Hakuna Matata. Dit-il en pensant que tout irait bien.

Nathanaël Zacharie Dawson

les éléphants sont pas toujours gris... rose, bleu aussi, ça arrive.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ Il parle trois langues : Anglais, Italien & Russe. › Fils unique. Il ne s'en est jamais plein à ses parents, parce que malgré tout il avait sa cousine près de lui. Il la considère comme sa grande sœur. › Depuis tout petit il a toujours vu sa mère « malade » comme disait son père, mais il n'a jamais trop compris ce qu'elle avait jusqu'à son adolescence. › Quand il a surpris une conversation entre ses deux parents mais aussi avec sa tante coter maternelle il a vite compris que ça mère n'était pas si malade que ça, mais qu'elle est toujours née avec ce qu'elle avait un dit syndrome comme ils l’appelaient tous. › Il essayait de ne pas écouter aux portes mais c'était trop dur pour lui son âge, 14 ans, l'âge où l'on veut tout savoir mais aussi tout comprendre comme les grandes personnes. Alors qu'il allait se réfugier chez sa cousine pour passer une petite soirée avec elle, il entendit le mot « schizophrénie » ça lui a fait une peur totale et n'a pas affronté sa mère pendant plusieurs jours. Même à sa cousine il n'en a pas parler sur le coup. › Mais quand il a su ce que c'était exactement la maladie de schizophrénie il s'est rendu compte que tous les moments ou sa mère pétait un plomb ce n'était pas a cause de lui.... › Alors qu'après son baccalauréat professionnel ASSP (accompagnement soins et service à la personne), est partie faire son diplôme d'ambulancier et après son stage au smur il a tellement bien parler avec les infirmières et infirmiers de là-bas et il a décidé d'enchaîner sur trois ans d'études le dedans pour finir par travailler dans le smur de la ville. › Alors qu'il était en cours d'infirmier, il n'a pas été d'accord avec la décision de son père. Son père ne voulait pas faire enfermer sa mère car sa maladie était à un trop grand stade, et il a été contre lui de longues années. De là, Nova était déjà au courant de l'histoire et elle l'a soutenu jusqu'au bout. › Voir sa mère ou même sa cousine souffrir il n'aime pas ça, il ferait des pieds et des mains pour qu'elles aillent mieux. › Il est toujours en conflit avec son père, a cause de sa mère. › Il va souvent voir sa mère dans l'unité ou elle est internée. › Quand il a eu son diplôme d'infirmier il était tellement heureux qu'il a débarqué chez sa cousine pour lui annoncer mais elle n'était pas là. Sa première penser c'était qu'il lui était arriver quelques choses, mais quand il a bien relu leur message il se rappelait qu'elle était partie vagabonder pour son métier. Il était heureux qu'elle fasse ce qu'elle aime. › l a toujours grandi auprès de son meilleur ami Aaron, les deux sont comme des frères. Chaque fois qu'ls se retrouvent sur une intervention ensemble, tout le monde ne les supporte plus. Que ceux soient les collègues d'Aaron ou de Nath. › Il a aussi une petite rouquine dans sa vie, sa meilleure amie, ils ont décidé d'emménager ensemble il y a un petit moment maintenant. Ayant marre de la voir galéré avec son appartement … pourrit, il lui a proposé une colocation assez sympathique et depuis ils s'entendent toujours aussi bien. › Il a toujours eu des cours de chant mais aussi de guitare depuis tout petit. Alors juste pour embêter le monde il se met à chanter sans prévenir mais sinon a joué quand il en l'occasion. › Il a une peur bleue des clowns, alors je ne vous expliquais pas la thérapie qu'il se fait lorsque c'est halloween. › petit con, chieur, mais adorable malgré tout. › Quoiqu'ils soient infirmiers au smur, il aime venir aider ses collègues les jours de « non-sortie » pour essayer de dégorger les urgences quand elles sont trop pleines. › Il a une maladie de peau, le truc pas grave du tout : l'eczéma, mais aussi c'est un très grand sportif. › Il a appris il y a peu que sa mère était atteinte d'un cancer des os. Pour le moment l'évolution n'est pas grave, mais ça peut l'être sous peut. Il n'en parle pas, pas encore, personne ne le sait dans son entourage. Il est surtout entrain de faire toutes les papiers possibles pour qu'il soit le tuteur de sa mère et non son curateur....

