contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Back where I started ○ Phoenix & Arielle (#) Lun 25 Mar - 18:50
Back where I started
Phoenix Cahill & Arielle Young
Deux jours. Quarante-huit heures. Approximativement du moins, c’est le temps dont l’univers a dû se passer d’Arielle. C’est le seul moment ou je me trouvais dans un lit d’hôpital, inerte, alors que le monde autour de moi continuait de fonctionner. Les gens se sont levés, sont allés travailler, ont mangé et dormis, alors que j’étais dans un autre monde. Le coma est un mystère en soi, qu’un humain ne soit pas mort, mais l’est tout en apparence, est aussi fascinant que terrifiant. On dit que les gens dans le coma entendent ce que vous dites en sentent quand vous les toucher. J’ignore si l’on peut vraiment vivre le coma différemment d’une personne à l’autre ou alors si c’est la même chose pour tout le monde. Je crois que, un peu comme la mort, nous n’aurons jamais réellement la certitude de ce que ça fait. J’imagine qu’il y a des degrés, ça pourrait expliquer la perception différente qu’ont les gens de leur expérience et le fait que certains se réveillent et d’autres non. Le mien a été causé naturellement, les sédatifs qui m’ont été donnés à la suite de mon opération n’ont pas nécessairement dû aider, mais la seule pensée de me réveiller en pleine table d’opération, le corps ouvert devant tous ces gens comme un rat de laboratoire me donne soudainement l’approbation de l’utilisation de ces médicaments. Après tout, j’étais même prête à mourir lorsque tout s’est produit, alors je ne voulais que ce qu’il y a de mieux pour moi et pour ma vie après, s’il y en avait une. En fait, je ne pouvais même pas penser à tout ça au moment ou j’étais dans le coma, c’est ce qui est ironique.
Voici comment moi je l’ai vécu.
J’ai entendu des bribes de paroles, au début, avant l’opération. Je me souviens vaguement avoir entendu les sanglots de Phoenix, quelques bribes de mon diagnostic, mais rien qui ne faisait réellement du sens. Je me souviens vaguement avoir senti quelqu’un me tenir la main après mon opération, je sais que c’était après puisque la douleur était beaucoup moins importante. Mit a part ça, rien du tout. Le néant, le sommeil profond dans lequel vous vous trouvez dans un autre monde. Je n’ai pas eu peur de mourir, je n’ai pas rencontré un esprit de l’au-delà ni rien de ces conneries de lumière au bout du tunnel. Je suis simplement restée avec l’impression d’avoir dormi beaucoup trop longtemps et l’impression physique qu’un camion m’avait renversé tellement je me sentais faible.
Je me réveillai doucement ce matin-là, je vis le soleil entrer par la fenêtre de ma chambre et ça m’aveugla légèrement. Je regardai doucement autour de moi, je me trouvais bien chanceuse d’avoir eu une chambre juste à moi. Je me souvenais de tout ce qui s’était passé, de ma raison d’être ici clouée à ce lit. Je continuai mon analyse des lieux, j’étais branchée sur environ cinq fils différents, mais à mon grand soulagement, aucun respirateur. Je ne savais par contre aucunement l’heure qu’il était ni la journée, j’étais un peu perdu temporellement, mais j’avais encore toute ma tête. Je n’avais aucun effet personnel ni téléphone, ni même mes vêtements. Je balayais la pièce du regard, j’avais peur d’être seule, mais à mon grand soulagement, je vis Phoenix bien assoupi sur la chaise à ma droite. Je ne l’avais jamais vu ainsi, si vulnérable et en paix à la fois, c’était une image de lui différente, mais que j’appréciais bien. Je le regardai quelques minutes, il méritait bien un peu de repos. J’inspirai un bon coup, j’étais heureuse d’être en vie. Je me sentais extrêmement faible et l’inspiration que je venais de prendre provoqua une douleur vive à ma blessure, mais je souriais quand même à pleines dents puisque j’étais comblée de joie à l’idée d’être encore là, bien vivante, sur terre.
