Marriage and doubt. (Galios #9)

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Un poids sur mon ventre me réveille. Je papillonne des yeux avant de remarquer que c’est ton bras qui est appuyé sur mon ventre. Depuis quelques mois tu as gagné en muscle, certainement dû à tes entrainements intensifs avec ton groupe. Je souris doucement. C’était encore plus un vrai régal pour les yeux, et parfois je devais me retenir de ne pas te sauter dessus dès que je posais les yeux sur toi. Au premier abord il n’y a pas de problèmes entre nous, enfin si on ne nous connaissait pas on ne le devinerait jamais. Mais, si on gratte la première couche c’est une toute autre histoire. On était fiancé depuis noël dernier maintenant et on n’a pas beaucoup avancé sur le mariage. C’est même moi qui a mis les freins sur cette histoire sans vraiment dire pourquoi. Il faut dire que depuis presque un an je traverse une période compliquée. Je suis toujours à la recherche d’un travail. Tout mes entretiens se soldent par un refus. Je commence même à me demander ce que je vais faire de ma vie. Alors je n’ose même pas penser à mes finances pour le mariage. Car il était hors de question que tu finances l’intégralité du mariage. Déjà je ne sais même pas qui je vais inviter au mariage. Il est inimaginable que ma famille soit invitée, et en parlant d’amis, ça se compte sur les doigts d’une main. Toi, tu as une ribambelle d’invités, aucun doute que de ton côté l’ambiance sera au rendez-vous. Face à tout ça, je me sentais seul. Pourtant j’en rêvais de lier ma vie à la tienne. Mais le doute m’avait envahi, et au lieu d’en parler, j’avais tout gardé pour moi. Tu avais traversé une période bien plus compliquée que la mienne. Je repousse ton bras tout en déposant un baiser léger le long de ton épaule en veillant à ne pas te réveiller. Je m’en vais dans la cuisine pour faire couler le café avant d’ouvrir ton ordi. Je surfe rapidement pour voir si une nouvelle offre d’emploi est apparue. Mais c’est tellement affligeant que je décide de refermer rapidement la fenêtre. À la place j’ouvre une fenêtre pour regarder les costumes de mariage. Je me perds dans les sites où tout est trop beau mais surtout trop cher. Je suis tellement absorbé que je ne t’entends pas arriver. Je sursaute quand je sens tes bras autour de mon torse dénudé et tes lèvres dans mes cheveux désormais court. J’avais décidé de les couper il y a deux semaines. « Hey… » Je tourne mon visage avant de frotter mon nez sur l’arête de ta mâchoire. « Bien dormi ? »

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c'est le froid qui te réveille. pas le froid ambiant, puisque les températures commencent à redevenir douce. non, c'est simplement le manque de galaad dans le lit. tu frisonnes un peu et un long soupir t'échappes quand tu veux te blottir contre le brun, mais qu'il n'est, tout simplement pas là. tu ouvres les yeux et ramènes la couette contre ton corps un instant. tu retiens un petit soupir et tu ne tardes pas à te lever après avoir jeter un coup d’œil à ton portable. tu l'abandonnes sur la table de chevet et tu attrapes un pantalon de jogging, l'enfilant sans prendre la peine de venir mettre un boxer. tu étouffes un bâillement, avant de te diriger vers le salon, y trouvant galaad. un sourire se dessine sur tes lèvres et tu viens entourer tes bras autour du torse de ton fiancé. salut. tu souffles contre sa peau en fermant les yeux et en venant t'appuyer un peu contre son dos, profitant de la chaleur de sa peau. hey... tu souris et rouvres les yeux quand il vient tourner un peu la tête. tu viens frotter doucement ton nez contre le sien. tendrement. tu aimes ces petits moments rien qu'à vous, souvent le matin quand tout est encore calme et paisible. bien dormi ? tu hoches la tête. ouai. mais je préfère les matins ou tu restes au lit. tu ris un peu en rouvrant les yeux, ton regard venant se poser sur l'écran de l'ordinateur, ouvert. mm, il t'irait bien, celui-là. tu souffles en désignant un costume, laissant tes lèvres glisser dans son cou que tu viens embrasser tendrement. j't'aime, tu sais ? tu souffles. t'es d'humeur câlin, ce matin. et ça a jamais été trop pour déplaire à ton homme. j'ai hâte. tu ajoutes doucement. même si vous n'en parlez pas beaucoup, que c'est un peu compliqué pour le moment ouai, t'as totalement hâte que vous soyez marier. un soupir manque de s'échapper de tes lippes. tu fermes les yeux un instant et viens le serrer contre toi, embrassant son épaule.