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ Alberto Rosende</pris> nathanaël dawson

l'histoire de ma vie

la vie n'est pas rose tous les jours. des hauts, des bas sont présents.

Plus les jours passent plus j'ai l'impression que les cours sont... affreux. Mon sommeil ne me suit pas, mon appétit non plus vu que je le perds par moment car je dois souvent réviser voir très souvent. Je m'enferme dans ma chambre, coupe le téléphone et je révise. Je révise tellement que par moment je me réveille, la tête coller sur mon bureau avec une feuille de cours encore coller sur le visage. C'est là que je me dis que je dois finir ma nuit dans mon lit, mais qui est très vite foutu surtout avec le bruit que ma mère fait très souvent la nuit... Je ne peux pas lui en vouloir maintenant, je sais très bien pourquoi elle est comme ça et je ne lui en voudrai jamais. Heureusement que ce n'est pas héréditaire, car franchement je ne serais pas du tout dans la merde mais aussi je ne ferais pas les études que je fais maintenant. Sauf qu'aujourd'hui c'est différent, tout est différent, l'ambiance le matin quand je me suis levé était... pesante, mais tout au loin de la journée j'avais le cerveau qui tournait en boucle et qui n'était pas du tout accroché à mes cours ! Heureusement que c'était vendredi et que tout le monde avait décroché même les professeurs. Eux aussi en avait marre de la fin de semaine et ça se sent complètement. J'ai essayé de décrocher le midi mais non, ça n'a pas marché. C'est alors que j'étais en train de rentrée en vélo chez moi que j'ai vu la voiture de ma tante mais aussi une ambulance avec les bleus à allumer présente dans la ruelle. Je soupire doucement, sachant que ma mère a encore fait une crise, puis je viens ranger mon vélo dans le garage. Ses des parles assez fortes qui m'ont interpellé. Je suis monté rapidement à l'étage pour voir ce qui se passe. « Hey ! Qu'est-ce qui se p'sse ici ! Ont vous entend depuis dehors quand même ! » je dis sèchement sans même me rendre compte à qui je parle réellement. J'ai pu voir ma mère assise sur une chaise le regard complètement noir mais qui regarde le sol, un ambulancier à côté d'elle essayer d'avoir le contact verbal et non verbal avec elle et l'autre entre ma tante et mon père pour les « calmés » sauf que ça ne marchait pas. Je laisse tomber mon sac au pied de la porte du salon avant d'entrer à l'intérieur. « T'es pas encours toi ! » me lance froidement mon père. « Tu vois que non, j'ai finis, je te rappelle mes heures ou quoi ? » Je secoue doucement la tête de gauche à droite puis je viens embrasser ma tante, saluer les ambulanciers qui sont présents. Puis je m'approche de ma mère doucement. D'une main calme, je la dépose sur son épaule doucement. Je fais signe à l'ambulancier que ça va aller. Je me mets accroupi face à elle. « Maman, c'est moi Nath... » je dis doucement d'une voix calme, quand elle tourne le visage j'ai mon petit sourire aux lèvres, même si maintenant son regard noir ne me fait plus peur du tout. D'un seul coup quand elle reconnaît mon visage, le sien commence à s'éclaircir doucement. « Mon petit ange ! » me dit-elle en me prenant dans ses bras. « Maman, tu te rappelle des messieurs ? » elle me fait un non de la tête en les regardants. « Mais si, tu sais, c'est ceux qui viennent souvent pour te voir, prendre ta tension, regarder t'es yeux, voir si tu respire normalement, mais aussi voir si tout va bien. » je dis en souriant doucement, j'ai vue qu'elle avait une plaie sur le front. « Ooooh oui mon ange je m'en souviens ! » dit-elle en souriant, c'est alors que je me lève doucement et fait signe aux ambulanciers que c'est bon, ils peuvent s'approcher pour faire leurs constantes. Bien sûr je me recule doucement et quand je vois que l'un accroche plus avec ma mère, je tapote doucement sur l'épaule pour le faire venir doucement avec moi dans la cuisine. Ouais