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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


elles ont partagé une relation amoureuse il y a quelques années
et aujourd'hui elles sont toujours en contact et sont mêmes devenues confidentes

vous n'avez pas envie d'être seul(e) ? La famille atkins-gallagher recherche les enfants de la fratrie
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 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.)

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MessageSujet: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 12:17



Owen Richardson
think, do and fuck

nom ○ Richardson, tu as mis les pendules à l'heure ! C'est toi qui a réussi à sauver ta famille en te démarquant dans le monde médicale grâce à tes exploits dans ce domaine. Tu as en chié, mais tu as gagné le respect à la sueur de ton front... prénoms ○ Owen, est d'origine gaélique. Si ton papa est un américain jusqu'au bout du... bout,  ta mère est d'origine écossaise. D'ailleurs, il ne passe pas inaperçu par son physique typique aux anciennes contrées galloises. âge ○ 42 ans, tu les comptes maintenant même si tu t'es toujours bien entretenu, tu ressens le poids des années sur ta tronche. lieu de naissance ○ San Francisco, c'est un accident. Tu es né en urgence, suite un carambolage qui a changé toute la vie de ta famille. statut civil ○ remarié, à la base, ce n'est pas le mariage qui t'a intéressé mais ce qui va avec. D'autant plus que tu as surement connu plus de sensation près une piqûre de moustique qu'avec ta femme actuelle. C'est un peu ce qui te donne l'excuse suprême en allant papillonner ailleurs orientation sexuelle ○ Difficile à cacher que tu es hétérosexuel. Les femmes, tu les aimes. Si au départ, tu as bossé comme un dingue pour vivre confortablement avec une famille nombreuse, les événements ont fait que tu as préféré t'amuser plutôt qu'autre chose. La stabilité, c'est chiant. métier/études ○ Cancérologue, tu t'es d'abord préoccupé de la chirurgie réparatrice mais rapidement, l'univers de l'oncologie t'a rattrapé et depuis, tu n'y es jamais sortie. Avec ta belle bouille, tu gagnes facilement la sympathie de tes patients et avec tes compétences, tu gagnes leur respect jusqu'au bout. groupe ○ Fun avatar choisi ○ Eric fucking Dane.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 

( Le Caractère ) ○  
Spoiler:
( San Francisco ) ○
Spoiler:
( L'école ) ○
Spoiler:
( Centres d'intérêt ) ○
Spoiler:
( New-York ) ○
Spoiler:
( L'appartement ) ○
Spoiler:

les indiscrétions sur le joueur

pseudo/prénom ○ Mel. âge ○ 27 ans. pays/région ○ France. présence ○ Je ne suis pas encore dans les murs mais j'espère y être. comment as-tu connu island bay ○ Bazzart  Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 843031823 . scénario ○ @Lorena Caldwell raison de ton inscription ○ éJe suis revenue pour un nouveau bb !  dernier mot d'amour ○ La team rocket s'envole vers d'autres cieux
 
Code:
<pris>○ eric dane</pris> owen richardson




Dernière édition par Owen Richardson le Dim 15 Avr - 15:16, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 12:18



l'histoire de ma vie
petite citation pour faire joli



Intérêt morbibe


Ton histoire commence il y a 42 ans, tu n’es qu’un foetus quand tes parents décident d’aller faire une virée sur le Golden Gates. Va savoir, ton père est fou des ponts, son propre père a participer à l’architecture et aux fondations de beaucoup des ponts existants sur ce côté des Etats-Unis. Tu ne sais pas trop ce qui t’arrive mais tu viens au monde deux mois avant le terme. Un horrible chauffard n’en a fait qu’à sa tête et a percuté la voiture de ton père, de plein fouet. Ta mère est salement amochée mais tu ne penses qu’à pialler, tu ne comprends rien. C’est normal, tu ne sais que faire trois ou quatre pas et on te ballotte de tous les côtés pour savoir si tu es en bonne santé. Ta mère est sous respirateur, ton père se fait opérer et tu te retrouves en couveuse pour un bon mois, tes poumons ont encore besoin d’aide pour fonctionner et tu te choppes la jaunisse. Grande histoire déjà ! Tu en as beaucoup à raconter mais le plus dingue c’est la suite.

