et ça fait mal, crois moi, une lame enfoncée loin dans mon âme (liam).

liam callaghan

You and I, we don’t want to be like them. We can make it till the end. Nothing can come between, you and I.

les informations en vrac

t'as de nombreux tatouages répartis sur tes bras et ton torse, trop aux yeux de certains, tu te fiches bien de ce qu'on peut en dire. › d'après ton père, t'es le portrait craché de ta mère. quand t'étais jeune il t'observait et t'avais juste envie de lui demander pourquoi il a quitté ta mère si c'est pour ne voir qu'elle à travers tes yeux. › t'es l'aîné d'une famille de six enfants, issus de trois mères différentes. tandis que ton père à quitter ta mère quelques années après sa naissance. il s'est remarié avec la mère de tes deux premières sœurs ainsi que de ton premier frère, âgés respectivement de vingt, dix-sept et quatorze ans. les deux plus jeunes, ta sœur âgée de dix ans ainsi que ton frère âgé de cinq ans ont une mère différente encore. › tu supportes mal le lactose. tu peux en boire ou en manger, mais dans des quantités assez faibles, sinon c’est des maux de ventre à se plier en deux assurés. › plus sensible qu'il n'y paraît, t'as appris à prendre sur toi quand t'étais plus jeune. › t'aimes pas qu'on te parle de ta situation familiale, tu restes souvent silencieux à ce sujet, évasif quand on te pose des questions. › t'as un accent irlandais très prononcé sur les lèvres. › tu jouais au foot quand t'étais plus jeune, mais t'as rapidement arrêté d'en faire quand t'es entré à la fac. › t'es le genre de mec discret sur ta vie. › fidèle aussi bien en amour qu'en amitié, on peut compter sur toi. › t'as tendance à garder ce que tu ressens pour toi, du coup quand t'en as marre, tu peux devenir agressif. › t'es romantique, tu crois à l'amour et aux belles paroles.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Harry Styles ›</pris> liam callaghan

   

l'histoire de ma vie

I, I CAN'T GET THIS MEMORIES OUT OF MY MIND. AND SOME KIND OF MADNESS IT STARTED TO EVOLVE. I, I TRIED SO HARD TO LET YOU GO. BUT SOME KIND OF MADNESS IS SWALLOWING ME WHOLE.

it could be wrong, could be wrong...

« tu te fous de ma gueule ? » « liam parle autrement. » tu soupires. tu passes une main sur ton visage, dans tes cheveux, à deux doigts de hurler, mais tu ne veux pas alerter tes sœurs et ton frère. « arrête. arrête de vouloir jouer au père parfait. t'es loin de l'être, tu le seras jamais, ok ? alors arrête d'essayer avec moi. ça marche plus, j'ai plus quatre ans. » « ne le prend pas aussi mal liam. » tu ris, nerveusement, un rire que tu ne contrôles pas, qui te prend, comme ça, qui tord tes lèvres quelques secondes avant que tu ne reprennes ton sérieux. « ah et je suis censé le prendre comment papa ? c'est la combientième déjà ? ah oui. troisième femme. et elle est enceinte de ton … attend laisse-moi compter. cinquième gosse. tu vas l'élever comment ? déjà aujourd'hui on est en galère niveau fric, tu comptes rajouter un nouveau né dans l'équation ? mais putain ! c'est toi l'adulte ici, tu connais pas les capotes ?! » des reproches. encore et encore. toujours. tout ce que t'as toujours eu sur le cœur et que t'as jamais dit. ça sort, parce que c'est l'annonce de trop, celle qui te met hors de toi, pour une fois, tu laisses tes sentiments se déchainer dans ton esprit. « depuis toutes ces années je suis de ton côté, je t'aide avec les frangins. je m'en occupe quand tu préfères te tringler des nanas a longueurs de nuit. mais j'en ai marre. je connais déjà tes réponses. oui je compte travailler une fois étudiant, mais si tu penses que je vais te filer du fric pour élever TA famille, va te faire foutre. » tu fermes les yeux un instant, les mains presque tremblantes, puis t'entends que ton père se lève, tu rouvres les yeux, t'as à peine le temps de le voir que ta joue te chauffe. une claque. pour la première fois de ta vie, tu viens de te prendre une claque de la part de ton père. presque par automatisme, tu portes ta main sur ta peau brulante et qui frotte doucement, une légère grimace sur tes lèvres. « tu n'as cas partir habiter autre part dans ce cas-là, tu pourras faire ton égoïste. » ce n'est pas une proposition. c'est un ordre, tu connais assez ton père pour faire la distinction entre les deux. tu fronces les sourcils, tant pis pour les conséquences. « avec plaisir. » tu te lèves et tu te diriges vers ta chambre pour récupérer des fringues que tu fous dans le premier sac que tu trouves, renversant un livre ou deux au passage, sur le moment, tu t'en fiches. tu veux juste te barrer.


