erreur de parcours ? #elliott

erreur de parcours ?
crédit/ MARZEGIFS ✶    @Elliott Atkins-Vasile  

OUTFIT +Les amis d'Elliott étaient devenus ceux de Victor avec le temps. Il avait déja travaillé pour eux au fil du temps et le naturel amical et avenant de l'homme faisait qu'il n'avait pas de soucis a sociabiliser avec les gens. Ce soir, ils étaient invités a profiter d'un bbq en extérieur pour profiter de la journée ensoleillée entre toutes les pluvieuses. C'était agréable de pouvoir profiter du moment, même si il fallait bien l'avouer, il ne faisait pas encore assez chaud pour rester en t-shirt et short. Une petite veste était tout de même appréciable et le bon temps passait a une vitesse assez raisonnable. L'alchimie entre Elliott et Victor était toujours présente bien que factice. Main posée sur celle de l'autre, chuchotement a l'oreille de temps a autres, baiser dérobés pour montrer qu'il y avait toujours ce petit quelque chose entre eux. Les échanges de regard étaient évident, la complicité attendrissante et l'homme se laissait aller au petit jeu avec plaisir.

Elle lui plaisait, Elliott, mais ce mariage n'était pas basé sur une attirance ou un amour, mais bel et bien sur un contrat entre eux deux. Alors même si cette attirance était réelle, il ne pouvait laisser cela aller plus loin. «Un dernier verre pour la route alors !» Les bouteilles d'alcool avaient défilés pendant toute la soirée. On voyait que le fait que personne n'ait d'enfants a s'occuper aidait un peu a se détendre. Samuel avait un petit digestif qu'il voulait faire goûter a Victor et ce ne fut pas de repos. Il alla rejoindre rapidement Elliott et son amie a la cuisine en apportant quelques plats salle pour les placer dans le lave vaisselle et posant ses mains sur les hanches de la demoiselle pour l'embrasser avec une envie a peine dissimulée. «On appel un taxi des que tu veux partir d'accord ? Je crois que Samuel veut me faire déguster tous ses digestifs ... vous vous joignez a nous sinon je risque d'y passer !» Et il ne voulait surtout pas être malade !

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Le temps de qualité était toujours appréciable, surtout lorsqu'il était avec Elliott et ses amis, profitant de ceux la  pour toujours en apprendre sur lui et sur sa femme qui en quelque sorte, était une sorte d'inconnue dans ce domaine la. Ils arrivaient a faire bonne figuration, a être un couple parfait ou presque, mais en définitif, les deux avaient leurs jardins secrets et avaient pour habitude de ne jamais trop en parler. Hormis lors de ces soirées. Ils s'ouvraient un peu plus, même s'ils s'inventaient une vie fictive. C'était plaisant en un sens, puis ca faisait toujours un petit quelque chose quand ils se séparaient quelques temps après, repartant chacun dans leurs chambres. Vie fictive, mariage blanc, ils devaient s'y faire et il ne voulait pas créer de malaise. Il se faisait de toute façon trop facilement embrigadé dans ce genre de situation, beau temps, bon repas, l'alcool qui coule et la bonne humeur qui s'installe. «Je m'amuse bien ne t'inquiète pas, je veux juste pas te forcer a rester parce que m'amuse. Tu as eu une grosse semaine après tout.» Les deux travaillaient sans relâche de toute façon. Passionnés et motivés a donner le meilleur d'eux même, ils avaient cela bien en commun.

Il ne rechigna pas non plus a quitter la soirée, lui même était fatigué par la semaine et l'alcool coulant dans ses veines ne lui faisait pas prendre les décisions les plus simples et efficaces. Portés tous les deux par l'ambiance de la soirée, ils continuèrent a discuter et a rigoler a l'arrière du taxi, s'amusant comme s'il n'y avait pas de lendemain, pas de fausse vie. Non, il y avait juste deux bons amis qui passaient du bon temps. Eliott paya le taxi et les deux se prirent l'un l'autre, bras dessus, bras dessous pour ne pas tomber a cause de l'alcool. «Je crois qu'on a encore un peu trop abusé de la boisson.» Souffle t'il alors que son téléphone vibre pour lui indiquer que la caméra qu'il avait acheté fonctionnait a la perfection. «Efficace et pas cher !» Qu'il s'esclame gentiment en rangent l'appareil dans sa poche pour en sortir ses clés. Porte ouverte, il ne serait dire qui entre les deux perdit l'équilibre, mais il termina a l'intérieur, avec une vive douleur au dos et aux fesses, avec sa femme en califourchon sur lui.

«Vous êtes bien avenante madame Atkins-Vasile ce soir !» qu'il dit en rigolant. La douleur se diffusant bien rapidement avec l'alcool. Ou alors ca l'anesthésié. Dans tous les cas, il avait du mal a détacher son regard du sien.