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Depuis que l’on s’est réconcilié, il y a plusieurs mois, j’ai l’impression que tout peut se terminer en un claquement de doigt et que ça peut aussi nous anéantir. Alors le mariage, ça coulait de source. J’avais fais ma demande presque sur un coup de tête. Mais j’étais certain. L’angoisse, elle, est venue après. La peur que tout se casse la tronche. Mais surtout je fais enfin face à un problème de taille : je n’ai plus beaucoup d’économie et ce n’est pas ce que je reçois comme chômage qui va aider. C’est déroutant et déprimant. Tu m’avais déjà proposé, à plusieurs reprises, de m’aider à financer mon costume et autres choses. Mais j’avais l’impression de me faire entretenir et je détestais cette sensation. Je m’apprêtais à refermer l’ordi quand deux bras m’emprisonne contre un torse musclé. Je souris doucement en me redressant pour m’appuyer un peu plus contre toi. Je tourne la tête et souris alors que nos nez se touchent. Je souris et entoure tes hanches de mon bras. Je te vole un baiser, savourant ce moment de tendresse. Je me montrais de plus en plus possessif avec toi. Et j’en avais rien à faire si on nous toisais parce que l’on était trop tactile. Je lâche un rire en te serrant un peu plus contre moi. « Il faut bien se lever à un moment donné. Marmotte. » JE te vole un nouveau baiser avant que tu ne remarques les costumes. Je hausse les épaules « Ouais ben je crois que je vais y aller en boxer vu les prix. » Je souffle doucement. JE referme l’ordi avant d’attraper tes mains et de frissonner. « Je ne fais pas que de le savoir. » Je mordille ma lèvre inférieure avant de te tirer contre moi en souriant. « Moi aussi » Même si je ne le montre pas, je ne veux que cet anneau autour de mon doigt pour t’appartenir à vie. Peut-être que l’on devrait se pencher sur une cérémonie intimiste. « Si on était à Vegas, je serais déjà à toi. » je me retourne avant de sourire. « Qu’un pantalon, sérieux ? » Je hausse un sourcil, rieur.

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tu fermes les yeux un instant, viens serrer galaad contre toi. tu retiens un petit soupir de bien-être. t'as envie que tous les matins puissent se passer tendrement et dans votre lit, mais le brun a décidé de se lever avant toi. et si tu avais été réveillé à ce moment, tu l'aurais sans doute empêché de sortir de vos draps. que ce soit d'une manière ou d'une autre. tu te mords l'intérieur de la joue et viens l'embrasser tendrement en souriant contre ses lèvres. tu te mords l'intérieur de la joue et viens t'installer à ses côtés. il faut bien se lever à un moment donné. marmotte. un rire s'échappe de tes lèvres et tu souris une nouvelle fois contre ses lèvres. tu glisses tes doigts dans ses mèches brunes. ouai ben je crois que je vais y aller en boxer, vu les prix. tu secoues faiblement la tête et te retiens de souffler une quelconque réplique, sachant très bien que c'est un sujet sensible. je ne fais pas que de le savoir. moi aussi. un tendre sourire se dessiner sur tes lèvres et tu continues de caresser tendrement sa nuque. si on était à vegas, je serais déjà à toi. c'est loin, vegas. tu souffles dans un rire et viens l'embrasser une nouvelle fois. qu'un pantalon, sérieux ? tu hausses les épaules, l'air de rien, tandis que tu te serres un peu plus contre ton fiancé. j'ai toujours chaud. et puis même si j'ai froid, t'es là pour me réchauffer. tu pouffes de rire en glissant une main autour de sa taille. mais je peux toujours retourner m'habiller. tu ajoutes avec un petit sourire en le serrant contre toi. je t'aime. tu murmures en venant embrasser son cou. tu seras magnifique pour notre mariage. tu ajoutes en caressant sa taille du bout des doigts. tu veux aborder tout ça doucement. moi je t'imagine ... mm. dans un costume deux pièces ... bleu marine. tu souffles avec un petit sourire, venant l'embrasser tendrement.

