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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain !
Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?

vous recherchez une famille ? les wilson attendent encore le reste de leurs membres
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 as you are (reira)

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MessageSujet: Re: as you are (reira) (#)   as you are (reira) - Page 2 EmptyDim 27 Juin - 18:58

as you are




Plot twist de la soirée, la russe retrouvait enfin ses ailes arrachées grâce à la présence salvatrice de Chance, brun bienfaiteur qui fait pleuvoir sur ses plaies une pluie providentielle. Sans lui, elle n’aurait jamais osé remettre un pied sur une piste de danse, même lors d’une soirée anodine. Déjà, oser se mettre en scène devant les appareils de photographie avait été une lourde étape à laquelle elle s’était préparée durant des scènes. Alors forcément, danser, même si ce n’est qu’agiter les bras, demandait un peu plus à l’ange déchue qui doit oser user des ailes à peine florissantes pour s’envoler jusqu’aux cieux. Reira y arrivait bien tant que Chance était là, elle soutient ses efforts grâce à l’éthanol pulsant dans ses veines, se dandine encore sur la piste les yeux fermés jusqu’à ce qu’un trouble-fête ne perce de son dard perfide la bulle qu’elle s’était construite grâce à Chance. Tout s’est fait si vite. Une main baladeuse pas remarquée, aura du pompier retrouvée qui éveille ses mirettes et sa carne qui ressent la malheureuse intruse sur ses courbes, un juron russe et le brun est déjà là pour en découdre. Mais elle ne veut pas créer d’esclandre, aussi justifié soit le poing que Chance rêve d’envoyer dans la mandibule de l’ivrogne. Sauf que l’alcool est plus fort que tout dans ce genre de moments où la raison cède sa place au cœur et à l’esprit embrumé par les effluves d’éthanol. L’angelot ne peut donc pas lutter contre le dieu qui l’enlace pour la protéger des dangers de ce monde. Et elle pourrait presque lui dire qu’elle n’a pas besoin d’une telle protection, sauf que quelque part au fond de son myocarde, Reira fond pour ce geste tendre. Véritable cocon qu’il lui offre alors que l’ennemi cherche à percer leur défense avec ses gestes maladroits. Cliché de la princesse à sauver, elle s’y égare avec ferveur, sourit niaisement en renfermant ses phalanges autour du biceps saillant du pompier. Malgré l’agréable sensation d’être secourue, elle se doit de lui faire retrouver la raison. Elle glisse à sa cochlée des paroles visant à l’apaiser, pour mieux laisser couler la faute de l’abruti. Hélas les phonèmes s’érigent bien inutiles tandis que les loups grognent et se dominent. C’est d’abord par les mots que Chance tente de dénouer la situation, expliquant à sa façon que ce n’est pas une chose à faire. Furie pas rassasiée, le malheureux se mange un coup trop bien placé par l’ancien soldat. La russe se retrouve plus surprise encore que l’olibrius, de ses mains elle couvre son hoquet de surprise quand le corps s’écrase sur une table dans un fracas assourdissant qui attire l’attention du reste du bar. Aussitôt, Chance emporte la belle loin de la scène, récupérant son verre vidé d’une traite. Reira observe le sien, reconnaissant le cocktail. Puisqu’il l’a payé, elle va bien s’en délecter aussi. Verre portée à ses lippes, le sucre lui racle l’œsophage tandis que l’amant confie à son orillon qu’ils feraient mieux de filer. Elle approuve d’un hochement vif de la tête tout en finissant son cocktail grâce à des dernières goulées. « Allons-y. » Venus sans énormément de biens, il leur faut peu de temps avant de quitter les lieux. La danseuse glousse comme une gamine en regagnant la sortie, après qu’ils soient presque incognitos près du barman qui venaient s’enquérir de la situation. « Dis donc tu m’avais caché que tu avais un crochet qui pourrait coucher un ours… » ricane-t-elle, de bon cœur. Parce qu’il vaut mieux rire de la situation que d’en pleurer. Est-ce que l’incident ternit leur soirée ? Pas véritablement à ses yeux, ça ne la rend que plus mémorable. « J’suis encore plus certaine que tu ne feras pas tâche au milieu des Tsvetkov. » qu’elle glisse, innocente avant que leurs silhouettes ne s’éloignent de la façade du bar où ils ne sont plus les bienvenus alors qu’ils ne sont que les victimes. Pour lui prouver que rien ne mettra un terme à l’idylle nocturne, la belle vient emmêler ses phalanges aux siennes, sourire sur les lippes qui meurt en un baiser contre sa mâchoire, là où il a probablement cogné le quidam. « T’es parfait en chevalier qui sauve sa princesse. On devrait peut-être m’embêter plus souvent… » Plaisanterie peut-être de mauvais goût quand elle se remémore la colère palpable du brun, elle le caresse de son souffle avant de déposer un baiser aux coins de ses lèvres.