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Sujet: Re: Back where I started ○ Phoenix & Arielle (#) Mar 26 Mar - 19:46
Les urgences, depuis combien de temps je n’étais pas venu ici ? Surement la dernière fois où j’ai fait ce stupide combat de ruelle. Celui qui ma coûté un oeil au beurre noir, mais aussi une mâchoire décalée que je devais me refaire remettre. Alors quand je me suis retrouvé dans un boxe, avec cette foutus cicatrice. Encore une, une nouvelle cicatrice, c’est celle que je n’aimerais ne plus jamais avoir mais malheureusement ça recommence. Alors que je viens de voir mon père je lui ai demandé ou tu étais, dans quel chambre. Je sais qu’il ma demandé de me reposer encore quelques heures mais têtu comme une moule je ne l’ai pas écouter. Je me suis lever du lit en soufflant doucement. Il m’avait emmené une autre tee-shirt. Je retire l’ancien puis j’enfile celui-ci, mon premier réflexe c’est d’aller dans le hall pour aller prendre un café, ce genre de café où tu bois que de l’eau limite mais ce n’est pas grave. Alors que je sors dehors en soupirant, je soupire de toute mes forces même si on ma forcé a rester une journée dans le boxe. Alors quand je suis dehors je prends une grande bouffée d’air frais mais aussi je vais demander à quelqu’un une cigarette. Je fume que très rarement, mais là j’en ai besoin. Mon père ne m’a pas dis où tu étais, c’est alors que je vois une des infirmières, que je connais trop bien. Je sais qu’elle travaille souvent dans le service dans lequel tu es. Alors que je fume ma cigarette en essayant de boire mon jus de chaussette. Je tourne un peu en ronds en essayant de me rappeler tout ce qui c’est passer. Mais non, je ne peux pas y croire je soupire à nouveau, passant ma main sur mes cheveux. Une fois que je suis prêt je monte, je monte rapidement à l’étage. Je prends l’ascenseur parce que les marche ce n’est spécialement bon les efforts après m’être fait recoudre. Alors que je suis devant le poste des infirmières je demande ta chambre, je demande où tu te trouves. Quand elle me renseigne je m’approche doucement, j’ouvre doucement la porte, je sais que tu es dans un de ses comas artificiels. Je soupire doucement, je viens alors doucement m’approcher de toi, je glisse doucement ma main sur ta joue puis mes lèvres sur ton front à nouveau. Je murmure doucement. « Bonjour ma belle... » Je viens doucement m’asseoir sur le siège pas loin. Je viens me mettre a l’aise mais aussi je passe à nouveau ma main dans mes cheveux. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi, pourquoi je me sens encore impuissant, cette impuissance que j’ai ressentis tout au loin de cette nuit interminable, cette nuit que je pensais qu’elle ne se finira jamais. Alors que je suis pensif, aussi pensif que je peux, c’est la que mes yeux se ferme doucement. Mes mains se déposent sur mes cuisses, ma tête retombe doucement et je me laisse aller dans les bras de morphé. Je dois surement encore en avoir besoin, ce besoin de me reposer mais d’être prêt de toi. Ca doit faire depuis cette nuit là que je n’ai pas trouver le sommeil. Je ne l’aurais pas trouver tant quand je n’aurais pas su si t’allais ou bien ou pas. Donc c’est pour ça que je me suis retrouvé dans ta chambre à te surveiller en quelque sorte, du moins à écouter les machines qui sont autour de nous. Mais en vérité, je crois en toi, je croise en ta force et je sais que tu ne va pas tarder à te réveiller. Alors que je suis tranquillement entrain de dormir, mais aussi j’ai des vieux souvenirs, qui me réveille en rêve, cette journée sur le terrain, celle qui donner l’idée de quitter l’armée, de tout faire mon métier la boxe parce que je ne supportais plus toutes ses horreurs et je devais encore subire ça ici… Même si je sens le soleil me taper sur le visage, qui me réchauffe le corps ça ne fait pas de mal du tout. Mais alors que je me suis bien endormis, c’est quand j’entends des voix féminines qui parle dans la chambre qui me réveil. J’ouvre doucement les yeux avec grand difficulté malgré tout parce que la pièce est un peu trop claire d’un coup. Je laisse un petit grognement se faire entendre mais c’est là que je te vois assise sur le lit avec l’infirmière. Je passe doucement une main sur mon visage puis je me redresse doucement sur le siège ayant sentis que j’étais comme un vieux nounours dans un siège tout affalé. Je te vois, je souris doucement. Je viens doucement me lever pour m’approcher de toi. « Princesse. » je viens pour doucement embrasser ta joue, tu pouvais voir sur mon visage que ouais, ouais je suis contente que tu sois là, en vie même. « Je... » Alors que l’infirmière me sourit « Excusez-moi monsieur, je vais vous demander de sortir je dois regarder sa blessure. » « Oui oui excusez moi. » je dis en souriant, puis je sors tranquillement de la chambre, je vais me chercher un café, puis j’attends devant la porte tranquillement, je fais quand même les cents pas quand l’infirmière sort et qu’elle me fait signe que c’est bon je jette mon gobelet puis j’entre rapidement. « Je suis soulager ! » je dis en souriant en venant doucement m’asseoir sur le bord de ton lit en prenant doucement ta main dans la mienne.
