Mois du Challenge - RP commun [Brindleton Bay]

Une télé-réalité. Abby ne sait pas trop ce qui l’a conduit ici. A-t-elle besoin de mettre un peu de piment dans sa vie parce qu’elle n’aime pas beaucoup ses études ? A-t-elle envie de distractions autres que classiques ? Ce choix fait-il écho à son désir bien enfoui de devenir influenceuse un jour, bien que son nombre de followers sur Instagram soit encore loin de ce qu’elle espère ? C’est peut-être un mélange de tout ça mais, quoi qu’il en soit, la jeune femme n’en a parlé à personne. En découvrant son rôle, elle a froncé les sourcils : active, joyeuse, sûre d’elle, gourmande, aventureuse, gloutonne, immature, machine à danser, matérialiste, extravertie, réticente à s’engager, adore la nature… Les traits de caractère lui semblent étrangement réalistes et, après avoir pris encore une fois connaissance des conditions et autres termes, elle a découvert le reste. Elle qui joue un peu aux Sims de temps à autre, Abby connaît Brindleton Bay : c’est une petite ville, au bord de la mer, offrant de superbes vues, de grands espaces ouverts, des quais pour se promener, un phare et un parc où un parcours d’obstacles pour animaux. L’obsession absolue de ses habitants ? Les chiens et les chats ! Dans le jeu, la Hallenstein est en colocation avec un autre Sim et est censée être athlète - quelle blague. Il lui faut pour ça des compétences en charisme et en fitness et elle commence comme joueuse de petite ligue. Abby n’est pas certaine d’avoir tout bien saisi - ni même le concept de la télé-réalité en général -, mais elle espère s’amuser un minimum et peut-être recevoir un cadeau intéressant à la fin. Dans son rôle, la brune ouvre la porte et se retrouve donc face à celui qui est censé être son colocataire, un guitariste prénommé Noah et venu pour faire carrière. Elle le reconnaît, bien sûr. Mais elle n'est pas censée, dans ce cadre précis, justement. « Salut, moi c’est Abby. Je suis… Athlète. » Avec une pensée pour sa meilleure amie Charli, la néo-zélandaise a du mal à ne pas rire. Sourire aux lèvres, elle fait entrer le jeune homme. « J’ai invité quelques voisins pour te souhaiter la bienvenue. » Oui, Abby du jeu est censée être extravertie, active et joyeuse, il ne faut pas oublier ça - et surtout, ses actions sont décidées, comme pour les autres, par les Maîtres du Jeu.

Quand on est venu nous parler de télé-réalité à l’école, j’ai d’abord cru à une blague. Toi Whakaari est une école sérieuse, avec une réputation à tenir ! Franchement, on n’a pas de temps à perdre avec des conneries comme des télé-réalité sur les... Sims ? Okay, j’avoue, j’ai signé juste pour ça. Sans vraiment savoir de quoi il retournait, je me suis laissée séduire par le concept. L’idée de jouer un rôle, dans une ville factice, avec des maîtres du jeu qui nous donnent des instructions depuis l’extérieur, c’est un peu comme une longue pièce de théâtre finalement, avec un peu d’improvisation.
Les traits de mon personnage sont plutôt simples, quoi qu’à des kilomètres de moi. Je suis censée être Médecin, ce qui ne devrait pas être un problème - même si j’espère que personne n’essaiera de se noyer dans une piscine, et qu’on ne comptera pas sur moi si ça arrive. Timide, Soignée, Rat de bibliothèque... On est vraiment sur un rôle de composition, mais je veux bien relever le challenge. Mais alors le pire, vraiment, c’est qu’on m’a mise en couple avec un homme ! Quand j’ai appris ça, je crois qu’ils ont commencé à voir les limites de ma motivation, et ils m’ont vite précisé qu’on ne me demanderait rien de trop compliqué. Du câlin, du mignon, tout ce qu’il y a de plus platonique... Là, encore, j’ai fini par me laisser tenter.
Me voilà donc, entourée de plusieurs personnes, dont certaines que je reconnais - mais que je dois faire mine de ne pas connaître, pour le bien du jeu. Dans mon rôle, je reste un peu à l’écart en assistant à la scène qui se joue sous mes yeux. Ce n’est que lorsque je repère Silas qu’on m’indique à l’oreillette que c’est de lui dont je suis censée être amoureuse. Silas, vraiment... ? Bon, okay, ça aurait pu être pire. Mais quand même... « Bonjour, je m’appelle Tegan. Si quelqu’un demande s’il y a un médecin dans la salle, c’est moi ! » Et on risque d’en avoir besoin, avec le petit farceur qui me sert de mari. « Il faut l’excuser, il est toujours un peu excité quand il rencontre du monde. » A l’oreillette, on m’indique de me mettre à côté de lui et lui déposer une petite sur l’épaule, avant de l’enlacer. Ni une ni deux, je m’exécute... plus ou moins. Je me contente simplement de passer mon bras autour de sa taille. C’est comme ça qu’on fait chez les hétéros, non ?

