vous voulez vivre à center bay ? sans trop payer ? cette colocation devrait vous ravir !
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| | Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:30 | |
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Hunter Mongomery Dishonor on YOU, on your FAMILY, on you COW nom ○ Mongomery, mais ce n'est pas vrai, tu es anglais toi ? Si jamais tu ne connais pas Evie qui me surnomme l'Anglais, ou que tu ignores mon accent à couper au couteau, je suis véritablement anglais. prénoms ○ Hunter, et pourquoi pas ? Après tout, c'est ta mère qui a choisi ton prénom. T'en est fière ? Bah moi c'est pareil ! âge ○ 36 ans, cherche pas, je ne vieillirais pas plus. De toute façon, dès que je dis que j'ai trente cinq balais, on ne me croit pas ! lieu de naissance ○ Nottingham, Angleterre. Personne ne me contredit, même pas toi ! statut civil ○ Même si j'essaie de faire tous les efforts du monde pour garder une nana plus de deux nuits consécutives dans mon lit, malheureusement, elles finissent pas se barrer. Il faut dire qu'à multiples occasions, il m'arrive d'en ramener deux... Si tu te demandes encore si je suis pris ou non, je te répond direct : un éternel célibataire. orientation sexuelle ○ Je n'ai jamais été attiré par les hommes. Je m'éclate que trop bien avec les femmes et le meilleur reste leurs courbes voluptueuses. Le pire c'est qu'ici, ça pousse comme des pâquerettes. Heureusement, les touristes n'ont pas froid aux yeux, non plus ! Et je séduis pas mal de femme avec mon français... Encore besoin de précision, bon allez, j'arrête le supplice : Je suis hétéro, désolée les mecs ! métier/études ○ Interprète, pourquoi ? C'est simple. Je suis anglais, une langue riche, une langue forte, une langue foisonnante. Or, il existe d'autres langues comme l'arabe, le coréen, le français ou l'allemand qui n'a plus vraiment de secret pour moi. J'aime la communication et de part mes parents sourds, j'ai également le langage des signes à mon palmarès. Riez pas, même les muets ont droit à la parole. groupe ○ Just wanna have fun. avatar choisi ○ Matt Bomer. les informations en vrac Un Centre d'intérêts ○ Si tu savais comme j'adore me divertir, tu n'as pas idée. Depuis cinq ans j'ai trouvé comment m'amuser et me faire de l'argent en même temps. Non, ce n'est pas la pêche, non ce n'est pas des concours de ping pong, je fais des show dance devant un tas de nana prêt à mettre leur livret A dans mon string. Après j'arrive à faire des trucs sympas plus conventionnel évidemment comme lire, aller au cinéma, le sport en salle et en chambre. Deux Le déménagement ○ Si tu as mon âge et que tu partages ma vie, tu sais que j'ai débarqué à Island Bay à mes 7 ans. Tu m'as trouvé bizarre parce que je parlais énormément avec mes mains. Et puis tu as apprit à me connaître, moi et mon environnement, ensuite, on est devenu copain. Ou pas.Trois L'amitié ○ C'est un concept beaucoup plus fort que l'amour, j'y accorde réellement mon temps libre, et j'en crée si je n'en ai pas. Si je parle d'amour, je parle forcément de ce que je ressens pour mes deux amis, Evie et Max. On est les Trois Mousquetaires, les Inséparables, le Trio gagnant. Ils m'ont sauvé, ils m'ont donné ce dont j'ai toujours besoin, même encore maintenant, j'ai besoin d'eux dans ma vie, dans mon quotidien. Ce sont mes âmes soeurs. Quatre Le conflit ○ Les conflits font partis de moi depuis ma naissance. Tu sais ce que c'est que d'être un étranger au sein d'une classe ? Tu sais ce que c'est que d'être un étranger dans un pays ? Imagine alors ce que ça fait d'être l'étranger de ta famille, de tes propres parents. Mes parents sont nés sourds, je suis entendant depuis ma naissance. Le mal est fait, je dois m'y faire sans aucune pathologie rappelant celle de mes