une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| what's happens here ? (fran) | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: what's happens here ? (fran) (#) Dim 18 Nov - 10:49 | |
| Depuis deux ans je me bas pour essayer de faire bonne figure, depuis deux ans je me fonds dans le travail pour éviter le regard de mes enfants et les possibles questions qu’ils auraient en tête. Je m’en veux, je m’en veux de les laisser se gérer seuls mais, je n’arrive pas. Je n’arrive plus. Je suis totalement perdu, ma femme était mon repère, ma boussole mon oxygène. J’ai tout perdu quand elle nous a quittés. Je me sens vide et totalement détruit. Résultat, l’arrivé de Fran dans nos vies à redonner, je pense, un second souffle à la maison. Ne serait-ce que par l’état de la maison, le calme des enfants vis-à-vis de sa présence et leur envie de ne plus trop faire de bêtise. Je suis soulagé dans un sens et de l’autre voir la jeune femme attablé à nos côtés, partager des moments de famille etc… Me perturbe un peu. J’ai l’impression de trahir ma femme, la mère de mes enfants. Je ne sais pas si mes enfants non plus accepte bien la chose et j’ai beaucoup de mal à communiquer vis-à-vis de ça. Je me suis donc un peu renfermé ces derniers temps. J’ai pris de la distance avec Fran et j’espère qu’elle ne le prendra pas mal non plus. Je ne veux pas l’offusquer ou la blessée. Je veux juste prendre le temps de réfléchir, peut être même de me faire une raison au fait que ma femme est partie et que je dois continuer à avancer. Seulement, pour le moment c’est encore trop tôt. En me levant ce matin je pris le temps qu’il faut pour émerger. Après une bonne et longue douche j’avais enfilé ma tenue pour aller travailler. Mes enfants devaient dormir, du moins je le croyais. « Mareva ? » - « Tu pars déjà au travail ? » Je soupirais doucement. « Oui j’ai pas mal de boulot au théâtre. Tu ne dors pas toi ? » Elle haussait les épaules. « Non je n’arrivais pas à dormir. » Je soupirais de nouveau. « D’accord. » Nos conversations sont toujours ainsi. Froide et distante. Pourtant elle et moi étions proche lorsqu’elle était plus jeune. J’ai juste tout perdu en les laissant livrés à eux même après le décès de leur mère. Je leurs ais offert ce qu’ils voulaient pensant que cela suffirait mais non. Je me suis totalement planté. « J’y vais. Tu diras à Fran que je rentrerais ce midi déjeuner. A ce soir ! » Je lui fis un signe de main, même pas un bisou. Ce genre de contact physique est totalement abolie avec mes enfants alors qu’avant nous faisons bisou et câlin sans interruption. Parfois tout ça me manque, l’harmonie, le bonheur que nous avions dans notre foyer me manque. M’enfin. Il faut que j’aille travailler.
