Charlie Allen ~ We built a house on a lake, plant corn, raise chicken & grow old..

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Charlie Allen

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les informations en vrac

nom ○ Allen. prénoms ○ Charlie. âge ○ 22 ans. lieu de naissance ○ Gisborne. statut civil ○ Célibataire. orientation sexuelle ○ Panséxuel. métier/études ○ Etudiant en Histoire et recherche un job d'appoint.groupe ○ lost in my mind. avatar choisi ○ Jonathan Whitesell.

○ Buck + Fidèle compagnon, premier grand ami. Un berger australien. Tu l'as eu au début de ton adolescence, quand tes parents ont considéré que tu le méritais. Ton père t'a regardé dans les yeux et t'as demander si tu étais prêt à le nourrir, à t'occuper de lui, à le sortir pour le promener et tu as dit oui, tu te sentais prêt pour ça, assez grand. C'est toi qui as choisit ce nom, après avoir lu Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban. Impossible de résister à cette bouille, une oreille dressée, l'autre retombante, sa façon de grogner ou de te regarder pour attirer ton attention. Ce regard, c'est ce qui t'as attiré le plus quand tu l'as vu pour la première fois. Protecteur, affectueux, il est parfait. Il était toujours là pour toi, là quand tu souffrais, là pour te réconforter quand tes larmes coulaient le long de tes joues rougies. Et aujourd'hui, tu ne peux pas imaginer ta vie sans lui et tu ne savais pas si tu tiendrais si tu devais le perdre lui aussi.

Rugby + Tu as toujours adoré le rugby, depuis que tu es tout petit. Ton père t'amenait voir des matchs, te portant sur ses épaules. Parfois, vous regardiez le match, assis tous deux sur le canapé devant la télé. Tu n'as jamais été un sportif, te souvenant de ces rares bons moments, soutenant les diables rouges et les kiwis.

Footing + Tu ne considères pas vraiment ça comme du sport, mais tu apprécies de courir. C'est ta seule activité physique, même si ce n'est pas régulier. Cela te détend, oxygène ton esprit. Tu cours dès que tu en as l'occasion, souvent le soir, le coucher du soleil offrant un magnifique spectacle, mais aussi plus tard, une fois la nuit tombée, quand il fait plus frais et que les sensations sont différentes.

Dépression - Mal dans ta peau, tu t'es toujours senti différent des autres, bizarre. Tu étais toujours seul, subissant les moqueries et les humiliations, parfait souffre-douleur qu'on rabaissait, parfois en t'enfermant dans un casier, ou en mettant ta tête dans les toilettes. Tu souffrais. Il y avait beaucoup de chose. La solitude, ce que tu subissais, tu avais perdu le goût à la vie et quitter ce monde paraissait être la solution, la meilleure alternative. Mais tu étais trop faible, trop lâche pour appuyer la lame contre ton poignet pâle, ta main tremblant à l'approche de ta peau. Alors tu te laissais consumer, attendant tel une épave, cachant ta souffrance derrière un masque.

Japan Wrestling + Tu sais ce que les gens disent, c'est beauf, c'est du faux. Mais toi, tu ne regardes pas le catch américain lambda de la WWE, tu préfères largement le catch japonais (NJPW), là, c'est du spectacle et tu es impressionné par la technicité des lutteurs, ce qu'ils font est incroyable et enfant, tu avais rêvé de faire ce métier, d'être sur le ring pour divertir une foule qui n'attendait que de voir un grand spectacle entre plusieurs vedettes. Et puis il y a la star nationale, Travis Banks.

L’écriture + Tu es un littéraire et tu aimes écrire, à la main ou même sur un clavier. Tu aimes écrire des histoires, tu t'es déjà lancé dans quelques projets qui prennent doucement forme. Et souvent, tu écris ce que tu ressens, ce que tu n'arrives pas à dire à voix haute, ça te permet d'extérioriser ce qui te ronge au plus profond de toi. Tu as eu cette passion très jeune, après que tes parents t'aient offert un magnifique carnet en cuir relié qui ne t'as jamais quitté.

Balade en forêt + Quand tu as besoin d'être seul, tu vas en forêt, sans rien, sans prendre ton portable avec toi. Te trouver là, sans rien, ça te permet de te ressourcer, de prendre du temps rien que pour toi. Parfois, tu te balades plusieurs heures et à d'autres moments, tu te trouves un coin agréable, et tu y restes quelques heures, à contempler le ciel, l'eau des ruisseaux ou de petits lacs.

Ladies and Gentlemans, boys and girls...+ Tu as toujours aimé les filles et apprécier les courbes féminines, ça a toujours été une évidence pour toi, et plus encore dans une famille conservatrice. Seulement, c'est les filles qui ne se sont jamais vraiment intéressés à toi. Sauf Roxy, ta meilleure amie. Celle pour laquelle tu as toujours eu un béguin, que tu connaissais mieux que personne. Mieux que ses petits amis aux physiques avantageux. Et ça te rendais jaloux, de la voir avec ce genre de personne, comme une trahison, comme si elle s'était trahie elle-même. Elle n'était pas ça, elle n'était pas ce modèle de fille parfaite, hypocrisie et mensonge. Alors vous vous disputiez, même la veille de ton départ pour les Etats-Unis. Et puis tu lui as finalement tout avoué, tu l'as embrassé, tu as partagé ta première fois avec elle. Un moment inoubliable, ton cœur battant à un rythme effréné contre ta cage thoracique. Il aurait voulu rester, rester avec elle, mais il devait rentrer, préparer ses affaires pour le vol. Son grand regret.

Mais tu te mens à toi-même et tu mens à tous les autres, tu ne sais pas quand c'est apparu, mais presque du jour au lendemain, tu as commencé à ressentir du désir pour des garçons, alors même que tu n'attirais pas les filles. Tu as essayé de refouler ces désirs, de te raconter que c'était une passade et que c'était simplement parce que tu enviais leurs physiques ou quelque chose de cette nature-là. Et puis tu as fini par admettre que c'était plus que ça. Tu aimais les hommes, mais tu aimais aussi les femmes. Tu n'en as jamais parlé à personne, pas à Roxy, qui était si loin. Un soir, tu courais dans le bois quand tu l'as rencontrer, lui, ce joueur de football, ne t'attendant pas à cette rencontre si particulière. La nuit étoilé couvrait le ciel. Vous vous êtes croisés, vous avez courus ensemble, et ça a déraper. Tu avais maladroitement accepter sa demande, sans te douter un seul instant que cela te conduirait si loin. Et puis vous avez fait une pause, tu étais en sueur, mais tu te sentais bien, vivant. Ton cœur palpitait à un rythme rapide. Et tu n'as pas eu le temps de réagir, tu t'es laissé aller, trop surpris, mais tu ne pensais plus à rien. Il a posé les lèvres sur les tiennes et tu as accepté ce baiser, avant qu'il ne te plaque contre l'arbre le plus proche, vos corps serrés, sa main a glissé sous ton t-shirt alors qu'un frisson te traversait et tu t'es perdu dans cet océan de désir, d'envie...

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