parents. Cinq L'adaptation ○ Si tu crois que c'est facile d'être dans une famille où tu n'es pas totalement pareil, bah rentre dans ma vie une semaine et tu comprendras. Au fond, même si je sais que mes parents m'aiment, je sais qu'ils n'acceptent pas totalement que je sois comme eux alors je réponds présent à chaque fois qu'ils ont besoin mais voilà. Si tu fais semblant de me connaître, tu ne peux pas savoir durant combien de temps j'ai essayé de gagner leur attention et leur confiance. Je me suis adapté à ce que j'avais, ils n'ont pas voulu m'écouter alors tant pis. Six L'amour ○ Il est silencieux, discret et dévastateur. Il fait mal non, tu ne me crois pas ? Je préfère pas discuter avec toi là dessus alors. On ne sera pas d'accord. Tout le monde, même toi, devrait avoir ses raisons et sa propre vision de la chose. L'amour, c'est l'acte dans mon lit qui compte. Le reste, c'est de la vapeur, c'est intouchable, indomptable. Sept Le travail ○ Tu ne me crois pas capable de te tenir une conversation ? C'est vrai, tu n'as pas tort, je suis beaucoup trop maladroit pour ça. Alors je suis là, en second, derrière un homme ou une femme incapable de parler une langue universelle. Je suis là, je peux même me poster derrière toi pour retranscrire ce que tu peux dire. Je répète seulement ce qui se dit, ça peut être n'importe où. Sur un plateau télé, un tribunal ou une conférence. Je maîtrise pas mal de langue, pas que celle que j'ai dans la bouche ! Huit Les femmes ○ Un roman pour elle, je te dis. C'est impossible de parler des femmes sans en faire un. Tu sais quoi, je m'arrête là. Je te vois me juger derrière ton écran. Tu penses que je suis un mec qui n'a aucun respect pour les femmes. Détrompes-toi ! Une femme, je lui offre le tapis rouge, je la traite comme une princesse pour une journée, une nuit, le matin au petit déj' si ça lui chante mais ça s'arrête là. Neuf Les voyages ○ Il t'est difficile d'imaginer un interprète qui ne voyage pas. Et bien tu as raison en fait. Je pars à l'étranger, donnant mon nom en cas de besoin dans des consulats, ou encore dans les pays que je visite pour faire un hug à mon poto de toujours. Et oui parce qu'il n'y a pas que pour le taff que je voyage. J'irai jusqu'au bout du monde pour mon pote. Heureusement, que ça ne te surprenne pas parce que sinon, je te préviens, je te renvois aux points précédents. Dix Le caractère ○ Tu vois de moi comme queqlu'un de séducteur, je le sais et peut-être que mon travail nocturne en est un brin responsable. Tu sais que j'aime quand les femmes s'affolent lorsque je déchire ma tenue de travail. C'est jouissif de se sentir toujours aussi séduisant à trente-six balais. La franchise fait partie de ma vie depuis tellement longtemps, si tu savais. Ma langue n'a aucun filtre, si j'ai quelque chose à te dire, ça sort. Comme lorsque l'on boit jusqu'à s'en faire vomir. Il faut juste que tu apprennes à trier si tu veux que l'on s'entende. Je suis comme ça, fait avec. Impulsif et facétieux, deux caractères qui te résume un petit peu ce que je suis capable de faire. Je peux partir au quart de tour si tu me cherches, les poings sont rarement de sortis mais touche pas à ma famille gros, parce que tu vas savoir d'où je viens et qui je suis. D'un autre côté, je ne suis pas un connard, j'ai un bon fond, j'aime rigoler avec n'importe qui, même toi d'ailleurs. Je suis le premier à te sortir les vieilles blagues de la bombe à eau ou du coussin péteur. Loyal, têtu et vivant, si tu as un coup de mou, un coup de frein, un coup de pied au cul par la vie. Viens, viens me voir mon petit, je peux te retourner tout ça et te faire voir à quel point la vie est merveilleuse. Il y a cependant des moments où j'ai moi-même des moments où la vie me donne des coups de bâtons dans les cojones, je peux