Ma matinée c’est plutôt bien passée, j’ai réussi à obtenir quelques contrats, j’ai pu travailler aussi sur une prochaine pièce de théâtre et j’ai surtout pu mettre en œuvre quelques rénovations pour le théâtre. Je suis satisfait du résultat. J’ai des représentations de prévus pour ce weekend, j’espère avoir un peu de monde pour venir voir cette nouvelle pièce de théâtre. C’est une que je produis mais qui n’est pas de mon imagination. Un grand écrivain New Yorkais m’a fait le plaisir de venir me voir pour me proposer une collaboration en souvenir du travail que mon père à fournir avec le sien à l’époque. Résultat, j’ai dit oui immédiatement. C’est donc beaucoup de travail mais surtout un challenge sentimental pour nous deux. Il était midi et demi et je devais rejoindre la maison. Cet après midi je pourrais travailler directement à mon bureau et si besoin je retournerais au théâtre en fin de journée. J’avais demandé à ma fille de passer le message à Fran pour qu’elle puisse préparer à manger et j’espère qu’elle a prit en compte ma demande. Stationnant ma voiture dans l’allée du garage je pris la direction de la porte d’entrée. Une fois à l’intérieur je venais m’annoncer. « Fran ? Je suis rentré ! » Je venais retirer mes chaussures pour y mettre mes chaussons, déposant par la suite mon manteau et ma serviette dans le meuble d’entrée. J’entendis des casseroles dans la cuisine, un fond sonore de musique et je venais me diriger vers le cœur de la maison. Je vis de dos la jeune femme en plein préparatif, elle ne semblait pas m’avoir entendu. J’eus un léger sourire, un peu nostalgique je dois dire, mais un sourire quand même. La voir derrière les fourneaux énergique et probablement heureuse me fit me souvenir que ma femme aussi adorait cuisiner pour nous. « Fran ? » Je venais l’interpeller un peu plus fort que tout à l’heure mais d’un ton doux malgré tout pour éviter de lui faire peur. « Je m’excuse mais, je me suis annoncé à la porte et tu n’as pas dû entendre. » Je venais me diriger vers la porte du frigo. Attrapant une bouteille d’eau. « Tu vas bien ? Je ne savais pas si Mareva avait fait passer le message comme je lui avais demandé. » Avec ma fille je n’attendais plus grand-chose. Elle est très remontée après moi et semble totalement transparente aux paroles que je peux lui dire.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: what's happens here ? (fran) (#) Dim 18 Nov - 19:24 | |
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Dernière édition par Fran Macdowell le Mar 11 Déc - 1:40, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: what's happens here ? (fran) (#) Mar 20 Nov - 17:47 | |
| Le théâtre était devenu mon refuge depuis le décès de mon épouse. Je m'y sentais bien et au moins là-bas je n'avais pas tous les souvenirs sous mon nez. Chaque soir quand je me couche je vois encore sa silhouette près de moi, nos photos de mariage sont toujours sur la cheminée et je n'arrive pas non plus à jeter toute ses affaires dehors. Tourner la page est vraiment difficile surtout que j'ai l'impression que c'était hier. Encore une fois aujourd'hui j'avais pris la poudre d'escampette dès l'aube pour pouvoir travailler et éviter les enfants. J'ai croisé ma fille qui semble insomniaque dernièrement mais, même si je suis inquiet je ne lui en parle pas. J'ai l'impression que la moindre contrariété pourrait enclencher la seconde guerre mondiale dans la maison. Du coup nos discussions sont courtes et concis et cela me convient mieux. Au fond de moi je suis meurtrie de voir mes relations détruites ainsi avec mes enfants. J'espère que dans l'avenir une fois que j'aurais enfin travailler sur moi je pourrais renouer un minimum de contact et qu'ils me pardonneront. Pour l'heure je me dois de rentrer enfin à la maison pour le déjeuner, il est déjà midi et demi et je n'ai pas envie de faire attendre Fran trop longtemps. Par respect et aussi parce que je commence vraiment à avoir faim. Depuis quelques temps j'ai mis des barrières avec la jeune femme, non pas que je ne l'apprécie pas mais, j'ai du mal avec toutes ces nouveautés. Le fait qu'elle soit à notre table le soir et qu'elle partage nos diners, qu'elle soit une vraie fée du logis et encore plus qu'elle fasse la cuisine et que j'adore ça. Tout ça me plait il ne faut pas croire mais, j'ai peur. Je ne sais pas à quel point j'aime ça et c'est ce qui me fait peur. D'un autre côté j'apprécie le fait qu'elle puisse offrir un peu de convivialité lors de nos repas mais, malgré ça il manque toujours quelque chose. Peut-être que tout ça vient de moi d'un autre côté mais, pour le moment je veux juste comprendre ce qui m'arrive et voir ou tout cela va me mener. Elle est plus jeune que moi et je ne peux pas me permettre de tomber amoureux ou ressentir des choses, j'ai juré fidélité et amour à ma femme et tous ces vœux ne sont pas abolis à mes yeux. Même après son décès.
