Pourquoi faire simple, quand on peut faire vachement compliqué ! ° Abe' 100%

Abraham Lewitt

Il en faut peu, pour être heureux

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ I- Tu as découvert ta phobie des araignées, alors que tu as persévéré à mettre ton nez dans ce que tu n'aurais pas dût. Effectivement, plus jeune, tu as été assez téméraire pour mettre tes mains dans un carrer de sable pour capturer des insectes à ton amusement personnel. Tu as insisté, malgré tes efforts sans résultat et lorsque enfin tu as réussi à creuser assez profond, tu l'as vite regretté. Malgré que peu de choses te font peur, tu t'es quand même sacrément vite retrouvé recouvert d'araignées! Certes avec le temps, tu as conservés tes belles qualités, mais tu t'es quand même bien fait avoir, puisque encore aujourd'hui tout insecte te laisse un malaise dût à cette expérience désagréable. II- Récemment, tu as découvert une nouvelle passion pour le café. Toi qui est matinale de nature et toujours organisé par tes propres moyens, tu t'es vite rendu compte que le manque de sommeil peut sacrément frapper et t'enlever ton énergie sans bouées de secours! Après avoir eu les yeux qui se sont refermés tout seul lors d'une intervention, tu as quand même longuement refuser de boire ce liquide marron pour te réveiller. Ceci dit, depuis que tu y as goûté, t'en voilà adepte pour ses effets sur ton corps, qui t'aident à mieux rester en alerte. III - Tes passions pour la cuisine font de toi un excellent cuisinier, en revanche tu es très sélectif sur ce que tu apprécies cuisiner! Tu n'aimes par exemple pas les fruits de mer, mais tu raffoles de viande ou encore de tout ce qui est exotique. D'ailleurs peu le savent, mais tu as remportés des prix pour ta cuisine en ayant participer à des compétitions amateur. Tu maîtrises d'ailleurs la cuisine moléculaire, ayant prit des cours amateurs pour impressionner tes invités. Certes, apprendre à jouer sur ta petite patience, mais tu y es venu au bout de tes connaissances en persévérant. IV - La paternité te fait peur, tu ne veut pas recréer le même scénario que ton père. Tu es donc très renfermés au contact physique, mais tu as quand même accumuler les expériences de vie. Ton gros défaut c'est de d'ailleurs tout garder en toi et de ne jamais exprimer ton mécontentement. Tu fais quand même des efforts pour en parler, mais tu reste très handicaper par ton manque d'expérience parfois. V - Ton rêve que tu ne partage avec personne, ce serait de faire le tour du monde avec de parfait inconnus pour t'obliger à découvrir en excellente compagnie. C'est d'ailleurs ce qui fait partit de ta liste à compléter avant de décéder un jour. C'est très secret pour toi et rien que d'en parler, tu crains le jugement, ce que tu n'accepterais pas par ailleurs. VI - Un jour tu as découvert l'émotion que procurait le vol! Effectivement, bien que tout le monde te croyais si sage, tu ne t'es pourtant pas gêner pour voler dans ce dépanneur ses barres chocolatées! Tu t'es emparée d'elle comme un voyou et ni vu, ni connu tu es ressorties avec elle sans te faire repérer. Au fond tu es peut-être pas aussi angélique qu'on le crois! VII - Tu détestes les foules, on ne saurait dire s'il s'agit d'agoraphobie ou non, mais une chose qui est certaine c'est que tu apprécies ton petit confort. T'exposer trop longtemps à ce genre de foule peut rapidement éveiller chez toi un sentiment d'agressivité et de nervosité. Tu as également même été jusqu'à t'empêcher de sortir par peur de croiser autant de monde. Au fond, la véritable ironie, c'est que tu ne tolère pas non plus d'être seul... Au fond, tu ne sais vraiment pas ce que tu veux. VIII - Tu manipules les gens à tes biens. Que ce soit clair, ce n'est pas pour malfaire, seulement tu n'es pas ce genre de personnes qui va attendre que la chance lui tombe dans les mains, tu apprécies façonner ton destin et c'est prestigieux. Si tu en es arrivé dans l'endroit que tu es aujourd'hui, c'est en partie à cause de ça? IX - Tu as horreur des menteurs. Si une chose s'est forgée en toi, c'est le sentiment que tu ne peux plus tolérer le moindres mensonge après avoir tolérer ceux de ton père. Quand on oses te mentir, qu'on trahit ta confiance, tu deviens radicalement désagréable et c'est impossible de reprendre la confiance perdue si durement gagnée. C'est peut-être aussi ce qui t'empêche de te trouver la bonne personne? X - Tu es tellement méticuleux, que tu saurais te déplacer dans ton appartement les yeux fermés. Chaque chose, chaque objet, chaque endroit à sa propre conception et il ne faut pas en déroger. Tu as d'ailleurs horreur que quelque chose ne soit pas à sa place! Si chaque chose est à sa place, ranger et ordonner, ça facilite bien le ménage pour toi!

