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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


elles étaient meilleures amies, mais le temps les a éloignées..
qu'est-ce qu'il en sera quand elles se recroiseront ?

elles ont partagé une relation amoureuse il y a quelques années
et aujourd'hui elles sont toujours en contact et sont mêmes devenues confidentes

 

 we are the greatest curse → sam

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Sam Álvarez
Sam Álvarez
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○ âge : 39 ans. (25.12)
○ statut : célibataire.
○ métier : receleur et arnaqueur.
○ quartier : #111 south bay.
○ orientation sexuelle : hétéro.
○ informations en vrac :
originaire du mexique, a vécu au cuba. ➢ possède une moto. ➢ propriétaire d'un petit chalet au nord de wellington. ➢ plutôt habile des mains. ➢ a voyagé à travers la terre. ➢ assez doué en histoire. ➢ collectionne les vieux trésors, pièces, tableaux etc. ➢ est quelqu'un de plutôt solitaire. ➢ a travaillé au cinéma wellington à son arrivée. ➢ receleur et falsificateur depuis toujours. ➢ aime bien la fantasy. ➢ fume de temps en autres des cigares cubains. ➢ discret comme pas possible. ➢ a adopté le chat blessé qu'il a trouvé. ➢ n'exprime pas beaucoup ses émotions. ➢ fait de l'escalade. ➢ joue aux jeux vidéo que pour le rpg. ➢ a déjà écrit un livre, un seul exemplaire. -celui de sa sœur-. ➢ possède son propre détecteur de métaux. ➢ parle l'espagnol, l'allemand, l'italien et le néerlandais.


○ posts : 131
○ points : 100
○ pseudo : earthsquakes.
○ avatar : Peter Gadiot.
○ DC : 6 elfes.
○ crédits : triumphandloss.
○ inscrit le : 31/07/2021
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyMer 26 Oct - 1:57

Ils peuvent toujours vérifier si la maison a encore quelques trésors, des secrets cachés entre les murs ou sous les planchers, parce qu'à force de faire ce métier, tout n'est pas une évidence ou bien posé sur un coin de bureau. Bien sûr, il n'est pas certain que cela en vaille la peine, mais puisqu'ils sont coincés là en attendant que l'orage cesse, ça peut passer le temps. Bref, si Sam pouvait dépouiller chaque grande maison, il le ferait, mais cela serait d'un ennui mortel, entre bijoux et vieilles bouteilles de vin, il n'y a aucun challenge à cela, puis également redondant de voler la même chose. « Ah, ils avaient peut-être une raison à ne pas en avoir une à l'extérieur, genre une méga piscine d'intérieur ? » Bon, il ne voit pas trop l'intérêt dans un pays où il fait rarement froid, sauf peut-être s'ils ont un problème avec le beau temps, ça se comprend mieux, bref, il ne saura jamais et ce n'est pas bien grave, car il n'a nullement l'intention de venir s'installer dans cette baraque. Sam regarde à travers la baie vitrée qui mène au jardin, ils sont là pour encore un moment, l'orage est toujours là, éclairs, tonnerres, la grosse totale. Son acolyte le sort de ses pensées lorsqu'elle demande s'il y a quelqu'un, ce qui le fait froncer des sourcils puisque de son côté, il n'a rien entendu, ni aperçu une lumière, mais elle a l'air de croire que quelqu'un se trouve à l'intérieur de la maison, c'est-à-dire avec eux et si c'est le cas, il n'est pas entré par la même porte, sauf s'il a pris le temps de la barrer, mais à quoi bon, quand on sait qu'elle est en vente et qu'elle se trouve dans un bon quartier. Quoi qu'il en soit, il se rapproche d'Iggy et se place derrière l'îlot de cuisine. « Comment ça ? » Demande Sam à voix basse, histoire de savoir d'où cela semble provenir et surtout pour éviter de tomber nez-à-nez avec cette personne. Au même moment, il entend les craquements et comme il ne connaît pas la maison, n'ayant pas visité l'étage au-dessus, il ignore la pièce, si jamais ils doivent monter. « Tu veux qu'on aille voir ? » Ou ils peuvent partir, retourner à la voiture, avec l'espoir qu'elle fonctionne, néanmoins il doute qu'elle puisse redémarrer sous l'orage actuel. Sam fouille dans ses poches et il sort son crochet, c'est tout ce qu'il a, ça et ses clés. « Tu as de quoi te défendre ? » Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit.

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Iggy Rayne
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○ statut : besoin de personne... ?
○ métier : pas vraiment un métier, plutôt quelque chose qui lui colle aux basques. on pourrait dire qu'elle a l'escroquerie dans le sang.
○ quartier : south bay #222.
○ orientation sexuelle : les hommes et l'argent ? l'argent et les hommes ? les hommes sur des billets.
○ informations en vrac :
pas de chien ni de chat mais une fille née en 2000 qu'elle ne connaît que depuis ses dix-sept ans : charli ✧ garde une moitié de sa fortune sous son matelas, l'autre dans un bloc de glace au fond du congélateur ✧ provient d'une famille de forains ✧ roule en cadillac eldorado biarritz et parfois en harley ✧ moyenne en tout, sauf pour rouler les autres dans la farine ✧ change d'identité comme de chemise ✧ clubbe un maximum ✧ serial divorceuse, un seul a fait mal
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyLun 31 Oct - 18:25

