just close your eyes and breathe (a.s.)

avery sawyers

baby one day, we'll be old

les informations en vrac

avery c'est la douceur incarnée, elle ne sait pas faire autrement, elle a toujours été très douce, souriante, et elle ne ferait pas de mal à une mouche, mais il ne faut pas l'énerver pour autant. Car même s'il est rare de la voir se fâcher elle sait se faire entendre. › bien qu'elle soit née à sydney, elle a aménagé à island bay à ses cinq ans et y a toujours vécu. › elle adore cuisiner, que ce soit des plats ou de la pâtisserie, cuisiner est pour elle un moyen de se défouler et de passer le temps. Donc lorsqu'elle n'a rien à faire et qu'elle se trouve chez elle, vous la trouverez sans doute dans sa cuisine. Et lorsqu'elle stresse, la cuisine de chez elle se transforme en véritable pâtisserie pour le plus grand bonheur (ou pas) de son mari. › elle adore son métier; elle a toujours voulu travailler dans la médecine et aimant les enfants, la chirurgie pédiatrique est pour elle le choix évident et elle se se voit pas faire autre chose. › elle est très proche de ses parents; bien que leurs rapports avec Sean ne soient pas toujours parfaits, Avery est tournée famille. › c'est une vraie boule d'énergie. Toujours à sourire ou à vouloir faire quelque chose, les gens savent que lorsqu'elle est toute calme ou ne dit pas grand chose c'est en général lorsqu'elle est contrariée ou malade. › Avery aimerait fonder une famille avec Sean et même s'il ne partage pas cette idée, la jeune rousse sait qu'il fera un très bon père. › elle adore écouter de la musique, peu importe le style elle adore la musique › pour bien commencer sa journée, elle a besoin de boire une tasse de café, seul petit hic, elle ne peut pas trop en boire en ce moment. › elle est allergique à un bon nombre de choses notamment les chats, les cacahuètes, le kiwi, et la poussière › elle a appris qu'elle était enceinte... Le seul hic est que son époux n'est pas au courant et ne veut pas d'enfants › elle a tendance à se passer la main dans les cheveux lorsqu'elle stresse.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>danneel harris ackles ›</pris> avery sawyers

   

l'histoire de ma vie

This life is what you make it. No matter what, you're going to mess up sometimes, it's a universal truth

Each meeting occurs at the precise moment for which it was meant. Avery soupira avant de prendre le dossier d’une des patientes qu’elle devait voir avant de renvoyer la jeune femme chez elle. Elle était de garde ce soir-là et le moins qu’on puisse dire c’est que le service des urgences  n’était pas des plus calme et dire qu’elle se destinait à la chirurgie pédiatrique mais avec les joies de l’internat il fallait aussi faire un tour aux urgences générales. Et dire qu’il lui restait encore une heure de garde. Une chance qu’elle aime ce qu’elle faisait, sinon elle aurait déjà abandonné son internat et ses études  depuis bien longtemps. Mais être médecin était le métier parfait, en ce qui la concernait du moins. Elle n’aurait pas pu être autre chose que cela. Soigner les gens, leur redonner d’une certaine manière le sourire était l’une des raisons pour lesquelles, miss Carstairs aimait tant son métier, c’est d’ailleurs pour cela que c’était le choix de base pour elle lorsqu’elle avait dû faire le choix des études qu’elle voulait faire. Son objectif était de travailler dans la médecine. Et plus précisément avec les enfants. C’est au  fur et à mesure que  ses années d’études s’enchainaient que son choix de travailler près des enfants c’est confirmé. Et c’est vrai que ce n’était pas tous les jours facile mais elle aimait ce qu’elle faisait et redonner le sourire à ces petits patients était la chose la plus belle pour elle. « Madame Thorne, votre ordonnance est prête. Vous pouvez enfin rentrer chez vous.» Dit-elle avec un sourire pour la jeune mère de famille puis après un dernier regard pour  la jeune femme elle se dirigea dossier en main vers le bureau.  Elle avait à peine mis le pied dans le bureau qu’une de ses collègues s’adressa aussitôt à elle. « Avery, il y a un patient pour toi en salle 3. » La jeune rousse se contenta de secouer la tête devant son amie et collègue, avant de se diriger vers la personne dont sa collègue venait de lui parler.  Avec un peu de chance il s’agirait peut-être d’un enfant car bien que le service fût assez bondé de monde, les cas pédiatriques avaient été assez calmes ce soir si bien que la jeune femme avait passé sa soirée à soigner pratiquement que des adultes. « Tiens donc encore vous… Vous savez à force de vous voir ici, je vais finir par penser que vous faîte exprès de vous blesser juste pour venir me voir ce qui ne serait pas très logique vu que je me dirige vers la pédiatrie. » Dit-elle en entrant dans la salle où le jeune homme dont sa collègue parlait se trouvait. Ce n’était pas la première fois qu’elle le voyait dans son service et à chaque fois les blessures étaient plus farfelues les unes que les autres, soit il était vraiment maladroit, soit il prenait un malin plaisir à infliger toute sorte de douleur plus folles les unes que les autres à son propres corps. Ce qui ne devait pas être le cas vu que chaque fois qu'elle faisait les visites médicales au commissariat, il avait l'air de bien se porter. « Qu’est-ce que c’est cette fois ? » Demanda la jeune femme, avant d’enfiler une paire de gants pour voir qu’elle était la blessure du jour de ce jeune homme qu’elle avait croisé de nombreuses fois déjà que ce soit dans les rues de la ville, au commissariat ou autre.« Que voulez-vous, les joies de travailler dans la police» La jeune rousse ne pût s’empêcher de secouer la tête avant d’examiner la plaie de son patient. « Hum hum c’est sans doute ça… Le point positif c’est ce que ce n’est rien de grave, un nettoyage de la plaie, un pansement et ça devrait aller.» Dit-elle avec un léger sourire. Elle ne gardait pas en tête tous les patients qu’elle pouvait voir, le nombre était bien trop nombreux mais il fallait bien avouer ce patient l’avait marqué. Pas uniquement parce qu’il était beau garçon, il fallait bien l’avouer mais le premier jour où elle l’avait rencontré, il l’avait marqué et elle avait, sans forcément le vouloir, mémorisé son visage. « Et voilà c’est fait. Maintenant faîtes attention, vous risquez de finir avec des cicatrices partout.» Elle reposa tous les instruments qu’elle avait utilisé avant de laver ceux dont elle aurait encore besoin et de jeter tout ce qui devait aller à la poubelle avant de se retourner vers son patient, Sean Sawyers, policier en ville, du moins c'est ce qu'elle avait retenu lorsqu'elle l'avait rencontré lors d'une visite médicale qu'elle avait effectué au commissariat de la ville . Elle se demandait bien ce qui avait poussé le  jeune homme à s’engager dans la police, mais bon ce n’était pas comme si elle pouvait le lui demander comme ça à l’heure d’aujourd’hui. « Merci … Sinon c'est quand qu'on se le boit se café? Au moins on ne pouvait pas dire que le jeune homme avait peur de quoi que ce soit. Il avait l'air de savoir ce qu'il voulait et la jeune rousse ne pouvait pas non plus dire qu'elle détestait cela, Et puis de vous à moi, ça la flattait quand même qu'un beau jeune homme l'invite à sortir, non pas que ça n'arrivait jamais mais bizarrement, elle avait un bon pressentiment dans ce cas présent. « Pourquoi pas la semaine prochaine ? »