me retrouver parterre. Alors si t'es vraiment quelqu'un de bien, quelqu'un sur qui je peux compter, alors aide moi à me relever à ton tour, frère. Je suis pas quelqu'un qui te veut du mal, si je pouvais te donner la paix dans le monde sur un plateau, je te la donnerais mais je ne suis pas un manifestant, je suis un pacifiste, un clandestin du monde de la politique. C'est un peu hilarant quand tu vois que je peux te refaire le monde en une nuit si tu es comme moi : un rêveur. Et toi, je n'ai pas fini mais c'est le dernier petit point que tu dois retenir. Gars, tu touches à mes potos, tu leur fais du mal mais ho! change de ville, de pays clairement. Il n'existe pas quelqu'un de plus rancunier que moi. Un simple regard peut te faire comprendre qu'il faut vraiment que tu changes de trottoir. Mouft te pas gars parce que meme si je dois me retrouver avec une côte en moins ou un oeil au beurre noir, je refais le portrait quand même. Mec, tu touches à ma vie là !! Même avec un BN, tu peux mourir la bouche ouverte, je te tendrais pas la main pour te relever. les indiscrétions sur le joueur pseudo/prénom ○ Mel. âge ○ 27 ans. pays/région ○ France. présence ○ 4/7. comment as-tu connu island bay ○ Les votes sur bazzart. scénario ○ @max odair raison de ton inscription ○ j'ai lamentablement craqué ! dernier mot d'amour ○ Une fois de plus la Team Rocket s'envole vers d'autres cieux !!. - Code:
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<pris>○ matt bomer</pris> hunter Mongomery
Dernière édition par Hunter Mongomery le Mar 10 Avr - 23:48, édité 17 fois |
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| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:30 | |
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l'histoire de ma vie What About Myself ? Inutile d'expliquer à quel point mes différences, aussi invisible soit-elle, m'ont tellement fait souffrir par le passé. Alors je préfère passer à autre chose et te raconter quelque chose de beaucoup plus chiant, hein, faut bien le reconnaître. Je vais te montrer les choses comme elles sont aujourd'hui. Parce que si je suis comme ça maintenant, ce sont bien mes traumas de l'enfance qui en sont la cause...1989 - 1994 Tu n’as pas le choix que de te contraindre au règlement intérieur de la maison. Tout ce qui te plaisait avec les repères qui te donnaient de l’assurance avaient complètement disparu le jour où tu avais appris que tes parents quittaient Nottingham. Tu avais pourtant pleuré à chaudes larmes, tu avais montré que cela te déplaisait tellement que tu avais réussi à te faire consigner dans ta chambre mais rien à faire. Leur décision était prise et c’était pour eux la meilleur chose qu’ils pouvaient te donner. La réalité était juste mais tu es trop petit encore pour comprendre ce changement radical et plutôt brutal pour un enfant de sept ans. Tu ne pouvais pas comprendre la crise qu’ils encouraient, tu ne pouvais comprendre pourquoi ils étaient si stressées de jour, comme de nuit lorsque tu enchaînais les cauchemars. Tu avais peur de quelque chose, ton subconscient te criait qu’un événement allait se produire mais tu ignorais quoi à ce moment-là. Ton papa avait finis par t’expliquer. Il s’est fait viré, l’emploi d’institutrice de ta maman, elle aussi sourde, ne leur permettait pas de garder le même train-train de vie qu’avant : « Il va falloir que tu sois fort, mon fils. Il faudra nous aider car bientôt, tout sera nouveau pour nous trois. » Il signait doucement avec ses mains, parce que lui aussi il est sourd, de naissance. Ton papa et ta maman se rencontrait dans la même école et toi, bah tu suis une scolarité normale parce que tu es tout simplement un anglais tout ce qu’il y a de plus banale. Adepte des comics, de la pâtisserie et des avions de chasse. Tout allait