baby you're my firework. | svane #3

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

le voyage décisif. paris, la belle ville.
Paris. Oui j’ai décidé de prendre cette ville tout simplement parce qu’on a des points en communs, les mêmes mais surtout l’art. Ca faisait, longtemps, trop longtemps que je n’étais pas venu ici surtout pour revoir cette magnifique ville. Une ville qui est mais aussi qui était une prédilection pour ma part niveau art mais aussi pour le vol et encore pire, être faussaire ici c’est magique. Alors que nous parcourons les rue mais surtout les musées, mais aussi marcher tranquillement pour que l’on puisse être tranquille. De toute façon le trajet était long, très long même. Alors quand je t'ai proposé de manger quelque chose mais quand tu as refusé je voyais bien que tu étais fatiguée et que tu aimerais dormir un peu. Je n’ai pas insisté au contraire je t’es accompagner, je t’es accompagner jusqu'à ta chambre, embrasser ton front et je t’es souhaiter une bonne nuit. Alors que tu es rentré dans ta chambre, je viens entré dans la mienne je viens alors retiré mon tee-shirt pour alors prendre mon petit carnet d’esquisse. Je viens alors griffonner quelque traits, quoi exactement ? Je ne sais pas une seule seconde. Sur le coup je reste tranquille mais plus les heures passent plus je laisse mon esprit divaguer. Les traits que je commence à dessiner une jeune femme de dos, les cheveux qui retombe sur le dos, mais cette jeune femme je ne sais pas du tout qui c’est personnellement, je ne sais pas encore. Je verrais bien. Alors que je finis mon esquisse je commence à tomber de fatigue, je viens retiré mes lunettes mais aussi je viens déposer le carnet sur la table de chevet avec les lunettes. Torse nue en boxer je me laisse glisser dans le lit, je me laisse aller dans un sommeil un certain sommeil qui commence à être lourd et apaisant en quelque sorte. Comme à mon habitude je suis allonger sur le ventre, les bras serrant le coussin sous ma tête. Je ne t’entendant pas sur le coup entré dans la chambre, je n’entendait rien. Je n’avais pas fermer ma porte à clef, surement par habitude et encore plus encore, je n’aime pas spécialement la fermer à clef. Alors que ça dois faire quelques heures que je dors, c’est un petit bruit qui me réveil. Je tourne mon visage vers toi. « Jane ? » je dis doucement, avec une voix encore endormie, j’ouvre doucement mes yeux pour te regarder, difficilement, je passe une main sur mon visage. Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller. Je souris doucement, je viens te faire signe de me rejoindre. Je ne viens pas me couvrir car simplement tu m’as déjà vue en boxer alors bon, pourquoi me couvrir, comme si je devais me cacher. J'me sentais seule ... Et un cauchemar m'a réveillée. En plus, je suis venue les mains vides. Alors que je viens doucement m’allonger sur le dos pour te faire une place à mes côté, encore endormie je t’écoute. « Ne t’inquiète pas tu ne me réveil pas, et… Raconte moi tout. » Je viens doucement m’asseoir sur mon lit en collant mon dos contre le mur passant une main dans mes cheveux pour les mettre en arrière. Puis quand tu me dis que tu es venu les mains vides je ne peux pas m’empêcher de rire. « Appelons pour que l’on nous apporte quelque chose ? » Je te dis en riant doucement puis je te tire contre moi, bon je suis un peu lent, mais quand tu m’as parler de cauchemar je préfère te prendre contre moi, comme pour te rassurer et te dire que tu n’es pas seul.

