Caitlyn ~ Never without love

Caitlyn Montgomery

A la recherche des miettes de mon coeur

les informations en vrac

Toute petite déjà je passais mon temps dans les jupes de ma mère qui était dans la cuisine. J’aimais à goûter ses plats, j’aimais, à la regarder faire et pour moi la famille c’était de savoir se retrouver devant un bon plat. Ca doit venir de la ma passion pour la cuisine et l’envie d’en faire mon métier > Je n’aime pas le café, ce qui peut être un souci pour ma cuisine, mais je m’en accomode, on ne peut pas tout aimer mais on peut essayer de faire aimer aux autres. > Par contre j'ai un pêcher mignon, les fruits rouges ce n'est pas pour rien que mon dessert roi est le tiramisu aux fruits rouges accompagné d'un macaron framboise. A chacun ses petits plaisirs > Originaire d’Angleterre j’ai fais toutes mes classes auprès de grands chefs étoilés parisiens ce qui me permet aujourd’hui d’être totalement bilingue. Grâce à ces expériences j’ai d’ailleurs pu pendant presque 2 ans être cheffe d’une brasserie chic Parisienne côté rive gauche et nous avions même décroché une toque. > J’aime les animaux et ils me le rendent bien, j’ai d’ailleurs longtemps été inconsolable quand Filou mon chat est décédé. > J’ai toujours rêvé d’avoir un mari aimant des enfants, même si je sais que mon choix de carrière n’est pas propice à cela, mais je suis trop débordante d’énergie pour rester à la maison et devenir femme au foyer. > J’ai une passion pour les chaussures. Pourquoi ? Parce que comme au travail je porte des sabots pour l’ygiène de ma cuisine, je n’ai pas la possibilité de mettre en valeur mes pieds, donc dès que je ne suis pas derrière mes fourneaux j’en profite. > J’ai une grande soeur et un grand frère, ils vivent toujours en Angleterre avec mes parents, mais dès qu’on le peut on se voit car nous sommes très proches et la magie d’internet nous permet de rester en contact et de nous voir. > Je suis une hyper émotive, non mais sans rire, une scène émouvante qu’elle soit dans une publicité, dans un film, dans un reportage, vous êtes surs que même si je ne pleure pas j’aurai la larme à l’oeil. C’est parfois usant et pourtant je continue de regarder des films à l’eau de rose. On se refait pas mais c’est peut être dans cette sensibilité que je puisse les ressources pour ma cuisine. > J’ai failli faire une dépression suite à ma rupture et le fait de partir m’a sauvé des méandres de mon désespoir, je suis malgré tout suivie encore pour éviter une rechute ou plutôt une chûte >Je suis désormais et depuis 18 mois cheffe de mon propre restaurant à Island Bay, la décision de partir fut dure, celle d’ouvrir quelque chose qui me corresponde pour me reconstruire naturelle et pour cela rien de mieux que de se baser sur quelque chose que je connais.

les indiscrétions sur le joueur

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<pris>Katie Cassidy›</pris> Caitlyn Montgomery

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Je pense que je suis utopique. J’ai toujours pensé que l’amour le grand quand on le recontrait on savait que c’était celui que l’on aurait pour la vie, quelque soit les embûches, les problèmes on arrivait toujours à les surmonter parce qu’à deux on est toujours plus fort. Apparemment ce n’est qu’un rêve de petite fille, un désir de princesse qui s’est brisé aussi brutalement qu’il a pris du temps pour se construire.

