Encore la faute de l'escalier, hein ? ( Naevia)

encore la faute de l'escalier, hein ? 
song † w/Elio.

Celà faisait déjà quelques heures que j’étais arriver dans mon bureau, vous savez celui qui est à l'abri des regards des curieux mais aussi exposer au monde. Celui que l’on ne peut “pas” toucher, ou bien même endroit car bon on sait que si l’on touche à quelque chose c’est foutu. C’est totalement foutu car je serais qui aura fait quoi. C’est mon monde, mon cocon à moi. Celui dans lequel je suis bien, je suis le mieux et où personne ne peut m’atteindre. Ca toujours été comme ça malgré tout. Sauf que non, ce n’est qu’une simple illusion. Je suis la fille paumé renfermer dans son bureau en profitant de temps a autres de la vue que son bureau lui offre. Ouais je suis celle que l’on peut traiter d’intello ou qui croit tout savoir sur tout. J’avoue, mais que niveau scientifique et quelques autres petites choses, mais comme l’on m'a toujours dit : tu en apprendra tout les jours. Mon arrivée qui est plutôt que prévu était un peu de ta faute. Cette recherche ma trotter dans la toute la soirée, enfin presque, mais quand même. J’avais l’impression d’avoir loupé quelque chose… Alors que je suis encore en pleine réflexion, laissant mes talons fracasser le sol vue mon pas assez rapide. J’avais opter pour un pantalon aujourd’hui, je sais très bien pourquoi mais aussi parce que le froid ma saisi toute la nuit. J’espère juste ne pas tomber malade. Je salue les quelques collègues que je peux croiser, pour une fois ma porte de bureau ouverte une illumination me vient. Je retire ma veste pour laisser un petit pull d’une teinte rose pâle apparaître. Je dépose rapidement ma veste sur le porte manteau à l’entré du bureau et je vais rapidement expérimenter ma découverte. Les lunettes sur le bout du nez je souris en relevant la tête. « Mais bien sûr que c’est ça ! » je dis comme si je venais de découvrir la solution pour savoir s’il y a de la vie sur Mars. Je viens alors rapidement t’envoyer un mail pour te dire simplement que je dois te voir pour une découverte. Alors que je suis devant cette grande table qui orne au milieu de la pièce, cette table qui est magique parce que je peux déposer tout, tout se que je veux mais aussi faire mes expériences à ma guise. Je pousse de mon pied le tabouret roulant qui me dérange, puis je viens alors prendre des notes sur une feuille blanche à mes côté, dos a la porte. « Bonjour jolie blonde. Alors, tu aurais des informations pour moi ? Je ne suis pas venue les mains... » Je me retourne en souriant doucement. On ne peut pas dire que ma bonne humeur est toujours celle que tu as connu bien au contraire, elle est devenu presque invisible ou fausse par moment. « Elio ! J’ai... » Mais je vois clairement ton regard se déposer sur mon atèle. Je grimace doucement puis j’essaye de cacher mon poignet derrière mon dos comme une enfant. « Vides... Qu'est-ce que c'est que ça ? » La phrase que je ne voulais pas réellement entendre mais tu la dite, bien vite en faite. Je perds doucement mon sourire, je vais récupérer mon tabouret roulant puis je fais glisser l’autre vers toi. C’est sur que depuis que tu es arrivé ici c’est un peu une part de bonheure, de soleil j’ai envie de dire, tu n’es pas comme les autres, tu t’intéresse un peu au monde qui t’entour, du moins c’est ce que je ressens. Plusieurs fois tu as essayer de me faire parler mais les excuses les plus stupides sont présente. « Encore ce foutu escalier ?. » Je prends doucement le gobelet que tu me tends en te remerciant d’un signe de la tête. « Je suis tomber chez moi en essayant de changer une... ampoule. » je dis en souriant légèrement ou plutôt en grimaçant un peu comme pour voir si celle allait passer, mais je ne pense pas, j’ai du épuiser le stock de débilité depuis trois ans. Surtout cette dernière année. Te connaissant tu allais pas gobé ça, pas maintenant, plus maintenant j’ai envie de dire.

encore la faute de l'escalier, hein ? 
song † w/Elio.

