contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Encore dans ma salopette en jean qui me sert pour mes travaux, oui je n’abandonne pas le fait d’ouvrir ce bar restaurant mais en réalité, ça me prends beaucoup trop de temps car je ne suis pas aussi manuelle que beaucoup de personne, que mon mari était… Alors pour le coup il me reste beaucoup de travaux a faire. Je penserais à appeler une société demain, car pour le coup je viens détacher mes cheveux car bosser sur la déco me donnait chaud. J’avais qu’une envie c’est de tout arrêter. Alors que je suis entrain de ranger ce que j’ai sortie, un bruit étrange dans la salle principale m’interpelle. Je fronce les sourcils puis je m’avance doucement pour voir ce qu’il se passe. Un chat vient d’entrer. Je lève doucement les yeux au ciel et souffle un petit : « Harley que croyais tu ? » Je réussi à l’attraper une fois mon sac sur l’épaule, j’éteins tout puis quand je sors je le lâche ou plutôt il me saute des bras. Je hausse doucement des épaules. Je marche tranquillement jusqu'à chez moi pour me changer, car le rendez-vous, c’est le rendez-vous pour ma part, celui que l’on se donne. Sauf qu'aujourd'hui rien n’allait, tout mes souvenirs avec mon mari refont surface : ça aurait fait neuf ans que j’aurais été avec Miguel, mon mari. Je secoue doucement ma tête de haut en bas, et pourtant je baisse ma garde, une garde que j’ai toujours dans les rues, une surveillance que j’ai depuis la nevy. Le regard un peu baissé, je marche tranquillement. Jusqu’au moment propice, un homme, surement plus grand que moi mais aussi légèrement plus fort m’arrête dans la rue simplement pour ? Pour me draguer comme un gros lourd. Je l’envoie balader gentillement et reprends mon chemin. Sauf que pour le coup il n’apprécie pas et m’explique que s’il dit que c’est mon heure ce soir c’est que c’était le cas. La chose qu’il fait c’est de m’attrapé par le bras pour me retenir. Chose à ne pas faire, chose à laquelle je peux rapidement m’énerver et c’était réellement le cas. En face de moi j’avais l’impression de voir cet abrutie de Mike, cet homme qui ma valu ma mise a pied, quitter la ville de mariage et de plus beau souvenir mais surtout cet homme qui à arracher la vie de ma soeur. Le ton monte, les mouvements sont de plus en plus brusque et pour l’un et pour l’autre. Sauf qu’il porte le premier coup, premier ou il m’insulte de femme faible et de femme facile, mais aussi le second. il a dit des aussi des paroles qu’il n’aurait pas dû dire mais surtout porter la main sur moi. Les nerfs me lâchent, les coups partent assez rapidement. Malgré moi et surtout sans coeur je le laisse ici au sol en lui lançant que si je le revois un jour il aura pire. Je souffle doucement en passant ma langue sur ma lèvre. Le coup de sang est présent, mais aussi je sens que ma tempe commence à me chauffer. Je m’en fous, je n’en prête pas attention. Je marche rapidement vers le bar. Je souffle doucement avant d’ouvrir la porte mais surtout de me diriger rapidement vers toi, même de dos je pourrais te reconnaître. C’était bizarre mais c’est comme ça. Non seulement amis mais tout à commencé par des choses moins sérieuse, ou plus raisonnable pour deux adultes. Salut beauté ta voix me résonne dans ma boite crânienne et d’un côté ça me fait du bien de l’entendre. « Salut toi. » je dis, sur le même ton que j’ai toujours eu, assez heureuse d’être près de toi. Mais je ne tourne pas encore le regard sur toi, je préfère commander mon double whisky. C’est une fois que j’ai mon whisky en main, j’en bois une grande gorgée pour calmer mes nerfs, puis je viens doucement te faire face, te faire face sans trop me souvenir que je dois avoir une simple lèvre écorcher. Malgré tout, quand rien ne va je sais toujours où te trouver, je sais que je peux toujours compter sur toi. La vaaache je hausse doucement un sourcils à t’es parole, sauf que je viens doucement passer une main dans mes cheveux, au même moment je sens que ma paumette me fait mal. Je soupire doucement, je sens que je suis bien amoché, plus que ce que je ne le pense. C'est moi qui aie cette gueule-là d'habitude Je plisse doucement des yeux quand tu dis ça. « Ca sera l’inverse ce soir. » Mais quand je t’entends rigoler je viens doucement sourire d’amusement, car oui tu n’as pas tord, c’est l’inverse la plupart du temps. J'voudrais pas être le type d'en face Je ne peux pas m’empêcher de rire à mon tour, un rire un peu plus sincère, puis j’attrape un tabouret pour venir le glisser sous mes fesses mais surtout pour être à ta hauteur. Ouais, je peux me sentir petite face à toi par moment. « Sans te mentir, je pense qu’il doit seulement commencé à se lever ce connard. » je dis en secouant la tête. « Il m’a prit pour une de ses femmes sans défense, qui pense qu’elle peut se laisser faire par un beauf comme lui. » je laisse un soupire m’échapper en même temps et avale mon verre avant d’en recommander un. « Après ce soir il aura peut-être du mal à séduire pendant plusieurs semaines mais aussi devra des explications à sa femme ou autre. » je dis en faisant une petite grimace, fière de moi malgré tout. Car ouais, je ne perds pas la main avec des débiles comme j’ai pu voir ce soir.
