contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain ! Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?
Tu n’avais pas envie d’être sage. Envie d’être raisonnable. Pourquoi faire après tout ? Tu ne voyais pas vraiment. Tu ne voulais pas l’être parce que tu avais envie d’Angus et il te manquait simplement. Tu voulais pouvoir profiter de lui sans penser au reste, aux conséquences. Oui, tu y penserais bien plus tard puisqu’après tout, tu voulais toujours plus. Tu espérais toujours que le jeune homme veuille de toi. Autrement qu’une amie en tout cas mais tu savais que ce n’était pas le cas pour le moment. Ton corps nu contre le sien, tu ne voulais qu’une chose. Qu’il cède et toi aussi. Tu poussais un soupir en l’entendant. « Je voudrais toujours plus, mais pas ce soir. » Tu lui disais alors que tu espérais en tout cas qu’il cède. Tu n’attendais que cela. Finalement, tu gémissais contre ses lèvres et tu sentais la chaleur t’envahir quand ses mains caressaient ton corps. Cela t’avait manqué et.. il ne l’avait pas fait depuis quelques temps. Tu l’embrassais une fois encore alors que tu te frottais contre lui. Ta main glissait entre vos deux corps alors que tu jouais avec l’élastique de son pantalon. « Tu n’aurais pas dû rester torse nu.. » Tu lui disais avant de finalement le pousser. Tu te mis sur lui alors que tu tentais comme tu pouvais de retirer son pantalon. Il se trouvait finalement nu face à toi et tu souriais. Tu te mordillais la lèvre. « Laisse toi faire. » Tu lui soufflais alors que tes mains glissaient une fois encore sur son torse. Tu caressais celui-ci puis tu l’embrassais. Tu glissais dans son cou, sur sa poitrine. Tu suivais la ligne de poils jusqu’à arrivé à son bas ventre. « Tu ne sais pas ce que tu rates.. » Tu soufflais avant de prendre son membre entre tes doigts. Tu le prenais finalement entre tes lèvres, désirant le rendre fou et lui rappeler ô combien c’est délicieux avec toi.
C'était déraisonnable. tu le savais, elle aussi. Vous ne pouviez pas faire cela, clairement vous alliez droit vers un mur, un truc explosif qui allait tout détruire sur son passage. Tu en étais conscient. Siloë semblait s'en foutre royalement, persuadée surement que ça ne comptait pas. Coucher avec quelqu'un, qu'on prenne les choses à la légère ou non avait toujours un poids sur le reste. Elle pouvait se fermer les yeux ce soir, tu savais au fond de toi que ce n'était pas rien, que ça comptait. Mais tu étais également un homme, pourvu d'envie, et avec une siloë près de toi complètement nu tu ne pouvais réfléchir convenablement. Tu perdais la raison, complètement. Tu avais envie d'elle et tout ton corps la réclamait. Tu savais que tu ne pourrais pas lui résister longtemps, puis tu n'en avais pas envie, non plus. « Tu es sur ? » tu voulais qu'elle le soit, ton but n'étant pas de lui briser le coeur, non tu ne voulais pas qu'elle souffre même si tu ne lui donnais pas ce qu'elle attendait de toi. Tu sens cependant son corps contre le tien et tu apprécies cela, bien plus que tu ne voudrais te l'admettre. Elle décide de te pousser légèrement et s'installe sur toi. C'est délicieux, comme lorsqu'elle t'enlève le pantalon. Tu n'aurais pas du rester torse nu ? Tu n'avais pas idée que ça puisse la mettre dans cet état là. Tu grognais en sentant ses mains sur toi et ses lèvres, qui parcouraient ton corps. Le frisson qui prit possession de corps était délicieux et tu voulais le garder encore. Tu poussais un gémissement en sentant ses doigts sur ton sexe qui durcit immédiatement. Tu te pinçais les lèvres... « Siloë... » Tu ne savais pas trop s'il s'agissait là, d'un grognement, d'un gémissement, d'un avertissement, mais c'était délicieux à n'en pas douter. Puis contre toute attente elle glissait ses lèvres sur ton sexe, t'obligeant à pousser un gémissement plus intense, tant le plaisir irradiait tout ton corps. Mmmhhh... délicieusement bon. Tu suivais le rythme de ses caresses jusqu'à que tu ne puisses plus tenir. Tu la poussais contre le lit à ton tour, t'occupant de son corps. « Et toi non plus... » Lui avouais-tu avant de presser ton corps contre le sien. Tu glissais tes mains sur sa poitrine, embrassant ses tétons avant de glisser sur son ventre, tes mains glissant sur sa taille, embrassant chaque parcelle de sa peau. « Tu me supplieras de te soulager. » Lui avouais-tu avant d'embrasser son intimité avec dévotion.