Une fois à la maison je venais m'annoncer afin que Fran sache que j'étais là mais, aucune réponse. En tendant un peu plus l'oreille j'entendis un fond sonore et surtout les casseroles sur le feux. Je compris assez vite qu'elle devait être en train de faire notre repas et rejoignant le cœur de la maison je venais sourire brièvement en la voyant cuisiner et surtout en l'écoutant chantonnais. La jeune femme se sent vraiment bien avec nous et peut être que ça aussi ça me fait peur. Elle a peut-être trouvé une harmonie familiale ou bien même son cocoon mais, malgré le fait que je sois heureux qu'elle se sente bien chez moi, je ne veux pas qu'elle pense pouvoir prendre la place de ma femme ici. Je sais que mes paroles peuvent sembler dure mais, je ne suis pas prêt à tout ça et je ne sais même pas si les enfants accepteraient les choses aussi. Après tout même s’ils aiment bien la jeune femme de là à remplacer leur mère ? Je ne pense pas. Enfin... « Ne t’excuse pas. » Je souriais doucement en voyant la jeune femme s'interrompre tout en prenant soin de couper la musique pour que l'on puisse s'entendre. « Effectivement, c’est ma faute. J’étais tellement à fond dans la musique et la cuisine que je ne t’ai pas entendu entrer. » En effet, on ne peut pas dire qu'elle n'était pas à fond dans sa tâche. C'est d'ailleurs une qualité que j'ai appréciée chez elle dès notre premier entretien. Ce qui m'a d'ailleurs donné l'envie de la choisir car je savais qu'elle ne lâcherait pas la mission que je lui donne aussi facilement. « En pleine forme, comme tu peux le constater. Et oui, Mareva m’a bien gentiment transmis le message. » Je souriais doucement, ravi de voir qu'elle soit bien et en bonne santé. Elle venait me montrer le plat qu'elle était en train de préparer et reprenant une gorgée de ma bouteille d'eau je souriais aux paroles de la jeune femme. « J’ai songé durant toute la matinée à te faire une bonne salade végétarienne comme j’en ai le secret, puis je me suis dit qu’après des heures de travail au théâtre, tu aurais surement plus besoin d’une pauvre bête innocente à te mettre sous la dent. » - « Je dois avouer qu'une bonne salade n'est jamais de refus mais j'ai comme tu le dis très faim et je dois avouer que cette belle pièce de bœuf me donne vraiment faim ! » Je souriais doucement, déjà affamé à l'idée de pouvoir croquer dans cette belle pièce de viande. Je suis un carnivore et ça je le clamé haut et fort mais, j'ai toujours respecté le régime alimentaire de la jeune femme tout comme son hypocondrie qui ne me dérange pas du tout. Chaque individu est différent et nous devons apprendre à vivre avec ces différences car cela fait aussi le charme de ces personnes. « En parlant de ta matinée au théâtre, comment s’est-elle passée ? » Prenant place sur l'un des tabouret du bar de la cuisine je venais répondre tranquillement à Fran. « Oh rien de passionnant tu sais, toujours la même routine. Et toi la matinée s'est bien passée ? » Après tout j'ai mis des barrières oui mais je ne vais pas non plus l'ignorer, elle reste une personne que j'apprécie et avec qui j'aime bien discuter.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: what's happens here ? (fran) (#) Mar 20 Nov - 21:42 | |
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Dernière édition par Fran Macdowell le Mar 11 Déc - 1:41, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: what's happens here ? (fran) (#) Mer 28 Nov - 14:23 | |