Les sourcils haussés en signe d’étonnement, Liam continue de parcourir l’espèce de script qu’il a sous les yeux. Une énième fois, il se demande ce qu’il fiche ici. Ce n’est pas trop son genre, de se montrer devant une caméra. Ce n’est pas du tout son truc, la télé-réalité. Pourtant, la raison de sa présence est bel et bien simple : il a perdu un pari. Un bar, une soirée trop arrosée, des mises n’ayant rien à voir avec de l’argent, et le voilà le grand perdant qui doit revêtir un costume figurément parlant. En plus, il ne connaît même pas bien les Sims. Il manque clairement d’enthousiasme, pourtant il est probable qu’un peu de distractions ne peut pas faire de mal au jeune homme en ce moment. Ils en ont tellement bavé, Lily et lui. Ça continue, d’ailleurs. L’épreuve qu’ils ont traversée n’a pas fragilisé leur couple pour rien : elle est réelle, intense, la douleur difficile à surmonter. Alors peut-être qu’au fond, ce n’est pas une si mauvaise chose que Liam puisse se changer un peu les idées. Mais il a honnêtement du mal à voir les choses comme ça et à s’immerger dans son personnage. Au moins, le lieu a l’air intéressant. Tentant de garder à l’esprit les caractéristiques de son bonhomme, le pâtissier se les repasse dans la tête : créatif, exigeant, geek, adore les animaux, enfant de l'océan, imprévisible, maladroit, bien élevé, proche de sa famille. Il ne sait pas à quel point ça lui correspond - sauf peut-être adore les animaux, ça c’est on ne peut plus correct, mais peu importe au fond. Plaquant sur son visage un sourire de circonstance, Liam se dirige vers une maison en particulier, où il est censé se rendre à une fête de bienvenue pour un nouvel habitant du quartier. En reconnaissant Noah, il hausse à nouveau les sourcils, mais est obligé de faire comme s’il ne le connaissait pas. « Liam, enchanté ! » lance-t-il, presque au moment où un homme qui est un client du café fait sursauter tout le monde avec son histoire de guêpe géante. « Je suis peintre. » Comme il est censé saluer bruyamment son autre collègue Thea - avec un bruit typique des Sims, apparemment -, le néo-zélandais doit se retenir de rire. Il reçoit dans l’oreillette l’ordre de se renseigner sur sa carrière. L’interaction est amicale et à vrai dire, Liam espère n’avoir rien de romantique à faire plus tard. « Comment ça se passe, ton travail ? » Là aussi, il a du mal à garder son sérieux, et pour cause - ils se côtoient au café.