Pour une raison complètement obscure, il souffre de grosses migraines. A s’en taper la tête contre les murs. Pendant des mois, il se gave de cacher mais toi, tu ne vois rien, tu préfères jouer avec ton père quand il sourit et de ne pas trop pleurer quand il te rejette. « Il a mal, il ne faut pas lui en vouloir ! » le soutien ta mère. Le jour de ses trente ans, c’est à dire quatre mois depuis l’apparition de ses douleurs crâniennes, ta mère veut faire quelque chose pour fêter ça. Evidemment, elle va rester dans la sobriété, son mari n’est pas du tout en état pour faire la fête. Le petit déjeuner surprise pour rendre cet événement un peu spécial, tu décides avec ta maman de le manger au lit avec ton père. Ravi qu’elle te dise oui et enchanté de faire ça pour ton père souffrant, tu y mets beaucoup du tien et t’aide ta maman a dressé le grand plateau pour pouvoir manger dessus. Tu as cinq ans quand tu arrives dans la chambre heureux comme un pinson dans l’unique but de faire plaisir à ton père mais tu le vois par terre, endormi : « Maman ! Papa dort parterre ? » Depuis ces énormes migraines, tes parents ont fini par faire chambre à part, c’est difficile pour le couple mais ça a été la seule solution au problème. Papa dormait le jour et maman devait dormir la nuit pour aller travailler. Forcément, il faut ramener à manger et te payer l’école qu’ils t’ont choisi et si papa ne travaille plus, qui ramène de l’argent ? Alors que tu t’approches, tu vois ta mère secouer ton père, elle essaie même de le réveiller avec des gifles « Pourquoi tu tapes papa, il dort ! » Tu ne comprends absolument rien à ce qui se passe alors, pendant que maman court prendre le téléphone, tu viens faire un bisous sur sa joue pour atténuer la douleur mais elle froide, beaucoup trop froide pour rester comme ça, sans couverture. Dans la tête de petit garçon, tu penses immédiatement à ce que tes parents font lorsque tu as froid. Donc tu viens poser une couverture du lit pour le border: « Là, tu n’auras plus froid. » En tout cas, une chose est sûr : Quand des médecin sont venus prendre ton père dans un énorme sac noir et qu'ils l'ont enfermé dedans, t'as compris que quelque chose qui clochait. Ta maman a dû te dire que papa dormira pour toujours.

Une méningite fulgurante. Voilà ce qui a emporté ton père dans la nuit du 26 et du 27 Octobre 1981. Il n’a pas pris au sérieux ses maux de tête, il n’a pas vu un médecin et c’est de son propre chef qu’il t’a abandonné, ta petite soeur, ta mère et toi. Tu lui en veux maintenant parce que ta mère pleure en ayant un ventre grand comme un ballon. Et ça fait dix ans maintenant que ça dure. Tu as quinze et ta petite soeur, Vanillys en cinq. T’es un adolescent avec beaucoup de ressource mais tu cherches encore ta voie. T’as envie de faire plein de chose mais tu es bloqué. Ta mère n’est plus l’ombre d’elle-même et ta petite soeur demande la même attention que toi au même âge mais tu te révoltes. Tu en as marre de tout et surtout, tu en veux toujours à ton père de vous avoir abandonné. Rien ne lui change sa manière de pensée et voir ta mère mal au point, te rend fou. Alors tu cumules des petits vandalismes, des vols de bouteille d’alcool pour faire le beau devant tes potes et tu ne cherches même plus à bosser à l’école. Tu sais que ça te desservira plus tard mais c’est plus fort que toi, tu en as limite besoin. Le psy de l’école te sonde, te cherche et te pousse dans tes retranchements. Tu en viens à hurler ta rage lorsque le sujet de ton père vient sur le tapis. Personne ne parle de ton père, tu es le seul à pouvoir nourrir cette haine dévorante et dévastatrice envers lui. Et tu pleures. Tu pleures enfin ton père, son absence et sa connerie : « Ta soeur a besoin d’un modèle, elle te suivra partout où tu iras. N’est-ce pas le rôle du grand frère de lui montrer le bon exemple? » T’as bien compris maintenant qu’il fallait que tu avances. Ça en devient vraiment urgent et il est temps pour toi de choisir ta voie. Alors c’est d’une nonchalance complètement ahurissante qu’il reprend le chemin de l’école, qui habille et coiffe sa petite soeur pour l’école, qui faire cuire des pâtes parce que ta mère est fatiguée. C’est beaucoup mieux que de donner des marshmallow à ta soeur en guise de repas. Tu entres dans une phase ou ta revanche sur ton père et sa maladie prend un nouveau virage. T’as pris tout seul la décision d’étudier la médecine. Rapidement, tu comprends que c’est beaucoup plus dur que tu ne le pensais mais ça ne t’empêche pas de mettre les gaz pour obtenir ce que tu souhaites. Ta revanche.