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Sujet: Re: Back where I started ○ Phoenix & Arielle (#) Ven 29 Mar - 16:53
Back where I started
Phoenix Cahill & Arielle Young
Je n’ai jamais réellement aimé les hospices. Il y a comme un mélange de maladie, de senteur d’urine et de désinfectant dans l’air, ses couloirs rappellent souvent la mort des gens que vous avez perdue aux mains de la maladie. Mit à part mon oncle, j’avais été épargnée niveau maladie. Puis je n’ai même pas eu à être à l’hôpital au moment de sa mort, il n’habitait pas tout près alors on nous a annoncé la fin de son existence brutalement au téléphone. Enfin, brutalement c’est un grand mot, le type en question avait bien fait son travail avec toute l’empathie nécessaire, mais j’ai pour mon dire que peut importe la façon dont c’est fait, ça fait mal tout aussi brutalement. Ces mots ont un lourd sens, peu importe comment ils sont portés.
Je me surpris à me demander comment c’était pour lui, de fréquenter souvent cet endroit comme ça. J’y étais pour une visite et ça me dégoutait, je n’ose imaginer lorsque vous y faites un séjour indéterminé, vous avez l’impression d’y être condamné. Un frisson parcourra mon corps, alors que je m’en allais dans un coin de mes pensées qui me faisait un peu plus peur, l’infirmière fit son entrée. Je lui fis un petit sourire, qui se dissipa aussi tôt qu’elle prit parole, sans aucune conscience pour Phoenix qui dormait tout près, elle s’exclamait haut et fort. Elle semblait faire ce job depuis longtemps puis ne pas réellement accorder d’importance au respect de ses patients par rapport au calme et la discrétion, quoi qu’une partie de moi pût comprendre. Les hôpitaux étaient pleins à craquer, celui-là n’y faisait probablement pas exception, j’avais déjà assez de chance d’être seule dans ma chambre. Elle ne pouvait prendre le temps pour chaque patient de faire attention et de prendre des gants blancs, de baisser la voix ou de repasser sans quoi son job ne serait pas fait comme il se doit. Je raclai ma gorge, je tentai de me mettre à sa place et je repris sourire, me disant que si c’était un patient en psychiatrie qui crierait au meurtre ce serait alors un pire réveil. Ce n’est qu’agaçant, je peux bien vivre avec, j’avais réussi quand même à vivre avec un trou dans mon organisme pendant un moment. Je tentai de m’asseoir, mais c’était encore difficile.
« Tentez de bouger le moins possible mademoiselle. Je vais prendre vos signes vitaux. »
Je m’immobilisai, sans broncher. De toute façon, ça faisait extrêmement mal, ça m’arrangeait de ne pas avoir à bouger tout de suite. Par contre, je me devais de savoir ce qui me trottait dans la tête depuis mon réveil.
« Quel jour sommes-nous? »
J’avais eu de la difficulté à parler, c’était la première fois que j’entendais ma voix depuis mon réveil, elle était rauque et fatiguée, mais elle était là. Je raclai ma gorge de nouveau, pour tenter qu’elle redevienne à son état normal, la dame me lança un regard noir, un peu comme si je l’énervais au plus haut point. Je me rendis compte qu’elle recherchait le silence pour prendre mon pouls, je levai les yeux au ciel. Alors elle a le droit d’entrer en s’exclamant, mais je ne pouvais ouvrir la bouche pour seulement demander la date d’aujourd’hui? Ça me semblait absurde, mais je ne dis rien, j’avais de la chance que ces gens prennent soin de moi alors il était de mon devoir de les écouter, malgré l’irritation qu’ils pouvaient me causer. J’attendis et quelques instants plus tard, qui pour moi semblaient duré une éternité, elle prit parole après avoir gribouillé sur son espèce de cartable qui semblait être mon dossier médical.
