et son père Roy qui est devenu son premier entraîneur. Enfin si je savais que son entraineur s’appelait comme ça mais j’ignorais qu’il était le premier. Je suis curieuse de découvrir qui est celui qui le remplace et pourquoi surtout ? La réponse ne tarde pas. Roy est mort au début de ce mois-ci. Je grimace à nouveau légèrement. Il ne voulait pas m’en parler initialement. Je suis touchée qu’il ait changée d’avis. Je suis sa petite sœur. Je dois savoir tout ce qui le rend heureux, le blesse _ Toutes mes condoléances grand-frère. Je lui souffle alors qu’il marque un tant d’arrêt pour reprendre le contrôle sur sa tristesse. Je ne sais pas ce que ça fait de perdre quelque qu’un. Je ne peux pas comprendre ce que provoque le deuil. J’imagine juste que c’est douloureux et je suis navrée qu’il traverse ça. Mon frère reprend la parole. Il me narre comment il a rejoint les pros grâce à eux, la réputation qu’il s’est faite à L.A, les voyages qui ont suivit et forgés sa carrière. C’est passionnant d’apprendre avec ces propres mots comment la boxe la passionnait au point de rendre chaque escale stimulante. Je sourie alors qu’il déclare avoir trouvée en la Nouvelle-Zélande un chez soi. Ça me rend heureuse car moi je n’ai pas l’intention d’en déménager un jour. Je pourrais dire comme mon frère que je ne sais pas l’avenir, que mon avenir est dans les mains de Dieu, mais je sais qu’il faudrait vraiment une grosse déception pour que je décide de quitter cet endroit. Liam me confie qu’il n’est croyant que par respect pour sa mère. Je trouve ça mignon. Moi je le suis aussi pour maman quelque part. Parce que j’ai grandie avec. Il m’avoue ensuite être un as de cuisine. C’est vrai que c’est insoupçonnable. J’espère un jour avoir l’opportunité de goûter un de ces plats. Le plus surprenant reste son rapport médical attestant son intelligent proche de celle d’un génie. Je ne l’imaginais pas idiot mais je n’aurais jamais prédis qu’il pouvait avoir une telle capacité intellectuel. Je suis ébahie. Je lui sourie alors qu’il pense avoir tout dit. _ Hé bien.. Je dois t’avouer que j’ai toujours imaginée que tu avais eu une vie plus facile que la mienne. Je lui confie aussitôt avec sincérité. _ Finalement je suis la moins à plaindre des deux. Je rie quelque peu. _ Merci de t'être autant ouvert à moi. Je suis fier d'être la soeur d'un homme aussi fort et aussi passionné que toi. Je lui avoue spontanément avec tendresse. Il est vraiment tel que je le rêvais. _ D’ailleurs il faut que je te dise quelque chose. J’annonce tout d’un coup. _ La lettre que tu possèdes est la première d’une longue série de lettres que je t’ai écrite. Je sourie un peu intimidée. _ Un peu plus de 2520 lettres pour être précise. Presque toute ma vie y est écrite. Elles sont à toi si tu les veux. Si tu ne les veux pas ce n’est pas grave je l’ai garderais. Je lui propose comme je me suis toujours promis de le faire. Libre à lui de vouloir les lire ou pas. Je ne lui en voudrais pas.