bien en Angleterre, les particularités de tes parents étaient entrées dans les moeurs, le fait que tu parlais toujours avec tes mains ne dérangeaient pas. Tout ce qui faisait de toi un enfant qu’on appréciait par sa gentillesse et sa bonne éducation, ton travail assidu même pour un enfant de sept ans, était le bienvenu. C’était tout autre chose en arrivant en Nouvelle Zélande. Cette ville que tu as vraiment voulu apprendre à connaître pour faire plaisir à tes parents mais les changements étaient trop dur pour toi. Ton coeur était resté anglais, tes habitudes étaient restées anglaises ce qui faisait que ton intégration fut plus difficile que ce que tu avais pensé. Tu avais demandé à ce que tu arrivais durant la rentrée des classes. Tes parents avaient réfléchis et avaient finis par accepter cette requête qui leur était quand même difficile. Ils avaient compris ta demande, tu voulais arriver en même temps, peut-être te retrouver avec une ou un nouvel(le) arrivant(e) mais tu étais nouveau et en plus, tu ne t’habillais pas comme les autres, tu ne parlais pas comme les autres. Rapidement, tous les petits détails alliés que tu ne faisais pas attention devenaient ton pire cauchemar. Tu quittais ton école privée pour le public, alors ton uniforme et ta coupe strict, ton sac à dos énorme faisaient beaucoup rire tes nouveaux camarades de classe. Au début, ce n’était qu’eux et puis c’était devenue virale. Cela s’étendait jusque dans les couloirs, durant les récréations. Quand tu rentrais chez toi, tu souriais à tes parents, tu ne voulais pas qu’ils s’inquiètent. Ton papa commençait à son nouveau travail de Consultant, même sourd, il avait une grande maîtrise du langage corporel, il était un détecteur de mensonge à lui tout seul mais lorsqu’il rentrait à la maison, il était trop épuisé pour te parler. Et ta maman avait trouvé un travail temporaire d’institutrice pour sourd et muet, dans une école spécialisée. Tu avais compris qu’elle était fatiguée non seulement par son travail mais également par les longues heures de route qu’elle devait faire pour aller travailler. Tu prenais le bus maintenant, avant, elle te déposait à l’école, tu n’avais même plus ce moment agréable avec elle. Tout doucement, tu commençais à te rebeller. Tu ne voulais plus jouer avec eux, tu leur répondais et tu n’étais plus le petit garçon que tu étais. Tu t’en rendais bien compte mais ton mal être était constant, il te rongeait et tu ne réussissais plus à te contenir. Ta relation avec tes parents se dégradait malgré toi. 1995 - 1998 Les conflits avec tes parents se sont accentués, et parce qu’ils t’ont tellement réprimandé et remis en question sur ce que tu disais. Ils t’ont même pas cru quand tu avais finalement eu le courage de leur dire que tu étais maltraité et harcelé à l’école à cause de ton accent et de ta manière de vivre. Eux, ils ne t’ont pas écouté, ils ne voulaient peut-être pas le voir mais toi, tu souffrais, c’était tout ce qui importait. Pourtant, tu ne t’attendais pas à trouver ton petit rayon de soleil à Island Bay. Clairement tu n’avais vraiment pas eu la présence d’esprit de te dire qu’il était différent des autres. Max, il était maladroit, tête en l’air et passionné. Tu étais tout le contraire, ton éducation anglophone était ancrée en toi, tu n’avais d’ailleurs jamais voulu changer ta personnalité. C’était une souffrance mais tu t’étais toujours dit qu’un jour, ta force d’esprit deviendrait une force supplémentaire à ton parcours. C’était une réflexion très grandit mais tu n’avais pas choix. Tu as grandis, hé oué. Ton corps s’était allongé, même légèrement affiné mais tu restais encore la bête noire, tu avais grandis avec tes tortionnaires. Cependant, ils avaient fini par se lasser en voyant que leurs attaques n’avaient plus la même