« Nous sommes mercredi, vous avez été dans le coma pendant 2 jours, madame Young. Deux jours et quatre heures pour être exacte. »
J’expirai longuement. C’était long deux jours, qu’est-ce qu’était advenu le Island Pub? Qui s’en était occupé? Certainement pas Phoenix, ils ne l’ont probablement pas laissé partir, après s’être fait enlever cette balle, j’avais de la chance qu’il puisse être avec moi. Le bar avait-il seulement été abandonné à son triste sort, perdant deux jours, laissant sa clientèle en plan? Je soupirai, j’ignorais bien des détails et ça m’énervait au plus haut point. Je suis habituée d’être à mon affaire, que tout soit bien réglo et de ne rien rater, c’était alors une difficile adaptation pour moi. Au final je haussai les épaules et grogna une sorte de « Merci» , je n’avais pas réellement de pouvoir sur les deux jours précédents de toute façon. C’est alors que j’entendis un autre grognement, celui de mon ami. Je me redressai le plus possible en sa direction, malgré le mal que sa me procurait je tenais absolument à le voir, à lui parler. Je réalisais qu’il avait quand même risqué sa vie pour moi, il avait fait quelque chose que jamais personne n’avait fait auparavant, quelque chose que je n’aurais jamais cru que quelqu’un ferait pour moi. Ça comptait pour énormément à mes yeux. Il me fit un léger sourire puis je surpris à sourire à pleines dents, je n’avais jamais été aussi heureuse de le revoir. Il s’approcha de moi en me surnommant princesse et en m’embrassant la joue, je lui fis un regard complice.
« Hey »
Ce n’était pas grand-chose, mais je l’avais dit avec une voix douce et calme, ce qu’il réussissait à avoir de moi. En quelques gestes et en quelques mots, de me faire oublier tous les soucis du monde extérieur, comme s’il n’y avait que lui et moi dans la pièce. J’étais contente d’être en vie puisque je pouvais le remercier, je pouvais me racheter auprès de ce qu’il avait pu faire, malgré que je ne réussirai jamais à égaler après tout. Il était sur le point de reprendre parole alors que l’infirmière réapparue dans le décor et lui demanda de sortir pour examiner ma blessure. Je soupirai, elle m’énervait de plus en plus et je commençais à avoir de la difficulté à garder mon calme et être reconnaissante. Est-ce qu’elle sait qu’elle ne serait pas là à me soigner s’il n’avait pas été là? Un homme à la morgue se serait occupé de mon corps, pas elle. Je tentai tout de même de garder mon calme.
« Il peut rester, enfin si c’est possible… Il a la même blessure alors. »
Je vis le regard de l’infirmière se noircir et j’haussai les épaules de nouveau. Je tentai de me répéter que je n’avais pas le contrôle.
« Madame, c’est pour des questions de confidentialité, nous ne pouvons pas nous permettre une poursuite si vous décidez soudainement que nous avons divulgué une information devant votre conjoint que vous ne vouliez qu’il entende. »
Je pouffai de rire légèrement. Mon conjoint ? C’était la seule chose qui résonnait dans ma tête. Qui était-elle pour présumer la chose, tout à coup? Savait-elle notre différence d’âge? Avant tout, j’étais surprise et incroyablement amusée par la chose. Ça ne m’avait jamais traversé l’esprit avec Phoenix. La dame vit immédiatement ma stupeur et se reprit avec une vitesse remarquable.
« Enfin… Votre ami, compagnon, peu importe vos relations. La confidentialité fonctionne avec tout le monde, famille, amis…»
Je voyais qu’elle commençait à être embarrassée et j’en étais un peu satisfaite puisque c’était ce comment elle m’avait fait sentir depuis mon arrivée. Je me contentai d’acquiescer doucement et Phoenix s’excusa, un peu gêné, je ris doucement de nouveau, mais tentai quand même de le rendre plus à l’aise.
« À tout de suite, Phoenix. »
Je lui fis un petit sourire avant qu’il ne quitte la pièce un moment. La dame enleva mon pansement et je ne pus m’empêcher de grimacer et de gémir légèrement, ça fait très très mal. Je regardai la plaie et la première pensée qui me traversa l’esprit fut ; quel gâchis! C’était assez dégueu à voir, c’était cousu et il y avait des ecchymoses tout autour, variant de plusieurs teintes de rouges avec du bleu, du violet. Je regardai ailleurs.
