see you again ? it's nothing to me. ○ jake bailor.

Une bière, enfin la troisième bières de ma soirée. Alors que je suis entrain de me préparer, j’enfile alors mon jean, un jean bleu foncé puis une chemise blanche. Je n’aime pas mettre des pantalons noirs même si je sais que c’est obligatoire ou presque. après je fais un peu ce que je veux. Alors que j’avale la fin de ma bière, je prends quand même un chewing-gum puis je vais rapidement a la salle de bain pour finir de me préparer. Un maquillage, un simple maquillage puis je viens alors mettre mettre mes cheveux sur mes épaules. Je souris doucement, quand j’en sors j’attrape ma veste de tailleur et une fois qu’elle est mise je mets mes chaussures, des genre de rangers, des chaussures confortables mais surtout pour pouvoir être à l’aise si j’ai besoin de botter le cul de quelqu’un. Alors que je sors tranquillement de chez moi, je viens continuer à jouer avec mon chewing-gum. Avant d’arriver je viens doucement le jeter puis je rentre a l’intérieur du Holster. Je salue quelques personnes puis je viens prendre mon oreillette pour aller prendre place à l’entré. Une entré que je surveille depuis des mois en faite. Le grand patron à accepter que je sois ici, alors pourquoi continuer. Malgré que le Strunk me prend presque toute mes journées le soir arrive je suis assez fière d’être à ma place. Beaucoup pense que je ne suis pas celle que tout le monde pense mais en réalité, c’est assez fière, fière de botter le cul aux personnes qui ne sont pas les autorisés à ne pas entrer. Alors que je suis là, à tout surveiller, mais aussi à faire mon job. Je survient sur le fait qu’une interaction ne se fait pas à l’entré, pour avoir la plus grande discrétion. C’est alors que je viens reprendre ma place, je vois une homme assez grand mais aussi un homme qui arrive assez rapidement vers l’entré. Jean troué, veste en cuir mais surtout cette gueule cassé ne m’inspire pas confiance. Je te guette du coin de l’oeil, c’est la première fois que je te vois. Peut-être que ce n’est pas la première fois que tu essayes de venir, mais c’est la première fois que je vois cette gueule. Qui sur le coup me dis quelque chose mais je ne sais pas pourquoi. Surement les yeux bleues, ses yeux qui me donne des vieux souvenirs mais je ne veux pas être sur vue que je ne suis sur de rien. Quand tu arrive à ma hauteur je viens me mettre sur ton trajet. « Tu n’rentre pas toi. » Je te dis en relevant un peu la tête pour te regarder. Malgré que tu fasses une tête de plus que moi, je n’ai pas réellement la trouille. J’en ai vue des pires, des pires avec la navy alors bon. Mais quand je vois que tu vas pour insister je passe une main sur ton buste pour te repousser. « J’ai dis : tu n’rentres pas. » je viens hausser un peu plus le ton mais aussi je me fais clairement comprendre pour que tu ne rentres pas. Un mec d’un état comme ça c’est impossible que tu rentres. Je m’en fous, je vais tout faire pour que tu ne rentres pas.

( Pando )

Je jure que c’est pas simple de se refaire une vie mais là pour le coup mais là ce soir, je dois plus penser au boulot qu’à moi-même, pas mes esprit vagabonde. C’est pour ça que je t’arrête, que je t’arrête pour t’empêcher de passer. Je me fiche de ce qu’il se passe. « Ah ouais ? » Je te regarde droit dans les yeux. « Ouais. » Alors que tu essayes de passer à nouveau, je te retient encore, et je le ferais tout le long de la soirée s’il le faut. Je me fous que tu prennes un ton pas très sympathique où que tu essaye de jouer les gros dur avec moi. Après même si je peux avoir des ordres je me fiche que tu veuilles ou non rentré, habitué ou non je ne te fais pas entré comme ça. « C'quoi ton problème en fait ? » Je viens doucement haussé un sourcil quand tu me dis ça, je viens croiser mes bras sous ma poitrine quand tu as retiré ma main. Et j’ai toujours mon tons, un tons assez strict. En réalité tu n’est pas le seul homme aussi “brute” que j’ai pu voir dans ma vie, que j’ai pu avoir en face de moi et ce n’est pas toi, le premier mec qui est présent face à moi qui pense être le plus fort. « C’toi l’problème, fait d’mi tour maintenant. » Je fronce les sourcils, c’est de là que je viens doucement passer mes mains sur mes hanches. Je viens tic que j’ai toujours eu surtout quand on commence a m’énerver. Ce tic beaucoup peuvent ressortir quand quand je m’énerve, mais aussi mes sourcils froncés. Mais quand je t’observe je reconnais aussi les traits que j’ai toujours connus des traits que j’ai jamais aimer en réalité. C’est de là que tu viens prendre la parole, avant moi. « Meeerde ! Fichel ! Putain Harley Fichel ! » À ta stupeur je viens alors un sourire sur mes lèvres. Un large sourire à la limite de rigoler en réalité. C’est vrai, c’est vrai que tu sois surpris c’est pour ça que je me mets doucement à rire, mais aussi quand tu dis mon nom de jeune fille ça me fait encore plus rire. « Tu es tomber dans le mille. Fichel, c’est moi. » Je hausse doucement des épaules, je suis toujours autant la petite peste que tu m’as connus, celle qui ne ta jamais réellement aimer. « J'peux savoir c'que tu fous là blondasse ? » Je viens doucement penché ma tête sur le côté en te regardant dans les yeux, un sourire aux lèvres. Amusée je peux dire que j’ai ce sourire sur mes lèvres. « Bailor, tu crois que le monde est aussi grand que ça, et que même si je suis de petite taille. Je suis toujours l’emmerdeuse que tu as connus. » Je viens doucement plisser mes yeux pour te regarder. « Et si j’suis ici, d’vant toi sale brute c’est simplement parce que… Oh oui, je travail. » Je secoue doucement la tête de gauche à droite. « On m’avait dit que tu allais débarquer mais je ne savais pas que c’était toi le magique homme qui détruit soi-disant tout le monde alors ? » je te lance avec un signe de la tête.

( Pando )