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

C’est vrai que ce rapprochement avec toi c’est quelque chose de bien, c’est quelque chose de bien mais aussi d’agréable. Mais aussi je pense que tu as toujours remarqué que j’avais encore du mal, dû mal à me comporter normalement mais surtout que j’ai toujours encore un peu de mal, mais c’est vrai qu’avec toi, je commence à me réhabituer, à redevenir une bonne personne, à redevenir une personne qui apprécie toujours une femme quand elle en besoin. Mais alors quand je viens te dire que non tu ne me réveille pas, mais je n’arrive pas à mentir pour le coup, ouais ma voix me trahit, mes traits me trahisse aussi. Mais je viens aussi te dire que tu peux, non que tu dois venir t’installer ici prêt de moi. Ne mens pas, je sais que je te réveille. Tu as la tête du Sven tiré de son sommeil. Je me mets doucement à rire, à rire doucement. Je passe ma main sur mon visage doucement. « J’avoue tout madame l’inspecteur, je t’ai entendus et ça m’a réveillé mais ça ne me dérange pas ne t’en fais pas. » Je dis toujours en souriant, mais ça ne me dérange pas de te mentir la dessus, enfin te faire croire que oui je ne te mens pas mais ce n’est pas grave. Mais bien sûr que l’on change de sujet, on parle de tes cauchemars, de se que tu as vue mais aussi tu sais que si tu as besoin d’en parler encore et encore je serais là. Tu sais, les cauchemars habituels. J'revois mes frères dans leur accident, mes rêves de danseuse qui s'envolent. J'ai l'habitude. Je t’observe doucement et quand tu me dis que j’ai l’habitude, je laisse un petit soupire m’échapper. « Jane, tu sais que tu ne prends pas l’habitude mais tu dois surmonter tout ça, je sais que c’est dur, mais faut aussi que tu puisses en parler mieux, plus en détail, ça ne peut que te faire du bien tu sais ? » même si personnellement je n’arrive pas à parler de mon expérience en prison, ce qui est assez dur pour ma part aussi, mais je sais que ça ne peut que te faire du bien et tu sais que je serais là pour t’écouter. Puis je te dis que l’on peut commander : A force de me goinfrer tous les soirs, j'vais devenir énorme tu sais. je me mets doucement à rire. « Malgré tout il y a d’autre façon d'éliminer tout ça. Boire beaucoup, se nourrir un peu sainement, puis si on commande je ne vais prendre des cochonneries, tu sais, les raisins sont super bon. » je te dis en souriant, alors que tu viens contre moi, je passe doucement un bras autour de toi, passant délicatement ma main dans ton dos puis je viens doucement attraper l’une de tes mèches de cheveux pour jouer avec. Tu étais déjà venu à Paris ? Alors que je sens tes doigts sur ma peau, je te laisse faire, et ça ne me dérange pas. Alors que tu me poses la question je souris doucement en m’en rappelant quand je venais. « Oui, eumh, trois ou quatre fois il me semble. Et toi donc ? Enfin, question un peu bête, je suis que oui. Tu aimes cette ville ? » Je dis doucement en venant baisser mon regard sur toi, mais ma vue est un peu troublé par la fatigue. J’attrape mes lunettes de l’autre main, lunette de repos c’est pas mal. Puis je dépose ma seconde main sur ton bras, puis je viens doucement faire de même caresser doucement ta peau de mes doigts sans trop m’en rendre compte.

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

Même si tu me réveille, personnellement je m’en moque, ça ne me dérange pas et je sais que c’est quand même pour la bonne cause, que ce n’est pas fait exprès mais surtout parce que tu as besoin d’être …. d’être soutenu dans le besoin, ou même dans le réconfort c’est le cas ce soir comme beaucoup de soir. Même si habituellement je ne dors pas quand tu débarque dans ma chambre ou inversement. Alors que l’on que l’on parle de ton état émotionnelle de ce soir Je vais bien, ne t'en fais pas. Ça me passera. je hausse doucement des épaules et sort un petit : « Mh.. » comme si je ne te crois pas mais encore moins, ça ne me rassure pas du tout. D’un côté je suis passer par là et je n’en ai jamais réellement parler quand c’est arriver en faite. Mais un jour ou l’autre quand tu auras réellement besoin tu sais que je serais là, je serais là pour t’écouter et te soutenir, mais jamais, jamais te juger. Sauf si tu fais une connerie qui ne plait pas et là pour le coup je te dirais se que je pense, parce que oui, je suis gentil mais si j’ai quelque chose à dire je le fais clairement. Alors que l’on parle de bouffe, c’est vrai que pour ma part je débarque toujour avec quelque chose en main mais ce soir ce n’était pas ton cas.  Je préfère mourir plutôt que de manger sainement. je laisse un petit rire m’échapper quand tu me dis ça. « Manger sainement ne veut pas dire restriction tu sais ? » je dis en souriant me doutant que tu devais faire très attention à un moment donner. De toute façon, je n'ai pas très faim. Mais si tu veux commander quelque chose, ne te gêne pas. je fais un petit non de la tête, pour le coup je n’ai pas spécialement faim non plus. Parce que si je me mets à continuer de grignoter comme on fait, je ne rentrais plus dans mes chemises et pantalon ça serait dommage. Même si pour ma part je fais régulièrement du sport. Je garde alors la tête collé contre la tête de lit avec un oreiller derrière, continuant de jouer avec t’es cheveux, gardant les yeux ouverts sinon je risque clairement de m’endormir à nouveau et de ne plus du tout suivre la conversation, mais aussi de sentir tes doigts sur mon torse me détend totalement.  J'aime Paris, oui. Je pense que je me serai sûrement installée ici si j'avais pu aller au bout de ma carrière. Je viens doucement te regarder. « C’est vrai que c’est très beau mais… y vivre carrément ? » je grimace doucement en te regardant. Je n’aurais pas pu personnellement. Tu as visité d'autres pays que la France ? Je vois que tu as envie d’en savoir un peu plus sur moi, pourquoi pas, tant que je ne lâche pas la bombe du fait que mes visites étaient pour mon “travaille”. « Oui j’ai visité l’italie, l’espagne. Après je suis partie en Grèce, en Egypte aussi. » des pays spéciales pour l’art. « J’ai aussi fais la Russie. » quelque chose de totalement différent mais bon faut bien partir quand tu as besoin de quelque chose et qu’il se trouve que là-bas. Mais je pense que je vais y tourner autrement si tu me demande pourquoi la Russie.