« tu peux pas faire attention ? » tu fixes un moment le mec complètement éméché face à toi avant de te retourner vers la jeune femme. anna. tu la connais, un peu, vous avez fréquentés la même petite école et tu le croises de temps à autre quand ton meilleur pote et sa sœur organisent des soirées. tu les cherches du regard un moment, tu repères rapidement sarah complètement défaite dans un coin du salon, quant à alfie … t'as une vague idée de ce qu'il est en train de faire. tu relèves les yeux vers anna, un léger sourire sur les lèvres. « viens, je vais t'aider à nettoyer ça. » un mec complètement bourré qui a renversé son verre sur son haut. sans vraiment lui laisser le choix, tu enroules tes doigts autour de son poignet pour la tirer hors de la foule et monter à l'étage de la maison. la musique s'entend encore, mais c'est déjà beaucoup plus calme. tu retiens un soupir et tu te diriges vers le bureau, la ou tu dors en attendant d'avoir ton appart universitaire. tu tends un de tes t-shirt à anna alors que tu mets le sien dans la machine à laver, avant de revenir dans la pièce. « comment ça, tu as autant de trucs ici ? » t'esquisses un léger sourire et tu passes une main dans tes cheveux. « disons que mon père n'a pas apprécié ce que je lui ai dit dans notre dernière dispute, alors il m'a ordonné de partir. j'habite ici en attendant de partir en appartement pour l'université. » tu tritures une de tes mèches entre tes cheveux, avant de pousser un léger soupir. t'aimes pas particulièrement parler de ta famille. tu sais même pas pourquoi, la honte ? t'en sais rien. sans doute que y'a trop de personnes qui pensent que t'as une vie parfaite alors que c'est totalement faux. tu fermes les yeux un moment, encore une fois tu restes évasif sur ta vie, ton père, ta mère que tu ne saurais reconnaître dans une foule, tes demi-sœurs et ton demi-frère. t'as envie de penser à autre chose, alors tu changes de sujet, tu détournes la discussion, comme souvent, toujours presque. vous riez, d'un peu tout et n'importe quoi, sans doute que l'alcool y est pour quelque chose dans l'histoire, le temps passe et toi tu le vois pas passer, trente minutes, peut être une heure, peut être plus, tu termines par rendre son haut à anna quand celui-ci est sec. tu te sens bien, là, maintenant et t'as pas envie que ce sentiment te quitte. « liam ? » tu souris doucement quand ta petite amie entre dans la pièce, tu penches un peu la tête en arrière quand elle dépose un baiser sur tes lèvres. « tu me raccompagnes ? » tu hoches la tête avant de te redresser légèrement. « j'arrive. » tu termines par te lever et saluer anna, un léger sourire sur les lèvres, tu la prends dans tes bras et t'as plus envie de la lâcher, mais tu t'en détaches finalement pour rejoindre ta petite-amie dehors.