Love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own. Fiancée… Avery était fiancée… Elle regarda la bague qui ornait désormais son annulaire gauche. Elle secoua la tête en souriant, elle aimait Sean au oui ça pour l’aimer elle l’aimait mais il fallait bien l’avouer il l’avait surprise en faisant sa demande même si à dire vrai, c’était une excellente surprise. Sauf que ce n’était pas aussi simple… Bien qu’elle était heureuse, elle se demandait comment elle allait expliquer à ses parents la présence de cette bague sur sa main gauche parce que jusqu’à présents les rapports entre Sean et les parents Carstairs n’étaient pas les meilleurs. Elle soupira d’avance, si elle n’était pas pressée d’une chose c’est bien de faire l’annonce à sa famille. « Ton père me déteste…. Non attends, pas juste ton père, toute ta famille me déteste. » Avery leva le regard vers son fiancé avant de passer sa main sur son bras dans le but de l’apaiser. Ils venaient tout juste de finir de dîner avec ses parents et le moins qu’on puisse dire c’est quand l’espace de quelques minutes son père s’était fait une idée sur la raison de la demande en mariage  et n’avait pas manqué de la leur partager, à croire qu’ils ne pouvaient pas s’en passer. Une chance que le jeune Sawyers aime vraiment Avery parce qu’elle en connaissait pas mal qui n’aurait pas tenu la fin du repas, à croire que son père voulait la voir finir vieille fille. « Mais non, ils ne te détestent pas… C’est juste que… » Commença-t-elle dans le but de trouver quoi dire au jeune homme pour le rassurer mais il fallait bien se l’avouer elle était à court d’idée et de toute façon il ne la laissa même pas continuer sa phrase « Avery...» Elle le regarda en lui lança un petit sourire désolé. Il n’avait pas tort et il fallait bien être aveugle pour ne pas voir que le patriarche Carstairs, n’appréciait absolument pas celui qui deviendrait son gendre, et dire que la jeune rousse pensait qu’avec le temps les choses iraient mieux. « D’accord peut-être que tu as raison mais c’est juste parce qu’il ne te connaît pas encore réellement.» Elle essayait de rassurer tant bien que mal son fiancé et avec l’attitude de son père ce n’était pas gagné d’avance. Avec un peu de chance son père changerait d’avis et puis ce n’était pas comme si Sean avait une mauvaise réputation en ville. Après tout qui ne serait pas fier d’avoir un gendre qui travaillait dans la police et qui faisait tout pour que le climat en ville soit des meilleurs? Le père de la jeune femme semblait-il et l’une des raisons pour lesquelles son père ne voulait pas entendre parler du jeune homme, était parce que selon lui il n’était pas assez bien pour sa fille adorée. Idée qu’Avery était bien loin de partager. « Vous avez entendu la dernière ? Il semblerait que la fille du boss soit fiancée avec ce jeune Sawyers que son père ne peut pas voir...» Avery était partagée entre l’envie de faire savoir à la vieille femme aigrie qu’elle était là et qu’elle l’avait entendue et l’envie de la laisser continuer pour savoir jusqu’où la jeune femme qui travaillait pour son père pourrait aller pourrait aller avec ses ragots qui n’avaient pas lieu d’être. « Avery? Tu as un soucis ?» Elle se tourna vers son père qui venait de sortir de son bureau, et avant de se diriger vers lui, elle lança elle un regard noire à la femme qui venait tout juste de se taire, pour lui montrer qu’elle avait entendu tout ce qu’elle avait pu dire et à voir l’expression de la femme, elle comprenait très bien le regard de la jeune rousse. « Non bien sur que non papa, j’avais juste envie de passer te voir » Dit-elle d’une petite voix. Sa visite n’était pas si anodine que cela mais elle se garda bien de le dire à haute voix à son père et puis il est vrai qu’elle avait envie de le voir, vu que depuis le fameux soir où elle leur avait fait par de ses fiançailles avec Sean, elle n’avait pas eu le temps de parler avec son cher paternel.  « Laisses-moi deviner pourquoi ce déjeûner, tu veux me parler de ton cher fiancé. » Rien qu’au ton de la voix de son père, Avery savait que lui faire changer d’avis sur Sean  allait être plus compliqué qu’elle ne le pensait. Elle savait qu’il ne voulait que le meilleur pour elle, mais là il semblait fermé à l’idée de voir le jeune Sawyers devenir son gendre un jour. Et pourtant c’était bien  ce dernier qui rendait Avery heureuse. « Papa… » Le patriarche Carstairs, leva les mains en signe de soumission avant de passer le bras sur les épaules de sa fille pour l’amener avec lui vers son voiture.