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

Je vois très bien que tu n’es pas prête à parler mais ce n’est pas pour autant que j’insiste je préfère te laisser le temps et te laisser venir a moi pour te confier. Ce n’est pas parce que beaucoup le font en ce moment que tu es obligé de faire de même. C’est vrai. Alors que le sujet change rapidement sur la façon de manger, c’est de la que je t’explique que manger saingement n’est pas un régime. Je sais, je sais. J'ai passé la moitié de ma vie a être suivie par une nutritionniste qui me voulait anorexique. je hausse doucement des épaules quand tu me dis qu’il te fallait une nutrition anorexique. C’est peut-être vrai, mais surtout je sais que tu devais bien te priver, même beaucoup trop te priver pour être au poid idéal, de ce que tout le monde attend même. Mais ce n’est pas la dessus que je retiens, je sais que j’aurais des questions mais je ne sais pas trop si c’est encore bien le moment de les posés, ce n’est pas vieux le fait que tu aies arrêter la danse et d’en parler je pense que ça ne te ferais pas que du bien, mais aussi du mal. un certain mal. Il y avait tout pour me combler ici. Enfin, surtout pour combler ma soif d'apprendre et des arts. Et puis, il y a plus de possibilité de percer dans la danse ici qu'à Island Bay. Je pense que j'aurai pu y faire ma vie, ouais. alors que tu m’explique que oui tu aurais bien aimer vivre ici, je peux te croire mais même pour l’art je ne serais pas rester, je le sais pourquoi maintenant. « Après oui tu savais pourquoi tu voulais y aller. » mais je n’en dis pas plus, pourquoi tout simplement parce que cette conversation commence à me faire dire que je dois arrêter de te mentir, pour toi et ton bien être. J’ai mentie trop longtemps à Sannah et ça m'a valu qu’elle me quitte et que je parte en prison, alors pourquoi pas ne pas prendre le risque ? Alors que nous sommes là, tranquillement poser dans le lit, à être bien.Moi qui caresse toujours t’es cheveux et toi mon torse. Moi qui te dis quelle pays j’ai visité mais je t’écoute. Tu as beaucoup voyagé. je fais un simple oui de la tête. Il y avait une raison particulière à ça ? Je peux simplement te mentir encore, surtout pour la nuit que tu viens de passer où tout simplement te dire la vérité. et pour le coup c’est avec le coeur lourd que je me redresse doucement, pour venir m’asseoir ce qui te fais bouger à toi aussi. Je soupire doucement. « Oui j’ai énormément voyagé pour certaine raison. Tu peux penser que c’est simplement pour le fait que j’aime visiter ou simplement la culture des pays mais ce n’est pas que ça... » Je prends doucement mon carnet, qui est déjà bien remplis, tu savais que je dessine beaucoup mais la je viens ouvrir une page, un diamant, un émeraude. « Faut que je t’avoue quelque chose Jane, j’en ai marre de te mentir, parce que oui, oui je l’avoue je tiens à toi mais aussi parce que je n’est pas envie que tu le découvre par quelqu’un d’autre comme mon ex femme… » je secoue doucement la tête de gauche a droite puis je te montre le dessin. « Si j’ai beaucoup voyagé c’est pour mon travail. Pas celui de professeur mais... » je n’ai pas envie de te le dire mais je m’en sens obligé, tellement obligé que je dois te lâcher le morceau. Je te regarde un instant puis je baisse un peu mon visage. « Je suis un voleur et faussaire esquit. Ce diamant, je l’ai dérober au russe. Toute a l’heure au Louvre, il y avait des faux que j’ai reproduit et que… » je passe doucement une main dans mes cheveux en m'expliquant tout ça. « Et qu’ils ont accepté en guise de “retrouvaille” mais ce n’est pas vrai. Avant que je parte en prison ce n’était pas une erreur de jugement mais bel et bien ma faute. Je me suis fait prendre lors d’un vol qui à mal tourner mais surtout le fait que mon esprit n’était pas à cent pourcent dedans. » je souffle doucement, tête toujours baissée. « Tu peux me déteste, me hurler dessus ou bien même me frapper… Mais j’en avais marre de te mentir et de te cacher la vérité. » parce que je tiens a toi. Mais je l’ai déjà dis ça.