impacte qu’au début. Forcément, son alliance avec Max t’avait donné plus de courage pour affronter ces longues journées d’école éprouvantes. Tu ne t’endormais plus en pleurant toute les larmes de ton corps parce que tu ne comprenais pas leur acharnement. Tu avais un meilleur copain, un vrai, sur qui se raccrocher et surtout, tu avais une confiance énorme envers lui. Tu ne pouvais plus t’en passer. Alors évidemment, quand ton meilleur copain t’imposa une fille, Evie, c’était presque la fin du monde. Et c’était à celui qui gagnerait le coeur de ce dernier. Cette guerre froide avait duré assez longtemps pour faire taper du poing leur ami. Alors un terrain d’entente s’était mis en place pour que tout le monde vive le mieux possible. « Le bounty, tu peux pas fermer ta gueule, on entend que toi ! » Hunter et sa maladresse légendaire : « Quelle bavarde, putain! Toutes les nanas sont comme toi où on a pèché le mauvais poisson ? » Si Max n’arrivait pas à te faire trois mètres sans trébucher, toi, c’est ton langage qui te sauve. Tu as une répartie et un sens de l’humour plutôt limité, mais seul Evie et Max pouvaient profiter de ta fidélité et de ton amour car oui, tu les aimais ces cons-là. Tu savais qu’ils t’aimaient vraiment ou qu’ils avaient appris à t’apprécier pour certaine mais au moins, une confiance offrait leur trio légendaire et inséparable. Tu avais besoin d’eux et c’était réciproque. Tu passais plus de temps en présence de tes deux copains plutôt qu’avec tes parents. Il arrivait même que ta mère lui lance quelques pics concernant son absentéisme à dans la maison familiale. Toi, Hunter, n’y arrivait pas, il n’était jamais d’accord avec les programmes que tes parents voulaient t’imposer. Et puis tu avais d’autre soucis à gérer ensuite. Tes hormones et malheureusement, ton passé de bouboule t’avait suivit jusqu’à tes quinze ans. Tu étais accablé par des refus cuisants des filles dont tu ressentais des choses. En bon anglais tu mettais toujours les formes et ça faisait rire les filles. A leur âge, elles voulaient tous des garçons plus âgés, des gars dangereux pour ensuite, aller écrire dans leur journal intime les mauvaises choses que ces derniers leur auront causé. Difficile pour un garçon comme toi de te faire une place dans l’univers qui ne te correspondait pas. En tout cas, tu étais complètement déstabilisé par la mauvaise expérience vécu avec une fille. En claire, tu claironnais toujours que les filles étaient nulles et qu’elles servaient qu’à se plaindre plutôt que de faire les bons choix pour elles. C’était de leur faute, un point c’est tout. Il n’y avait plus rien en elle qui pouvait gagner ton coeur. Tu étais devenu particulièrement exigeant et tu préférais finir tes jours seuls plutôt que mal accompagné. Tu avais Max et Evie avec toi. La vie était déjà assez bien rempli et tu ne voyais vraiment rien d’autre à ajouter. En tout cas, tu ne te laissais plus faire, tu étais prêt à affronter le monde avec tes kilos en trop et ton accent anglais. 1999 - 2010 Tu t’appelais toujours Hunter mais tu avais évolué. En peu de temps, la poussée de croissance t’avait littéralement changé. Tu t’étais affiné, grandis mais tu étais toujours resté ce petit garçon lorsque tu étais en compagnie de tes meilleurs copains. En poussant de cette façon, tu avais vraiment attiré plus de regard, de compliment même, chose qui n’existait pas avant en fait. Tu voyais comme l’apparence avait eu beaucoup de point négatif et pour le moment, tu restais sur ton ancienne rengaine : « Les filles sont nulles. » même en présence d’Evie d’ailleurs. Pourtant, tu ne pouvais pas t’empêcher de lorgner sur la cousine de Max. Tu avais fait connaissance avec elle très tôt mais ta timidité et ta colère envers les autres ne t’avaient pas forcément aidé à te