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C'était plaisant, que de se laisser aller ainsi. Il y avait toujours cette retenue tout de même, ce besoin de garder un minimum le contrôle sur l'image qu'ils renvoyaient tous les deux, mais très sincèrement. Ça semblait assez réel comme face d'être, surtout quand l'alcool embarquait dans l'équation. Les deux étaient donc partit après une bonne soirée et ne finirent pas la soirée une fois installés dans le taxi, loin de la. Il y avait tout de même une certaine connexion entre eux. Ils s’apprivoisaient depuis des mois et l'alchimie se faisait petit a petit, surtout qu'il y avait pleins de choses a penser. Non, ce n'était pas simple, mais ils avaient une belle relation tous les deux et a chaque activités ensembles, cela les rapprochaient un peu plus. Alors oui, ils étaient comme des adolescents et ça le faisait bien marrer. « Clairement oui ! J'aurais bien aimé te rencontré quand tu faisais tes premières bêtises d'ado ! Ca devait être quelque chose !» Elle devait être plein d'énergie la petite, ça ne faisait aucuns doutes ! Il l'avait connu relativement jeune aussi, mais ca ne changeait rien a l’insoucieusement de la jeunesse.

Lui même en avait fait des bêtises, chose qu'il ne ferait plus aujourd'hui et qu'il avait parfois honte même ! Marcher semble compliqué pour les deux jeunes gens, mais ils arrivent finalement a la porte et c'est avec une certaine difficulté que la clé se glisse dans la serrure et que la porte ne s'ouvre. Pourtant la chute est assez simple, l'un comme l'autre finissent a terre en peu de temps, homme a terre, femme sur le dessus. La chute n'est pas rude, mais les deux en rigolent, Victor jouant encore le jeu du couple et elle aussi apparemment. Elle parlait même du fait qu'il était un parfait gentleman a ne pas profiter de la situation pour avoir les mains baladeuses. « Oh, ce n'est pas l'envie qui manque Madame Atkins-Vasile, mais serait-ce une bonne idée de faire cela dans l'entrée ?» Et pourtant, les mains de travailleur attrapent les cuisses de la demoiselle avec une certaine délicatesse, ce n'est plus vraiment la logique qui parle, pas celle d'un mariage en blanc.

C'est plus une attirance et un jeu qui dure depuis le début de la soirée. Y en avait il eu avant ? Il ne le pensait pas, bien que même s'il trouvait qu'Elliott était une femme forte et attrayante, il n'aurait rien tenté pour ne pas brisé l'harmonie du faux couple. « A moins que cela puisse changer de nos petites habitudes ?» Mains baladeuses, littéralement. Néanmoins, même si ses doigts découvrent le corps de la brune d'une façon toute nouvelle, c'est bel et bien ses yeux qui sont encrés dans le regard de la demoiselle. Il avait une petite lueur de défis, d'envie, mais aussi surement de peur ? De se jeter dans le vide ? Néanmoins, il sentait que les deux corps semblaient bien se tolérer, voir même pouvaient êtres attirés, du moins, il sentait son visage se redresser vers celui de cette femme qui n'était pas vraiment la sienne.

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L'alcool pouvait expliquer plusieurs situations ou les langues se délient, mais il y avait toujours un sentiment de vérité cachée la dessous et vu comment le faux couple avait bien joué le jeu durant la soirée... il n'était pas anormale que les deux succombent en un certain sens sur le palier de la porte. Les échanges de regard et de baiser avaient beaux êtres factices, ce qui ce passait la révélait bien plus d'un désir que d'une supercherie, car plus personne n'était la pour les surveiller. Installés sur le sol, l'un sur l'autre, ils n'arrivaient pas a se lâcher des yeux. Pour sur que Victor avait des vues sur Elliott, qui n'en aurait pas ? Il avait la chance de vivre a ses côtés, de la découvrir au quotidien, mais il manquait il partit de ce qui pouvait faire un couple et c'était surement cette alchimie physique qui semblait apparaitre la, sur le sol de leur entrée. « Un peu dure.. et froide.» dit il pour rire, ce qui était la vérité en quelque sorte.

Comme une approbation, le voila qui pose ses mains sur la jeune femme, y découvre les plis de sa tenue, les courbes de son corps camouflé par le tissus, mais qui se découvrent tout de même sous les mains agiles et fortes de Victor.
« Absolument. Nous avons le goût du... risque.» Rappel de leur situation commune, mais la raison n'était plus vraiment la, juste le désire et il pouvait le ressentir dans le baiser que lui offrait la jeune femme. Timide pour commencer, mais la passion ne tarda pas a pointer le bout de son nez, langues qui se cherchent, qui jouent, lèvres qui se font mordiller alors que les mains de Victor s'encrent avec envie sur les jolies fesses de la jeune femme. Lèvres qui dévient, qui se perdent dans le cou de la brune, remontant jusqu’à son oreille, tout en se redressant par la même occasion, forçant sur les abdos. « Lève toi.» demande ou ordre, il n'y avait ni l'un ni l'autre, juste l'envie d'être plus libre.