Une piscine intérieure, c’était le grand luxe, c’est sûr. Et ça devait probablement demander moins d’entretien avec la mousse et les insectes venus se noyer dans les piscines extérieures. Mais Iggy avait un peu de mal à ne pas trouver ça regrettable, en un sens. Notamment parce que vous n’aviez jamais l’occasion de nager tout en sentant une brise fraîche vous caresser le crâne quand vous possédiez une piscine intérieure. En revanche, vous pouviez vous y baigner peu importe le temps qu’il faisait dehors. Tout ça pour dire qu’il y avait à peu près autant d’inconvénients que d’avantages.
« Ouais, peut-être, j’irai jeter un coup d’œil à la cave avant de partir. »
Sinon, il existait bel et bien une autre explication : personne des gens qui vivaient ici ne savaient nager et ils avaient tous peur de l’eau. Ça devait exister ; il paraît que c’est une mauvaise chose que de transmettre ses phobies à ses enfants mais, du peu d’expérience qu’elle tirait de sa propre situation, elle se disait que c’était aussi carrément inévitable. Pour l’heure, c’était surtout l’étage qui avait tout son intérêt. Notamment parce qu’elle avait entendu du bruit là-haut. Demander qui était là était peut-être idiot mais dans le pire des cas, si quelqu’un se trouvait vraiment à l’étage, ils n’auraient qu’à se faire passer pour de potentiels acheteurs – des fois que ça doit un agent immobilier qui se trouvait là-haut.

De l’index, Iggy désigna le plafond à Sam et lui expliqua :
« J’ai entendu le plancher craquer, comme si quelqu’un était en train de marcher. »
Si elle voulait qu’ils aillent voir ? Elle n’était pas sûre, ça lui fichait un peu la chair de poule, comme si un danger imminent s’apprêtait à leur tomber sur le coin de la figure. Les yeux rivés au plafond, elle ne sut que répondre. Puis Sam lui demanda si elle avait de quoi se défendre et Iggy fouilla dans son sac jusqu’à trouver une statuette. Elle le soupesa quelques secondes dans sa main, essayant de jauger si ça serait assez lourd pour assommer quelqu’un et finit par hocher la tête. Ça le serait ; à condition d’y mettre assez de force. Prenant finalement une décision, elle mit le pied sur la première marche. Et bien qu’elle se soit annoncée quelques minutes plus tôt à peine, elle tâcha quand même de ne pas trop faire de bruit en débutant son ascension.

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« blood on the dancefloor. »
to escape the world, i've got to enjoy that simple dance and it seemed that everything was on my side (blood on my side) she seemed sincere like it was love and true romance and now she's out to get me but I just can't take it just can't break it
   

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Sam Álvarez
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyJeu 1 Déc - 19:09

Va savoir ce qui pourrait se trouver au sous-sol d'une grande maison, il y a masse de choix quand même, entre une piscine, une cave à vin, un donjon ou bien tout simplement un sous-sol sans rien à l'intérieur, enfin, la différence c'est que la piscine risque d'être toujours là, le reste un peu moins. M'enfin, il ne compte pas vraiment visiter la maison, puisqu'il est déjà très content de ce qu'il a à South Bay et à son chalet, là où il peut se détendre et admirer sa collection, parce qu'il a caché quelques trésors là-bas, mais évidemment tout ne s'y trouve pas, ce serait une grave erreur de tout entreposer au même endroit. Admirer, est un bien grand mot, mais il aime savoir qu'il a fait des efforts pour obtenir ces objets, pas comme ceux qui doivent payer Sam pour les avoir en retour. Bref, tout cela pour dire qu'il ignore si elle va réussir à trouver une méga piscine dans cette baraque, mais en attendant, ils doivent apparemment faire gaffe à un possible inconnu à l'étage, quand même bizarre qu'ils aient eu la même idée que ce type. Sam lui demande si elle veut vérifier l'étage, sauf qu'honnêtement, il n'a pas vraiment envie d'y aller, c'est toujours mauvais signe, parce que oui, c'est toujours le cas quand quelqu'un ne devrait pas être là, eux compris, alors, si une troisième personne a décidé d'être présent, c'est bizarre. Sam reste en bas des escaliers, pour l'unique raison que s'il commence à monter les escaliers, il n'y a aucun doute sur le fait qu'il risque de signaler à l'individu sa présence, avec le bruit des marches qui risquent de craquer sous son poids. Il lui fait un signe de la tête, surveillant tout de même les arrières d'Iggy, au cas où que cela se passerait mal, espérons que non, m'enfin, vaut mieux être prudent. Il reste sur ses gardes, puis attend son signal pour monter complètement, à savoir si elle remarque une silhouette ou pas, s'il doit la suivre pour la couvrir sur une plus grande surface.