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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyMer 3 Jan - 3:56


C’est donc entendu, je vais pouvoir acquérir des œuvres de ma sœur dans l’avenir et l’idée m’est très agréable. Je n’aurais qu’à passer à son appartement à l’avenir pour régler les détails et choisir ce que je désire également comme œuvre. Je ne sais pas si Aubrey prend des commandes de clients, par exemple si je lui demande un tableau de telle couleur ou de telle dimension, est-elle en mesure de le faire ? Je ne lui demande pas, jugeant que nous aurons amplement le temps d’en discuter ultérieurement. Nous entrons ensuite dans des révélations sur ma personne. Je n’aime pas parler de moi-même d’ordinaire. Sauf que je suis en présence de ma sœur. Il ne s’agit pas de n’importe qui. Si normalement, le fait que je révèle des choses à mon sujet est une question de confiance, je ne suis pas du tout face à ce genre de dilemme. Nous avons le même sang. Nous avons beaucoup plus en commun qu’elle ne le réalise, j’en suis sûr. Il n’y a donc pas de questions à se poser. Juste des faits à révéler, même si mon passé n’est pas le plus joyeux qui existe. Il pourrait lui apporter des réponses. Voilà pourquoi je cible les éléments importants de mon histoire et de ma personnalité et que je commence à lui narrer ce long récit. Du moins, cela me semble long à mesure que les mots s’accumulent. Je me rends à une partie plus difficile alors que j’évoque la mort encore récente de Roy. Aubrey m’offre ses condoléances et je la regarde droit dans les yeux à ce moment là. Les sympathies de ce genre n’ont jamais été agréables à mon oreille mais je n’en fais pas de cas afin de ne pas déroger de mon discours d’origine. Je continue à parler, donc. Je termine avec quelques anecdotes spéciales que les gens ignorent généralement chez moi. Puis, je me tais, croyant avoir couvert tout ce qu’il y avait à couvrir. Je prends une gorgée de mon café. Elle s’imaginait avoir eu une vie plus difficile que la mienne. Je n’ai pas de mal à comprendre pourquoi. Parce que j’avais plus qu’elle à chaque fois. J’avais le père, j’avais l’argent, j’aurais dû avoir la belle vie, quoi. Depuis que je suis adulte ma vie c’est grandement simplifiée, ça c’est certain. Sauf que les séquelles du passé se sont installées comme elles le font en nous tous. Ce sont d’elles qu’on est forgé et qu’on devient vraiment qui nous sommes. C’est à nous ensuite à juger si cette identité nous convient ou si on souhaite la modifier. J’apprends ensuite que ma sœur n’a jamais cessé de m’écrire. Qu’elle garde envers elle chacune de ses lettres qui sont en quelque sorte un journal intime qu’elle me dédiait. Je n’ai pas besoin qu’elle m’explique pourquoi elle ne les a jamais postées. « C’est parce que tu n’as pas eu de réponse de ma part à la première que tu as gardé chacune des lettres suivantes, c’est ça ? » Je la regarde dans les yeux, voyant que ce temps qu’elle a passé à m’écrire, elle aurait aimé plutôt le passer en ma compagnie. Chaque lettre n’a jamais trouvé son lecteur. C’est un peu dommage. « Et bien oui, je serais heureux de toutes les avoir. Par contre, les mots que tu as écris pour te décrire, il va falloir que tu me les répètes en personne au cours de nos rencontres futurs puisque je ne suis pas assez patient pour rattraper vingt-et-un ans de correspondance dans une soirée. Mais je vais les lire dès que je vais avoir plus de temps. C’est promis. » Je lui assure d’un grand sourire. Je finis ensuite mon café. « D’ailleurs, ça me fait penser. » Je me lève pour aller emprunter un papier et un crayon au caissier. J’aurais pu lui donner toutes ces informations par message texte ou de vive voix, mais Aubrey accorde plus de valeur au papier. Je lui donne l’adresse de ma villa, mon numéro de téléphone résidentielle ainsi que le privé et je lui offre même mon email en cas de besoin. Je lui donne le papier et je me saisis de mon téléphone portable afin d’entrer dans mes contacts son propre numéro. Pour les autres informations qu’elle me transmet, dont l’adresse de son appartement de West Bay, j’enregistre tout dans ma mémoire qui ne les oubliera pas. « Tu peux passer quand tu veux chez moi. Peut-être un soir prochain on pourrait se faire un petit souper. Marty est le bienvenu également. » Je lui dis tout en me levant. Il est temps que je la ramène à sa voiture toujours stationnée à mon gym.
