on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. ξ nae.

Naevia Berenson-Svalov

le plaisir se ramasse, la joie se cueille & le bonheur se cultive. ξ Bouddha.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ un ○ elle est deuxième de la fratrie, pas loin de son frère tommaso. elle aime bien l’appeler comme ça pour l’énerver mais c’est juste pour le taquiner en réalité. deux ○ son père était présente que six heures après l’accouchement, la venu de Naevia. ça ne l’a jamais affecter en réalité elle a toujours comprit que son boulot allait passer avant tout. mais ça ne lui a jamais empêcher d’aller jouer dans le bureau de son père quand il était là, elle était silencieuse. trois ○ quand son petit frère est arrivé elle pensait que ses parents allait la laisser tomber surtout Tom, mais en réalité elle c’est bien trop prise d’affection pour lui, elle la aider mais aussi elle la vue évoluer bien trop rapidement et elle a lâcher l’affaire. quatre ○ elle sait rapidement prise de passion pour la science et la chimie. mais aussi pour l’école simplement. elle a toujours été une très bonne élève et elle aidait même les plus jeunes quand ils avaient besoin. cinq ○ elle a la gentillesse et la douceur de sa mère. sauf que cette gentillesse lui a jouer des tours plus jeunes. sauf qu’elle sait rapidement forgé un caractère avec ses frères mais elle n’a pas eu assez de caractère par rapport a son mari quand il a lever la première fois la main sur elle. six ○ à l’âge de dix sept ans elle a rencontré son mari, au début ils étaient simplement de meilleur ami. ils s’entendaient plus que bien, mais aussi elle ne savait pas qu’il allait être comme ça. sept ○ quand elle a eu son diplôme de scientifique elle a tout fait pour rentrer dans la police scientifique néo-zélandaise. huit ○ à vingt cinq ans elle sait mariée avec son meilleur ami. ils se sont mit ensemble à ses dix neuf ans, tout allait pour le mieux entre les deux sauf que tout à coup quand il a su qu’elle avait de plus en plus de responsabilité dans son boulot elle était de moins en moins à la maison, elle dormait même au bureau a certain moment. neuf ○ un soir quand ils sortaient entre amoureux, mais surtout quand ils sont aller voir ses amis à lui. ceux qu’elle ne supporte pas une seule seconde. ceux qui continue à le faire boire et pas qu’un peu. durant toute la soirée elle a jouer la femme parfaite, la femme qui ne dit rien jusqu’au moment ou elle a juste demander a son mari de boire un peu moins. c’était de trop pour lui. en rentrant, il lui a donné la première gifle de sa vie. ce n’était pas la même douleur quand elle avait reçu sa première fessée par son père sauf qu’elle n’a rien dit et fait comme si ça ne s’était pas passer. dix ○ plus les jours passent, plus elle cachait ses bras devant ses frères, son père et même ses collègues. les bras qu’il agrippait le soir quand elle rentrait, les coups dans le ventre le soir. elle a mentis a son patron pour qu’elle soit là tout les soir, pour qu’elle puisse voir son mari “cesser” de boire mais surtout de la battre. onze ○ elle a toujours voulu en parler à ses frères, mais a chaque fois qu’elle essaye ou elle part rapidement ou elle trouve une excuse bidon pour leur dit “coucou je viens au nouvelle”. elle a peur de leur réaction. douze ○ elle a toujours été d’accord avec les idées de sa mère, voir des jeunes en difficultés pour le aidés. par moment Naevia ne les appréciait pas trop. elle faisait tout pour échapper au repas de famille quand ils étaient présents. treize ○ elle adore aller chez tom juste parce qu’elle trouve que chez lui c’est une animalerie. mais quand elle va chez elle trouve que c’est un havre de paix malgré tout. elle trouve qu’il a choisi un métier qui lui correspond c’est-à-dire avec les animaux. quatorze ○ sa couleur préféré c’est le blues. mais aussi elle commence a le déteste à chaque fois qu’elle voit cette couleur sur ses bras. quinze ○ elle est quand même féminine malgré tout ce qu’il se passe. pour ce qui est de sa perte de poid elle mets ça sur le coup du sport, elle en fait quand même pour extérioriser sa colère et sa peur de tout révéler à tout le monde. seize ○ elle a la maladie de l'endométriose elle aimerait se faire opérer mais vue les coups qu’elle reçoit dans le ventre c’est pas possible. dix sept ○ elle est aussi toucher d’hypertension, c’est minime pour l’instant mais elle espère que ça soit pas plus fort. dix huit ○ plusieurs fois, des amis policiers lui ont appris à se battre. sauf qu’elle n’a jamais oser se retourner contre son mari. dix neuf ○ elle cache un don : les ordinateurs. elle les connait par coeur, elle sait hacker n’importe quel site mais elle ne l’avoue a personne. vingt ○ elle a un petit chat, un bébé chat qu’elle aime pas laisser à son mari sauf qu’il ne lui fait rien heureusement. elle cherche comme elle peu à sortir de cette affreuse vie. vingt-deux ○ il ne faut pas oublier qu’elle a été un peu rebelle à l’âge de quatorze jusqu’à seize ans. elle a déjà fait le mur pour sortir en douce quand ses parents lui disaient non, mais elle a vite stop ses bêtises car elle aimait trop ses études et elle ne voulait pas louper son diplôme.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ emily bett rickards</pris> naevia berenson-svalov