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Iggy Rayne
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyVen 9 Déc - 18:11

Une marche après l’autre, un pas après l’autre. Iggy avançait avec une telle prudence qu’elle risquait de perdre l’équilibre à tout instant. Mais pour le moment, ça payait : aucune marche n’avait craqué. Resserrant sa prise autour de la statuette, elle la leva à hauteur d’épaule comme une batte de baseball jusqu’à arriver sur le palier. Un éclair tomba dehors, illuminant la pièce se trouvant sur sa droite. Ce qui lui permit d’apercevoir une silhouette dans ladite pièce du coin de l’œil. Le souffle court, elle se figea mais continua d’observer la silhouette, tâchant de rester dans l’ombre. Celle-ci ne bougeait pas. Une minute, deux minutes, cinq minutes passèrent sans qu’aucun des deux ne bougent. Si bien qu’Iggy se décida à passer la tête par l’embrasure de la porte. Un mannequin de couture se tenait dans un coin de la pièce. Elle se permit de respirer de nouveau. En oubliant le bruit qu’elle avait entendu un peu plus tôt, elle se tourna vers la cage d’escaliers et apprit à Sam :
« C’est bon, rien de plus qu’un mannequin sans tête. »
C’est alors qu’une autre silhouette immergea à toute vitesse d’une autre des pièces. Haute et large ; Iggy eut tellement peur qu’elle ne réfléchit pas avant de viser la tête du gars avec sa statuette en poussant un cri de surprise. Et le type tomba de tout son long. Sans se relever. Tandis que du sang commençait à former une flaque s’infiltrant sous le parquet. Sa première pensée fut de se dire que ça allait laisser une tache. Avant de réaliser qu’il était peut-être mort, en fait…
« Merde Sam, je crois que j’ai tué quelqu’un ! »
Mais non, sans se réveiller, cet homme émit un grognement de douleur et gigota un peu par terre. Pfiou, elle l’avait échappé belle ! Une fois rassurée à ce sujet, elle examina l’inconnu qu’elle venait d’agresser et, à en juger par ses guenilles, ça ne devait pas être un agent immobilier. Plutôt un zonard, voire même un sans-abri.
« Non c’est bon, il respire encore ! Putain, il m’a fait une de ces peurs ! »
Mais elle comprenait pourquoi il avait pris la décision de se cacher plutôt que d’annoncer sa présence ; lui non plus n’avait pas le droit d’être là.
« Qu’est-ce qu’on fait de lui ? »
Le laisser là reviendrait à ne pas savoir s’il survivrait ou pas, surtout avec une hémorragie, mais elle ne pouvait pas non plus l’emmener à l’hôpital et devoir expliquer comment elle avait fait sa rencontre.

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Sam Álvarez
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptySam 31 Déc - 1:33

C'est tout de même une situation des plus bizarres pour deux collectionneurs, de se retrouver dans une maison vide avec un autre inconnu qui rôde à l'étage. Oui, ça peut arriver dans d'autres situations, dans un autre pays, de tomber sur des Américains, des chasseurs d'or, mais là, c'est complètement différent, ils devraient y avoir personne, même pas eux. Bref, ils restent sur leurs gardes, au cas où qu'ils tomberaient sur quelqu'un qui sort tout droit de prison ou d'un hôpital psychiatrique, sait-on jamais, ça arrive que les gens s'échappent. Un soulagement, le temps de quelques secondes à peine, car il ne semblait pas y avoir qu'un mannequin sans tête, d'ailleurs, pourquoi avoir laissé cette horrible chose ici ? Dans tous les cas, pas le temps de se pencher sur la question puisque tout s'enchaîne si rapidement, que Sam se retrouve près d'une petite flaque de sang et d'un corps allongé sur le sol. D'accord, c'est un voleur, receleur, arnaqueur, un menteur, mais un tueur, sûrement pas et honnêtement, il ne sait pas comment réagir, il panique en vrai, mais quoi faire ? « Merde.. » Difficile d'en dire plus, c'est la merde, puis, honnêtement, on ne sait jamais comment réagir face à cela, il est tout de même sous le choc, il ne va pas le nier. L'homme respire et c'est une bonne chose, il se voyait déjà en train de fuir la scène de crime ou même de devoir enterrer ce type, une première dans sa vie et sûrement celle d'Iggy, il l'espère du moins. « Je ne me sens pas très à l'aise là. » Pour ne pas dire, pas très bien dans sa peau en ce moment, l'envie de gerber lui monte à la gorge, mais il arrive à contrôler cela, surtout qu'au final, personne n'est encore mort. « Franchement, je ne sais pas, on pourrait le déplacer et le laisser près d'un hôpital, mais en même temps, il y a tout ce sang, ils finiront bien par découvrir de qui il s'agit. » C'est bien connu, le sang tache et il laisse des traces qui n'échappent pas aux experts et aux lampes uv. « Sauf si.. tu connais un nettoyeur ? » Un peu extrême, bien évidemment, mais tout pour éviter la prison, pas vrai ? « Il va falloir effacer nos traces, dans tous les cas, on ne peut pas rester là, je pense. »