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Dernière édition par Reira Tsvetkov le Mer 30 Juin - 10:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: as you are (reira) (#)   as you are (reira) - Page 2 EmptyMar 29 Juin - 20:42


as you are
@reira tsvetkov

Alcool qui le faisait se sentir intouchable, pour toi, c'est des ailes qui poussaient dans ton dos. Tu t'étais élancé en ne prévoyant pas de faire marche arrière, l'esprit obnubilé par l'espèce d'imbécile qui avait posé la patte sur Reira. Gamin impétueux éveillé par les effluves qui coulaient dans ton sang, tu n'entends que de loin la demande raisonnable de la russe. Mais t'avais rien de raisonnable, tu l'avais jamais été, et même si tu essayais, ce soir, t'avais pas envie de l'être. Surtout pas après les mots du bougre et son regard, trop insistant à ton goût. Tu ne retiens pas la droite envoyée, oubliant presque la force que tu y mettais. Crochet travaillé à la salle de sport lors de tes entraînements hebdomadaires, ça faisait longtemps que tu t'étais pas vraiment battu, les poings nus. T'étais pas censé te battre, ni même finir au commissariat pour agression, ou la caserne, c'était finit pour toi. Ton passif d'ancien combattant ne t'aidait pas vraiment, ils mettaient tout sur le dos d'un trouble comportemental post-traumatique qui fermait plus de portes qu'on était censé en ouvrir à quelqu'un qui essayait de se réintégrer. Et putain, là, il était pas question d'un trouble quelconque. Juste d'un égo protecteur qui ne supportait pas qu'on s'approche de trop près de quelqu'un à qui tu tenais. En le voyant s'échouer contre une table, rattrapé de justesse par quelques autres clients, tu restes un instant pétrifié, comme si t'avais du mal à réaliser que tu l'avais vraiment mis KO d'un seul coup. A une époque, t'aurais ris aux éclats, tu te serais fichu de sa gueule, c'est certain. Mais là, d'autres détails imprégnaient ta caboche, venait brouiller ta vision. Tu devais te tirer, et vite. Alors t'embarques Reira avec toi, pris entre la panique et l'adrénaline; repasser devant vos verres te donne envie de descendre le tiens, et tu vois Reira faire pareil. Phonèmes soufflés à l'oreille de la brune en remarquant le barman venir vers vous le regard dur, vous le devancer en filant avant qu'il n'ait le temps de vous rejoindre et vous virer, voir même d'appeler les flics. D'ailleurs, c'était peut-être déjà fait. Heureusement pour toi, tu ne l'entends pas protester en vous voyant partir, et t'imagines ainsi qu'il n'ont pour l'instant alerté personne, préférant sans doutes arranger ça calmement. Toi, t'étais très calme, t'aimais juste pas qu'on empiète sur tes plates bandes. Ricanement qui rejoint le rire de l'ancienne danseuse, vous vous éloignez du bar en gloussant comme des adolescents. Tu manques de t'étouffer à sa remarque, risette qui ne fait que s'élargir. « Lui, il n'avait rien d'un ours, ses gros bras, c'était que du vent. » Moue amusée au bout des lippes, tu ne regrettais pas vraiment d'avoir envoyé l'homme au tapis, la soirée était presque trop calme à tes yeux. Et ça ne vous empêchait pas d'en avoir quand même profité, même si elle avait sûrement été raccourcie. Enfin, dans le bar. « Même si je t'avoue que je m'attendais pas à ce qu'il s'relève pas. » Passant une main dans tes cheveux, tu souris en imaginant la situation auprès de sa famille. « Ne me rapporte aucun ours pour vérifier que je puisse en coucher un, parce que je t'assure que c'est moi qui finirait à terre. » Tu ricanes aussi avant de te calmer légèrement, reprenant un certain sérieux. « Désolé d'avoir écourté le bar. J'ai été con. » Grimace désolée sur les lippes, tu regardes la brune avant qu'elle ne vienne emmêler ses doigts aux tiens, rapprochant la pulpe de ses lèvres de ton visage. Sourire rassuré, tu comprends que finalement, ce n'était pas très grave pour elle non plus. L'évocation du chevalier et de sa princesse te font sourire, pourpre qui te monte peut-être légèrement aux joues. « J'espère que non, ça finira par me coûter mon travail. » Tu réponds taquin après son baiser et juste avant de goûter à nouveau à ses lèvres, étreinte des lippes trop courte à ton goût. « Je l'avais prévenu en plus. » Tu ajoutes en haussant les épaules, te détachant légèrement d'elle avant de passer un bras par dessus ses épaules et l'entraîner sur le chemin que vous deviez emprunter pour retrouver la voiture. « Enfin presque; j'veux dire, faut être con pour pas comprendre que ça allait mal finir s'il continuait. » Tu souffles des naseaux, amusé en repensant à la tête qu'il avait en tombant. Bras enlaçant la russe, c'était sans avoir besoin d'en discuter que vous saviez où prolonger la soirée, danse voluptueuse des corps qui se terminera sans aucun doutes chez elle.
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MessageSujet: Re: as you are (reira) (#)   as you are (reira) - Page 2 EmptyMer 30 Juin - 10:38