Tu préférais ne pas répondre à la question du jeune homme. Du moins, tu lui répondis en l’embrassant puisque tu ne voyais rien d’autre à faire à part cela. Tu le désirais. Tu souhaitais l’embrasser. Tu avais envie de lui et rien de plus et cela suffisait à prouver que tu étais sûre. Oui, tu aurais toujours envie de davantage avec lui. Tu voudrais toujours qu’il te considère comme plus que cela, plus qu’une colocataire, une amie. La fille avec qui il couchait. Tu n’y pensais pas pour le moment alors que tu pris le dessus sur lui. Tu t’installais dessus. Tu commençais alors à le caresser puis l’embrasser, venant à prendre en bouche son sexe. Tu commençais à faire des vas et viens avec, désirant le faire gémir. Tu le sentais gonfler et tu aimais cela. Tu voulais lui rappeler que tu étais là. Que tu pouvais lui faire plaisir. « Angus.. » Tu soufflais alors que tu te trouvais de nouveau sous lui. Tu gémissais finalement en sentant ses lèvres, ses mains. Tu avais réellement envie de lui et il réveillait chaque fois un peu plus ton corps endormi. Tu t’accrochais aux draps alors que tu te tortillais doucement sous lui, sous ses baisers. Il te faisait du bien. Comme il savait toujours le faire. « Bon sang..é Tu soufflais alors que tu glissais tes mains dans ses cheveux, voulant l’approcher de toi une nouvelle fois. « S’il te plait.. » Il ne pouvait pas te voir mais il savait tout de même reconnaître ton envie. Il devait sentir que tu ne pouvais plus. « Tu as ce qu’il faut ? » D’accord, c’était peut être un peu tard pour demander mais bon, sous le coup tu n’y avais pensé. De plus, tu te demandais pourquoi il en aurait avec si vous ne couchiez plus. Une autre pensée te traversa l’esprit et te rendit jalouse mais tu chassais cette pensée. Tu essayais. « Viens.. je t’en prie. » Tu lui soufflais alors.
Elle ne te répondait pas immédiatement. C'était assez frustrant d'ailleurs, tu ne savais pas si elle allait accepter cela ou faire machine arrière à un moment donné. Tu avais peur de la faire souffrir. Tu savais que ce jour allait arriver, mais égoïstement, tu ne faisais aucune réflexion ne désirant pas ouvrir le débat pour le moment. Surtout pas quand elle t'embrassait de la sorte, tu aimais cela un peu trop tu devais bien avouer. Tu roulais des yeux en sentant ses mains sur ton corps, sur ton sexe, ses lèvres également. Tu gémissais un peu plus fortement alors qu'à ton tour tu la poussais sur le lit, elle n'allait pas s'en sortir de la sorte. Tu t'occupais de son corps, et tu appréciais cela. Tu ne voyais pas les réactions de son corps, mais tu sentais... son souffle s'accélérer, ses mains glisser dans tes cheveux, son corps se tortiller sous le tien. Ses mots, ce sont délicat. Tu souriais contre sa peau alors que tu aimais les mots qu'elle te disait. Tu n'étais surement pas l'homme le plus doué dans ce domaine, mais tu devais bien avouer que tu lui faisais un sacré effet. Tu souriais encore plus à cette simple pensée. Tu relevais la tête vers ses mots. « Euh oui.. » Tu avais toujours ce qu'il fallait. Tu te penchais vers ton pantalon que tu avais installé sur la chaise près de ton lit. Tu cherchais ton porte feuille, puis ce qu'il fallait s'y trouvait, normalement. Tu n'étais pas homme à coucher avec la première venue, mais comme tout homme qui se respect, ou normalement comme il se respecte tu voulais avoir sur toi de quoi te protéger, au cas où... Tu revenais vers elle, avec le précieux petit bout de papier. « Serais-tu impatiente ? » Tu la taquinais bien évidemment. Tu venais à déposer tes lèvres dans son cou, souhaitant l'entendre gémir un peu plus. C'était important pour toi, d'entendre ce genre de gémissements, elle te rendait complètement fou, le savait-elle seulement ? Tu ne savais pas vraiment à vrai dire. Tu revenais vers ses lèvres. « Tu t'en occupes ? » Le souffle court, tu voulais qu'elle s'occupe de ça, ce préservatif. Tu voulais, tu devais l'admettre être à sa merci. « Mon corps t'appartient... » Tu trouvais cela hyper sexy et sensuelle et tu la savais à la hauteur, même si tu aurais aimé pouvoir la voir et admirer son corps. Oh oui, ça tu adorais.