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Je ne me lasserais jamais de sentir tes bras autour de mon corps. Je me sentais en sécurité et détendu dans tes bras. si je pouvais j’y resterais chaque seconde, mais ça nous aiderait pas à gagner notre vie, malheureusement. Je n’avais pas cédé à la tentation de te réveiller, même si c’était très difficile. Tu étais terriblement sexy et attirant. À chaque fois je me dis que j’ai beaucoup de chance de t’aimer mais que je pourrais te perdre si quelqu’un de meilleur apparaît dans ta vie. J’avais toujours cette impression floue que je pourrais te perdre à tout instant. Je décide de chasser ces idées noires en me penchant sur le mariage. Il faut absolument que je m’occupe l’esprit. Tu ne tardes pas à arriver, finalement. Je frissonne en sentant tes lèvres et tes doigts sur mon corps. au moindre de tes touchers, je réagis. je souris doucement en appuyant ma tête contre ton ventre, réclamant plus de massage. Je finis par refermer l’ordi, je ne veux pas me démoraliser plus que nécessaire. Je mordille ma lèvre inférieure. « T’es doué de tes doigts… » JE ferme les yeux. Je finis par me retourner te découvrant ainsi à moitié nu. Un vrai régal pour les yeux. D’ailleurs je ne cache pas le fait de te reluquer de haut en bas. Tu colles ton corps un peu plus contre moi. Je glisse donc mes mains dans ton dos. « Je suis ton mec, pas ta bouillote… » Je lâche un rire en resserrant ma prise. « Non. C’est trop tard maintenant. » Je souris doucement en frottant mon nez contre le tien. « Je t’aime aussi petit chat. » Je frissonne en souriant doucement. « Pas autant que toi. » Je grogne. Je glisse mes mains dans ton pantalon, posant mes mains sur tes fesses. Je ne me lasse pas de profiter de ton corps. « Sérieusement tu penses à ça ? » JE secoue la tête. « Moi je pense plutôt au moment où je t’arracherais ton costume. » Je prolonge ton baiser avec envie. La facilité serait de plonger dans ce moment de luxure, pour repousser le moment à plus tard. Mais tu me tends une perche, et il serait peut-être temps que je mette mes craintes à table. « J’ai pas mes témoins…Et je crois que j’ai que 5 invités en tout… » Je frissonne, ma période de chômage n’a pas aidé. J’ai passé pas mal de temps enfermé dans l’appartement, me repliant sur ma solitude. « Et aucun membre de ma famille ne viendra. Mes parents se sont bien chargés de faire passer le mot. » je baisse les yeux, je le savais pourtant, mais ça ne m’empêche pas d’avoir mal au fond de ma poitrine. Surtout que je sais que toi tu aurais une partie de la tienne. Je ne t’en veux pas, loin de là, mais je me rends compte qu’il n’y a, et il n’y aura, que toi. Mes mains remontent le long de tes hanches. j’avais bien conscience que c’est moi qui faisait tarder le mariage. « Si l’on pouvait, il n’y aurait que nous deux…. » Mais pas sûr que ta sœur accepte…

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ces moments te semblent plus important que tout. parce que votre couple est plus important que tout. tu fermes les yeux, viens te glisser dans le dos de galaad en le serrant contre toi, tes mains venant glisser doucement contre son torse. un peu soupir d'aise s'échappe de tes lèvres. t'es bien, là. t'as pas envie de bouger, pas envie que quoi que ce soit puisse venir gâcher ce moment. mais en ce moment, c'est toujours tendu, par rapport à certains sujets de discussion. tes doigts terminent leur course dans les mèches brunes de ton fiancé. t’es doué de tes doigts… tu ris un peu aux mots du brun, fermes les yeux en venant déposer un baiser contre sa nuque. mm, je sais. tu souffles avec un sourire. tu viens glisser tes lèvres contre son oreille. si t'étais resté au lit, j'aurais pu être encore meilleur. tu ris un peu en le serrant tendrement contre toi, un soupir d'aise s'échappant de tes lippes. galaad termine par se retourner vers toi, constatant au passage que t'as eu la flemme de mettre un haut. tu esquisses un sourire. je suis ton mec, pas ta bouillotte… tu hausses les épaules, lui propose d'aller t'habiller, si ça le dérange que tu sois juste en pantalon. non, c'est trop tard maintenant. tu ris un peu et viens lui voler un baiser. faut savoir ce que tu veux bébé. tu murmures contre ses lèvres. tu fermes les yeux. tu l'aimes, galaad. c'est dingue comme tu l'aimes. je t'aime aussi petit chat. tu fermes les yeux et le serres contre