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La situation a escaladé les marches de la surprise bien trop rapidement pour que les tourtereaux aient eu le temps de dire ouf. Rapide, efficace, l’ancien militaire avait fait parler ses points dans un élan chevaleresque pour libérer la russe du joug du poivrot qui gisait, probablement inconscient, sur la table. Inquiétude toutefois rapidement dissipée, tout au plus, le coup a poussé le taux indécent d’éthanol dans son corps à le mettre ko, alors Reira ne s’en préoccupe pas plus que ça, même si la rapidité et la violence du mouvement lui a tiré un hoquet de surprise. Maintenant, il faut vite sortir avant que les problèmes ne s’accumulent pour Chance. Elle ne le laisserait pas se faire passer les menottes pour si, danseuse aux mimiques d’actrice s’il le faut, la russe saurait en rajouter pour faire passer les actes de l’ivrogne pour une énième agression sexuelle banalisée par la société d’aujourd’hui. Oui, elle mettrait tout en œuvre pour empêcher le sauveur innocent de s’attirer bien trop de troubles avec la police. Elle ignore tout des risques qu’il peut encourir avec son passif, mais dans le doute, elle préfère éviter toutes complications et filer bien rapidement avec l’amant hors des tourments, après avoir descendu les consommations payées. Gloussement enfantin du couple imbibé par l’alcool partagé, ils ont raison d’en rire plutôt que d’en pleurer, d’autant plus qu’il n’y a pas mort d’hommes dans l’histoire. « Je pense qu’il était trop imbibé pour que son corps ne se déconnecte pas dès le premier coup reçu. » qu’elle tente de le rassurer, au cas où l’ancien soldat aurait les diables qui dansent dans ses limbes. S’il est assuré qu’il a une certaine force, Chance n’est pas un super-héros pour assommer un homme d’un crochet trop bien placé. En effet, ce sont surtout les circonstances autour qui ont causé le malaise du malotru. Reira y voit d’ailleurs plutôt une occasion de le complimenter, ironie de la comparaison avec une bataille contre un ours. Elle ricane de plus belle à sa réponse. « Promis, j’éviterai de te faire rencontrer un ours, j’ai pas envie de te voir tout esquinter. » Remembrances de l’incendie où la brune avait senti son cœur faillir en apprenant qu’il y avait des blessés dans les pompiers, rien de grave pour Chance, heureusement. Le sérieux de ses excuses fait sourire la belle qui emmêle plus fortement ses phalanges aux siennes, contact salvateur qui veut tout dire. « C’est pas grave. » Souffle délicat qui vient glisser contre sa mandibule pour l’embrasser, Reira ne lui en veut pas, quand bien même elle lui a intimé de ne rien faire. Même si la violence n’a rien d’esthétique, elle y voit tout de même une tendresse débordante, marque de l’affection du brun pour sa personne. Une presque possession qui l’aurait rebutée il y a quelques temps de ça, qui se dévoile comme un doux tableau. Elle a ce sourire con d’adolescente qui se dit qu’elle a une place plus que particulière dans le myocarde du néozélandais. Pour prouver qu’elle ne lui en veut, la russe le qualifie de parfait chevalier, plaisantant à demi-mots sur le fait que peut-être, elle devrait être une princesse à sauver plus souvent. Lèvres scellées dans quelques baisers, énième preuve de la dédramatisation de la situation. « Tu peux toujours m’apprendre à être mon propre chevalier, alors. » qu’elle dit, pour trouver un compromis. Juste au cas où, car ce n’est pas impossible que ce genre de situations se reproduisent, encore plus si la belle fleur se retrouve exposée par son nouveau travail. Chemin retour vers le véhicule, ses bras guides embrassent tes épaules, tandis que tes cochlées captent les paroles du pompier qui répète la stupidité de l’olibrius. « Je crois qu’il n’avait plus vraiment les capacités mentales de comprendre ce que tu lui disais, de trouver la raison, ou la suite logique des événements. » Entre l’ambitieux sauveur et l’ivre quidam, l’issu était toute tracée. « Peut-être qu’il s’en souviendra et évitera de refaire la même faute, j’espère pour lui. » Risette adressée au brun qui s’étire pour marquer la fin de sa réflexion, ce mec n’a plus d’importance maintenant qu’ils sont à nouveau seuls, prêts à retrouver les étoiles qui les ont lâchés à cause du perturbateur. « Au fait tu ne t’es pas blessé ? Dès qu’on rentre je t’ausculte ! » Pas de discussion possible. Reira n’a jamais frappé quelqu’un avec autant de puissance et à mains nues, mais elle se doute que si le choc a mis ko le destinataire, l’auteur doit peut-être avoir quelques séquelles, même passagères. Puis, ils retrouvent enfin leur monture métallique qui les guident jusqu’à la maison où les cieux effaceront bien vite l’élément perturbateur de leur soirée, parce qu’elle est trop belle pour être terni par un imbécile.


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