la vie nous donne toujours une autre chance, elle s'appelle demain ► leila marks

Leïla Marks

la vie nous donne toujours une autre chance,
elle s'appelle demain

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ Leïla a vécu quelques années quand elle était très jeune à Alger pour être proche de la famille de sa mère néanmoins elle est vite revenue habité en Nouvelle-Zélande car son père ne supportait pas le climat géopolitique d'Alger. ○ Ses parents furent très étonnée que leur fille se soit si bien acclimatée à la Nouvelle-Zélande à son retour, malgré le fait qu'elle ne parlait pas l'anglais couramment. ○ Sa mixité lui permet de parler actuellement quatre langues : l'anglais dû au fait qu'elle habite en Nouvelle-Zélande, l'arabe et le français pour pouvoir parler avec sa famille et elle a appris à l'école l'espagnol. ○ Leïla a toujours voulu être médecin depuis qu'elle était petite, cette vocation lui est venu suite au décès de sa meilleure amie d'une leucémie. ○ Elle a une petite soeur nommée Inès avec qui elle est très proche, elles ont 4 ans d'écart. ○ La jeune femme est une grande fan de thé, certainement du à ses origines. Pour elle, il est hors de question de boire du café, elle trouve que le café est trop toxique comparé au thé. ○ On dit souvent d'elle qu'elle est super-active, très rares sont les moments où elle s'allonge dans son canapé pour regarder un film. Ses jours de repos sont souvent investis dans le sport ou pour aller voir sa famille et ses amis. ○ Le yoga est une passion pour elle, cela lui permet de canaliser l'énergie qu'elle a en surplus ou de se calmer après une longue journée au travail.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ candice patton </pris> leïla marks

l'histoire de ma vie

c'est l'histoire de la vie, le cycle éternel...

C'était en juillet 1987 où Yasmine Marks ressentit les premières contractions qui annonçaient la naissance de sa première fille. Sa première fierté. L'accouchement fut long, très long, quelque peu compliqué mais la petite fille finit par pointer le bout de son nez dans la soirée du 10 juillet 1987. Ses premiers cris furent annonciateurs de la jeune femme qu'elle allait devenir,
des cris combatifs et pleins de vie. Ses parents furent comblées de l'avoir à leur côté. Après avoir vécu ses premières semaines en Nouvelle-Zélande, la petite famille se retira à Alger, pays d'origine de Mme Marks.

La jeune fille vécu toute sa petite enfance en Algérie. Elle mangea ses premiers aliments, fit ses premiers pas là-bas, commença à parler français et arable aux côtés de sa nombreuse famille. Mais en 1991, une guerre civile éclata dans le pays et ses parents prirent la décision de repartir en Nouvelle-Zélande pour fuir un pays en guerre et que Mme Marks puisse accueillir leur deuxième fille dans les meilleures conditions possibles. Au départ, la jeune Leïla eut beaucoup de mal pour la transition. Elle qui parlait couramment français et arabe rencontrait pour la première fois, la barrière de la langue. Elle ne maitrisait pas l'anglais et elle se retrouvait bien seule dans sa petite école néo-zélandaise.

Très vite, elle apprit l'anglais. Fut une chance pour elle qu'elle n'avait que 4 ans quand ils ont quitté l'Algérie, elle apprit très vite une nouvelle langue. Son enfance se passa merveilleusement bien aux côtés de ses parents et de sa petite soeur, Inès. C'était une jeune fille désireuse d'apprendre, curieuse, sociable et pleine de vie qui ne faisait pas de vagues à l'école mis à part pour discuter avec sa meilleure amie, Mia. Ses parents lui n'en tenaient pas rigueur,
pour eux tant que c'était des bavardages innocents, ça n'avait pas lieu à une punition.

Les années passèrent, Leïla entra au collège avec sa meilleure amie, Mia. Mais celle-ci dû l'abandonner vers ses 15 ans car les médecins avaient détecté une leucémie chez Mia. La jeune femme se sentait un peu perdue sans son binôme et surtout elle était très attristée et inquiète de la voir avec des tuyaux dans tous les sens à l'hôpital. Cependant, la jeune femme resta aux côtés de sa meilleure amie, lui ramenait les cours, lui expliquait les cours, faisait ses devoirs avec elle car dans sa tête sa meilleure amie allait venir au lycée avec elle.

Le destin en décida malheureusement autrement, Mia décéda à l'âge de 16 ans dû à sa maladie. Leïla était profondément attristée par la nouvelle et décrocha de l'école pendant une bonne année. Elle chassait sa tristesse et son malheur en séchant les cours avec ses copines, en allant en soirées, en buvant. Son père fut excédé de son comportement, tellement excédé, qu'il décida d'envoyer Leïla faire ses études en Algérie pendant une année avant de la faire revenir en Nouvelle-Zélande. La jeune femme étant coupé du monde néo-zélandais, n'avait plus le choix que de travailler. Cette année lui fut très bénéfique car c'est durant cette année qu'elle prit la décision d'entrer en médecine pour sauver des gens de la maladie au contraire de sa meilleure amie.

Après une année passée en Algérie, Leïla reprit ses études très consciencieusement à Wellington même si elle continuait à aller à certaines soirées. Elle entra en école de médecine. D'ailleurs, ces années furent les meilleures car la jeune femme apprenait son métier, savait qu'elle allait sauver des vies à la fin de son cursus, mais ces années à la fac donnaient lieu aussi à d'excellentes soirées. Un bon équilibre dans sa vie de jeune femme. Elle finit par décrocher son diplôme de médecine et entrer à l'hôpital de Wellington au sein du service de neurologie.

Ces années de sérieux et de travail acharné furent payant car aujourd'hui elle est devenue médecin chef au service neurologie. C'est d'ailleurs dans ce service qu'elle a fait la rencontre, malheureuse rencontre d'Elio. Cette homme est au chevet de sa femme qui est actuellement dans le coma mais Leïla ressent une attirance pour ce jeune homme mais c'est contraire à tous ses principes. On ne pique pas l'homme d'une autre femme et encore moins quand celle-ci est dans le coma !