Quand je travaillais comme sous chef dans une brasserie parisienne, que je tentais de faire mes preuves et ainsi de pouvoir par la suite prendre moi même les commandes d’une cuisine d’un grand établissement, il y a eu une soirée organisée par une entreprise dans le restaurant ou j’officiais. Avec mon chef nous faisions attention à tous les plats qui sortaient pas un ne devaient avoir le moindre défaut, c’était le nom qui était en jeu et il voulait que se soit la perfection. A la fin du service mon chef et moi-même avions été dans la salle afin de nous présenter et de recueillir les impressions des clients. Se fut unanime, tout le monde avait aimé. Mais dans l’assemblé mon regard fut accroché par celui d’un autre homme. Je ne sais pas pourquoi mais quand mes yeux se posèrent sur lui j’en eu le souffle coupé, il était certes beau, mais il dégageait un je ne sais quoi qui faisait que j’avais l’impression qu’il était seul avec moi dans la pièce. Ce n’était certes qu’une impression vu que mon chef me donna un coup de coude pour que je réponde à une question que l’on m’avait posé. Ca aurait pu en rester la, mais je n’étais pas la seule à avoir vu cela. Il avait surement plus d’assurance que moi car c’est lui qui décida de venir à moi pour se présenter. Il s’appelait Thomas, il était français et il travaillait dans la société comme trader, vu que c’était une banque d’affaire. Il était beau et je buvais ces paroles comme si tout ce qu’il disait était parole d’évangiles. Il me demanda s’il pouvait avoir mon numéro et dans un sourire niais je le lui inscrivis sur un carton. La soirée se termina et il s’en alla sans rien tenter ce que je trouvais très délicat de sa part. Sauf que les jours suivant même si je pensais à lui apparemment il avait du m’oublier vu que je n’eus aucune nouvelle. Ce n’est que la semaine suivante qu’il repassa au restaurant s’excusa ayant perdu mon numéro et il me demanda si j’étais libre bientôt pour diner. Toute souriante j’acceptais et à partir de ce diner, ma vie fut totalement chamboulée. On se fréquentait au début simplement, puis les choses s’accélèrerent et six moi après notre rencontre, il me proposa d’emménager chez lui. Bien sur tout le monde autour de moi trouvait cela précipiter mais j’étais amoureuse donc je suivais mon coeur. L’année suivant il me demanda en mariage et tout naturellement j’acceptais. Contrairement à ce que certaines personnes ont pu penser je ne l’ai jamais obligé, il a fait sa demande de son plein gré, moi le fait de vivre en concubinage me convenait très bien. Mais dans l’euphorie générale qui se met à me gagner je commence les préparatifs, ma soeur malgré son travail vient me rejoindre pour m’aider et tout le monde s’apprête à passer une journée féérique moi la première. Je vais avoir un mariage que je n’aurai jamais imaginé, je serai une princesse sa princesse.

Le matin je suis toute excitée et je cours partout jusqu’à ce que m’on ainée me prenne la main m’installe sur la chaise et me menace de m’attacher pour que l’on puisse s’occuper de moi. Sauf qu’en perfectionniste que je suis je veux m’assurer que le traiteur à bien fait ce que je lui ai demandé. Elle hausse la voix et je me revois petite fille et finis par abdiquer devant ma mère hilare. J’ai demandé une coiffure détachée naturelle pour aller avec ma robe du genre bohème chic. Notre mariage se passe en comité restreint nos familles et nos amis proches dans une banlieue de Paris et dans une grande propriétée. Comme je suis prête, et qu’il est l’heure d’aller à la mairie, tout le monde s’éclipse et je reste la avec mon père qui a les yeux scintillants, je lui demande de ne pas pleurer car je sais que sinon je risque de m’éffondrer. On arrive devant la mairie et je vois que tout le monde semble inquiet. Je sors précipitamment de la voiture et tente de savoir ce qu’il se passe. Je me tourne vers la soeur qui tient un téléphone dans les mains et me fait savoir que c’est Thomas. J’imagine tout, l’accident, le contre temps, tout mais pas ce qu’il va me dire, pas ce qu’il va m’annoncer.

Il annule tout. A dix minutes de la rencontre avec le maire de la commune il se rend compte que se marier avec moi s’est s’enchainer, perdre sa liberté. Je suis tellement abasourdie que je n’arrive pas à lui demander de quoi il parle. Comme si depuis qu’il m’a demandé en mariage, il n’avait pas eu le temps de réaliser que se marier ou même vivre avec quelqu’un c’est forcément devoir s’engager d’une façon ou d’une autre. Il me dit qu’il est désolé et qu’il va partir quelques semaines le temps que je puisse me retourner et pour que tout soit terminé. Je m’effondre sur le parvis de la mairie. Mon frère au vu de cela demande à ce que tout les invités aillent directement la ou été prévu le repas, de toute façon tout est payé et il va voir le maire pour le prévenir. Mes parents eux m’aident à me relever et m’emmènent à la maison. La je m’écroule sur mon lit, je pleure et ma soeur reste avec moi. Je ne sais pas combien de temps ou combien de jours se sont passés. Au travail je suis devenue cheffe mais mon sous chef à du prendre les rennes. De toute façon je ne suis plus bonne à rien. Il faut que je parte, que je quitte cette ville qui m’a fait souffrir et qui m’a brisé, je dois me reconstruire à l’autre bout du monde.

Alors que je regarde un reportage, je vois que l’on parle d’une ville Island Bay, j’écoute avec attention, avant de voir la dedans un signe. Je prépare mes affaires, rassemble tout ce que je peux, je préviens mon employeur, ma famille et je pars. Me voila devant me reconstruire loin de tout et je pense qu’aujourd’hui j’ai réussi. J’ai ouvert mon bar/restaurant qui fonctionne plutôt bien, je suis plus apaisée et j’ai rencontré des personnes formidables.
Je pense que j’ai pris la bonne décision. Pour ce qui est de mes relations, j’ai bien trop peur de souffrir à nouveau et pour veiller à ne pas flancher, je garde le seule souvenir que j’ai de ce jour maudit, une photo.