Pourquoi a-t-elle accepté de participer à cette émission ? C’est probablement une question que Nyssa se posera tout au long de celle-ci, même si elle n’aura sûrement pas vraiment de réponse. Quelque part entre le challenge de la nouveauté, et peut-être tout simplement le besoin de sortir de son quotidien le temps de reprendre son souffle. Elle a signé le contrat sur un coup de tête, sans même vraiment le lire, et ce n’est qu’après coup qu’elle a compris qu’il fallait jouer un rôle. Une écrivaine, amoureuse des chats, gourmande, romantique, et qui a peur des orages. Une personne plutôt joyeuse dans l’ensemble, et plutôt créative aussi. Pour une jeune femme incapable de rester devant un livre pendant plus de cinq minutes sans y être forcée, c’était quand même assez osé ! Mais elle n’a pas vraiment le choix de toute façon, alors elle essaiera de faire ce qu’elle peut, et surtout comme elle peut. « Nyssa pour ma part, ravie de vous rencontrer ! » Ce n’est pas tout à fait une première rencontre pour certains, qu’elle reconnaît pour avoir déjà eu l’occasion de les croiser auparavant. Mais ils doivent faire semblant d’être de parfaits inconnus, comme de bons petits Sims, donc. A la vue des cookies, la brune se rappelle se son trait de gourmandise, et va piocher dans l’assiette pour en croquer un. « Mmh ! Ce sont les meilleurs cookies de l’univers ! » Après ce compliment à la jeune femme qui s’est présentée sous le nom de Thea, elle entend une notification dans son oreillette, signifiant que l’humeur de son personnage s’est améliorée. Alors, elle s’approche du jukebox pour mettre de la musique pour tout le monde. Ambiance discothèque, avec de la musique dansante pour tout le monde ! Et la voilà qui commence à se trémousser au milieu du salon, sans chercher à savoir si elle sera accompagnée ou non.

On sait tous ce que chacun se dit derrière sa télé " je pourrai pas faire ça". Ou bien êtes vous de la team " j'adorerai essayer". Personnellement tu n'as jamais été ni l'un ni l'autre. Ignorant simplement les télé-réalités, tout comme les sims, c'était une vraie surprise de te retrouver ici. Mais quelle bonne surprise. Le scénario entre les mains, les règles avec, ce fut un petit rire qui t'échappa. Clairement qui ne l'aurait pas fait? au pire tu quittes le jeu pour protéger ta dignité, au mieux tu fais un peu plus chier tes parents. Oui tu avais passé l'âge mais on arrêtait jamais les bonnes choses.
C'est alors que tu prenais conscience de tes traits de caractère: sûr de toi, immature,  Paranoïaque, amateur d'art. C'était compliqué de savoir ce qui te faisait rire le plus, tandis que tu te mettais dans la peau de ce personnage haut en couleur. Ca allait le faire. Le dos droit, le célibat dans le sang, le sourire étiré, tu entrais dans cette ville très sympa, rejoignant alors un groupe. Une soirée de bienvenue? Et te voilà. " Bonjour à tous, Tian enchanté. " Le regard balayant alors les personnes présentes, tu sursautais et te planquais directement à la blague douteuse de ton ami. La paranoïa dans les veines, l'oreillette te poussa plus loin. " Je savais que c'était un piège ! " L'âme paniquée, faussement, tu te planquais derrière un fauteuil sortant un carnet pour écrire ton prochain journal. C'était ça d'être journaliste. Mais la danse endiablée qui se jouait devant toi faisait revenir ce côté espiègle venant alors sortir de ta cachette le regard allant de droite à gauche, toujours à quatre pattes, pour finir par danser cacher derrière un oreiller, clairement pas de ta taille.

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Il y a de plus en plus de gens et certaines têtes sont familières - rien de vraiment étonnant, Abby connaît du monde. L’arrivée de Tegan la fait doucement sourire, tout comme de l’imaginer mariée avec un boute-en-train. Sursautant à l’évocation d’une guêpe, elle grimace en s’éloignant légèrement. Elle en profite pour se rapprocher des cookies, qui rencontrent déjà du succès auprès d’une dénommée Nyssa. Bonne bouffe, bonne musique, certains « invités » commencent à danser et à mettre l’ambiance. Noah affirme que cette fête est géniale et la remercie pour l’organisation. « Avec plaisir ! J’espère que tout le monde s’amusera bien. » Pour sa plus grande joie, la jeune femme reçoit l’ordre de manger un cookie. Elle s’exécute avec plaisir, avant que son oreillette grésille à nouveau. Elle est censée aller préparer du café, ce qu’elle s’empresse de faire en quittant momentanément le living-room. Lançant la machine à café, elle est de retour quelques minutes plus tard avec un plateau contenant tout ce qu’il faut - tasses, sucre, lait -, contente de constater que l’ambiance est plutôt bonne… Un vrai rassemblement de Sims, en fait, ce qui lui donne à nouveau envie de rire. « Du café ? » propose-t-elle au « couple » formé par Tegan et un dénommé Silas semble-t-il. Moment des interactions sociales conceptualisées, elle écoute ce qu’on lui souffle à l’oreille - un compliment. « J’aime beaucoup ta tenue, Tegan, elle te va comme un gant. » Puis parler de sorties. « On devrait se voir plus souvent, c’est toujours sympa. » Personne n’a l’air de s’ennuyer : Nyssa danse, Noah invite Tian à danser, Liam discute avec Thea, elle-même est avec Tegan et Silas… Si un jour elle devait vraiment organiser une petite fête de bienvenue chez elle, les choses ne seraient peut-être pas si différentes en-dehors de l’oreillette.