toi. et tu termines par aborder ce sujet bien trop dangereux, mais bon. tu te mords l'intérieur de la joue. oui, il sera beau dans son costume. pas autant que toi. tu hausses un peu les épaules, te contentes de venir lui voler un petit baiser. un soupir de satisfaction t'échappe quand galaad vient glisser ses mains sous ton jogging, contre tes fesses. tu viens t'appuyer un peu plus contre lui. sérieusement tu penses à ça ? moi je pense plutôt au moment où je t'arracherais ton costume. tu ne peux t'empêcher de rire un peu. mm, laisse moi déjà penser au costume avant de te l'enlever. tu te contentes de souffler en revenant l'embrasser, tes lèvres glissant contre les siennes, tandis que tu l'embrasses un peu plus fort, fermant les yeux. tu veux pas le forcer à parler, galaad. tu termines par te redresser un peu, tes doigts glissant sur sa joue. j'ai pas mes témoins... et je crois que j'ai que 5 invités en tout. tu retiens un petit soupir et viens caresser doucement sa nuque, pour l'apaiser un peu. et aucun membre de ma famille ne viendra. mes parents se sont bien chargés de faire passer le mot. tu te pinces les lèvres un instant et viens déposer un petit baiser sur sa joue. tu sais que ça a jamais été facile. et tu comprends ses craintes. on a encore le temps bébé. et évidemment que t'as plus que cinq invités. tu souffles en continuant de caresser sa nuque. tu viens appuyer doucement ton front contre le sien. et tu sais quoi, tes parents ne régissent pas ta famille. si t'as envie d'envoyer des invitations, alors fait le. ils sont assez grands pour prendre leurs propres décisions. et personne ne pourra te reprocher de vouloir renouer contact. tu ajoutes doucement en te redressant. tu termines par attirer galaad avec toi pour vous installer sur le canapé. tu te glisses dans ses bras. si l'on pouvait, il n'y aurait que nous deux. tu fermes les yeux un instant et viens l'embrasser doucement. ça ne tiens qu'à nous. tu souffles doucement en caressant ses cheveux. on pourrait. tu ajoutes en hausses doucement les épaules. ouai, vous pourriez. juste vous deux, parce que vous avez jamais eu besoin de personne pour construire votre petit bout de chemin.

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Je soupire en te sentant dans mon dos. Je penche la tête en arrière pour savourer cette étreinte. Je glisse mes mains sur les tiennes, entrelaçant nos doigts ensemble. Je profitais de cette légèreté entre nous, il faut dire que même si on ne se disputait pas vraiment, il y avait parfois des points de friction, à chaque fois à cause du mariage. Pourtant moi-même je ne sais pas pourquoi je bloquais, pourquoi je rechignais même à avancer dans ce projet commun. J’ai comme une main qui me retiens en arrière. Pourtant j’avais toujours envie de me lier à toi, j’avais, au fond, simplement pur que tu le regrettes. Et je ne voulais pas t’offrir un mariage minable, mais un à la hauteur de ce que tu es. Je frissonne en sentant tes lèvres contre ma nuque, j’adorais quand tu m’embrassais à cet endroit. j’éclate de rire. « Et après on dit que c’est moi qui ne pense qu’à ça… » je m’appuie contre toi avec un sourire qui ne quitte pas mes lèvres. Mais j’avais envie de te regarder. Alors je me retourne et constate que tu es à moitié habillé. Je grogne, tu ne me facilites pas la tâche à ne pas te sauter dessus. Je mordille ma lèvre inférieure. Je passe la main dans ton dos pour t’empêcher de t’éloigner. Pas question que je ne profite pas de la vue. « C’est toi que je veux » j’appuie dans ton dos pour te rapprocher davantage de moi. On était bien là, sans le stress des préparatifs. Peut-être devrait-on arrêter les frais. Mais, au fond de moi je sais que c’est trop tard, que si je fais machine arrière cela te blesseras profondément. Pourtant je ne voyais pas ma vie sans toi, mais c’était beaucoup trop lourd pour mes épaules. La crainte que ça ne marche pas ensuite m’effrayait. Mais je ne parvenais pas à expliquer pourquoi réellement. Tout était trop flou. Bien sûr tu abordes le sujet du mariage, je m’y attendais. Je perds un peu de mon sourire. Mais si ce n’est que parler du costume, ça me va. Je glisse mes mains contre tes fesses. J’aime te faire rire, je craquais à chaque fois que je te faisais sourire. Je secoue la tête. je profite de t’embrasser, alors qu’une vanne s’ouvre. Je devais te donner quelques explications, je le remarque dans