| « Idem. Rien de bien passionnant. » J'esquissais un léger sourire aux coins des lèvres. J'espérais seulement qu'elle ne regrette pas son travail de vendeuse parfois. Je sais bien que la vie que je lui ai proposé lorsque je l'ai embauché n'a rien de passionnant. Mes enfants semblent véritablement l'apprécié mais côté travail mise à part faire le ménage, à manger et s'occuper des devoirs des enfants quand il faut n'a rien de bien palpitant. « Ménage, rangement, bref les tâches quotidiennes pour conserver cette villa impeccable. » - « Et tu le fais avec brio, j'espère simplement que cela n'est vraiment pas devenue une contrainte pour toi. » Je connais évidemment sa maladie pour les microbes mais, j'avais pour envie qu'elle se sente bien ici même si parfois je me dis que c'est moi qui fabule un peu. Lorsque je la vois chanter devant les fourneaux et garder le sourire malgré mon sale caractère parfois, je me dis qu'elle est sans nulle doute heureuse mais, à quel point ? Je l'empêche probablement d'avoir une vie sociable et de pouvoir rencontrer un homme qui pourrait peut-être lui offrir de l'amour mais aussi une famille. Certes, cela elle le vit peut-être par procuration avec mes enfants mais, je ne veux pas être celui qui l'empêcherait de vivre sa vie par simple égoïsme. Elle a toujours fait preuve d'investissement envers nous, envers son travail et je dois avouer que la maison est véritablement bien entretenue depuis qu'elle est arrivé dans nos vies mais, tout cela me tracasse parfois aussi sur l'impact que cela a sur notre famille, sur moi. Elle reste une jeune femme charmante et avec beaucoup de qualité. Seulement, je ne suis pas prêt à imaginer quoi que ce soit et j'espère vraiment que nous resterons toujours dans cette relation amicale mais professionnel avant tout. « C’est une bonne chose que tu sois rentré pour déjeuner, aujourd’hui... J’aurais besoin de discuter de certaines petites choses avec toi. » Je venais froncer légèrement les sourcils. Me parler de certaines choses ? Hum, cela ne m'inspire pas vraiment et j'espérais que cela ne soit pas en relation avec la distance que j'ai pu mettre dernièrement entre nous. Je l'ai fait par simple besoin, j'ai envie de me concentrer un peu sur moi-même et bien que sa présence soit agréable je ne veux pas risquer de faire quelque chose que je pourrais regretter. « J'espère qu'il n'y a rien de grave. » L'odeur de la viande se faisait ressentir. La faim commence de plus en plus à m'envahir et j'espérais que le plat puisse être prêt rapidement. Fran reprit la parole et venait tout simplement me dire que certaines choses se doivent d'être traités dans les plus brefs délais. Je n'étais donc pas plus rassuré et je commençais à croire que les choses vont de plus en plus me déplaire. Prenant une nouvelle gorgée d'eau je ne disais rien, observant la jeune femme et attendent sagement mon plat mais aussi la réponse à mes questions. « Le plus important, déjà, concerne Mareva. » Je soupirais doucement, j'espérais qu'une nouvelle fois ma fille n'est pas fait de bêtise et que ce qu'elle est à me demander soit tout simplement une signature pour un papier ou autre chose futile. « Elle a été invitée à une soirée entre copines samedi, et elle n’a pas encore eu le temps de te voir pour te demander ce que tu en pensais, ou encore si elle pouvait y aller. » Je levais les yeux au ciel. Ma fille ne pense qu'à sortir et s'amuser avec ces copines. Amies dont je ne connais que très peu les visages ni même les caractères. Cela ne me rassure donc guère de la voir partir encore une fois dans une maison que je ne connais pas simplement pour lui faire plaisir et lui permettre de s'amuser un peu. Connaissant un peu le caractère de Fran, celle-ci serait certainement pour que je dise oui mais, d'un autre côté je reste le père et je me dois de continuer à les protégés même si eux ne voit pas cela ainsi. « Je ne sais pas, encore une soirée avec des amies que je ne connais pas et très franchement, au vu de son comportement dernièrement je ne suis pas sure qu'elle