Cette petite fête de bienvenue commence à avoir un peu plus d’ambiance, surtout depuis que la musique est lancée. Chacun y va de son petit mot, son petit commentaire pour faire que tout se passe pour le mieux, et je ne suis évidemment pas en reste. Dans mon rôle, j’essaie de me montrer un peu plus réservée et timide que ce que je pourrais être habituellement. Mais avec un ‘mari’ comme Silas, c’est assez compliqué ! L’attention est directement ramenée vers nous, alors j’essaie de détendre un peu l’atmosphère, surtout que le guitariste a l’air de rire un peu jaune après la décharge électrique. Décidément, on sait recevoir chez les Sims !
Abby disparaît dans la cuisine, puis revient quelques minutes plus tard avec du café. A l’oreillette, on m’indique que j’adore mon café noir - encore une épreuve pour l’actrice en herbe que je suis ! -, alors je prends une tasse et commence à la siroter sans rien. Ni lait, ni sucre. On est sur un sacré niveau de torture, là, non ? Heureusement, Abby vient me distraire de mon supplice en me complimentant sur ma tenue - une petite robe d’été toute mignonne, que je ne porterais sans doute jamais en temps normal. Abby doit vraiment s’amuser à me voir dans un tel rôle ! « Oh merci beaucoup ! Et ta soirée est très réussie ! On s’amuse autant que dans une petite sauterie chez les séniors ! » Qu’est-ce que... C’est le pire compliment que j’ai prononcé de toute ma vie ! On va avoir besoin de meilleurs scénaristes, pour que ce soit crédible. « C’est vrai ! J’ai entendu parler d’un festival des fleurs à partir de demain, on pourrait y aller ensemble ? » Est-ce qu’il se servent de nous pour teaser l’épisode de demain ? Carrément. Mais est-ce qu’on a vraiment le choix, finalement ?
Sur ordre de mon oreillette, je dépose ma tasse de café sur la table du salon, pour aller m’asseoir sur le canapé. De là, je continue la conversation, par-dessus la musique. « Alors Abby, comme ça tu es sportive ? Qu’est-ce que tu aimes comme sport ? » Voilà un sujet qui m’intéresse. Moi, Tegan. Pas moi, la sims.

C'était un joyeux bordel qui s'annonçait. Tout le monde faisant de son mieux pour rentrer dans son personnage, le tien étant réellement intéressant et marrant. Il n'aurait pas été si drôle s'il t'avait ressembler. Le côté paranoïaque te faisait rire. Et bien que tu sois caché derrière ton coussin, la musique dans la peau, c'est Noah qui vint te sortir de cette torpeur pour danser. Bien sûr garder ton personnage crédible était le plus important alors le corps se recroquevillait comme jamais, te faisant perdre bien 10 cm de grandeur. "Je précise juste que si vous me tuer il n'y aucun héritagequi attend ! Juste au cas où. " personne ne voulait te tuer mais ton personnage en était convaincu. La danse, c'est ce qui te fit bouger le plus en regardant les personne présente. C'était très drôle finalement et on te soufflait dans l'oreillette d'aller voir le tableau accroché dans le salon et d'en faire une critique. Tiens ça te rappelais une sortie de cupidon qui avait très bien tournée. Quittant alors tout tu te précipitais vers ce tableau... original. Cette soirée n'avait réellement ni queue ni tête. " Omg j'adore, quel est l'artiste ? Malevitch? Mondiran? Ou non.... Kupka ? J'adore cette expression de la joie et de la ... peine en même temps. Incroyable. Le choix des couleurs brutes et saturés rappellent l'enfance, quand aux formes ici beaucoup plus angulaires on y voit le danger. Un mélange parfait pour dire que la joie peut apporter la tristesse et la douleur. " Quoi? Qu'est ce que tu balbutiais? Et pourtant c'était tellement convaincant que tu aurais presque cru que c'était la véritable interprétation. Le regard tourné vers les gens tu étais à deux doigts de rire en appelant Liam et Théa à venir. "Regardez !!! Regardez donc cette pièce " T'avais l'air con on allait pas mentir.