Rien n’est simple dans la vie, mais pour le coup il n’y a pas que la vie qui n’est pas simple mais aussi les humains, certains on des dons pour cacher la vérité, d’autre pas. Je n’ai jamais eu ce don là personnellement, on a toujours su quand je mentais mais aussi, je ne voi pas pourquoi par moment ? La vérité, peut-être blessante oui, mais aussi ça ne fait pas de mal du tout. Sauf que je suis tomber dans ce vice, un vice ou mentir serait mieux pour ma propre vie et que surtout ça ne regarde pas les autres autour de moi. Je n’ai jamais hésiter à mentir sur la raison de mes hématomes, ecchymose ou même de la raison pour laquel je ne suis pas en forme, fatiguée et tête en l’air. Alors quand tu me demandes, pourquoi, pourquoi j’ai ça, je n’hésite pas à te mentir. Très mal, mais je le fais quand même comme pour me portégé, rester dans ma bulle, cette emprise, comme si j’étais dans une pièce sombre avec des murs en béton, sauf que ses murs on déjà commencé à se fissurer car j’ai parler, mais aussi avouer des choses à une personne qui m’aider, ou dû moins qui fait du mieux qu’il peut pour m’aider et me sortir de là. Quand je te vois faire, mais aussi quand j’entends ton rire, je sens je vois bien que c’est ironique mais aussi que ça ne passe pas cette idée. « Avec tous ces accidents domestiques, c'est étonnant que tu persistes à jouer à Mme Bricolage... » Je souris doucement quand tu me dis ça, le coeur n’est pas réellement à la rigolade mais je souris malgré tout. « Je sais bien, mais par moment faut bien faire ça soi-même... » je dis doucement en perdant un peu mon sourire, mais si tu savais la vérité, si tu savais réellement pourquoi j’ai du prendre la semaine de “congé” si tu savais que quand je rentre chez moi j’ai une boule au ventre, j’ai pas envie de rejoindre l’homme qui est soi-disant destinée à être liée à moi a la vie a la mort. Ouais la mort il va me la faire toucher, mais pour le coup je ne sais pas ce qu’il cherche à faire ça. Je passe doucement ma main dans mes cheveux avant de boire une gorgée de la chaude boisson. « J'ai eu ton mail, il semblerait que tu aies le résultat de la substance qu'on a trouvé ? C'est bien ce qu'on pensait ? » Ce subite changement de conversation est brutal mais ça ne me dérange pas du tout bien au contraire, je l’attendais avec impatience, avec envie même. Je hoche la tête de haut en bas et me lève rapidement. « Bien sûr, mais ils ont réussi a bien le cacher sans te mentir. » Je me lève pour prendre le sachet ou il reste quelque pillule. Puis je viens faire le tour de la table pour prendre alors ma tablette qui est connecté à un écran. Je film tout ce que je fais, heureusement pour moi. « Sawyers est sur mes arrières alors si tu as de quoi me lui faire lâcher les derrières, ce serait génial... » Pendant que je suis entrain de bouger dans tous les sens pour te montré ce que j’ai découvert. Je t’écoute. « Bien alors, ouvre grand tes oreilles et tes yeux. » Je viens alors te montré plusieurs images. « Tes pilules retrouver, l’effet qu’elles ont, je ne sais pas trop encore. Mais je sais que ça... » de montre une photo grossie au microscope. « C’est des micro cristaux. Je pense que tu sais dans quel drogue on la trouve. Sauf qu’il y à aussi un autre truc. Je ne sais pas comment ça m'est venu mais ça. » je te montre l’autre photo du doigt. « C’est un composant chimique, qui en contact de n’importe quel alcool. Whisky, vodka, suze… même la bière, se dissout, elle se dissout sans laisser de trace. Sauf une seule. » Je te regarde. « Est-ce que sur ses personnes tu as déjà vue des… Comment dire, genre de petite gerçures sur le coins des lèvres. Elles sont discrète mais quand on en consomme beaucoup elles sont de plus en plus visible et surtout c’est mortel ce truc. » je viens prendre mes notes en mains, puis je m’appuie doucement sur la table. « Le truc stupide qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont importés ça avec … les caisses de bieres. Ca... » je viens de montrer la photo d’une pilule marquer, une marque qui me disait quelque chose, mais je la vois tout les jours en plus. « Je ne sais pas si tu arrives à voir, mais c’est la p'tites marque au cul des bières, celle en relief. » je relève doucement le regard vers toi en me redressant doucement. Je déglutis doucement quand je parle de cette alcool, c’est con mais c’est comme ça. Un mari alcoolique qui boit de la bière et qui… me violente. « Je suis entrain de chercher quelle marque de bière c’est pour que vous puissiez aller jeter un oeil… Mais ça dois celle qu’on doit importer rarement tu vois ? » Je dépose mon regard bleuté dans le tien doucement en te disant ça. Je ne suis pas experte niveau marque de bière par contre… Mais je trouverais et tu le sais bien.