ta manière de te rapprocher de moi, de chercher à me faire parler. Je finis par t’avouer une des choses qui m’est difficile à vire avec le mariage : l’absence cruelle de ma famille. Je penche la tête sur le côté, appuyant sur ta main pour accentuer le contact. Je finis par me glisser dans tes bras tandis que mes mains remonte dans ton dos. j’enfouis ma tête dans ton cou. Tu connais mes parents et tu sais combien nos rapports sont conflictueux, même inexistant. J’avais tourné le dos à ma famille. Je secoue négativement la tête. « Je ne veux pas qu’ils gâchent ce moment, et inexorablement ils le feront… » je ferme les yeux alors que mon front est appuyé contre le tien. Je resserre compulsivement ta taille. Tu m’emmènes dans le canapé, comme toujours tu comprenais ce que je ne parvenais pas à dire. Je caresse distraitement ton bras, plongeant dans ton regard avant d’afficher un sourire. « Ta sœur ne me le pardonnerait pas. » Je secoue la tête avant de t’embrasser. je gémis tout contre tes lèvres. J’appuie tes hanches contre les miennes avant de lâcher tes lèvres à bout de souffle. Je te regarde, le visage détendu, les yeux clos. Je glisse une main sur ta joue. « J’ai peur que tu te lasses de moi… Que tu restes à cause de ce mariage, si tu ne m’aimes plus… » Je soupire doucement avouant une de mes peurs les plus profondes. Je ne veux jamais cesser de t’aimer, je ne le pourrais jamais. Mais toi ? Tu es, tu seras mon unique amour. Je finis par cacher mon visage dans ton cou, je n’ai pas la force de te regarder.

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tu ne peux t'empêcher de rire de la remarque de galaad, avant de le taquiner un peu. ouai, t'es bon avec tes doigts et dans votre lit, tu l'es encore plus. tu te mords l'intérieur de la joue et viens déposer un baiser contre sa nuque. et après on dit que c’est moi qui ne pense qu’à ça… tu pouffes un peu. j'ai jamais dit ça moi. tu murmures en venant mordiller le lobe de son oreille. le brun termine par se retourner vers toi et tu esquisses un sourire à ses mots. faut savoir, tu dois prendre la peine de mettre un haut ou non ? il ne semble pas vraiment décidé sur la question, gal. tu te mords l'intérieur de la joue. c’est toi que je veux. tu esquisses et tu viens lui voler un tendre baiser. je suis déjà tout à toi. tu souffles en riant un peu, tes mains glissant dans son dos, sous son haut, pour pouvoir caresser sa peau du bout des doigts. tu profites de ce moment rien qu'à vous, fermant les yeux un instant et gardant ton fiancé contre toi. tes mains glissent contre son corps et un petit soupir d'aise t'échappe. tu resterais là des heures et des heures si vous le pouviez. tu te mords l'intérieur de la joue et viens glisser tes doigts dans tes cheveux. tu termines par aborder le mariage et aussi paradoxal que ça puisse paraître, vous n'en parlez pas souvent. parce que ça fait forcément remonter pleins de trucs pas cool, que ce soit de ton côté ou de celui de ton petit-ami. tu te pinces les lèvres. je ne veux pas qu'ils gâchent ce moment, et inexorablement ils le feront... sa famille a toujours été un point sensible à ne pas trop aborder. tu laisses un petit soupir t'échapper et secoues la tête de gauche à droite. tu sais j'ai plus beaucoup de famille à inviter non plus. tu murmures faiblement. entre le décès de ta mère et le fait que ton père se soit barré en europe avec une nana de ton âge ... tu secoues la tête de gauche à droite, t'as du mal à digérer tout ça, tu dois l'avouer. ça ne tiens qu'à vous de vous marier tous les deux. juste vous, sans personne. ta sœur ne me le pardonnerait pas. on s'en fiche. tu murmures en fermant les yeux un instant. vous n'êtes plus aussi proche que vous avez pu l'être, de toute manière. tu soupires d'aise contre les lippes de galaad et le laisses te serrer un peu plus contre lui. tu viens poser ta tête contre son épaule. j'ai peur que tu te lasses de moi ... que tu restes à cause de ce mariage, si tu ne m'aimes plus... tu relèves la tête à ses mots et hausses les épaules, serrant le brun contre toi. comment pourrais-je ne plus t'aimer ? tu te contentes de demander en le serrant un peu plus fort contre toi, venant déposer tes lèvres contre son front. je t'aime plus que tout gal. tu souffles en caressant son dos. t'es la personne la plus important de ma vie, je pourrais jamais me lasser de toi. tu ajoutes doucement.