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptySam 7 Jan - 20:38

L’éventualité d’avoir tué un homme n’effraya Iggy qu’à moitié. En fait, son esprit pratique avait pris le dessus sur le côté émotionnel du truc. Si elle l’avait vraiment tué, alors elle aurait tout le temps de se culpabiliser plus tard, mais pour l’heure, il lui fallait trouver quoi faire pour les sortir de là. Les. Elle, Sam et éventuellement ce pauvre type, à condition qu’il n’ait pas déjà rendu son dernier souffle. Mais non, en l’examinant de plus près, elle voyait sa poitrine se soulever puis s’abaisser au rythme lent et régulier de sa respiration. Bon, c’était déjà ça mais s’ils ne faisaient pas quelque chose assez vite, peut-être qu’il allait se vider de son sang sur le parquet. Ce qui laisserait une tache impossible à nettoyer. Levant les yeux vers Sam, elle nota que son teint s’était tout d’un coup fait cireux et songea qu’en plus du sang, un peu de vomi aurait très bien pu venir tacher ce sol. Fort heureusement, il n’en fut rien et l’esprit d’Iggy put continuer à tourner à plein régime. Le déplacer n’était peut-être pas la meilleure chose à faire, elle avait toujours entendu dire que ça pouvait aggraver des tas de trucs mais d’un autre côté, s’ils le laissaient là, peut-être que ça revenait à signer son arrêt de mort. Sans parler du fait que, comme le fit alors très justement remarquer Sam, on finirait par savoir qui c’est parce qu’on aurait retrouvé son cadavre. Bref. Un nettoyeur… Ah, c’était peut-être une solution un peu extrême étant donné que personne n’était mort mais s’il y a bien quelqu’un qui saurait se débarrasser d’une tache de sang, c’était bien un nettoyeur.
« Pas con. J’en connais pas personnellement mais je dois bien connaître quelqu’un qui lui en connaît un. Voire même qui connaît un médecin qui pourrait nous venir en aide sans qu’on ait besoin de l’emmener à l’hôpital. »
Et ça, Iggy en connaissait un. C’est qu’il valait mieux assurer ses arrières quand on faisait un métier où un mari furibard risquait de vous tirer dessus, de vous poignarder, de vous empoisonner ou autre, si jamais il vous prenait la main dans le sac. Non, ça n’était encore jamais arrivé mais mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit. Se passant les mains dans les cheveux, elle se redressa de toute sa hauteur et se détourna de la scène pour sortir son téléphone et composer un numéro qu’elle connaissait de tête. On lui répondit à la première sonnerie. Toujours au téléphone, elle demanda à Sam :
« Tu peux vérifier son pouls, s’il te plaît ? »
Puis lorsqu’elle eut l’info qu’on lui demandait, la transmit à son interlocuteur qui annonça qu’il arrivait et raccrocha sans un mot de plus :
« Mon contact arrive. »
Puis elle poussa un soupir. De lassitude ou de soulagement, elle-même n’aurait su dire, sans doute un peu des deux.
« Si j’avais su que ça se passerait comme ça, j’y aurais réfléchi à deux fois avant d’accepter de voler des reliques peut-être maudites finalement. »

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 21:58

Ce n'est pas vraiment la journée qu'il s'était imaginé, tout n'était qu'une question de vol, rien de plus, rien de moins, mais là, ils sont bien loin de ce qu'ils font habituellement, en tout cas pour Sam. N'importe qui céderait à la vue du sang, il y a de quoi paniquer avec tout ce qui est en train de se passer, mais il reste droit, il se contrôle, car il sait très bien que céder à la panique ne va pas résoudre le problème qui se trouve sous ses yeux. De plus, il aimerait pouvoir en finir vite et rentrer chez lui comme si rien n'était, faire comme si tout allait bien, après tout, l'homme respire, c'est déjà une bonne nouvelle, la mauvaise c'est qu'ils ne peuvent pas vraiment le laisser là. Dans tous les cas, il faut agir en vitesse, quitte à faire appel à un nettoyeur, heureusement qu'ils font déjà dans l'illégalité, ça ne va donc pas paraître bizarre de demander de l'aide, pourvu que tout reste entre eux. Bref, apparemment, Iggy connaît même un médecin, ce n'est pas étonnant, il y a toujours quelqu'un dans ce milieu qui ne suit pas à la lettre le code ethnique des médecins, mais Sam ne se pose pas de question, il s'en fiche bien, tant que cette histoire se règle et que rien ne leur retombe dessus, c'est l'important. Il vérifie le pouls de l'homme, avec une grande méfiance, d'un coup qu'il soit mort ou qu'il se réveille en leur faisant peur, sauf qu'il est toujours dans les vannes et il respire malgré toute l'agitation. Il soupire, puis il se recule, il attend impatiemment l'arrivée du médecin. « Tu y crois vraiment hein ? » Comme s'il avait besoin de plus de preuves, il ne veut même pas y penser et à vrai dire, qu'importe, ces reliques vont quand même trouver preneur et eux, ils vont récupérer l'argent de la vente. C'est après tout, pour cela qu'ils ont fait cela. « Tant que j'ai l'argent, peu importe si c'est vrai ou non, cette histoire de malédiction. » Bien sûr, lorsque c'est dit ainsi, peu importe si l'homme meurt, cela peut paraître inhumain, mais au bout du compte, il faut bien qu'ils en tirent quelque chose de toute cette histoire, non ?