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ robert downey jr</pris> abraham lewitt

l'histoire de ma vie

C'est ainsi, que le récit débute...

Tu détestes raconter ton passer, tes antécédents et tout ce qui entoure ta vie. Tu es ce genre de personne qui préfères largement rigoler quand le sujet tourne autour de ton succès ou encore de ta famille avant de noyer ton silence dans un verre. Cela dit, comme tout le monde, tu n'es pas nés simplement d'un claquement de doigt sans n'avoir rien à raconter. Tu viens de ce milieu qui pourrait en faire rêver plus d'un, ce couple fortunés qui ont accidentellement accepter de garder cette grossesse de trop, après les quelques avortements. Tu as été l'objet de nombreuses crises de couple, de plusieurs possibles ruptures et surtout de violence conjugale. Ton père était cet homme, ce brillant scientifique dont tout le monde adorait vanter ses quelques exploits dans la découverte médicinale, au profil soigné et toujours souriant et ta mère cette brillante actrice de cinéma qui brillait sur le grand écran dans plusieurs productions hollywoodienne pour vendre le rêve! Cela dit, ce n'est pas parce que tout brille devant la scène, que tout reste resplendissant derrière.

Ton père, malgré que tu te refuses à l'admettre était cette brute alcoolique. Cet homme que ta mère devait gérer et non aimer. Il à déjà soulever le poing sur elle, sous les effets indésirable que l'alcool lui procure. Il n'a jamais réellement été tendre avec elle, mais quelques part sous ses apparences de brute, il à sût lui donner ce qu'elle cherchait après tout. Tout du moins, tu sais qu'elle t'a toujours dit être heureuse, peu importe les circonstances et que tu n'aurais jamais pût échanger quoi que ce soit de ce scénario. Tu es donc né, dans les meilleurs hôpitaux qu'on ai pût trouver, lors d'un passage au Canada par la ville de Montréal, alors que ta mère était en tournée, malgré la suggestion de rester alitée. Tu étais le bébé le plus calme de tout l'hôpital, buvant le lait au sein et n'ayant que quelques pleurs moindres.

Tu étais tellement merveilleux que ta mère aurait voulût photographier cet instant à jamais pour le garder en mémoire. Bref, tu as été cet enfant que ton père aurait aimer simplement jeter dans les bras du premier venus pour se débarrasser ou même encore t'abandonner toi et ta mère. Tu as quand même de la chance, puisque l'impact médiatique l'a inciter à te garder près de lui, même si ce n'était pas pour les bonnes raisons. En résumer tu as été ce qu'on pourrait appeler la cochonnerie toujours dans les pattes de tes parents, malgré l'amour de ta mère. Ton père était toujours ailleurs, en déplacement et jamais disponible, alors que ta mère tentait de reprendre sa carrière te laissant donc aux soins d'une nounou. Tu étais cette petite tête brûlée malgré tout en classe à toujours bouquiner et à te surpasser pour devenir un des premiers de ta classe.