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On se cherche toujours par des taquineries de tout genre. De toute manière on ne peut pas vraiment nous catégoriser dans le genre de couples plan plan où la routine est bien rodée. D’ailleurs je sais que je ne supporterais pas ça dans notre couple. de toute manière on était bien trop passionnés et entier pour que l’on s’enfonce dans une routine mortelle. Je hausse les épaules avec un sourire éternellement accroché à mes lèvres. Je frissonne en penchant la tête sur le côté. Mais j’en ai marre de te tourner le dos alors je me retourne et je mate sans vergogne ton torse musclé. Mes mains ne trainent pas avant de trouver le chemin de ton torse. tes mains ne sont pas en reste non plus. Je frissonne et inconsciemment je me rapproche de ton corps pour te donner plus d’accès. Mes lèvres trainent le long de ton cou, frôlant simplement ta peau de mes lèvres. Mes doigts descendent un peu plus bas, dans le creux de tes reins. Je mordille ma lèvre inférieure, savourant cette proximité. Passer à l’étape supérieure est drôlement tentante. Et ça serait aussi la solution de facilité pour éviter certains sujets. Mais tu n’es pas dupe et finis par aborder un sujet que j’ai esquivé plusieurs fois déjà. Pas que je n’en ai pas envie, mais il y a des sujets tendus en parallèle du mariage. Je grogne alors que tu remets tes cheveux en arrière et passe une main pour te les décoiffer. Tu étais tellement plus sexy avec les cheveux en pagaille. Je grogne de dépit quand on aborde le sujet de ma famille. Je soupire doucement en t’attirant entre mes jambes. Je soupire. « On a vraiment des familles de merde tous les deux. Je soupire doucement, j’avais suivi les derniers déboires de son père. Je resserre mes bras autour de tes hanches. « Viens là. » Il suffit que l’on n’aborde le sujet de ton père pour que tu te crispes. Je t’embrasse tout en jouant avec l’élastique de ton pantalon. Je pourrais me marier juste avec toi, ça ne me gène pas, mais je ne veux pas que tu te brouilles davantage avec ta sœur. Et de mon côté, je ne pense pas que Kyle m’excuserait si je l’écartais de ça. Mais au fond ce n’est pas vraiment ma famille qui me freine mais une peur plus idiote. je ne te regarde même pas en face, craignant de lire la moquerie dans tes yeux. Mais ton étreinte se resserre, faisant envoler mes craintes. Je soupire doucement avant de hausser les épaules. « Qui sait ? ça arrivera peut-être un jour. » Je soupire doucement. « Je ne pourrais pas te perdre, Hélios, je ne le pourrais pas… » Je ne sais pas ce que vaudrait ma vie sans toi. Je soupire doucement. « Vrai ? » Mes parents avaient distillé ce manque de confiance en moi. Ils ne se cachaient jamais pour me rabaisser. Je vais t’embrasser avant de glisser mes lèvres contre ton cou, bien déterminé finalement à ce que tu me le prouves. Mes lèvres descendent sur ton torse et mes mains en profitent pour se glisser sur ton fessier.

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