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Iggy Rayne
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○ statut : besoin de personne... ?
○ métier : pas vraiment un métier, plutôt quelque chose qui lui colle aux basques. on pourrait dire qu'elle a l'escroquerie dans le sang.
○ quartier : south bay #222.
○ orientation sexuelle : les hommes et l'argent ? l'argent et les hommes ? les hommes sur des billets.
○ informations en vrac :
pas de chien ni de chat mais une fille née en 2000 qu'elle ne connaît que depuis ses dix-sept ans : charli ✧ garde une moitié de sa fortune sous son matelas, l'autre dans un bloc de glace au fond du congélateur ✧ provient d'une famille de forains ✧ roule en cadillac eldorado biarritz et parfois en harley ✧ moyenne en tout, sauf pour rouler les autres dans la farine ✧ change d'identité comme de chemise ✧ clubbe un maximum ✧ serial divorceuse, un seul a fait mal
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyDim 26 Fév - 17:32


Si elle croyait vraiment à cette histoire de malédiction ? Bras croisés sous la poitrine, elle prit le temps de la réflexion. Disons que c’était la première fois qu’elle mettait la vie de quelqu’un en danger. Et que c’était aussi son premier vol de reliques prétendues maudites. Difficile pour elle de ne pas faire le rapprochement. Mais elle sait très bien que ça peut aussi n’être rien de plus qu’une coïncidence, donc… Elle finit par hausser les épaules.
« J’en sais rien. Mais si c’en est une, cette coïncidence n’aurait pas pu choisir pire moment. »
Il faut dire qu’Iggy n’avait jamais été quelqu’un de particulièrement superstitieux. Sans aller jusqu’à attendre de voir pour croire non plus. En fait, elle ne s’était jamais vraiment posé ce genre de questions et celles-ci n’avaient jamais régi sa vie en aucune façon. Là-dessus, Sam lui fit savoir qu’en ce qui le concernait, qu’ils soient maudits ou non pour avoir mis la main sur des reliques ne changeait strictement rien pour lui ; il les vendrait de toute manière. Ah, ça c’est sûr qu’Iggy ne cracherait pas sur sa part du gâteau non plus, surtout après toutes ces émotions. Acquiesçant d’un mouvement de tête, elle répondit :
« De toute manière, les malédictions ça ne fait trembler des genoux que les gens qui ont quelque chose à perdre. »
Et qu’avait-elle donc à perdre, elle ? Sa liberté éventuellement, mais sinon… Iggy avait beau jeter un regard sur sa vie, elle ne voyait rien qui puisse la retenir. Pour ce que ça changeait, sa fille était majeure maintenant et elle était divorcée. En fait, c’était un vrai miracle qu’elle ne soit pas déjà repartie sur les routes en quête d’autres coups auxquels participer. Par contre, si cet homme venait à mourir par sa faute, elle aurait ça sur la conscience pour le restant de ses jours et, à choisir, elle aimait autant ne pas avoir à s’infliger ça. D’autant que, sur un malentendu, elle pourrait finir derrière les barreaux, donc autant éviter. Son téléphone vibra dans sa main et, jetant à coup d’œil à l’écran, elle vit que son contact se trouvait dans la rue.
« Le voilà, tu restes une seconde avec lui ? Je vais le chercher. »
Elle attendit d’avoir son accord avant de reprendre les escaliers en sens inverse et d’emprunter le même chemin que celui qu’ils avaient pris à l’allée, histoire de ne pas mettre des empreintes partout, ça serait plus facile à effacer ensuite.

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Sam Álvarez
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originaire du mexique, a vécu au cuba. ➢ possède une moto. ➢ propriétaire d'un petit chalet au nord de wellington. ➢ plutôt habile des mains. ➢ a voyagé à travers la terre. ➢ assez doué en histoire. ➢ collectionne les vieux trésors, pièces, tableaux etc. ➢ est quelqu'un de plutôt solitaire. ➢ a travaillé au cinéma wellington à son arrivée. ➢ receleur et falsificateur depuis toujours. ➢ aime bien la fantasy. ➢ fume de temps en autres des cigares cubains. ➢ discret comme pas possible. ➢ a adopté le chat blessé qu'il a trouvé. ➢ n'exprime pas beaucoup ses émotions. ➢ fait de l'escalade. ➢ joue aux jeux vidéo que pour le rpg. ➢ a déjà écrit un livre, un seul exemplaire. -celui de sa sœur-. ➢ possède son propre détecteur de métaux. ➢ parle l'espagnol, l'allemand, l'italien et le néerlandais.


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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyDim 26 Mar - 3:40