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyMer 3 Jan - 22:22


Mon frère ne semble pas plus choqué que ça de savoir que je possède plus de 2500 lettres pour lui. Ça me soulage. Je n’aurais pas aimé qu’il trouve ça effrayant ou même très bizarre. J’apprécie donc qu’il cherche à savoir plutôt pourquoi je ne les ai pas envoyé que le pourquoi j’ai fais ça. _ Pas vraiment. Je réponds très sincèrement au sujet que ça puisse venir de son absence de réponse. _ En faite maman a toujours été contre l’idée que je te fréquente. Elle disait que tu ne voudrais certainement pas de moi parce qu’on est pas une famille et je dois dire que l’absence de ta réponse l’a convaincu. A tel point qu’elle m’a carrément interdit de t’écrire tout court. On s’est souvent disputés à ce sujet mais tant que je les envoyais pas, ça aller. Si maman savait que je bois un thé en compagnie de mon frère, elle me ferait une crise à coup sûr. (Rires) Mon frère veut bien ce courrier lui étant destinés. C’est une superbe nouvelle pour moi. Non seulement je vais pouvoir arrêter d’en écrire parce que désormais je peux m’adresser réellement à lui, mais je vais pouvoir aussi soulager ma chambre à l’appartement de quatre boites en cartons contenant les 2520 et quelques lettres. Un gain de place considérable pour mes nombreuses collections qui s’entassent dans ce musée du septième art. _ Génial ! Je déclare avec enthousiasme. _ Je te les apporterais chez toi dès que tu le souhaiteras dans ce cas. Je l’informe au passage. _ En ce moment je suis en vacances au niveau de mes études donc j’ai vraiment beaucoup de temps pour moi. Autant dire que je peux vraiment réellement venir quand il sera disponible pour me recevoir. Quant à ces mots qu’il n’a pas la patience de découvrir dans une correspondance à sens unique de vingt et une années, je lui assure avec joie. _ Et ne t’inquiète pas j’ai bien l’intention de satisfaire ta curiosité sur ma personne de vive-voix au cours de nos prochaines conversations. Ça serait dommage qu’on attende qu’il ait finit. Surtout pour moi. Je n’ai pas de patience. Je me saisis de mon thé pour en boire une grande gorgée. Mon frère m’informe qu’il pense à quelque chose soudainement. Je l’observe intriguée tandis qu’il quitte notre table pour aller chercher au caissier un papier et un crayon. _ J’avais ce qu’il faut sur moi grand-frère. Je lui indique avec amusement lorsqu’il revient en tapant brièvement sur mon sac-à-main. Hé oui. Une artiste à toujours de quoi griffonner sur elle. C’est même aussi vital que le téléphone, les clefs, les papiers, ou la petite trousse à maquillage. Mon frère inscrit sur la feuille toutes ces coordonnés. Je sourie de toutes mes dents. Heureusement qu’il y a pensé car j’aurais été bien capable d’oublier moi-même ce détail plus qu’important. Je m’en saisie d’un sourire tandis que j’énonce déjà tout ce qu’il a savoir sur moi : mon adresse, mon numéro de portable, mon email, et aussi mon pseudo instagram. Ça peut paraître con mais ça possède une raison sensée puisque là-dessus il pourra déjà se faire une idée de ce que je fais de manière générale d’un point de vue artistique. Seul mes tableaux n’y sont pas postés en photo. Ça retire tout au charme des toiles je trouve. Ce que je lui précise pour qu’il sache que j’en fais même si j’expose essentiellement à mes followers des dessins de toutes sortes où des photos de moi et Marty. Une fois ceci terminé mon frère m’invite à venir souper un soir prochain en compagnie de mon meilleur ami. Je trouve que c’est une excellente idée. J’accepte avec plaisir sans même y réfléchir une seconde. _ Ça sera avec joie que je viendrais grand-frère. Marty sera d’ailleurs très content de faire ta connaissance également. Pour lui aussi il a une importance capitale. Il sera donc vraiment enchanté de pouvoir discuter avec lui de vive-voix. D’apprendre à le connaître en dehors de mes propres mots le mettant toujours sur un pied d’Estale. _ Je serais aussi ravie de rencontrer Lexie quand tu lui auras fait part de tes sentiments. Je déclare tout d’un coup après avoir terminé mon thé, souriante. Elle aussi elle compte mine de rien. Elle va peut-être devenir de notre famille s’il l’épouse. Tu vas peut-être un peu trop vite là, Aubrey. Sans doute. Je me lève pour rejoindre avec lui sa magnifique voiture. Notre sortie approche à sa fin. Ça m’attriste un peu mais je me console bien vite en sachant que nous ne sommes qu’au premier jour d’une belle série de moment de complicité entre frère et sœur.  