Tu avais demandé au jeune homme s’il avait ce qu’il fallait. Oui tu avais envie de lui mais ce n’était pas pour autant que tu allais être aussi peu responsable. Manquerait plus que tu tombes enceinte alors qu’il ne voulait pas de toi. C’était le faire fuir à coup sûr cela. Tu n’avais pas envie de cela. Tu eus un sourire quand il t’indiquait que oui et tu le regardais faire. Impatiente ? Oui, tu l’étais peut être un peu mais en même temps, comment tu ne pouvais pas l’être pour le coup. Il t’avait titillé et toi aussi. Il était sûrement dans le même état que toi, même s’il ne le disait pas. « J’a des raisons de l’être. » Tu lui disais avec un sourire. Tu prenais finalement l’emballage entre tes doigts alors qu’il te demandait de lui mettre. Tu pouvais le faire bien sûr. « Bien sûr. » Tu déchirais l’étui avant d’en sortir le préservatif. Tu venais à le dérouler sur son sexe, envieux de ton corps. Tu jetais le sachet alors que tu te frottais contre son corps, ayant repris le dessus sur lui. « Je vais venir. » Tu lui soufflais alors que tu t’installais sur lui. Tu te positionnais correctement alors que finalement, une fois sur lui, tu le laissais se glisser en toi. Ou tu te glissais sur lui. « Angus.. » Tu soufflais en t’habituant peu à peu à cette sensation. Lui en toi et toi sur lui. Tu commençais finalement à te mouvoir sur lui, prenant le dessus. Tu montais et descendais sur son corps alors que tes mains étaient posées sur son torse. « ça m’avait manqué.. » Oh pas seulement son corps, non. Cette proximité avec lui. Il t’avait manqué et tu étais quand même heureuse de le retrouver. Même pour une soirée.
Siloë se montrait désormais impatiente. Ce n’était pas désagréable, bien au contraire, il y avait là une certaine saveur à cela. Tu aimais cela, farouchement te promettant de ne pas trop penser à cela, parce que tu ne voulais pas, bien évidemment t’attacher à elle, pas trop en tous les cas. En réalité, tu ne voulais pas lui donner de faux espoirs, ce que tu finissais par faire d’une certaine manière. Tu souriais à ses mots. « Tu as raison… » Il y avait des raisons de l’être et tu appréciais cela, elle te désirait autant que toi tu pouvais la désirer à ton tour. Tu fermais les yeux appréciant ses gestes sur ton corps. C’était délicieux, et tu imaginais ses courbes sur toi. Instinctivement, comme pour la voir à travers tes mains tu posais ces dernières sur son corps, glissant sur la douceur de sa peau, les courbes de son corps. Tu gémissais en la sentant contre toi et tu en demandais encore plus, tu le savais. Tu laissais échapper un gémissement lorsqu’elle se laissait glisser en toi. Mmmh, un pur délice. Tu posais tes mains sur ses hanches et tu appréciais cette sensation alors qu’elle commençait doucement à se mouvoir en toi dans une danse très sensuelle. Tu sentais ton désir monter peu à peu appréciant la saveur de son corps contre le tien. Les mains sur ton torse, tu la pressais un peu plus contre elle, encore plus en entendant ses mots… Elle était une déesse. Tu te redressais afin de récupérer ses lèvres. Tu les embrassais alors, léchant délicatement ses lèvres avant de lui répondre. « Moi aussi… » Tu entourais son corps si petit contre le tien avant de la projeter contre le lit. Mmmh… c’était délicieux et tu glissais de nouveau en elle, poussant contre elle encore plus. Tu gémissais alors que tu aimais les sons qui sortaient de sa bouche. Un pur délice… Tes lèvres embrassaient les siennes avant de remonter contre son oreille « gémis pour moi, bébé. » Lui avouais-tu alors que tu continuais de pousser en elle encore plus fort, toujours plus fort et intensément.