L'argent inodore

Ta troisième licence se passe en neurologie, tu veux en savoir plus et ta motivation est clairement dû à la méningite fulgurante de ton père. Tout va bien, tu te fais une montagne de fiche, tu les travailles en leur donnant des points supplémentaires de tes lectures superflues, des termes mnémotechniques pour faciliter tout ça et tu avances. Le petit vagabond que tu étais, n’est plus qu’un vilain souvenir que tu veux plus en entendre parler. Alors évidemment, la vie sans femme, pour toi, c’est devenu complètement utopique. C’est comme une vie sans chocolat. Pour toi, tu as gâché ta vie si tu ne gouttes à cette graine de cacao sous toutes ses formes possible. Alors, tu  les gouttes, les unes après les autres. Ce n’est pas de ta faute, le mélange américano-écossais te donne un goût de reviens-y pour ces dames et tu ne vas pas les décevoir en les envoyer se faire paître par quelqu’un d’autre.  Bref, t’es fidèle lorsque tu es en couple mais toi, t’es difficile. Tu te lasses rapidement alors tu romps tout aussi facilement que tu changes de chemise. Ce n’est pas de ta faute, tu aimes sentir leur corps ondulés sous le tien et leur manière d’être en général mais quelques mois te suffisent pour vouloir passer à autre chose.

Deux années passent et tu te rends compte que la neurologie te barbe, tu ne sais pas pourquoi. Peut-être parce que le thème ne te convient pas, ou alors parce que tu veux tout simplement passer à autre chose aussi ? A la suite de ce relâchement, tu passes de justesse cette année charnière où tu demandes une place pour un nouveau cursus. Tes années d’interne se passent super bien et c’est lorsque tu assistes à une opération sur une tumeur au cerveau que tu te dévoiles plutôt bon. Avec un peu plus d’étude à côté, de la bonne volonté, tu pourrais très bien te faire à ce métier. Bien que tout le monde te voyait déjà en train de refaire le monde de la neurologie, tu fais un virage à cent quatre-vingt degrès vers l’oncologie. Fort de tes trois années en neurologie, cela ne t’empêche pas de totalement t’épanouir dans cette nouvelle spécialisation et te donne à la fin, ce diplôme. Celui qui t’ouvre la porte du monde du travail au bout de cinq années de travail acharné. Tu ne t’en rends pas compte tout de suite, mais il se révèle que tu es vraiment chanceux de pouvoir continuer dans le même hôpital où tu y as fait tes premières armes. T’es fière aussi, tout le monde t’a vu évolué, te ramasser et te redresser comme un grand. Tu es même né ici d’ailleurs. En tout cas, les choses se passent particulièrement bien jusqu’à cette femme en service pédiatrie. Belle, blonde et pétillante. Tu en deviens rapidement dingue d’autant plus qu’elle te le rend bien parce qu’elle t’avoue que c’est réciproque. Alors, en secret, tu entames cette relation. Pourquoi ? Parce qu’il est vraiment mal vu de se fréquenter en dehors du travail, l’amour entre collègue conduit parfois à de grosses étincelles et ça n’est pas du tout apprécié par ton boss. Toutefois, c’est trop beau pour être vrai tu as même l’impression que c’est pour de bon. C’est le 2 Janvier 2006 que les choses prennent un tournant radicale. Ingrid tombe enceinte et forcément, ça ne passe plus aussi inaperçu quand tu te fais surprendre à te prendre la tête avec elle. Tu n’arrêtes pas de lui dire que c’est beaucoup trop tôt. Que t’es pas prêt d’être papa alors que cette relation n’est même pas reconnue, même auprès de ta propre famille. Après un an de relation, elle déclare forfait et choisi l’enfant à ta place. Elle a tout simplement demandé d’être mutée ailleurs sans jamais te donner de nouvelle. Meurtris, tu ne deviendras plus aussi sérieux jusqu’à ce mois de septembre 2010.