Il préfère largement se dire que c'est une coïncidence. Non, il n'aime pas se dire que cela pourrait être vrai ou quoi que ce soit d'autre, il n'est pas croyant, il ne croit pas à ses histoires de malédictions et toutes les autres foutaises. Mais oui, Sam était curieux de savoir si Iggy croyait à cette histoire, chacun est libre de croire en ce qu'il veut. Dans tous les cas, cela ne va pas l'empêcher de revendre ce qu'ils ont trouvé et de se faire de l'argent sur le compte d'une histoire d'objets maudits. Oui, après tout, ils sont venus pour cela, pas pour commencer à avoir peur et puis, avec ce qui se passe actuellement, ils n'ont pas vraiment le temps de débattre à ce sujet, même si débat n'a pas lieu d'être, tous les deux voulant la même chose, c'est-à-dire, l'oseille qu'ils vont se faire avec cela. Sam pouffe à ce qu'elle ajoute ensuite de cela, c'est sûrement ça, le concernant, il n'a aucune attache, certes, il a une petite sœur, mais s'il venait à lui arriver quelque chose, elle risquerait d'avoir de finir sa vie avec de beaux jours, c'est-à-dire avec l'argent qu'elle pourra récupérer, il a pensé à cela, même sans testament, elle pourra en profiter. Tout cela pour dire, qu'il n'a rien à perdre et qu'il veut bien passer des épreuves de feu, fouiller un vieux tombeau maudit, tout cela, rien que pour pouvoir récupérer son dû, après tout, cela serait bien mérité. Même s'il n'aime pas la situation actuelle, il hoche la tête, il laisse le temps à Iggy de chercher son contact, histoire qu'ils puissent en finir, c'est plutôt angoissant, ce n'est pas à tous les jours que cela arrive, enfin, la bonne nouvelle, c'est qu'il ne soit pas encore mort. Sam s'éloigne un peu, il regarde par la fenêtre, remarque qu'ils rentrent à l'intérieur de la maison, pile au moment, où l'homme commence à tousser, à cracher du sang, Sam leur demande de se dépêcher, car bon, à part le regarder, il ne sait pas trop quoi faire, parce qu'à défaut d'avoir choisi des études médecines comme toutes les asiatiques, le gros cliché de base, il a préféré être arnaqueur, donc, savoir soigner un mec, ce n'est pas dans ses cordes. « Il va mourir ? On va devoir l'achever à coups de pelle ? » Simple suggestion, rapide, mais jamais testé en fin de compte.

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyMar 28 Mar - 17:27

Resserrant les pans de son manteau autour d’elle une fois dehors – c’est qu’il ne faisait pas chaud, mine de rien -, elle attendit quelques secondes de voir la silhouette de son contact se découper sur la lumière projetée par un lampadaire de la rue. Comme ça, on aurait pu croire la scène tout droit sortie de l’Exorciste. Mais Iggy préféra rapidement chasser cette idée idiote de sa tête. Et ne pas perdre une seconde pour le faire entrer. Elle ne prit pas la peine de lui expliquer comment ils en étaient arrivés là ; c’était inutile, son contact aimait mieux ne rien savoir, faire son boulot et disparaître dans la nature de la même manière dont il était arrivé, et l’entraîna à l’étage. Où, toujours dans les vapes, le type toussa et cracha un peu de sang par la même occasion. Cette vision figea Iggy qui, bien qu’elle sache pertinemment qu’une hémorragie interne n’était pas la seule possibilité, savait quand même que c’en était une. Là-dessus, Sam en rajouta une couche en parlant d’achever ce pauvre homme à coups de pelle et elle s’aperçut alors qu’elle avait le souffle un peu court tandis qu’elle dévisageait son contact, penché sur l’autre intrus. Au bout d’une ou deux minutes d’examen, il finit par émettre un rire et annoncer que ça ne serait pas nécessaire : il s’en remettrait. Enfin, à condition de surveiller cette commotion. Pour le sang qu’il recrachait de temps à autre, il ne provenait apparemment que d’une blessure buccale. C’est alors qu’elle put déglutir à nouveau sans trop de difficulté et respirer un coup. Soulagement serait un euphémisme pour décrire ce qu’elle ressentait actuellement mais Iggy était comme ça : très douée pour masquer ses émotions. Sans quoi, elle n’aurait jamais pu rouler tout ce beau monde. Parce que quand même, elle n’avait pas été loin de tourner de l’œil face à l’angoisse. Bref, le contact se tourna alors vers eux et leur fit comprendre que son équipe allait se charger de tout nettoyer et de tout arranger avant de leur tendre une petite carte de visite sur laquelle figurait un numéro de compte. Iggy l’empocha ; c’était elle qui avait manqué tuer quelqu’un, c’était elle qui payerait. Puis l’homme commença à s’affairer tandis que le reste de son équipe envahissait les lieux et les regarda avec l’air de dire qu’ils étaient dans le chemin. Certes, mais le problème de base restait le même, la voiture était toujours en panne.
« Hm, est-ce que vous auriez des pinces croco dans votre fourgonnette, par hasard ? »
Elle avait un peu l’impression d’en demander beaucoup mais d’un autre côté, ça ne la dérangeait pas de rajouter un supplément pour dépannage dans la facture si c’était pour se sortir de là.