Et une fois sur ses deux pieds, il l'attire a elle de nouveau, une main sur ses hanches, l'autre a l’arrière de sa nuque pour l'embrasser avec une envie renouvelée. Il la plaque contre la porte d'entrée et fait finalement un pas en arrière, puis deux, pour retirer sa chemise et revient a la charge, murmurant quelques mots a Elliott. « Je propose qu'on reste en... terrain neutre.» Pas dans les chambres, pas pour le moment, ils étaient juste la pour... s'amuser pour le moment et c'est avec envie qu'il s'attela a retirer la tenue de sa charmante femme. L'alcool avait bon dos.

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Les deux corps s'attirent, se rapprochent, se découvrent sous une nouvelle vision bien plus intime et intense. Il ne faisait aucun doute que ni l'un ni l'autre ne jouait a un petit jeux. Non, bien que l'alcool était présent dans leurs veines, qu'il jouait un rôle dans tout cela, les sensations et les désirs étaient véritablement présents. Surement étaient ce du au fait qu'ils vivaient ensemble aussi, jouant les couples parfaits sans pour autant partager le même lit tous les soirs. Des faux semblants qui maintenant tombaient tout aussi rapidement que la chemise de Victor qui préférait que tout ce passe en bas pour le moment. Terrain neutre, mais terrain de jeu tout a fait passionnant avec la grande cuisine et le salon ouvert. Les idées étaient déjà bien présentes dans son esprit et il ne se fit pas prier pour descendre la fermeture de la jeune femme pour qu'elle puisse la retirer sous ses yeux.

L'envie était bien plus intense a chaque parcelles révélées et il en voulait encore plus. Toujours plus et elle aussi, défaisant la ceinture de son pantalon ainsi que les boutons pour pouvoir le lui retirer. Elle lui demanda s'il avait de quoi se protéger et il répondit a l'affirmative. « Oui, j'en ai dans ma chambre, j'irais juste les chercher après...» Après quoi ? Oh, il la pousse contre le comptoir avec une envie et un douceur assez contenue, l'aidant a retirer tout ce qui restait de tissus sur elle, ses mains caressant la peau de la belle, ses lèvres se posant sur sa poitrine pour l'embrasser, la lécher, la mordiller. Une découverte qui ne faisait que faire monter son envie et finalement, il l'attrape par les fesses sans prévenir et la pose sur le comptoir.

Il l'embrasse avec passion, son corps entre ses jambes, puis descend le long de son cou, ses épaules, sa poitrine, son ventre, ses hanches, ses cuisses et avec un regard pour elle a la recherche d'une approbation, se met a genoux et place une cuisse de la belle sur son épaule, engouffrant son visage a la recherche du plaisir de la brune, sa langue attentive, tactile et avisée, il désirait tout gouter d'elle ce soir et en profiter le plus possible.

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La situation entre les deux jeunes gens dérape facilement et rapidement entre eux deux a peine la porte fermée. La comédie fait a présent place a la réalité et cela semble se faire aussi naturellement que possible, l’alcool aidant clairement les deux a ne plus penser a leur situation ou a ce que ca pourrait créer plus tard comme vague dans le faux couple. Victor ne pouvait nier qu’ il avait toujours trouvé Elliott toujours très belle et séduisante, mais la situation avec son meilleur ami et le changement de statut lui avait empêché de faire le moindre mouvement en sa direction de tout perdre. Alors ce soir, alors que les deux semblent s’accorder sur la suite, il ne s’en prive pas et poussé par l’alcool, déshabille la jeune femme pour la découvrir sous tous les angles.

Il ne passerait pas au plat principal directement, il aimait prendre son temps, même dans l’empressement et il ne se fit pas prier, le visage entre les cuisses de la brune, ses levres, sa langue été ses doigts au service du plaisir de sa femme. C’était comme ca qu’il montrait son affection en quelque sorte, offrir ce plaisir presque solitaire, sans rien demander en retour, il voulait juste l’entendre respirer fort, lâcher quelques soupirs et laisser son corps se détendre ou se tendre sous la caresse de son amant de la nuit et de son époux des jours. Néanmoins, ce fut elle qui décida d’en finir, le repoussant, ce dernier se redressant avant qu’ils ne s’emparent des lèvres l’un de l’autre. Il sentit ses mains et frémis lorsqu’elle agrippa son membre pour lui offrir lui aussi du plaisir et il grogna presque de satisfaction lorsqu’il fit tomber son caleçon a ses chevilles pour être aussi nu qu’elle.