Tu la vois, elle. Grace Caldwell où la réputation de son nom n’est plus à refaire. Tu sais qu’elle n’y est pas forcément pour quelque chose et que tout repose sur son défunt mari. Ce dernier est pleurée par une veuve éplorée et par sa fille unique. La première nourrit une colère jalousive auprès de l’unique héritière des Caldwell, sa propre fille sous la décision écrite testamentaire de son époux. Tu peux dire que tu en as soupé de ces discours haineux envers cette Lorena et sans même l’avoir rencontré, tu préfères garder pour toi ce que tu penses vraiment. Tu veux tout simplement profiter de cette femme qui t’attire plus que tu ne le pensais au départ.. Tu n’as d’yeux que pour Grace et tu te donnes à fond pour qu’elle en oublie sa tristesse dans ses bras mais également tout ces soucis : tes quelques jours de vacances se passent avec elle. Tu l’emmènes en voyage, tu lui redonnes même goût à la vie car elle sourit. C’est dur, faut bien que tu te l’avoues. Tu n’as jamais connu une femme aussi difficile à contenter et à faire sourire pour le coup. La jalousie qu’elle éprouve pour sa fille est parfois effrayante et la glace peu à peu de l’intérieur. Mais parce qu’elle est complètement différente d’Ingrid et qu’elle te permet de l’oublier aussi, tu te rends compte que tu deviens complètement fou d’elle. Tu aimes les quelques sourires qu’elle t’octroie. Tu aimes lorsqu’elle part dans ses grandes auto-réflexions, à parler toute seule en attendant que le pic de colère passe. C’est pour cela que le 1er Janvier 2011, tu lui demandes sa main. Tu dois encore croire qu’elle cache un coeur d’artichaud dans cette haine et jalousie maladive. En tout cas, tout se passe plutôt bien. Grace accepte tes fiançailles et tu ressens ce bonheur dans ta poitrine lorsqu’elle s’avance dans l'allée pour venir te rejoindre. Le oui est en échos, qui fait un peu rire toute l’assemblée. Ta mère et quelques amis qui te sont cher sont présent et ta soeur derrière, en tant que témoin. Tout va bien, t’es heureux et tu ignores l’air boudeur et renfrogné de la jeune fille qui n’est qu’autre que Lorena en cette grande journée ensoleillée du 21 Mars de la même année.

Ta relation avec elle, est très succincte, tu ne la croises qu’à de rares occasions et la plupart du temps, ce sont des accidents. Tu sors de la salle de bain avec une serviette autour de la taille pour aller te chercher une bière et tu tombes sur la petite fuyarde qui avait fait le mur. Tu l’accueilles d’un petit sourire franc et bourré de sous entendu. Tu ne caches qu’à moitié ton attirance pour la demoiselle en faisant remarquer qu’en vieillissant, la demoiselle s’embellissait. Il garde ça pour lui évidemment, il ne peut pas s’avouer facilement qu’il fantasme secrètement pour sa belle-fille, quelle idée ? Alors, oui tu papillonnes, tu divagues et tu cherches du réconfort et de la chaleur. Quelque chose qu’à force de creuser dans ce coeur de glace, tu t’es lassé de trouver; Tu ne sais même plus ce que tu cherches ou ce que tu veux de Grace. Progressivement, ça finit par se savoir. Tu ne t’en caches même plus car il ne se passe plus rien entre ta femme et toi. Ensemble, vous vous donnez des libertés tout en ne cherchant pas vraiment à se le cacher, vous allez voir ailleurs c’est bien ce qui rallume la flamme de ce couple déjà en perdition.