le mérite non plus. J'ai donc besoin de réfléchir avant de donner une quelconque réponse... » Je fronçais les sourcils. Mes enfants sont devenus une source d'angoisse et d'inquiétude pour moi. Depuis la mort de ma femme je ne cesse de faire les mauvais choix et je ne sais pas réellement si je dois accepter ou refusé. Je sais d'avance que ma femme m'aurait encore dit que j'étais trop protecteur et elle m'aurait demandé de faire confiance à ma fille et j'aurais dit oui. Seulement maintenant je suis seule avec elle et elle grandit, elle devient une femme... J'ai peur de ce qui peut lui arriver. « Je ne suis pas contre lui consacrer du temps, le souci c’est qu’on n’arrive pas à parler alors, si je refuse en plus cette sortie tu sais d’avance comment ça va se passer. » Je soupirais longuement. C’était la vérité et bien que je sois totalement déçu de cette situation je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. C’est ma faute tout ça. Si j’avais su garder mon rôle de père dés le début, dés que ma femme est partie je n’aurais jamais dû abandonner mes enfants mais bon… La vie ne nous offre pas toujours ce que l’on veut et on ne réagit pas tous de la même façon. C’est tout ça qui m’inquiète car je ne sais pas si je pourrais renouer une petite relation avec eux et au fond j’ai peur. « Ensuite, j’aimerais également te parler de ton attitude envers mois ces temps-ci. » Voilà on y est. J’eus un petit effet de surprise car au fond je ne m’y attendais pas vraiment mais, là je sens vraiment que la discussion va beaucoup moins me plaire. Je venais prendre une grande gorgée d’eau car il va me falloir un peu de force pour pouvoir oser répondre à Fran. « J’ai l’impression depuis quelques semaines que tu m’évites constamment, et j’aimerais en connaitre la cause. » Ces paroles résonnent en moi. Je cesse de l’entendre totalement et je me concentre sur ce que je dois lui répondre. Je dois être honnête mais j’ai peur aussi de la blessé. J’ai l’impression que si je lui dis que je suis un peu gêné de la situation que j’ai l’impression de la voir prendre la place de ma défunte femme et que je ne sais pas du tout où j’en suis. Au fond j’aime l’idée de sa présence, ça me rassure mais de l’autre je suis effrayé à l’idée que je me puisse m’attaché à elle. C’est con, mais en même temps cela me ressemble pas mal dernièrement. Alors qu’elle terminait de parler je venais finalement voir mon assiette me tomber sous le nez et sentant l’odeur de la bonne viande je venais reprendre un peu plus mes esprits. J’esquissais un léger sourire ajoutant un simple. « Merci. » Et attrapant ma fourchette et mon couteau je commençais à prendre un morceau tendrement. L’apportant ensuite à ma bouche pour en déguster le gout et très vite je soupirais doucement. « Tu n’as rien fait de mal, c’est juste que…Juste que… » Je venais hausser les épaules. « Enfin c’est moi. J’ai besoin d’espace… » Je relevais les yeux vers elle, espérant qu’elle comprenne que j’ai juste besoin de tranquillité parfois, juste pour faire le point et j’espère aussi qu’elle ne le prendra pas mal. « Tu fais tout bien Fran, la maison est nickel les enfants se tiennent convenablement enfin, du peu que je les vois. Tu nous offres de bon repas mais, moi, moi j’essaye de me reconstruire et j’ai du mal. Alors oui j’ai mis des distances par besoin. » Je soupirais doucement, attrapant un nouveau morceau de ma pièce de bœuf. Je prenais plaisir à manger ce repas car encore une fois elle a su faire un miracle avec peu de choses. J’espérais cependant que ma réponse ne lui coupe pas l’appétit ni son sourire.
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| Sujet: Re: what's happens here ? (fran) (#) | |
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