l'histoire de ma vie

on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. ξ le petit prince.

âgée seulement de cinq ans.

La barbe de mon père vient me piquer le visage pour m’embrasser la joue, la gauche exactement. Je grogne doucement malgré moi, mais aussi je viens de me retourner pour qu’il me laisse tranquille, qu’il me laisse dormir. Je n’ai pas envie de me lever, pas maintenant. « Princesse, faut que tu te lève. » Il me caresse aussi mes cheveux blond, bouclé mais aussi il sait comment faire pour me réveiller. Que la douceur peut-être agréable. Mais aussi ne peut que me réveiller. Je viens m’allonger sur le dos, de mes petites mains je viens frotter mes yeux en grimaçant. « Pourquoi papa ? » Je dis doucement mais surtout avec sa grosse voix qu’on dirait qu’elle résonne dans toute ma chambre. « Parce qu’il faut que tu te prépare, on doit partir chez tes grands-parents princesse. » J’ouvre mes petits yeux pour venir regarde le grand homme qui est assit sur le bord de mon lit, ce grand homme avec sa barbe. Bien sûr je vois quand même un peu flou vue qu’on m’a trouvé une myopie. Mon père me mets mes lunettes sur le nez pour que je  puisse mieux voir. Je souris à nouveau en venant me redresser pour m’asseoir sur mon lit. Je lui fais un oui de la tête comme quoi je vais me lever, aller déjeuner, le petit déjeuner déjà préparer puis aussi m’habiller avec l’aide de ma mère principalement.

âgée seulement de quinze ans.