@Liam Drake
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyMer 3 Jan - 23:04


J’observe ma sœur à la suite de sa réponse. Je hoche la tête ensuite. On lui a donc interdit carrément de prendre contact avec moi. C’est dommage, je le reconnais. Sauf que je ne la blâme pas elle ni la femme qui l’a élevé seule sans notre père. « Ta mère a cherché à te protéger. Elle ne voulait pas que je t’abandonne volontairement tout comme Jack, je pense. Au final, nous n’avons pas été en contact pour exactement la même raison. Je ne t’ai pas répondu surtout puisqu’à l’époque je respectais tout ce que notre père me demandait. Et il avait vu ta lettre dans le courrier. C’est lui qui me l’a donnée en personne en insistant fortement pour ne pas que je te réponde car il craignait que ça te stimule à m’écrire encore. Nos parents s’y sont mal prit chacun de leur côté. » Je pouffe de rire. Je n’ai de colère ni envers l’un, ni envers l’autre. Je lui assure ensuite que je veux bien récupérer ses lettres qui me sont destinés et que j’aurais bien aimé recevoir durant nos années séparées. Je hoche donc la tête alors qu’elle m’affirme qu’elle peut aller me donner le tout dès que je le souhaite. Puisqu’elle est en congé d’étude en ce moment, c’est la période idéale. « D’accord, je suis généralement chez moi les soirs, donc tu peux passer demain même. Je devrais être là. » Cela me satisfait qu’elle ne s’oppose pas à ce qu’on discute des choses présentes dans ses lettres de vive-voix. Pour le coup, je pense qu’il va lui falloir mon adresse et mes autres renseignements pour qu’on demeure en contact. Je vais donc me chercher un papier et un crayon avant qu’Aubrey m’informe qu’elle avait le tout sur elle. « Oui, c’est logique. » Je dis en souriant. En effet, elle est très productive niveau écriture et c’est une artiste, donc évidemment qu’elle traîne le nécessaire pour pouvoir griffonner au minimum. Je n’ai pas l’habitude de fréquenter ce genre de personnes au besoin constant de création. Il va donc falloir que j’apprenne des habitudes voir des petites manies de ma sœur à ce sujet. Je lui écris donc le nécessaire sur le bout de papier avant de lui tendre. Elle me partage ses propres informations personnelles en insistant sur son compte instagram. Je hoche la tête pour lui signaler que je vais y faire un tour, peut-être même m’inscrire à instagram pour être capable de la suivre et de commenter ses publications. Ça reste a voir si j’en ai le temps. Je l’invite donc à passer souper un soir, tant qu’à venir à la villa. Elle accepte avec enthousiasme, m’assurant que son ami Marty voudra me rencontrer sans problème. Elle ajoute au moment où je me lève qu’elle sera ravie de rencontrer Lexie lorsque je lui aurais fait part de mes sentiments. Tiens, j’ai une supportrice. Espérons qu’elle a raison de croire que Lexie va aimer entendre de tels aveux de ma part. Je progresse vers la sortie avec ma sœur au moment de lui répondre. « Je vais lui en faire la suggestion le moment venu. De toute façon, je vais te tenir au courant des développements de notre relation. Tu as des privilèges de sœur désormais, ne l’oubli pas. » Je la taquine, sachant qu’elle ne l’oubliera pas. Je reprends ma place derrière le voulant de ma Porsche et je nous amène vers le gym sans avoir besoin de réfléchir à la direction à prendre. Dès que je rejoins le stationnement, je repère aisément sa mini cooper je ne vais m’arrêter juste à côté. J’éteins le moteur et je me tourne vers Aubrey. C’est le moment des aux revoir. « Et bien, je ne m’attendais pas du tout à faire ta connaissance aujourd’hui, mais je dois avouer qu’il était temps. » Je lui souris. « Viens là. » Je l’incite en tendant les bras pour l’accueillir dans une accolade.