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La danse est un bon moyen de s’occuper sans trop d’effort. Alors que les conversations vont bon train entre les autres, Nyssa n’a qu’à se dandiner au rythme de la musique, un peu dans son monde. C’est bien ainsi qu’est censé être son personnage, non ? Toujours à imaginer des nouveaux mondes, des nouvelles histoires à raconter. Le genre de choses qu’elle ne pourra sans doute jamais faire d’elle-même. Avec surprise, elle aperçoit le guitariste qui se joint à elle, et qui embarque l’autre énergumène qui s’était caché derrière un coussin beaucoup trop petit pour lui. L’attitude de ce dernier est encore plus étrange depuis qu’il n’est plus caché, d’ailleurs. « Mais non ! Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Personne ne va te tuer ! » Sauf si la faucheuse s’amuse dans le coin, mais elle ne l’a pas vue pour le moment.
Le dénommé Tian s’éloigne finalement pour aller admirer un tableau, tandis qu’une autre conversation se tient autour d’un café. Tiraillée entre les deux possibilités, c’est finalement vers la discussion artistique que se porte son choix - un peu soufflé par son oreillette également. Malheureusement, c’est la première à sursauter, et même pousser un petit cri quand le malin de service se met à hurler en effrayant tout le monde. « Mais ça ne va pas !? Il y en a qui sont cardiaques ici ! » Son personnage est une véritable flipette, qu’on se le dise.
« Finalement, il y a peut-être des gens qui sont moins gentils que d’autres. » Avec une petite moue boudeuse, elle fusille le turbulent du regard. Mais sa mauvaise humeur disparaît aussi vite qu’elle est arrivée : elle doit positiver, en toutes circonstances, pour le bien de son rôle. Alors elle affiche de nouveau un large sourire en s’adressant à l’assemblée. « Quelqu’un veut jouer avec moi ? Aux échecs ! » Voilà une bonne façon de montrer son incroyable intellect, à n’en pas douter. Par contre, elle espère qu’on lui soufflera quoi jouer, et quand, parce qu’elle n’y connaît rien du tout.

Navré pour les conversations autour tu ne pouvais pas tout suivre. Dans l'oreillette on te donnait des actions à faire et malgré ton envie de papoter chiffon, ou pas, tu devais t'évertuer à trouver des symboliques dans un tableau qui ne t'inspirais pas. On dira merci à papa et maman pour les galléries d'art, et aussi pour ton date, d'avoir partagé ton incompréhension. Chose qui semblait commun lorsqu'on te répondait que tout le monde était gentil. " C'est exactement ce que disent les meurtriers avant de tuer. " Tout comme ceux qui n'allaient pas tuer. Bref ta paranoïa était fort drôle. Brusquement bousculée par un acte des plus immonde. Le "Bouh" surprise. Ce n'était pas dans ta nature de sursauter mais toi l'effrayé, tu te devais de bondir tel un félin peureux. "TOUS AU ABRI " Que tu criais comme un dégénéré en te planquant dans le premier placard qui venait. Ordre des grands manitous qui dirigeaient le jeu. Tu en profitas pour pouffer de rire, le laissant entre-ouvert pour comprendre ta prochaine mission. Aller jouer avec les bulles comme un gamin. Et c'est ce que tu faisais, après avoir mis une casserole sur ta tête afin de te protéger de toute attaque. Les maîtres du jeu étaient vraiment drôles. " Des bulles des bubulles" Encore une fois on avait dit immature, pas complètement débile.

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