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyMer 19 Avr - 5:20

Il préférait ne pas rester seul avec l'homme au sol, c'est donc un soulagement de les voir remonter à l'étage, il se sent déjà moins paniqué, parce qu'il ne sait pas quoi faire et qu'au fond, il n'a pas vraiment envie de s'impliquer là-dedans, sa vie est d'arnaquer, pas de tuer des gens. Oui, clairement, il ne souhaite pas se retrouver dans ce genre de situation, heureusement, il n'est pas seul, bien que cela ne veuille pas dire qu'il est à l'aise, il a hâte de quitter cette maison, avoir su, ils seraient restés dans cette bagnole en attendant que la tempête se calme, que les orages cessent pour leur permettre de rentrer chacun de leur côté avec les biens volés. Mais les voilà, aux côtés d'un nettoyeur, idée de Sam, qui ne pensait pas se voir réaliser, il suppose que c'est mieux cela que des policiers. Il voit qu'Iggy semble soulagé et cela se comprend, Sam aussi, il l'est, il se recule de quelques pas, car il y a d'autres inconnus, des acolytes du nettoyeur entrent dans la pièce pour commencer à faire le ménage, enfin, tout nettoyer, vous voyez, plus, ne pas avoir la responsabilité de s'occuper du sans-abri, c'est avec grand plaisir qu'il l'accepte ça, comme déjà dit, il ne saurait pas quoi faire, si ce n'est que se figer et le laisser dans la mare de sang, prendre la fuite aussi, c'est une option. Mais bon, maintenant, ils n'ont plus à penser à cela, pas vrai ? Le contact glisse une carte à Iggy, puis celle-ci leur demande une pince, il n'est pas surpris de l'entendre dire oui, forcément, ils doivent avoir une tonne d'outils que même un jardinier et un garagiste n'ont pas chez eux. Bref, Sam se fiche bien de la provenance des outils, il est loin de pouvoir juger, alors qu'il n'est pas tout blanc et puis, l'important c'est de pouvoir quitter ce quartier. Il accepte de suivre l'homme et il l'attend sur le côté de la camionnette, enfin, peur de tomber sur quelque chose qui va l'empêcher de dormir pour les prochaines nuits, il récupère la pince, dans tous les cas, ils n'auront pas besoin de l'utiliser, si la voiture décide de fonctionner, Sam sort ses clés et il s'assoit sur le siège du conducteur, il tente de la faire démarrer, mais toujours rien, bon, il donne la pince à Iggy et ouvre le capot. « Tu vois un truc ? De la fumée ou quelque chose ? »

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyMer 19 Avr - 18:09

Quelle soirée ! Iggy avait beau aimer quand ça bougeait, quand il y avait de l’action, force était d’admettre que ce soir-là, il y en avait peut-être eu un poil trop. Elle se sentait carrément à l’ouest, comme évoluant dans une scène qu’elle ne faisait que regarder de loin, à laquelle elle n’était pas vraiment en train de participer. Pourtant, c’était le cas. Elle était là et elle avait bien failli tuer quelqu’un. Bon, ça n’aurait été qu’un accident comme il peut en arriver à n’importe qui mais elle n’avait aucune envie de s’ajouter la mort d’un pauvre type sur la conscience. Même si celle-ci ne croulait pas non plus sous tant de poids que ça parce qu’elle ne regrettait que très rarement de voler les riches. Ils étaient riches après tout. Et souvent bien assurés. Partir, même avec plusieurs de leurs millions, ça revenait à emprunter dix dollars à quelqu’un de normal et oublier de les lui rendre. Non, les scrupules ce n’était pas pour elle parce qu’elle n’avait jamais eu l’impression de faire du mal à qui que ce soit. Ou alors un tout petit peu. Rien d’insurmontable, en résumé. Alors qu’une mort, en revanche, voilà qui n’était pas du tout surmontable. Tout ça pour dire qu’elle s’entendait parler mais comme si ça voix venait de loin, qu’elle avait l’impression de marcher sur du coton et que les idées qui lui venaient n’étaient plus vraiment réfléchies. Elles étaient automatiques. Comme celle de demander à ces gens s’ils n’avaient pas des pinces crocodiles dans le coffre de leur fourgonnette. Son but était alors de rentrer à la villa et ça, c’était un moyen d’y parvenir. Le hic, c’est qu’elle ne pouvait même pas être sûre que c’était bien ça, le problème de leur voiture ; elle n’était pas devenue garagiste entre-temps. Mais ça se tentait. Un autre type – ou peut-être une femme, elle n’y prêta pas vraiment attention de toute façon, ces gens étaient tous en combinaisons – les escorta hors de cette maison de malheur jusqu’au fourgon et leur tendit la paire de pinces avant de leur dire de partir devant tandis qu’elle suivrait pour qu’ils puissent relier les deux batteries. Quant à Sam, il n’avait pas l’air beaucoup plus à l’aise dans ses baskets qu’elle puisqu’il n’essaya pas de brancher quoi que ce soit et s’installa derrière le volant pour voir si la voiture démarrait sans aide. Ce qui ne fut pas le cas, bien sûr.
« Non, mais on dirait que le moteur est en train de se noyer. C’est peut-être juste la batterie. »
Elle attendit que la personne se gare juste devant eux, descende du véhicule et ouvre son capot à son tour pour lui tendre les pinces. Elle n’aurait de toute manière pas su où les placer. Là-dessus, on redemanda à Sam de réessayer de démarrer. Ils auraient bientôt leur réponse. Si ce n’était pas ça, alors il faudrait encore demander à ces gens de leur rendre un nouveau service en les déposant chez eux, mais ils n’étaient plus à ça près.