Life is like riding a bicycle. To keep your balance, you must keep moving. 5 ans… Nous voilà 5 ans plus tard… Cinq ans que la jeune femme était mariée à l’homme de sa vie, qu’elle continuait dans sa carrière pour devenir chirurgienne en pédiatrie et rien ne pouvait la rendre plus heureuse. Quoique à un détail près « Sean dis-moi… Tu ne veux vraiment pas d’enfants ?»Le jeune couple était sur le point d’aller se coucher et à dire vrai, Avery avait déjà la réponse à sa question mais elle ne pouvait s’empêcher de la poser. « Sérieusement Avery ? Alors qu'on est sur le point d'aller dormir ?. » Lui répondit-il. Elle savait très bien qu’elle n’aurait pas du ouvrir cette discussion mais elle n’avait pas pu s’en empêcher. Une partie d’elle espérait que Sean changerait d’avis un jour et aurait le même avis qu’elle sur la question des enfants mais il fallait croire que ce jour n’était pas encore arrivé. « Pourquoi tu es sur la défensive ? C'est juste une question.» Une question pas si innocente que cela, il fallait dire vrai mais ça restait juste une question, du moins pour le moment. « Tu connais mon avis sur la question… Je ne me vois absolument pas père donc non je n’en veux vraiment pas. » Au moins ça avait le mérite d'être clair, pas qu’elle soit étonnée non plus, il avait toujours été franc sur la question depuis le début de leur histoire et même si Avery avait fait avec au début, ça devenait de plus en plus difficile. « Oh...» Se contenta-t-elle de dire, Il avait réussit à lui couper les mots de la bouche et elle ne savait pas quoi dire… Elle aurait du se taire tout simplement depuis le début. « Avery, je ne peux pas te mentir. Je te l’ai toujours dis, je ne pense pas que les enfants soient pour moi… » Elle le regarda attentivement avant de soupirer et de se retourner dans leur lit  "Si tu le dis Sawyers… Bonne nuit. »Dit-elle pour couper court à la discussion… Sauf que si elle avait été courageuse ce soir là, elle lui aurait dit le pourquoi de cette question et à vrai dire, la phrase de sa collègue à l’hôpital tournait encore dans la tête de la jeune rousse. « Félicitations Avery, tu es bien enceinte … » Sauf que le problème avec cette phrase, cette nouvelle était alors qu’une partie de la jeune femme était plus qu’heureuse de cette grossesse et l’autre redoutait la réaction de Sean. Après tout, comment dire à un homme qui a passé les dix dernières années de sa vie qu’il ne voulait pas d’enfant que dans l’espace de quelques mois il serait père ? C’était la réponse qu’Avery aurait bien aimé avoir.