Néanmoins, il ne reste pas inactif le Vasile, même s’il profite de ce qu’elle lui offre, ses mains caresses la peau a nue de la belle, lui agrippe les hanches pour lui montrer sa satisfaction et finalement ses doigts descendent de nouveau entre les cuisses de la belle pour s’offrir en pâture a une masturbation pleine d’envie et de plaisir. « Oh.. et puis merde… Viens avec moi toi !» L’envie avait trop monté en eux et il l’attrapa dans ses bras pour la monter dans sa chambre ou ils tombèrent sur le matelas tous les deux, la repoussant pour mettre la tête d’Eliott sur le coussin tout en l’embrassant. Cherchant désespérément de sa main libre la boite de capote encore neuve dans sa table de nuit.

Il avait envie d’elle. Toute entière.

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Il n'y avait plus du tout de retenue entre les deux personnes qui jusqu’à aujourd'hui n'avaient encore jamais été aussi loin de leur relation. Etait la suite logique, même dans les faux couples comme le leur ? Le passage a l'acte. Trouver du désir pour l'autre a faire de vivre avec ? Normalement, c'était plus l'inverse, l'habitude de toujours vivre avec l'autre, s'en lasser en définitif. Ils ne pouvaient pas dire qu'il pouvait y avoir ce genre de relation entre eux du fait qu'ils n'avaient quasiment jamais dormis ensemble, mais Victor n'allait pas s'en plaindre. Il aimait cela, cette sensation de désir partager et les doigts de la jeune femme savaient faire des merveilles.

Les paroles d'un peu plus tôt s’envolèrent rapidement, oubliant la zone de neutralité, il l'emmena jusqu’à sa chambre pour l'envoyer sur son lit et retrouver une capote afin de rester protéger. La dernière chose qu'ils voudraient, ce serait un enfant tous les deux pour un moment de faiblesse et d'envie. Non, l'alcool ne leur ferait pas faire une telle bêtise. Alors avec son accord et avec une envie a peine dissimulé, les deux purent se connecter d'une façon qu'il n'aurait pu imaginer. La sensation était exquise, enivrante et ça ne pouvait que lui donner encore plus envie d'y aller. L'entendre gémir, sentir ses mains et ses ongles s'enfoncer dans sa peau lui donnait un peu plus de motivation a poursuivre sur cette voix la.

Elle le fit rire, mais pas arrêter. Quelle drôle de remarque, il aimait ça. « Tu pensais que j'étais nul au lit ?» Il s'attaque a elle avec un peu plus d'ardeur, allant marquer son épaule de ses dents, cherchant a la faire réagir un peu plus. Attrapant ses jambes pour les placer sur ses épaules, ses cuisses plus serrées, permettant aux deux d'avoir de meilleurs sensations. « Par contre toi c'est encore en débat...» Victor prenait clairement le contrôle, son membre s’enfonçant un peu plus profondément en elle avait cette position, lui offrant un plaisir décuplé, toujours aussi attrayante, toujours aussi belle, mais ce soir, elle était a lui et il allait en profiter comme si ce serait la dernière fois.

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C'était drôle de s'imaginer que les deux consommaient enfin leur mariage blanc après tout ce temps. Les deux semblaient pourtant si fusionnels depuis tout ce temps, mais jamais encore ils n'avaient fait cela tout les deux et pourtant, c'était simple et naturel autant pour l'un que pour l'autre. Le temps passa, rapidement, lentement, les deux n'avaient plus besoin de parler, de discuter. Ils voulaient juste relâcher cette pression entre eux deux, se lâcher et découvrir qu'ils avaient bien plus a s'offrir que de la gentillesse. Encore une fois, ils étaient emportés par l'euphorie du moment, de l'alcool, mais l'un comme l'autre acceptaient cet état de fait pour le moment.

Les deux finirent finalement par s'écrouler l'un a côté de l'autre, afin de reprendre leur souffle, reprendre des forces, leurs esprits par la même occasion ? Pas forcément avec tous les effets qu'ils avaient dans le sang et l'esprit, les deux ne reviendraient a eux qu'aux petites lueurs du soleil. « Je te laisse cinq minutes de repos...» souffle t'il, alors qu'il ne cesse de lui offrir caresses et baisers pour ne point éteindre cette flamme. Puis le temps passa de nouveau, laissant l'occasion a Victor de marquer la peau de la femme de ses dents a divers endroits et que finalement, l'un comme l'autre tombe de fatigue, d'épuisement après cette fin de soirée tout a fait... inattendue.

Ce fut son réveil pour aller travailler qui réveilla les deux personnes dans le lit, encore collées l'une a l'autre. Émergeant des limbes, encore épuisé par la vieille et par l'alcool. « Réveillez vous la belle au bois dormant...»