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MessageSujet: Re: Same blood in our veins [Aubrey & Liam] (#)   Same blood in our veins [Aubrey & Liam] - Page 2 EmptyJeu 4 Jan - 3:56


Mon frère à raison. Les intentions de maman n’étaient pas mauvaises. Elle voulait simplement m’éviter d’éventuelles déceptions. Seulement je ne peux pas m’empêcher de penser que c’était une erreur. Sachant mon entêtement, j’aurais préféré qu’elle m’encourage à la place. Ainsi elle aurait été aussi la mieux placée pour me réconforter et aujourd’hui nous ne serions pas séparés par des milliers de kilomètres. Enfin qu’importe. Je n’en veux pas à Liam d’avoir obéis à Jack. Loin de là. Je rie même de bon cœur à sa remarque sur le comportement de nos parents nous concernant. _ J’imagine qu’ils ne songeaient pas qu’on puisse avoir naturellement la volonté nécessaire pour tout de même nous faire mutuellement une petite place dans nos vies comme nos cœurs. J’ajoute avec douceur, heureuse qu’ils se soient tout deux trompés sur nos comptes. Je suis heureuse également que mon frère désire avoir ces très nombreuses lettres. Je me propose à lui amener chez lui dès qu’il le voudra. Il me réponds qu’il est très généralement chez lui le soir et que je peux donc passer dès demain. _ C’est parfait. Je lui affirme charmante. _ Je ne travaille pas au cinéma non plus le dimanche donc je passerais demain soir pour te donner les quatre boites en cartons. Je ne sais pas si dit comme ça c’est plus impressionnant que le total exact de lettres, mais ça reste quoiqu’il en soit très impressionnant. Mon frère se lève pour aller chercher de quoi inscrire ces cordonnés. Je lui dis avec amusement à son retour que j’avais tout sur moi pour ce faire. Il m’affirme que c’est logique. Je sourie de bon cœur, contente qu’il partage ce point de vue. Lorsque tout est inscrit sur le papier, il me le tend. Je le prends pour le ranger dans une pochette de mon sac tout en lui donnant toutes mes coordonnés. J’insiste même sur le pseudo instagram pour qu’il puisse déjà avoir un aperçu de mon don en dessin. Il acquiesce souriant. Je sais qu’il y passera. J’ai confiance en lui. S’en suit une invitation à venir souper un soir chez lui avec Marty. J’accepte bien entendu. Mon meilleur ami et moi-même serons ravis de goûter à sa cuisine comme passer du temps en sa compagnie. Je lui signifie d’ailleurs que j’aimerais bien aussi un jour connaître sa fameuse jolie blonde quand il lui aura déclarer sa flamme. Il ne refuse pas. Au contraire, il m’assure qu’il lui en fera la suggestion le moment venu avant de me taquiner sur le fait que mon rôle de sœur me donne droit de connaître l’avancée de leur relation. _ C’est vrai ça. J’avais totalement zappée ce détail. Je dis en riant. _ Je compte donc sur toi pour tout me dire ! Maintenant qu’il s’y est engagé, je ne vais pas le lâcher là-dessus. Je vais absolument vouloir tout savoir sur eux. Enfin. En dehors d’une chambre on s’entend. Je ne veux pas connaître comment il lui fera l’amour. Beurk. Je monte pour la dernière fois aujourd’hui dans la Porsche. Je savoure même le trajet comme on laisserait fondre un morceau de chocolat sur la langue, pour en goûter toute la saveur. Elle va me manquer je crois cette beauté. Le trajet passe vite. Trop vite. Nous sommes rapidement sur le parking de la salle de gym, juste à côté de ma mini. Je m’apprête à ouvrir la portière lorsque mon frère m’adresse la parole. Les mots qu’il me dit me touchent. Moi aussi je pense qu’il était temps et je ne remercierai sans doute jamais assez Marty de m’avoir poussé à venir aujourd’hui. Soudainement, il me tend les bras avec le sourire aux lèvres. Il m’invite à venir dans ses bras. Je ne me fais pas prier. Je m’y glisse pour lui offrir une étreinte pleine de douceur. _ Merci pour tous ces bons moments que tu m’as offert aujourd’hui. Je t’aime grand-frère. Sont les derniers mots que je lui glisse à l’oreille avant de déposer mes lèvres sur sa joue. Ensuite, je quitte sa Porsche pour rejoindre mon véhicule. Chacun reprends sa vie mais pour aujourd’hui et pour toujours elles ne seront plus séparés très longtemps l’une de l’autre.  
Fin

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