rapprocher des filles. Oui, il fallait vraiment que tu réalises à quel point elle était belle. Brune avec des yeux aussi bleu que l’océan indien, oui, Hunter, tu es amoureux. Tu ne pouvais pas renier ces sentiments qui grandissaient autour de toi. Par une occasion complètement aléatoire, tu t’étais retrouvée seul à seul face à Rose. Une discussion suivi des blancs particulièrement gênants puis les mains s’étaient frôlées et les baisers suivirent. Evidemment, quand tu te retrouvais avec elle à l’abris des regards indiscrets, tu te sentais bien et complet, prêt à tout, gravir des montagnes pour cette fille, parcourir les océans pour la voir. Tout devenait possible pour toi mais lorsque tu te retrouvais avec ton meilleur pote. Tous les cas possibles se transformaient en catastrophe nucléaire. Max n’était pas au courant et tu avais peur de sa réaction. Tu avais peur que cette relation amoureuse pourrisse ta relation amicale avec ta moitié, la seule personne qui avait su te comprendre et t’apprécier pour ce que tu étais. D’autant plus que rien n’allait mieux dans ton univers familiale. Tu ne cessais pas jamais de dire que tu ne pouvais pas choisir ta famille mais par contre, tu avais bien l’intention de faire le meilleur choix. C’était con mais tu avais préféré de provoquer et mettre fin à ton idylle avec la cousine de son meilleur ami. Heureusement, la cohabitation avec Evie et Max durant leur grandes études avait littéralement redoré tout ce qui n’allait pas à l’extérieur. De nombreuses choses avaient réussi à te remettre sur pied, tu avais le droit à tout ce dont tu avais besoin pour sourire, gueuler si tu étais d’humeur massacrante ou t’éclater pendant des soirées. Evidemment, il était le garde fou lorsque ça concernait l’alcool puisque ton ami ne supportait même pas le lait de poule. Déjà sobre, pour qu’il tienne debout, tu savais que c’était un miracle mais alors ivre, c’était une catastrophe. Cela n’empêchait pas de t’entendre clasher ton meilleur ami pour ses gaffes ou ses deux pieds gauches. Toujours est-il que tu as eu peur quand il t’avait annoncé qu’il partait pour les Vétérinaire Sans Frontière. Cela t’avait vraiment fait peur et surtout, tu ne savais pas ce qu’allait advenir de ta vie sans ton meilleur ami. Cela ne t’empêchait pas non plus d’être heureux qu’il réalise son rêve tandis que tu t’éclatais de plus en plus à faire crier les nanas dans des show-dance ou l’Interprète qu’il était sur le point de devenir. Ses petites histoires d’une ou plusieurs nuits te maintenaient sur le droit chemin. Tu n’avais pas encore réellement envie de te poser et ça t’allait parfaitement bien. 2011 - 2018 Les moments les plus compliqués arrivèrent cependant. Tu pensais être tranquille pour un petit moment mais quand tu avais réglé ta culpabilité envers ta famille de coeur, ta famille de sang te provoqua une guerre civile froide. Tu ne t’y attendais pas, tu n’avais rien vu mais cette révélation t’avait littéralement fait comprendre que tu ne pouvais pas continuer ainsi. Depuis le début de votre arrivée à Island Bay, votre relation s’était clairement dégradée. Tu voulais retourner en Angleterre mais il leur était impossible de céder à ton caprice enfantin. Le fait qu’ils n’avaient pas du tout prêter attention à ta détresse t’avait clairement éloigné d’eux. Au moins, quand tu parlais à Max, tu avais vraiment l’impression d’être écouté d’autant plus qu’il le vivait en direct. Alors évidemment, maintenant tout allait bien, tu ne comptais plus les numéros de téléphone que tu récoltais pour t’amuser. Tu aimais attirer le regard sur ce que tu étais entrain de devenir. Entre temps, tu avais quand même tes études pour lesquelles tu ne freinais pas sur les efforts à fournir. Bref, tout ça pour dire que tu n’étais pas ce genre de garçon