tu soupires et tu pinces légèrement l'arrête de ton nez avec deux doigts, ta main s'égare ensuite dans tes cheveux et tu relèves légèrement les yeux vers sasha, un faible sourire se dessine sur le coin de tes lèvres, presque forcés. depuis la dernière soirée chez sarah elle est devenue insupportable. t'as même plus envie d'écouter ce qu'elle te dit, tu tournes légèrement la tête et ton regard se porte au loin. « putain liam ! écoute-moi ! tu penses encore à l'autre rousse ?! » tu poses ta main droite sur la table, tapotant légèrement le bois sous ta paume. « elle s'appelle anna. » un soupire s'échappe d'entre tes lèvres et tu te redresses légèrement, ton regard pâle qui se pose sur sasha, tu te pinces les lèvres. « tu l'as revue ? » et voilà. t'en étais certain. « j'en ai marre de tes crises de jalousies à deux balles. qu'est-ce que ça peut bien faire ? j'ai pas le droit de vivre ma propre vie ? » tu la fixes, les sourcils légèrement froncé, tu vois son visage changeait ses lèvres se pincent, tu retiens un soupir. « écoute sasha, on a passés des bons moments ensemble. mais je pense que c'est mieux qu'on s'arrête là pour cette histoire. j'ai pas envie de foutre en l'air la relation qu'on a pu avoir. » tu passes une main sur ton visage, frottant légèrement tes paupières fermées. « t'es sérieux liam ? » tu évites son regard, tu ne veux rien y lire, tu ne veux pas distinguer de larmes ou de colère, tu fixes tes mains, les tatouages qui ornent déjà ta peau. « j'suis désolé sasha. » tu te lèves et tu déposes un baiser sur son front avant de t'éloigner, les mains enfoncées dans les poches de ta veste.


ton poing s'abat sur la fine cloison de l'appartement, un sanglot agite tes épaules et tu te laisses finalement tomber sur le sol, ton dos glisse lentement contre le mur et tes mains recouvrent ton visage que tu frottes légèrement. aucune larmes sur tes joues, juste tes prunelles humides, tes lèvres serrées et ton regard vert posé sur ta sœur, qui elle, t'observe, impuissante face à la situation. tu passes ta main dans tes cheveux, triture quelques mèches, les mots se bloquent dans ta gorge. depuis qu'elle est partie. tu ne peux pas, tu n'arrives pas à vivre, à survivre sans anna, tes doigts se resserrent, une main fine se pose sur ton épaule, tu relèves la tête un court instant. « liam tu peux pas rester comme ça. » de nouveau, tu secoues la tête, ton regard fixé sur le vide, un point que tu es le seul à distinguer face à toi. « elle est partie. » tu murmures, doucement, comme si l'admettre serait plus dure encore que de le constater. sans doute. tu ressors ton portable de ta poche, son message, unique et dernier message qui s'affiche, tu soupires, tu tritures l'objet dans tes mains. « part la chercher. » c'est bête. et pourtant. tu soupires. tu ne sais même pas où elle est. tu fermes les yeux un court instant. « liam, t'es complètement dingue d'elle, part la chercher. » « je peux pas vous laisser, je … papa sera incapable de gérer. » tu te cherches des excuses, tu le sais, mais t'as peur, ça te tord les entrailles et ça te donne envie de vomir. « t'en fais pas pour nous. je peux gérer liam, je suis plus une petite fille. mais je m'inquiète pour toi ... t'es complètement détruit depuis que ... » une hésitation dans sa voix, ta sœur sait que ça te fait mal. « depuis qu'elle est partie. » un soupir, un énième, tu as arrêté de compter. t'as aucune idée de l'endroit ou anna à pu partir. ou presque. tu sais que son frère ainé vit en Nouvelle-Zélande et inconsciemment, tu sais que c'est ta prochaine destination.

but it could've been right.
love is our resistance...