« Je sors ! » Je dis haut et fort après m’être préparé pour sortir, pour aller a ma soirée qui était déjà prévu. Alors que je sens une présence masculine, avec un carrure qui me fait comprendre que je ne dois pas tourner la poignet de la porte d’entrée. Mais surtout, que si je sors sans l’écouter je risque de m’en mordre les doigts. Je me mords doucement ma lèvres inférieur légèrement maquillée d’un rouge à lèvre un peu rosé. Je me retourne doucement vers mon père en ayant un sourire sur mes lèvres. « Jeune fille, je crois que tu vas rester ici, finir tes devoirs. » « Papaaaaa! Tu sais que je le ferais demain, et puis tu sais aussi que je suis une très bonne élève laisse moi sortir un peu ! » je commence a lui faire les yeux doux, j’avais quand même fait attention de ne pas mettre une tenue trop provocante. J’avais enfilé un jean avec un débardeur noir. Mais je vois que mon père croise ses bras sur sa poitrine, le regard assez noir, surement aussi noir que mon tee-shirt. Je me mets à soupirer doucement, laissant mes bras retomber le long de mon corps puis je fais demi-tour, je commence a monté les marches pour rejoindre ma chambre. Alors que j’étais entrain de retirer mon chouchou de mes cheveux pour les laissés tomber sur mes épaules. Alors que je sens une main m’attraper mon avant-bras pour me tirer dans une chambre, je l’ai un petit : « Wohoo ! » mais un “chut” se fait entendre. Je tourne la tête vers Tom mon frère, fronçant les sourcils en le regardant. Je le questionne du regard mais il ferme la porte derrière nous. « Je sais que papa va bosser dans son bureau dans vingt minutes, tu attends, tu passes par ta fenêtre de chambre. Il ne te verra pas, son bureau est à l’opposé de ta chambre. Ne fait rien de débile s’il te plait ! Essaye de ne pas trop boire, et si tu bois... » je le vois faire une grimace, je hausse un sourcils. Je veux qu’il m’en dises plus. « Je vais te planquer des gâteaux, dans ta table de nuit. » Je pouffe doucement de rire en le regardant. « T’es sérieux ? » il fait un oui de la tête. Je souris en haussant des épaules. « A une condition. » « La quel ? » Je souris en le regardant, croisant mes bras sous ma poitrine. « Je veux ça. » je pointe doucement mon index sur sa veste. Il savait très bien que je suis une grande négociatrice. Il lève les yeux au ciel, puis il vient me la donner pour que je puisse l’enfiler.

âgée de vingt deux ans.

L’église est bondé de monde, alors que je suis dans cette petite pièce à tourner en rond, a soufflée à plusieurs reprise, je joue avec mes mains pour me déstresser. Je me regarde une dernière fois dans le miroir et je vois cette tenu de blanc sur mon corps. Je passe plusieurs fois mes mains sur ma robe au niveau de mon ventre. Je passe mes doigts sur mes petites mèches blondes qui dépassent de ma coiffure. « Zen Nae… Zen ! » Je me dis en étant devant mon miroir. D’un seul coup j’ai envie de pleuré. Pourquoi ? Je ne sais pas du tout, sûrement l’émotion. Je viens être surprise par le grincement de la porte. Je me retourne rapidement et je vois mon père. Il voit très vite que ça ne va pas. Je me pince doucement mes lèvres. « Princesse ça va ? » Je souris en me mettant doucement à rire. « Ouais c’est les émotions. » J’ai une larme qui a couler, il s’approche de moi pour venir l’essuyer et me sourit. « Ta mère était dans le même état que toi le jour de notre mariage. Tu es heureux ma princesse alors soit juste heureuse c’est ton jour. » il me dit en embrassant mon front et me prends dans ses bras. Je hoche juste la tête. Après ce câlin, il vient me dire que c’était l’heure, l’heure d’y aller. Quand je rentre dans cette église, tout le monde se lève, la musique arrive puis je vois Kevin au bout. Je marche tranquillement au bras de mon père. J’ai un large sourire sur mes lèvres. Le regarde de mes frères sont sur moi, je me mets à rougir, pourquoi ? Je ne sais pas du tout. Surement parce qu’ils sont fiers de moi. Une fois que mon père m’ait laisser devant mon mari, il par s’asseoir à côté de ma mère, elle qui pleure déjà que la cérémonie n’a pas commencé.

âgée de vingt six ans.