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

C’est vrai que j’aurais voulu en savoir un peu plus sur toi, mais en réalité, je n'insiste pas vue que toi tu ne veux pas, je ne veux pas te brusquer ou autre chose, je n’ai pas envie que tu te sente mal car ouais, ouais je peux comprendre que parler de son passé n’est pas simple ni même agréable. Après tu sais que si t’as besoin ou bien même si tu en as envie je suis là. C’est là que la question est posé, sur moi, et aussi que je n’ai plus envie de te mentir, pourquoi faire ? Mentir c’est ma principal faculté mais pour le coup, avec toi je n’ai pas envie surtout sur qui je suis réellement. C’est de là que je me suis un peu éloigner ou plutôt redresser pour lâcher la bombe, pour tout te dire, mais aussi t’expliquer qui je suis réellement. Qu'est-ce que ... ? ça ne m’étonne pas, mais je te laisse le temps tout assimilé, c’est vrai que j’aurais penser une réaction un peu, violente, ou explosif aussi. Comme quoi je ne t'ai pas dis la vérité sur moi ou autre chose. J'vais pas te hurler dessus, ni même te détester ... Je relève doucement le regard sur toi, quand tu me dis ça, j’ai tellement eu l’habitude de m’engueuler avec les personnes quand j’exprime qui je suis réellement que pour le coup je sais quand même un peu apaiser, apaiser sur le fait que ce n’est pas le cas avec toi. Je te laisse prendre le carnet, mais aussi de le regarder. C’est vrai qu’il y à énormément de croquis, énormément de dessin dedans que j’ai personnellement fait. Est-ce que tu en as terminé avec tout ça ? Ou ... est-ce que tu continues ? La question que je m’attendais le plus, et que j’ai déjà répondus à Jake, mais pour lui c’était normale que je lui dise la vérité, il me connaît trop bien. Pour le coup je vais faire un mélange de mensonge et de vérité a la fois. « Oui. Enfin, je ne vais pas te dire que j’ai arrêter de peintre ou même de refaire des sculptures, mais ouais j’ai arrêter de voler et de faire des échanges comme j’ai pu faire pendant longtemps. » Je te dis calmement, ouais très calmement même. Parce que d’un côté si un jour tu viens dans ma chambre et que tu vois des peintures tu vas te demander et te poser des questions, alors oui je ne pourrais jamais m’arrêter de peinture. Je tiens à toi, Sven. Je tiens, vraiment à toi. Mais j'veux pas prendre le risque de te perdre parce que tu te seras fais prendre une nouvelle fois. Je viens déposé mon regard dans le tien, puis je t’écoute, tout est réciproque d’un côté. Et ta peur que je me fasse prendre une nouvelle fois me touche, oui totalement. « Jane, j’ai fais la connerie une fois, pas deux rassure toi. » En te disant ça, je me suis doucement redresse pour venir faire face à ton corps, mais aussi pour doucement glisser une main le long de ta mâchoire en te regardant droit dans les yeux. Mon visage est assez proche du tien, mon regard est plonger dans le tien aussi et je souffle doucement contre ton tes lèvres : « Je ne veux pas te laisser, je ne veux pas te laisser seule maintenant que tu es entré dans ma vie c’est impossible de t’abandonner. » C’est alors que j’accompagne mes paroles à des gestes, j’avais vue que tu ne m’as pas repoussé. C’est alors que je prends le dessus et que je laisse mes lèvres glisser doucement contre les tiennes. T’offrir un baiser, ce baiser que oui j’aurais peut-être pu faire des puis des jours mais aussi je ne voulais pas le faire avant d’être sur que toi aussi tu ne tenais pas à moi. Un baiser assez délicat et doux à la fois. Je suis peut-être par moment comme tout ses hommes, j’ai des envies mais avec toi c’est différents, je veux te laisser aussi le temps. Je viens doucement me reculer et je murmure un : « Désolé…. »