qui allait casser du sucre sur tes parents mais ils ne t’avaient pas du tout aider dans les difficultés qu’ils t’avaient, presque, imposé. Il continuait d’aller les voir sans pour autant être à l’aise. Ils ne connaissaient pas ses habitudes, tes choix, tes passions ou même tes peines. Tu avais arrêté de leur parler alors forcément, les problèmes de communication amenaient aux disputes. Et en général, les disputes des sourds étaient très violentes, puisqu’ils agitaient leur main violemment sans pour autant en venir au main. Même s’il était toujours au VSF, il était toujours aussi maladroit. C’était tout simplement avec le sourire, non avec un énorme éclat de rire que tu avais accueillis Max, la bague au doigt. Tu avais forcément voulu des détails mais le pauvre ami était décontenancé parce qu’il était complètement bourré quand il est arrivé. Le pire, c’était de repenser à son passif amoureux. A sa première grande chérie dont il n’arrêtait pas de pleurer sa fin lamentable dû à un petit BN d’un autre. A l’époque de la petite école, c’était réellement un motif pour demander le divorce et c’était ce que ton meilleur ami Max avait fait, pour ensuite l’avoir regretté toute sa vie : « Clairement vieux, qu’est-ce qui t’a pris de te retrouver seul avec avec de l’alcool. Sérieusement, elle est canon au moins ? » Le regard hébété et étonné par cette question plutôt inattendu devant cette situation plus qu’insolite. La réponse te semblait plutôt surprenante, cela aurait pu être complètement l’averse : « Ta situation aurait pu être bien pire, hein ! » avais-tu dit en pouffant légèrement en tentant de garder son sérieux devant le ridicule de la situation : « Allez, viens j’te paye un verre... De lait, relax, Max ! » Un petit coup sur l’épaule, toujours bon enfant. Il n’y avait qui te donnait envie cette sensation d’être chez-toi. Même si t’était au beau milieu de nul part, t’était à la maison, si Max était là. Evie, c’était différent pour toi. Même si tu l’égalais au niveau de la place que tu lui accordais dans ton coeur avec ton meilleur ami, tu étais -pour toi, le grand frère de l’ombre. Tu ne voulais pas qu’elle sache que tu t’inquiètais pour elle, qu’elle comptait à ce point-là mais c’était comme ça pour toi. C’était comme ta petite soeur à qui tu aimais faire la misère mais que tu étais vraiment le seul à pouvoir le faire. Les autres asticots n’avaient pas le droit de la martyriser. Encore maintenant, tu étais inquiet en raison de sa grossesse. Tu n’avais pas d’explication alors évidemment tu gardais tes appréhensions pour toi et tu espérais qu’elle allait vraiment trouver ce qu’elle cherchait en ayant cet enfant. Quant à toi, tu te comblais dans ton brouillard. Les filles ne sont pas un problème dans ta vie, la confiance qui se lit dans ton regard fait des ravages et tu ne perds aucune miette de ce que la vie peut te réserver. Tu la croques à pleine dent, tu t’amuses jusqu’à t’épuiser. Ce que tu aimes dans cette histoire qui est ta vie, c’est que tu en fais ce que tu veux. Tu construis un monde à ton image et aucune personne n’a encore réussi à y prendre le règne à tes côtés. Tu penses que c’est une chance mais à tes trente-six ans, mon vieux, tu te dis qu’il est peut-être temps de faire de la place dans tes tiroirs bien remplis. Qu’au fond, les femmes ne sont pas forcément aussi débiles surtout quand tu vois ton meilleur ami dans les bras de cette vipère blonde et Evie, avec la brioche dans le four. Tu te dis aussi que tu vas probablement finir dans les camps des vieux beaux, avec ta décapotable rouge flamboyante et une minette à gros nibard refait dégueulasse et un brushing maison… Il est peut-être temps que tu te réveilles, la vie à deux n’est pas forcément une contrainte et qu’il faudrait t’y essayer. Affaire à suivre.