Depuis six moi je n’arrête pas avec le boulot, surtout sur une grosses affaire en plus de plusieurs qui me tombe sur le coin du nez. J’avais promis à Kevin d’être à l’heure ce soir. Depuis plusieurs soirs de suite il n’arrête pas de me parler de cette soirée. Malgré la fatigue je n’ai pas le choix, il ne me laisse pas le choix. Je rentre une heure avant de partir et j’entends le verre taper contre la table basse. « Je suis prête dans trente minutes ! » « T’as intérêt ! » il me dit avec une voix grave mais aussi énerver. Je ne laisse pas parêtre le soupire que j’ai envie de faire entendre mais je monte rapidement les marches pour prendre une rapide douche, pour être à peu près propre en faite. Je ne lave pas mes cheveux, je viens alors enfiler ma robe, celle qui m'a choisi comme toujours. Je me maquille doucement. « NAEVIA ! » me dit-il rapidement et aussi fort. Je serre doucement les dents en soupirant. Je me lève puis je descends. « Je suis prête. J’étais entrain de descendre. » Je dis souriant doucement, le maquillage ? Léger, monsieur n’apprécie plus que je sois trop féminine. Mes cheveux ? Attacher comme toujours. En une queue de cheval maintenant. Il avait déjà bu. Mais je ne dis rien, je le laisse conduire. On va à la soirée de ses amis. Ceux que je ne supporte pas, mais je reste là en pot de fleur comme on dit si bien. Je ne bois pas une goûte d’alcool de toute la soirée, comparé à lui qui titube mais prend quand même le volant. Dans la voiture j’ai eu le malheur de prendre les clefs quand elles sont tombés. Il me regarde avec un regard noir, sort et moi aussi. On échange les places, le trajet se passe sans un mot. C’est seulement en rentrant à la maison, il claque la porte violemment. Je sursaute en me stoppant. « Doucement Kevin ! » « D’où tu fais les choses à ma place toi maintenant ! » « Tu as bu ! Je ne vais pas mourir pour ta connerie d’alcool ! » J'dis franchement. Mais c’est là que sa main s'écrase sur ma joue. Je viens le regarder choquer, laissant ma main sur la marque rouge. Je secoue la tête de gauche à droite et monte rapidement les marches. « Nae… Je suis désolé ! » il me dit. Mais je m’enferme dans notre chambre pour me calmer.

âgée de vingt neuf ans.

« Naevia, pourquoi t’as ce gilet il fait super chaud ! » Je me mets doucement à rire quand mon père m’ouvre la porte. Mais je viens alors changer de sujet. « On va faire un tour de moto papa ! Tu m’avais dit oui en plus. » Il se mets a rire en me voyant lui offrir mon plus grand sourire. Il me fait entrer un instant pour que passe la veste en cuire qu’il me donne et le casque. Je souris puis quand il est prêt je sors après lui. J’avais juste envie de profiter de mon père là, il me donne son casque pour qu’il sorte sa moto. Une fois fait, je lui donne pour qu’il l’enfile puis j’enfile le mien. Je passe mes mains autour de la taille de mon père, je passe ma tête sur le haut de son dos. Je le laisse rouler, ça me fait du bien. Alors qu’on arrive à notre endroit préféré. Déjà une petite place pour se garer qui donne vue sur un grand champ avec des ruines. Une sorte d'entrer en pierre détruite par les années, on passe dessous, je reste silencieuse. Mon père aussi. On sait très bien que si on est ici c’est pour souffler tout les deux. Moi de mon mari violent et mon père de son boulot. Je passe doucement mes mains sur le banc en ruine puis il me tire doucement vers c’est pierre empiler. Je m’assois alors sur les pierres puis je regarde mon père. « C’est toujours aussi beau aussi papa ! » il me faut un oui de la tête. « Enlève ce cuire princesse. » Je le regarde en souriant. Je viens retiré le cuire sans retirer ma petite veste du dessous. Je garde les manches sur mes avant-bras pour continuer à cacher mes bleues anciens mais aussi des hématomes tout frais qui sont la depuis ce matin. Je souris, puis on commence à parler, j’écoute les histoires de mon père. Alors qu’il se stop. « Papa ? » il me regarde en souriant. « Oui princesse ? » J’entre ouvre la bouche prête à parler mais son téléphone sonne, il le prend le coup de fil, c’était son boulot. Alors qu’il me regarde en grimaçant. « On y a va t’en fais pas papa. » Il me regarde en grimaçant. « Tu voulais me dire quoi princesse ? » je viens dans ses bras en souriant. « Rien ne t’en fais pas papa. » il hoche la tête puis on rentre jusqu’à chez nous, chez mes parents. Comment il aurait réagi si je lui aurais tout dit ? Je sais qu’il pourrait le tuer de ses propres mains. Mais je ne lui dis pas, comme on dit si bien : on ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.