« Ça me semble très beau ! Aucune infection sur la plaie, vous allez probablement passer moins de temps que nous le pensions avec nous, mademoiselle Young. Je reviendrai dans l’après-midi pour revoir ça. »
Elle me fit un nouveau pansement, je serrai les poings et enfonçai mes ongles dans mes mains pour tenter de réduire la douleur. Pourquoi c’était si douloureux, si j’allais partir plus tôt ? C’était un mystère pour moi, pendant un instant je me maudis de ne pas avoir essayé la médecine. Elle sortit et à peine quelques secondes plus tard j’entendis Phoenix dire qu’il était soulagé. C’était ironique puisque je l’étais soulagée, une certaine partie de moi avait peur qu’il m’en veuille ou qu’il soit gêné de la situation précédente et qu’il ne revienne pas. C’était peut-être stupide de penser ça, je crois que je n’étais pas habituée d’avoir une personne loyale dans ma vie, quelqu’un sur qui compter. Je sentis sa main dans la mienne et je souris, soulagée comme il le disait si bien.
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Sujet: Re: Back where I started ○ Phoenix & Arielle (#) Lun 8 Avr - 1:10
Oui je dormais trop bien, une fois que tu étais à côté de moi je me suis sentis soulagé, plus que soulager. Tu étais là, en vie mais aussi je savais que tu allais te réveiller dans pas longtemps. Je crois tout simplement en toi mais aussi je sais très bien que tu es forte mais aussi que tu as une sacré force caractère. C’est pour ça que je suis endormis, mais aussi que j’entends simplement des voix, je ne sais pas ce qu’il se dit, je ne peux pas assimiler les mots et mes pensées, ou plutôt mes pseudos rêves ? C’est au moment ou je me réveil que je comprends que c’est l’infirmière qui est présente et qui ma soi disant pas vue. Je la connaissais celle là, je savais très bien qui c’était pas une personne agréable. C’est aussi pour ça que je me permets de venir vers toi, déposer un baiser sur ta joue mais aussi te saluer. « Hey » Je souris en entendant ta voix, puis je la regarde, cette femme, je pisse doucement mes yeux, quand elle me dit de sortir, sur le coup je n’avais pas envie mais comme je n’ai pas envie de poser de problème à l’hôpital, là où mon père travail, celui qui ma souvent vue dans les services pour des problème de violence. Je m’abstiens, je me retiens. « Il peut rester, enfin si c’est possible… Il a la même blessure alors. » Je te fais doucement un non de la tête pour que tu n'insiste pas, mais aussi que tu la laisse faire. « Madame, c’est pour des questions de confidentialité, nous ne pouvons pas nous permettre une poursuite si vous décidez soudainement que nous avons divulgué une information devant votre conjoint que vous ne vouliez qu’il entende. » alors que je la vois faire, mais aussi que j’entends ton rire, je me mets doucement à pouffer de rire a mon tour, puis je la regarde doucement en lançant un petit : « N’importe quoi. » mais quand elle nous entends, elle se sent mal, je la vois se rétracter mais aussi être au point de perdre ses mots. « Enfin… Votre ami, compagnon, peu importe vos relations. La confidentialité fonctionne avec tout le monde, famille, amis…» Je secoue doucement la tête de gauche à droite. En allant vers la porte pour sortir je souris en lui glissant. « Même si j’aurais été de la famille, elle a le droit d’avoir une personne a ses côté, une personne de confiance vous ne pouvez pas le renier. A si excusez-moi, vous êtes la seule à le faire. Demandez à mon père. » Je lui dis en riant doucement tout en ouvrant la porte. Je te regarde doucement. « À tout de suite, Phoenix. » Je te fais un petit clin d’oeil en souriant. Elle est surprise mais c’est bon elle se souvient de moi, elle sait qui est mon père mais aussi qui je suis. Alors que j’étais entrain de boire mon café, en deux gorgée c’était fait. Quand elle sort de la pièce j’entre à nouveau puis je la regarde doucement partir en baissant la tête. Je suis assis à tes côté, ma main dans la tienne et j’exprime mon soulagement que tu sois en vie. Quand je vois ton sourire, je sais que toi aussi tu es soulager. « Bon faut que je te dise, j’ai contacté un ami a mon frère pour qu’il s’occupe du pub pendant notre absence, une personne de confiance mais aussi cette personne a peur de moi donc il n’avait pas le droit à l’erreur... » je ris doucement. « Le pub tourne toujours, le sol n’a aucune marque et, ne t’inquiète pas tu le retrouvera comme tu la laisser. » Je dis en hochant doucement la tête de haut en bas. J’observe alors ton ventre et avec curiosité je dis : « Tu me montre ? » je te fais signe de la tête pour me montrer ta blessure en souriant doucement.
:
désolée du temps de réponse jamais je ne t'oublierais
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Sujet: Re: Back where I started ○ Phoenix & Arielle (#)
Back where I started ○ Phoenix & Arielle
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