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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyMar 6 Juin - 0:21

C'est pas mal la première fois qu'il termine une journée dans une mare de sang, bien que ce ne soit techniquement pas lui, qui soit couché sur le plancher de bois en train d'agoniser. Oui, il exagère un peu, mais ce n'est pas pour autant qu'il aurait voulu se retrouver à sa place, de toute façon, impossible que cela arrive, entrer dans une maison sans prendre de précaution pour dérober quelque chose ? Il faut être amateur. Enfin, il suppose que dans ce cas-ci, ce n'était pas pour voler quoi que ce soit, mais sûrement pour dormir. Dans tous les cas, il n'a pas tellement envie de connaître la raison du bonhomme, de base, eux, ils n'étaient là que pour attendre que la pluie diminue et trouver une solution pour la voiture en panne. Cela confirme toujours qu'un rien peut vite se transformer en drame, bien qu'ici, l'homme ne va pas mourir et c'est une bonne chose, car ils n'auront pas à vivre avec sa mort sur leur conscience et on peut également ajouter que l'homme est assez résistant pour quelqu'un de son âge. Tout cela pour dire, qu'ils ont toujours le même problème, la voiture ne démarre pas et il n'y connaît rien en voiture, vraiment, il n'a jamais cherché quoi que ce soit sur internet pour connaître la mécanique de sa bécane ou de sa voiture, il a toujours suffi d'aller voir un mécanicien sans se poser de questions et le tour est joué. Il demande alors, s'il y a de la fumée, même si c'est le cas, il ne risque pas de savoir quoi faire non plus et il suppose qu'Iggy non plus, heureusement, la personne qui leur a donné les pinces, est assez sympa pour leur venir en aide, en même temps, mieux vaut partir rapidement de ce lieu maudit, pardon, de cette maison de malheur qui ne leur a rien apporté de bon. Sam tente de démarrer, premier coup, pas moyen, si le moteur est noyé, il faut forcément retenter, ce n'est qu'au troisième essai, que la voiture démarre, on dit que la troisième fois est toujours la bonne, non ? « Bingo ! » Première fois qu'il se montre aussi enthousiaste depuis le début de la journée. Il laisse le moteur allumé et il ressort de la bagnole pour venir remercier cette personne, parce que vivement qu'ils se barrent. Donc, les pinces retirées, le capot fermé, il remonte et il attend que son amie en fasse de même pour reprendre la parole. « On est d'accord qu'on devrait se débarrasser de ce qu'on a trouvé rapidement, non ? » Ce n'est pas qu'il soit le genre à traîner des mois et des mois quand dérobe quelque chose, mais il aime trouver le bon acheteur avec la plus grande offre, cette fois-ci, il préfère s'en départir au plus vite, enfin, tant que cela rapporte, bien entendu. « Je te dépose quelque part ? »

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pas de chien ni de chat mais une fille née en 2000 qu'elle ne connaît que depuis ses dix-sept ans : charli ✧ garde une moitié de sa fortune sous son matelas, l'autre dans un bloc de glace au fond du congélateur ✧ provient d'une famille de forains ✧ roule en cadillac eldorado biarritz et parfois en harley ✧ moyenne en tout, sauf pour rouler les autres dans la farine ✧ change d'identité comme de chemise ✧ clubbe un maximum ✧ serial divorceuse, un seul a fait mal
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MessageSujet: Re: we are the greatest curse → sam (#)   we are the greatest curse → sam - Page 2 EmptyLun 12 Juin - 18:37

Plantée sur le trottoir, aussi raide qu’un piquet, Iggy en était à prier elle ne savait trop quels Dieux de bien vouloir faire démarrer cette satanée voiture. A ce stade, elle n’avait plus qu’une seule hâte : rentrer chez elle et se faire couler un bon bain dans lequel elle pourrait enfin se détendre sans plus penser à ce qui s’était passé ce soir-là. De toute manière, son travail à elle s’arrêtait là. Le reste se trouvait entre les mains de Sam à présent. En espérant que la malchance de ce soir ne le poursuive pas plus loin. Elle en était là de ses réflexions quand le moteur de la voiture accepta enfin de prendre. Inconsciemment, Iggy poussa un long soupir de soulagement. Avant d’adresser un sourire de remerciement à la personne qui, n’ayant apparemment pas plus de temps à perdre, récupérait déjà ses pinces. Puis, après avoir pris congé, elle remonta en voiture avec ce sentiment de soulagement qu’on ressent quand on vient d’échapper à quelque chose de terrible. Lorsque son ami reprit la parole, elle acquiesça vivement de la tête.
« J’ai pas envie de me montrer trop superstitieuse mais après ce qui s’est passé ce soir, ça vaut mieux de s’en débarrasser rapidement, ouais. »
Ce qui n’empêcherait d’ailleurs pas forcément d’en tirer un bon prix. Espérait-elle en tout cas. Mais au cas où toute cette camelote serait vraiment maudite, peu importait le prix où elle partirait, tant qu’elle partait vite. D’ailleurs, Iggy enfonça la main dans son sac et en retira la grenouille de tout à l’heure qu’elle déposa sur le tableau de bord. Elle n’avait plus tellement envie de garder aucun souvenir de cette soirée, en fin de compte, alors cette grenouille pouvait partir avec le reste. Là-dessus, Sam lui demanda s’il pouvait la déposer quelque part et bien qu’elle sache pertinemment où elle voulait être et ce qu’elle voulait faire à cet instant précis, elle prit une seconde de réflexion.
« Tu peux me déposer dans ma rue, j’ai juste envie de rentrer et de me faxer sous ma couette avec un petit remontant. »
Ça serait son programme de la nuit et si, pour une fois puisqu’elle avait cette tendance à vivre en décalage des gens qui se levaient à six heures du mat’ pour aller bosser, elle sombrait avant de voir le soleil se lever, ça ne serait pas plus mal.

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