Ta passion c'était d'analyser, apprendre et toujours chercher à avoir ne serai-ce qu'un simple bravo de la part de tes parents. Cela dit, tu n'étais jamais féliciter pour absolument rien au point d'en être rejeté et exclus. Tu t'es vites rendus compte que peu importe l'effort que tu impliquerais ou même la merde dans laquelle tu pouvais te foutres dedans, jamais tu n'attirerais l'attention de tes parents. Durant ta jeunesse d'ailleurs, tu t'es vites fait obliger à changer aussi souvent d'école que tu n'avais le temps de t'habituer à la précédente, forcer de suivre les exploits de ta mère, puisque te garder à un seul endroit devenait trop compliquer. C'est d'ailleurs durant ton anniversaire de tes treize printemps que ton père à soulever une fois de trop la main sur ta mère. Tu te souviendras toujours comme-ci c'était hier, tous à table, pendant que tu étais heureux d'avoir enfin tes deux parents pour toi et que ta mère à gentiment suggérer à ton père de ne pas abuser sur l'alcool devant toi.

La première fois qu'elle l'a suggéré, ton père l'a ignoré simplement, mais la seconde fois, il à posé sa bouteille lourdement sur la table avant d'aller l'agripper par les cheveux. Départager entre l'impuissance et la peur, tu as d'ailleurs préférer tenter de fuir. Tu pensais pouvoir simplement faire comme quand tu étais petit et que te cacher sous ton lit te suffirait, mais ton père en avait marre que tu prennes toujours la fuite au moindre hurlement de sa part. Tu le sentais qu'il était plus colérique ce soir-là et tu l'a vite sentit lorsqu'il t'a agrippé à ton tour par les cheveux. Ta mère criait à ton père de te lâcher alors qu'elle était elle-même au sol, mais il te voulait du mal et te hurlait des choses que tu ne comprenait toi-même aucunement. Tu as juste eu le temps de soulever tes yeux vers lui, alors que tu pleurais, le suppliant de te relâcher et ton dernier souvenir que tu as de ton père ce soir-là... C'est le coup qu'il t'a mit en plein visage.

Hospitalisé, tu t'es réveiller avec ton oncle au pied de ton lit et le docteur pour t'annoncer que tu étais rester inconscient pour quelques jours. Ton oncle t'annonce que tu va maintenant être prit à sa charge et sincèrement à ce moment-là, tu ne savais quoi en penser. Tu te disais que d'un côté c'était chique, que tu allais enfin voir d'autres visages, mais de l'autre, tu te questionnais quand même sacrément pourquoi tes parents n'étaient même pas venu te voir à l'hôpital. Tu es donc déménagé dans l'état de la Nouvelle Zélande chez ton oncle, dans une petite maison éloigné des regards indiscrets. La vie de bourgeoisie ou d'être laissé à toi-même était révolue, puisque maintenant ton oncle était derrière toi chaque jour ou encore chaque instant. Il t'a entre-autre apprit à conduire, pêcher, boire ta première bière et même tes premiers émois amoureux!

Mine de rien, on pourra dire ce qu'ont veut de tout ça, ton oncle s'est sacrément bien occupé de toi. Vous êtes devenus quasiment père et fils. Tu as quand même retrouvé le goûts de t'impliquer dans tes études petit à petit et découvert tes premières amitiés, tes premiers amours et aussi tes premiers vrais délires. Tu goûtais enfin un semblant de vie normale et pour la première fois tu t'es vu vivre au-travers de tout ce qui t'arrivais! Tu es donc resté ainsi au fil des années, avant de te décider d'aller en médecine, pour suivre un peu la lignée de tes passions et comme tu excellais le domaine, tu t'es vite frayer un nom. Le meilleur étudiant de sa classe, le plus jeune accepté en stage et surtout le premier parmi ton école à avoir été accepté pour choisir une spécialisation dès ses vingt ans. Cardiologie fût d'ailleurs ton choix.