La pomme que l'on croque

Les années passent et la routine d’un couple s’offrant de nombreuses libertés sans essayer de le cacher à l’autre commence curieusement à te peser. T’es un grand garçon, quel homme peut jouir d’une situation confortable autant en privé que professionnelle ? Tu peux découcher sans que ça n’entâche ta routine dans le foyer et ça n’empêche pas de retrouver les moments avec ton épouse que tu as aimé un jour. Tout va pour le mieux jusqu’à ce que tu décides de ne pas rejoindre cette dernière, en pleine crise, encore, et toujours, contre sa fille unique. Il ne peut pas dire qu’il peut se plaindre, l’enfant qu’il a connu avec Ingrid ne le connait même pas et doit être élevé par un autre plouc que sa mère aurait rencontré. Qu’à cela ne tienne, tu ne t’en portes pas plus mal, tu n’es pas fait pour être père. Tu sors beaucoup trop, tu travailles encore plus. Tu n’as pas le temps de pouponner car tu prends vraiment ton travail à coeur. Ça, on ne peut pas te l’enlever. En dehors de tes mauvaises habitudes extra conjugales, tu cherches vraiment à te sentir bien dans ta peau. Ce jour-là, tu en as eu gros sur l’estomac. Tu ne veux pas entendre parler de Lorena, entendre dire qu’elle lui a volé son défunt mari qui, en somme, signifie que Grace n’en a pas fait entièrement le deuil. Ton meilleur pote et collègue semble t-il avoir trouvé la raison de tout ce bordel : « Vous vivez un ménage à trois, clairement. Entre vous, y’a le fantôme de l’ex qui est là… » Au départ, tu ne l’as pas pris au sérieux. Grace t’a pourtant dit oui devant le Maire et leur deux témoins, et même si tout le contrat de mariage n’est pas respecté, il y a la démarche. Après tout chacun mène sa vie comme il veut mais si c’est pour partager son lit avec un spectre, pour toi, c’est inconcevable.

Impossible de fêter l’anniversaire de la jeune fille. Grace lui a intimé que depuis le décès de son père, Lorena ne veut plus en entendre parler, jusqu’à pousser des crises de colère et du coup, vous le faire regrettez amèrement d’avoir émis l’idée. Voilà, elle fête ses 21 ans, maintenant majeur et vacciné, la jeune femme fait absolument tout ce qu’elle veut. Autant les soirées arrosées dont tu peux avoir moult merveilleux souvenir entre les mauvais soirs où tu les passais la tête dans la cuvette. Tu l’envies presque mais un soir, à nouveau pris d’insomnie, tu bois ton verre de scotch devant un feu de cheminée quand Lorena rentre. Tu n’y prêtes guère beaucoup d’attention mais tu comprends bien vite qu’elle n’est pas dans son état normal : « Boire ou conduire, faut choisir, jeune fille ! » Tu t’approches dangereusement d’elle, tu la dévisages de la tête aux pieds, distinguant la jeune femme dans cette tenue qui ferait rougir un puceau. C’est cette image qui te fait sourire mais tu commences à discuter avec elle. Ô tu ne lui parles pas de sa mère, elle loin de la maison, jouant au docteur avec quelqu’un d’autre. Tu lui parles de choses et d’autres, et tu rends compte que même bourrée, elle est beaucoup plus adulte que tu ne le penses. C’est mauvais pour toi ça, tu commences même à te ressentir pleinement ce que tu as si longtemps mis en sourdine. Rien, rien, aucune barrière ne t’empêche de faire le premier pas. Elle est majeur, t’es comme un homme célibataire jugeant que le bon moment est en cours. Tu bois aussi, tu dois être à ton troisième scotch que tu bois mais ta tête ne tourne pas assez. Et puis, un geste, vos mains se frôlent et c’est parti, tu la dévores du regard alors qu’elle consent docilement à ta demande. Plus les baisers s’enchaînent, tous plus langoureux les uns que les autres, tu sens comme elle en redemande, tu ne refuses absolument rien et ça semble lui plaire. D’un geste habile et souple, tu la transportes jusqu’à sa chambre ou tu fermes la porte d’un coup de pied maîtrisé.