( Pando )
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Sujet: Re: ▬ you poor little fool, harley (#) Dim 21 Oct - 18:53
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Sujet: Re: ▬ you poor little fool, harley (#) Sam 3 Nov - 16:53
Nous sommes tout les deux secrets sur notre propre vie, sur ce qu’il peut se passer pour nous mais surtout dans notre vie car c’est sur que ce n’est pas quelque chose sur laquelle on parle, mais si le jour où ça arrive je pense que tout les deux on aura fini de partager nos draps mais aussi on aura fini d’être de simple amant. Ca ne sera pas aujourd’hui que ça arrivera. Je ne crois pas non, j’arrive déjà pas à parler de mon passer avec ma propre famille alors comment vous dire, je ne pourrais pas en parler même avec un simple inconnu. Quand toute cette soirée à prit une mauvaise tournure, sortie de mon propre bar/restaurant et me faire agresser comme je viens de le faire, c’est sur que ça ne peut que me mettre sur les nerf en réalité. C’est vrai que quand j’entre dans ce bar je fais quelque fracas, une vague de retournement, mais aussi je sais réellement ou je vais, vers toi simplement. Un verre de commande, surtout dans la main que je descends rapidement pour en commander un autre, pour commencer à le déguster tranquillement en lâchant la bombe, mais surtout en te laissant le plaisir de découvrir mon visage tel qui l’ai depuis plusieurs minutes maintenant. Mais je me permets de m’asseoir pour être à ta hauteur, ma petite taille n'effraie personne mais aussi je sais que même si je serais plus grande je ne serais pas si effrayante, pas comme toi. Grand, forte corpulence, mais aussi une voix imposante, sans vous mentir, qui aurait peur d’un bout de femme comme moi ? Je ne pense pas grande monde. Mais il faut juste savoir s'imposer, comme je l’ai toujours fait. Ca a du lui faire tout drôle au bonhomme je lève doucement un sourcils en te regardant. « Et pas qu’un peu sans te mentir. » même si ce n’est pas la première fois que je vois ce genre d’homme, de salopard pour ma part, je ne comprends toujours pas pourquoi ni comment ils peuvent pensés ça, comment on peut se comporter ainsi, j’ai peut-être été habituer à ce que les hommes, soient plus doux mais non. Même a la nevy je n’hésitais pas à les remettre en place et il ne recommençait pas forcément. Je commence fortement à enchaîné les vers, le whisky mon péché mignon en réalité, celui qui me calme et aussi qui me fait voir le monde aux différentes couleurs. Celui qui me rends peut-être un peu plus femme ? Où plus joyeuse. C'est surtout avec son ego qu'il va avoir des explications je viens doucement haussé des épaules en souriant amusée, pour le coup je m’en fou et je suis bien fière de ce que je viens de faire en réalité. « M’en fou. » je lâche doucement avec un ton assez amusée, puis une fois un peu plus calme, je viens doucement me mettre un peu de profile toujours pour te faire face, je croise doucement mes jambes, l’une sur l’autre. Apportant doucement verre a lèvres pour en déguster enfin cette boisson. Tu d'viens quoi ? Depuis le temps Ta question m’arrache clairement un large sourire, c’était claire que ça faisait longtemps que l’on ne sait pas retrouver, que l’on ne c’est mutuellement exploité, simplement parce que l’on sait que les jours pouvaient être difficile. Mais est-ce que je dois t’avouer qu’en ce moment je préfère être terré dans mon appartement à boire seule parce que c’est notre anniversaire de mariage ? Ou simplement parce que j’ai pas envie de fouler le sol juste pour aller travailler au bar. « Je pense que ça ne te plaira pas trop. » je dis en souriant, sachant que je vais devoir cracher le morceau dans pas longtemps, que tu vas vouloir me le faire cracher plutôt. « Je deviens un peu trop sage j’ai l’impression. » je dis en souriant, puis après ma gorgée je lance doucement. « Toi aussi, ça fait un moment que je ne t'ai pas vue sur le pas de ma porte. » je ne suis pas trop du genre à lancer ce qu’il ne va pas et je sais que toi aussi, alors, à quoi bon chercher ce que l’autre a vécu ou non, en parler ou non. Ca peut arriver, quand on à passer une journée de merde mais c’est tout...