Dernière édition par Hunter Mongomery le Mar 10 Avr - 21:48, édité 27 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:35 | |
| Matt Je suis amoureuse de ce mec depuis toujours je crois Tu fais un excellent choix avec ce scénario, tu vas t'éclater avec Max et la troupe Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:36 | |
| Bon, on a déjà discuté dans ton sujet chez les invités mais j'te souhaite quand même la bienvenue officiellement ! Bon courage pour ta fiche, je suis vraiment ravie de voir ce scenario tenté depuis le temps qu'il est attendu l'anglais Prépare-toi à une attaque de Max, il devrait pas tarder à venir te sauter dessus |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:46 | |
| bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 13:49 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 14:05 | |
| Misère vous allez nous retourner IB Bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 14:09 | |
| Bienvenue à toi aussi très bon choix de scénario |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 14:38 | |
| Ohlala Matt très bon choix de scénario Bienvenue ici ! |
| | | Rafael Rodríguez ONGLET 1 ○ âge : 44 ans. (22.04)
○ statut : en couple.
○ métier : major dans l'armée, présentement à la retraite, il joue les intervenants dans son propre centre communautaire.
○ quartier : #13 south bay.
○ orientation sexuelle : hétérosexuel.
○ informations en vrac : ₓₓ sociable - impatient - fonceur - surprotecteur - parfois un peu étrange, mais on dit que ça fait son charme - parfois sarcastique et distant - confiant - passionné - ambitieux - franc - vif - pas très bavard en général - il aime être entouré de personnes - apprécie l'art, la musique et le cinéma - c'est un excellent combattant et tireur - il n'apprécie pas l'injustice - il aime bien l'alcool et adore la nourriture - il aimerait bien fonder une famille, mais ses relations n'ont jamais duré bien longtemps, surtout à cause de son métier ₓₓ fait parti d'un country club. ○ posts : 1175 ○ points : 100
○ pseudo : earthquakes.
○ avatar : oscar isaac.
○ DC : aucune idée.
○ crédits : dory.
○ inscrit le : 12/03/2018
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 15:41 | |
| Bienvenue _________________ fly me to the moon. ϟ |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 16:36 | |
| Bienvenue officiellement par ici |
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| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 16:59 | |
| @Aoline Sandersen Hey, je te remercie pour ton accueil, ça me fait plaisir ! @Sawyer Braxton Je crois que mentalement, on est jamais préparé à une attaque fait "Max" Je te remercie, c'est vraiment gentil ! @Sean Sawyers Merci beaucoup ! @Avery Sawyers Poufsouffle for Ever ! @Alice Waltham J'avoue, je ne sais pas du tout dans quoi je me suis embarquée mais c'est intéressant de voir ce que ça va donner ? Merci à toi ! @Juliet Callahan Mama.... Jenn Love Hewitt... T'es belle, merciii ! @Lorena Caldwell Merciii, t'es belle toi aussi !! @Nahla Steadworthy Mercii @Nathan Peñali Merci beaucoup ! @Brooke Bailey Toi ! mais je t'aime quand même ! (Hunter aime toutes les femmes ) @Max Odair Toi, je t'ai gardé pour la fin, poto ! Je pense franchement que notre trio va en jeter ! Tu m'amadoues encore avec du Disney, c'est incroyable comme tu me connais bien avant même d'avoir fait connaissance ! Mais regarde, j'ai tellement craqué, que j'ai couru. La chance, profites-en, me concernant, je vais bientôt rentrer en période d'examen alors mon craquage est vraiment inattendu dans le sens où je risque de m'absenter quelques semaines courant Mai-Juin mais je me connais, je passerai constamment dire bonjour quand même ! Mais c'est vraiment super cool pour toi, tu penses à nous faire rêver avec des photos ? Pffiou, pour le métier, je ne savais vraiment pas quoi choisir, je voulais quelque chose que je n'avais encore jamais fait et donc voilà ! Je suis quand même contente de voir que la surprise te fait plaisir hein ! Après, j'ai cherché et je base mon histoire un petit peu sur son métier. Mais de quoi ils parlent tous ? C'est un véritable complet ! Mais j'ai hâte de recevoir les mps en question en tout cas :huhu: ! Il n'y a rien de plus important pour moi que de faire plaisir ! Donc je suis contente ! |
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| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) Mer 4 Avr - 17:17 | |
| J'étais pas encore passée par ici avec cette blonde là #TeamChuck |
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| Sujet: Re: Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! (#) | |
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| | | | Dishonor on You, on your FAMILY, on your COW ! | |
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