Tu avais envie de lui et tu n’allais pas t’en cacher. Oui, tu étais impatiente et tu ne voyais pas pourquoi tu ne pouvais pas l’être. Tu avais tes raisons de l’être après tout. Tu avais envie de le voir. Tu voulais te laisser aller à tes envies premières, bien que tu aurais quand même envie qu’il soit à tes côtés. Bien sûr, tu voulais être avec lui mais bon, tu ne pouvais pas vraiment l’être pour le moment. Loin de là, tant qu’il ne le voudrait pas en tout cas. Tu avais pris son préservatif avant de le glisser sur son sexe. Finalement, tu t’étais glissée sur lui. Tu gémissais alors, appréciant cela. Tu appréciais de prendre les devants même s’il ne pouvait te voir. Tu aurais bien aimé. Bien sûr. Quoique, finalement, tu appréhendais un peu les choses car il pourrait ne pas aimer. Ne pas t’aimer. Bon, c’était déjà le cas mais il pourrait ne pas apprécier la vue, ton physique. Tu n’y pensais pas pour le moment alors que tu gémissais une fois encore. Il te poussait sur le lit et tu te retrouvais sous lui. « Angus.. » Tu soufflais alors. Tu entourais sa taille de tes jambes. Tu l’approchais davantage de toi alors que tu glissais tes mains sur ses fesses. Tu embrassais ses lèvres alors que ses mots causèrent ta perte. « Bon sang.. » Tu soufflais alors que, tu gémissais et finissais par atteindre ton orgasme. Tu sentais les battements de ton cœur accélérer davantage. Cela t’avait épuisé, un orgasme puissant, vrillant tout sur son passage. Il se trouvait toujours en toi et tu bougeais encore, avec la force qu’il te restait. « viens aussi.. s’il te plait. » Tu lui soufflais, au creux de son oreille. Tu mordillais celle-ci. Tu glissais ta main entre vos deux corps alors que tu désirais qu’il se lâche. Qu’il vienne pour toi.
Siloë, la tentation née... elle ne sait pas à quel point elle peut être désirable. Elle ne sait pas à quel point tu as envie d'elle. Elle ne sait pas combien tu peux être impatient également. Elle l'était aussi, vous vous complétiez bien finalement et tu le savais. Tu sentais les caresses sur ton corps, tu l'entendais gémir ton prénom et tu devais admettre adorer cela. Tu pressais ton corps contre le sien, désireux de la faire gémir le plus possible. C'était tellement intense et pour toi aussi, surtout lorsque son corps réagissait au tien. Elle était désirable, elle te rendait complètement fou, et tu ne savais comment tu pourrais survivre à cela. Un homme ne réfléchit pas, un homme profite de ce que la nature lui offre. Sauf que tu n'étais finalement pas ce genre d'homme, que tu ne savais pas vraiment gérer les choses comme il était entendu. Tu la sentais se tendre et tu ne voulais pas qu'elle perdre cela, au contraire tu voulais qu'elle vienne, qu'elle puisse sentir cet orgasme, le vivre complètement. Tu souriais en l'entendant gémir, alors que tu continuais toi aussi à apprécier cette sensation, de son corps autour du tien... « Oh bordel ! » Tu jurais alors qu'elle s'acharnait pour que tu puisses toi aussi atteindre ton orgasme, ce que tu fis sans problème bien au contraire, c'était tellement délicieux. Tu finissais par te déverser en elle, embrassant ses lèvres, le contour de ces dernières. Tu te retirais, enlevant le préservatif le déposant sur le côté. Tu ne pouvais t'empêcher de prendre Siloë dans tes bras et la coller contre ton corps afin d'apprécier son corps, et sa présence... elle était douce, sa peau et son corps encore plus... « Mmmh, tu es toujours époustouflante Siloë... » Vraiment époustouflante, elle avait eu une bonne idée même si tu savais qu'il y allait avoir des répercussions, il y en avait toujours de toute manière.