Tu n’es pas à ta première fois mais en te réveillant le lendemain, tu fais fis de l’énorme migraine que tu calmes d’un efferalgan mais tu ne peux pas oublier ce qui s’est passé cette nuit. Tu n’étais pas si ivre que ça. C’est une chance et peut-être un malheur parce que les choses sont marqués au fer rouge dans ton pantalon. Si cette nuit t’a clairement satisfait, tu en redemandes encore. Cette situation insolite te perturbe, à t’en défouler sur le sac de frappe que tu aimes martyriser quand tu te questionnes. Il est claire que Grace ne doit pas être au courant mais à la première occasion, tu décides de renouveler cette partie de jambe en l’air dont tu gardes un bon souvenir mais contre toute attente, la jeune fille joue les jeunes vierges effarouchées. Elle te repousse et de manière tellement violente que tu en es resté sur le cul. Désarçonné par ce violent refus. Pire encore, elle t’a hurlé de quitter sa chambre et dans le mesure où tu n’as pas cherché à la pousser à en venir là, tu préfères partir de la maison durant quelques jours. Les événements passés t’ont marqué et ne découchant tu te rends compte que tu n’as même pas besoin de prévenir ta femme. Pourquoi ? Elle s’en fout maintenant. Ton couple n’est plus qu’une mascarade d’autant plus que tu as couché avec ta belle-fille. Joie ! Tu gardes ça pour toi, tu sais que les à prioris iront bon train si tu gâches l’image que tu as eu beaucoup de difficulté à instaurer. Pour la première fois depuis tes quinze ans, tu te remets en question sur ce qu’est devenu ta vie et puis, une soirée dans un bar suffit à te remonter le moral et à oublier tes soucis.


Le piqueur piqué

Tu as emmenagé à Island Bay depuis le mois de Janvier. Tu y avais mis les pieds de nombreuses fois pour retrouver ton pote, Rayan, rencontré dans tes premières années d’études en neurologie. Tu veilles sur Lorena non parce que tu prends ton rôle de beau-père très au sérieux mais parce que tu la pistes. Peut-être même que tu ne la compris pas du tout. Tu cherches à attirer son attention mais le peu de fois où tu as fait un petit quelque chose en sa direction, elle te renvoyait sur les roses. Evidemment, elle t’obsède, elle te rend fou parce que tu la désires plus que ce que tu ne veux bien te l’admettre. Le hic dans cet histoire, c’est que ta femme, la mère de Lorena, a bien fini par s’en rendre compte. Et contre toute attente, alors qu’elle aurait dû chasser l’homme qui partage son lit, donc toi, elle a mené une véritable croisade contre sa propre fille. Si elle t’a séduit, c’est entièrement de sa faute » t’a t-elle dit, alors qu’elle te sortait tout son attirail pour tenter de te faire oublier la jolie brune. Sans succès. Tu vois, elle est jalouse de mon bonheur, elle veut tout me montre. Elle m’a volé mon mari et maintenant, toi ! » encore une chose qu’elle te dit. Toi, tu ne veux pas perdre la face, tu essaies de faire les choses bien mais tu t’enfonces. Comment ton père réagirait en te voyant construire un ménage avec une femme dont tu fantasmes presque ouvertement sur sa propre fille ? Il serait déçu mais qu’est-ce que tu peux en dire là dessus ? Tu ne crois pas à tout ça, quand t’es mort, t’es mort alors tu te forces de vivre le moment présent. Désormais, tu vis dans un petit appartement sur Island Bay, tu t’es rapproché d’une ville où se trouve ton meilleur ami. Quelque chose close ! Il n’est plus le même avec toi, tu le sens comme il t’évite et comme il devient vague au sujet de ses relations, d’ordinaire plutôt loquace sur ses exploits. Tu veux en avoir le coeur net, tu veux savoir ce qui se passe !

Quelques mois passent depuis ton arrivé à Island Bay, tu le vis plutôt bien. T’es loin de ta femme, tu as réussi à la convaincre de rester sur New-York en attendant qu’il trouve une situation stable. Qu’est-ce que ça veut dire ? Et bien, tu attends qu’une place de Cancerologue se libère à l’hôpital de Wellington. Pourquoi ça ? Parce que tu sais que Lorena s’y trouve et qu’en plus, ton meilleur ami y travaille également. T’approche de ton but, tu le touches du bout des doigts mais à chaque fois, ton objectif t’échappe de peu. Une chose est clair dans ta tête : tu la veux, tu la désires encore et encore. Toutes les autres te paraissent fades par rapport à elle et tu te demandes quand cette engouement te passera. Tu attends ce jour sans succès…





Dernière édition par Owen Richardson le Dim 22 Avr - 10:20, édité 17 fois
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Nina Baranovski
Nina Baranovski
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Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) Tumblr_inline_oyyof5haSE1rifr4k_540
○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle

○ posts : 4825
○ points : 100
○ pseudo : Nao'
○ avatar : Katherine McNamara
○ DC : Nova + Caitlin
○ crédits : Avatar by nao', Sign by miss pie
○ inscrit le : 07/09/2016
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 12:22

La team rocket est là. On vous nargue, on vous envie, on ne vous laisse pas de répit. On vous suit partout !