Bon certes au départ, ça été le questionnement du siècle, mais tout s'est décider le jour-même suite à ton expérience! Souviens-toi, alors que tu rentrais chez-toi avec le formulaire pour annoncer à ton oncle la bonne nouvelle! Tu étais tout près d'arriver, lorsqu'une ambulance t'a doublé pour littéralement se stationner devant toi et se diriger vers la maison de ton oncle. Tu étais tellement en panique, tu t'es précipité vers la maison de ton oncle, avant d'apprendre qu'il à eu un infarctus. Bref c'est en suivant à l'hôpital que tu as eu ses accès par le fait que tu étudies le domaine que tu as pût voir un cardiologue en action et la réflexion s'est faîtes automatiquement. Et si un jour, une vie devait être en jeu et que tu étais l'homme de la situation. Tu t'es donc décidé pour ce que tu voulais faire comme avenir et tu savais dans quoi tu t'enlignais. Ton oncle s'en est sortis sans le moindre soucis, mine de rien et tu as sacrément été reconnaissant pour ça.

Finalement, au fil des années, tu as sût profiter de la vie, profiter des études et des bons moments avec tout le monde. Au bout de quelques années, lorsque tu as atteint la trentaine, tu as décidé qu'il était temps pour toi de vivre entièrement ta propre vie de ton côté. Tu es donc partis de chez ton oncle pour t'installer dans ton premier chez-toi, seul avec ton nouveau job en tant que cardiologue. Tes journées n'ont pas toutes été rose, mais tu as sût balancer le tout pour en faire quand même quelque chose d'agréable et de franchement donner ton potentiel dans ton travail. Tu t'es d'ailleurs toujours fait reconnaître pour ton sérieux envers ton employeur, pour ta passion pour ce que tu fais et ton investissement s'est toujours fait remarquer. Sur le plan personnel, malgré les âges, tu ne t'es jamais réellement posé avec une personne dans ta vie.

C'est un peu dommage, puisque les années te filent entre les doigts et que parfois tu te sens seul. Tu as déjà songé l'adoption ou encore de te retrouver parent par arrangement avec une personne de confiance, mais tu abandonnes toujours au bout du plan, ayant peur de l'investissement personnel. Dernièrement, malgré que tu viens de franchir ta cinquantaine, nous t'avons concéder quelques mentions d'honneur pour toutes les vies aidées et ton temps investis au travail. Tu as finalement la gloire que tu aurais souhaitait lorsque tu t'es lancé dans tes rêves. Très récemment, ta mère est décédée suite à de nombreux problèmes de santé. Tu croyais pouvoir passer par-dessus, surtout vus l'ignorance dont elle t'a fait part durant ton développement. Ceci dit, un décès reste un décès et tu n'as sût rester de marbre face à cela, éprouvant un dur moment à accepter son décès. Tu es allés à son enterrement, n'adressant la parole à personne et ne dévoilant pas ton identité à personne.

Tu as versé une larme sur sa tombe, déposé une fleur et quitter les lieux. Tu aurais souhaiter mieux connaître ta mère, mais la vie en aura voulût différemment. Tu t'es donc découvert une nouvelle passion suite à sa mort, l'alcool. Ce liquide qui n'avait aucun effet bénéfique pour toi est devenu ta source par excellence pour oublier ce qui t'entoure. Tu as commencé dans tes temps libres à te diriger dans les bars ou les tavernes pour oublier tes souvenirs qui remontent. Tu tentes de simplement vivre une cinquantaine plutôt difficile, n'acceptant pas d'être déjà à ce stage de ta vie et préférant laisser croire à tout le monde que tu es plus jeune. Tu as par exemple toujours le même humour de raconter à tout le monde que tu es encore dans ta vingtaine, tu tentes encore de t'immiscer avec tes collègues pour ne plus rester seul et surtout, tu ne dors plus. C'est certainement nouveau, mais tu ne trouves plus le sommeil. En résumé, ton passer te rattrape et tu cherches à le fuir plutôt que le rattraper. Ne t'en fais pas, tu trouveras une solution un jour... Simplement accroche toi. Dis-toi que ton travail te gardera toujours occuper après tout.