 

baby you're my firework.
song † w/"svane ♡"

Rien n’était simple, surtout pas ça, pour t’avouer tout ça ce n’était pas simple, j’avais peur, peur que tu me hurles dessus, que tu ne veuille plus me voir mais pire encore que tu t’enfuis. Que toi aussi tu me laisse comme sannah à pu le faire ce jour là. Je sais maintenant pourquoi elle est réellement partie, mais pourquoi elle ne m’en avait pas parlé avant. Alors qu tu viens de me demande si je continues, je t’ai dis non mais d’un côté pour le coup j’ai préféré te mentir un peu. Car bon, si je peux payer mon loyer ce n’est pas grâce à mon salaire de professeur il y a plus derrière mais je n’en parle pas. Quand tu viens me confier que tu ne veux pas me perdre toi non plus mais surtout ça me touche réellement, c’est aussi pour ça que je viens te montrer que moi non plus, même si je te l’ai dis. Je viens passer ma main sur ta mâchoire, puis murmuré que moi aussi je tiens à toi et que je ne veux pas te perdre. Je ne supporterai pas que tu m'abandonnes. Ton souffle chaud contre mes lèvres, me fait doucement fermer les yeux pour venir les déposés contre les tiennes et malgré moi je m’excuse. Pourquoi moi-même je ne sais pas, mais tu viens alors me le demander. Pourquoi ? je viens doucement ouvrir mes yeux pour te regarder, j’allais te répondre mais ton rire vient m’arracher un sourire sur mes lèvres. J'en avais envie, tu n'as pas à t'excuser. mon sourire s’élargit un peu plus quand tu me dis ça, c’est vrai que je n’ai plus l’habitude d’être comme ça avec une femme, d’être doux mais aussi de prendre mon temps. « C’est parfait alors si tu en as envie aussi. » Je pensais qu’après Sannah jamais, plus jamais je ne tomberai à nouveau dans les bras d’une femme, mais je me trompe. Aujourd’hui c’est le cas avec toi, cette proximité que l’on à tous les deux, mais aussi ce sentiment de toujours vouloir être avec toi, proche toi mets un peu inconnu d’un côté mais aussi envieuse que je ne l’aurais cru. Et j'en ai toujours envie. Je peux alors voir tes joues commencé à devenir un peu plus rosés qu’il y à quelques minutes. Quand je sens tes mains se poser sur les miennes je ne peux m’empêcher de sourire. Tes lèvres contre les miennes me fait très rapidement fermer les yeux à nouveau pour en profiter. Un baiser délicat qui devient un peu plus fougueux. C’est a ce moment là que je viens doucement faire glisser une main au creux de tes reins pour venir doucement te coller contre mon corps mais surtout de faire doucement basculer sur le dos pour t’allonger. Je ne cesse en rien ce baiser. Mais je viens doucement coller mon corps contre le tien, avec cette sensation assez agréable. Pas une sensation comme celle quand je te prends dans mes bras, non celle-là et plus intense, plus forte que toute les autres. C’est même un plaisir d’être coller contre toi a ce moment précis, et je passer une main près de ton visage pour ne pas t’écraser quand même et garder l’autre sur ta hanche. Je sépare un instant mes lèvres des tiennes pour venir doucement les déposer sur ton menton et descendre doucement dans ton cou avant de revenir chercher la délicatesse des lippes, mais aussi cette envie de ne plus les lâchés.