je connais bien le métier. Une fois que j'ai quand même un œil sur ma mère, que mon père et ma tante se tiennent à plus de quatre mètres l'un de l'autre je soupire doucement et le regarde en parlant pas trop fort. « C'est la première fois que tu viens chez moi je paris ? » son regard veut tout dire. « Donne moi ta feuille je vais t'écrire tout se que tu dois savoir sur les antécédents, les hospitalisations et les traitements qu'elle a en cours. Je le fais tout le temps avec tes collègues nouveaux. » alors qu'il me donne sa tablette et son stylo, je le prends de ma main gauche et il remarque mon tatouage léger que j'ai au poignet. « Mais... On se connaît non ? » je hausse doucement des épaules, en le regardant, je continue d'écrire. « Si si je t'es déjà vue quelques parts ! » Je finis rapidement d'écrire tout ses traitements mais surtout de m'écrire moi en personne de confiance. « Possible quand j'ai fais mon stage aux urgences pour ma formation d'ambulancier je l'ai fais en ville. » je dis doucement en souriant un peu, je le regarde légèrement puis je vois que ma mère est toute gentille avec son collègue, ça me rassure. C'est alors que je l'entends dire « Est-ce que dans si dans la mesure des choses, si vous devez venir aux urgences vous nous suivrez ? » « Oui oui ! » dit directement ma mère, mais mon père commence a s'interposer. « Jamais de la vie vous l’emmènerez ! » « Mais arrête bordel ! Elle est tomber sur la tête merde ! » « Je m'en fous elle les suivrez pas ! » Je serre doucement les points en soufflant, je sens ma colère monter rapidement. « STOOOOOP ! » je me mets a hurler un grand coup et ça stop tout le monde. « Stop, stop, stop merde ! Vous m'emmerder tout les deux a vous bouffer la gueule ! Maman part avec les ambulanciers, je vais avec eux que tu le veuilles ou non monsieur le soit-disant commandant de la maison ! » je dit méchamment en le regardant dans les yeux. Ce n'était pas la première fois que j'osais répondre à mon père comme ça, mais jamais devant beaucoup de monde. Il se retient en me regardant dans les yeux. Je ne les baisse pas pour autant. Je vais alors chercher la veste de ma mère, puis son sac à main. Je m'approche doucement d'elle, elle pouvait marcher. Je lui mets sa veste et les aides à la déplacer. Je les accompagne jusqu'à la porte. « Nathanaël ! Reste deux putains de seconde ! » me dit mon père, je leur fais signe que ça va aller. « Quoi ? » je me retourne rapidement et vois ma tante prête a partir pour nous suivre. « Tu n'aura jamais la garde de ta mère ! » Je rigole en le regardant. « Ce n'est pas parce que tu es mon père que tu me connais ! Je l'aurais et quitte a te foutre en justice je le ferais ! Maintenant tu me laisse partir avec m'man, et oui, que tu le veuille ou non je vais tout faire pour qu'elle fasse se petit séjour là ou elle doit vraiment aller. Maintenant, va te calmer ailleurs sa sera plus simple ! » je dis méchamment en refermant la porte derrière moi et ma tante. Je soupire doucement, et avant de monter dans l'ambulance, elle me prend dans ses bras « Mon grand. Je vous suis, et je suis la première à devoir donner mon avis pour ta mère. Ce sera dur et long pour que soit le tuteur mais, tu le seras je te le promets. » me dit-elle pour me rassurer. J'ai un petit sourire aux lèvres en la regardant et la laisse embrasser ma joue. Je monte dans l'ambulance en silence. Je savais que c'était une journée de merde.

Dur est long en effet, après cet épisode catastrophique, Nathanaël et sa tante ont réussi après plusieurs années de combats à se qu'il en soit le curateur au début. Jusqu'à aujourd'hui. Depuis cette nouvelle terrible il est en train de voir pour qu'il soit son tuteur légal maintenant... Oui, ça va être un poids immense sur ses épaules, mais il va l'assumer, pour le moment personne ne le sait. Mais surtout personne ne sait que ça mère a un cancer des os.