Super choix de vava ^^

Re à toi ^^

_________________
another day
Ruby. ▬ If you believed in my eyes
We would've had another day
And you just see me inside
I swear we would have another day
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 12:54

re-bienvenue à toi Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 902541242
bon courage pour cette nouvelle fiche !
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 13:07

Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 JE SUIS TROP CONTENTE QUE TU RESTES ET QUE TU ES CHOISIS LE BEAU PÈRE
Re bienvenue du coup et tu sais où me trouver si besoin Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 843031823
Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2573357129 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2573357129 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2573357129 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2573357129 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 449023763 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 449023763 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 449023763
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 14:16

Re-Bienvenue !
Et ce choix d'avatar quoi Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 3731638184
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 14:29

Rebienvenue a toi  Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 902541242
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 16:24

Re bienvenue Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 838751658
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 16:40

Bon retour sur le forum, bon courage pour ta fiche et chouette choix d'avatar ! Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 838751658 Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 3497041440
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 18:44

re-bienvenue :)
content de voir que tu restes dans l'aventure Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2913072852
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 20:35

Bienvenue, bon courage pour ta fiche. Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1049845934
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 20:57

rebienvenue à toi Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 902541242
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Finn Drake
Finn Drake
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Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) B81e3df9e3198c9b719c6b06bbacc7023011dab8
○ âge : 27 ans. (01.01)
○ statut : célibataire.
○ métier : acteur, doubleur de voix & chasseur d'esprit.
○ quartier : #01 south bay.
○ orientation sexuelle : hétéro.
○ informations en vrac :
il a une chienne au prénom de Nana. ∞ ce n'est pas le mec, le plus mature. ∞ il aime bien les t-shirts imprimés. ∞ un gros geek. ∞ c'est un passionné des jeux vidéo ainsi que des super-héros. ∞ la pizza, la bouffe italienne, il adore. ∞ ses amis sont comme une seconde famille pour lui. ∞ c'est un fan de l'horreur, tout ce qui touche aussi au paranormal, surnaturel. ∞ un casse-cou, il fonce toujours la tête baissée. ∞ un sportif, il touche à tout. ∞ il adore voyager et découvrir de nouveaux endroits. ∞ blagueur né, ça aide aussi durant les situations gênantes. ∞ il possède une tesla depuis 2019. ∞ il s'est déjà fait tirer les cartes. ∞ c'est un apprenti cosmologue/astronome, grâce à sa maman, il s'y connaît bien. ∞ il a fondé le premier club des geeks à Island Bay. ∞ il fait également des podcasts quand il chasse les fantômes. ∞ raconteur d'histoires d'horreur. ∞


○ posts : 3900
○ points : 0
○ pseudo : earthsquakes.
○ avatar : tom holland.
○ DC : les princesses disney.
○ crédits : dark dreams.
○ inscrit le : 20/08/2017
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 22:03

(ici Nahla) rebienvenue sur le forum Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2913072852 va falloir se trouver un lien avec ma Nahla, et j'ai déjà une idée Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1986789816 et Finn ne risque pas d'apprécier Owen Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2839392890 & bon courage pour ta fiche Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 2139827335

_________________
 
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Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) DRrUMymK_o Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) GJaWjwRf_o Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) Ytb8jW3
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptySam 14 Avr - 23:25

Non mais Eric quoi, quel super choix Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 1965479019 Bienvenue ou re-bienvenue parmi nous si j'ai bien compris et bon courage pour ta fiche Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 843031823
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) EmptyDim 15 Avr - 0:42

Bienvenue parmi nous Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) 843031823
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MessageSujet: Re: Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) (#)   Owen - (I can bear pain myself but I couldna bear yours.) Empty

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