Sujet: Re: Attraction - Sigus (
Tu n’avais pas envie d’être sage. Envie d’être raisonnable. Pourquoi faire après tout ? Tu ne voyais pas vraiment. Tu ne voulais pas l’être parce que tu avais envie d’Angus et il te manquait simplement. Tu voulais pouvoir profiter de lui sans penser au reste, aux conséquences. Oui, tu y penserais bien plus tard puisqu’après tout, tu voulais toujours plus. Tu espérais toujours que le jeune homme veuille de toi. Autrement qu’une amie en tout cas mais tu savais que ce n’était pas le cas pour le moment. Ton corps nu contre le sien, tu ne voulais qu’une chose. Qu’il cède et toi aussi. Tu poussais un soupir en l’entendant. « Je voudrais toujours plus, mais pas ce soir. » Tu lui disais alors que tu espérais en tout cas qu’il cède. Tu n’attendais que cela. Finalement, tu gémissais contre ses lèvres et tu sentais la chaleur t’envahir quand ses mains caressaient ton corps. Cela t’avait manqué et.. il ne l’avait pas fait depuis quelques temps. Tu l’embrassais une fois encore alors que tu te frottais contre lui. Ta main glissait entre vos deux corps alors que tu jouais avec l’élastique de son pantalon. « Tu n’aurais pas dû rester torse nu.. » Tu lui disais avant de finalement le pousser. Tu te mis sur lui alors que tu tentais comme tu pouvais de retirer son pantalon. Il se trouvait finalement nu face à toi et tu souriais. Tu te mordillais la lèvre. « Laisse toi faire. » Tu lui soufflais alors que tes mains glissaient une fois encore sur son torse. Tu caressais celui-ci puis tu l’embrassais. Tu glissais dans son cou, sur sa poitrine. Tu suivais la ligne de poils jusqu’à arrivé à son bas ventre. « Tu ne sais pas ce que tu rates.. » Tu soufflais avant de prendre son membre entre tes doigts. Tu le prenais finalement entre tes lèvres, désirant le rendre fou et lui rappeler ô combien c’est délicieux avec toi.
C'était déraisonnable. tu le savais, elle aussi. Vous ne pouviez pas faire cela, clairement vous alliez droit vers un mur, un truc explosif qui allait tout détruire sur son passage. Tu en étais conscient. Siloë semblait s'en foutre royalement, persuadée surement que ça ne comptait pas. Coucher avec quelqu'un, qu'on prenne les choses à la légère ou non avait toujours un poids sur le reste. Elle pouvait se fermer les yeux ce soir, tu savais au fond de toi que ce n'était pas rien, que ça comptait. Mais tu étais également un homme, pourvu d'envie, et avec une siloë près de toi complètement nu tu ne pouvais réfléchir convenablement. Tu perdais la raison, complètement. Tu avais envie d'elle et tout ton corps la réclamait. Tu savais que tu ne pourrais pas lui résister longtemps, puis tu n'en avais pas envie, non plus. « Tu es sur ? » tu voulais qu'elle le soit, ton but n'étant pas de lui briser le coeur, non tu ne voulais pas qu'elle souffre même si tu ne lui donnais pas ce qu'elle attendait de toi. Tu sens cependant son corps contre le tien et tu apprécies cela, bien plus que tu ne voudrais te l'admettre. Elle décide de te pousser légèrement et s'installe sur toi. C'est délicieux, comme lorsqu'elle t'enlève le pantalon. Tu n'aurais pas du rester torse nu ? Tu n'avais pas idée que ça puisse la mettre dans cet état là. Tu grognais en sentant ses mains sur toi et ses lèvres, qui parcouraient ton corps. Le frisson qui prit possession de corps était délicieux et tu voulais le garder encore. Tu poussais un gémissement en sentant ses doigts sur ton sexe qui durcit immédiatement. Tu te pinçais les lèvres... « Siloë... » Tu ne savais pas trop s'il s'agissait là, d'un grognement, d'un gémissement, d'un avertissement, mais c'était délicieux à n'en pas douter. Puis contre toute attente elle glissait ses lèvres sur ton sexe, t'obligeant à pousser un gémissement plus intense, tant le plaisir irradiait tout ton corps. Mmmhhh... délicieusement bon. Tu suivais le rythme de ses caresses jusqu'à que tu ne puisses plus tenir. Tu la poussais contre le lit à ton tour, t'occupant de son corps. « Et toi non plus... » Lui avouais-tu avant de presser ton corps contre le sien. Tu glissais tes mains sur sa poitrine, embrassant ses tétons avant de glisser sur son ventre, tes mains glissant sur sa taille, embrassant chaque parcelle de sa peau. « Tu me supplieras de te soulager. » Lui avouais-tu avant d'embrasser son intimité avec dévotion.