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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 loterie rp #4 | Piqué à vif - NOA

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MessageSujet: loterie rp #4 | Piqué à vif - NOA (#)   loterie rp #4 | Piqué à vif - NOA EmptyMer 7 Sep - 16:16



loterie rp #4 | Piqué à vif
Noa & Sebastian



Cet après-midi est consacré à la détente. Mon employé a pris ma place et je sais qu’il fera son travail correctement. C’est un passionné aussi, je n’ai rien à craindre, surtout qu’il ne s’agit que d’accueillir le client, l’informer et vendre si possible. C’est un commercial, il est tout à fait compétent pour ce genre de tâche. Alors pendant ce temps, je prends les vagues, muni de ma planche de surf. Ce qui est bien lorsqu’on habite dans la Bay du Sud c’est qu’on peut rejoindre la plage sans prendre sa voiture. Sans compter que ma demeure à un accès direct au sable, idéal pour aller bronzer lorsque le temps le permettait. Mais là, il ne faut pas se voiler, j’ai dû sortir la combinaison. Elle n’enveloppe pas tout mon corps. Il s’agit d’un manche courte, ainsi que d’un short s’arrêtant en haut des genoux. Je garde l’autre pour des températures plus fraîches. Le temps est blanc et un vent frais picote sur ma nuque humide. J’attends que des petits rouleaux se forment, mais la mer n’est pas très généreuse en ce début d’après-midi. Pas intermittence, le soleil perce et m’étouffe dans une chaleur désagréable. Mais aussitôt que je décide de dézipper ma combi,  il se cache et la fraicheur prend le dessus.  Je passe plusieurs minutes adossé à la planche, surveillant le rivage pour ne pas trop m’en éloigner. Mais c’est tellement calme, que j’en serai presque à piquer un petit somme sur ma planche. Je suis donc dans mes rêveries attendant que la mer veuille bien m’offrir ce que j’attends d’elle. C’est quelques minutes plus tard que je sens ma planche se lever sous les ondulations de l’eau. Je m’assieds, observe l’horizon et comprend que je vais enfin m’amuser. La première vague que je prends est timide. Je le savais, j’ai juste été impatient. Sur la seconde, je tiens plus longtemps. Une série plus tard, les rouleaux se forment et j’ai du plaisir à m’enfermer dans les tubes avant d’en sortir. Voilà que mon après-midi commence.

Mais après une dizaine de minute, je perds l’équilibre sur la fin d’un rouleau. Il n’était pas assez fort pour que je glisse autant. Je plonge alors dans la mer afin d’éviter d’être assommé par la vague malgré tout. La corde qui me relie à ma planche me tire la cheville. Puis alors que je remonte à la surface, je la sens s’enrouler autour de mon mollet avec une sensation très désagréable. Une vive douleur m’arrache un cri. Personne n’a pu l’entendre et je sais que je vais devoir me débrouiller seul. Je monte à moitié sur ma planche, le crâne en ébullition. Attaché à la jambe, une méduse d’une taille moyenne. Je plisse les yeux, sens ma tête tourner sous la douleur. Je voudrais la retirer, mais je risque d’empirer les choses en sacrifiant mes mains. Par chance, et avec un peu d’aide, ma planche rejoint le rivage. Autre coup de la bonne étoile, la méduse se décompose et ne laisse que deux ou trois tentacules entourer mon mollet. Mon cœur accélère sous cette vive douleur malgré tout et tape jusque dans mon crâne. J’en ai lu des choses sur ces créatures et j’ai aussi lu le mot « mortel » ou « arrêt cardiaque ». Je sens la sueur perler sur mon front, accentué par la peur. Mes forces m’abandonnent, je ne peux plus compter uniquement sur moi. Je n’en ai pas le temps. Aussitôt la planche touchant le sable, j’observe, avec difficulté, les alentours. J’y vois un groupe de personne et ce qui pourrait être le professeur de tous ces gens, une jeune femme brune. Elle doit savoir quoi faire et avoir ce qu’il faut pour une telle blessure. Je me lève avec difficulté, je clopine, manquant de tomber à chaque pas. Après quelques pas, la liane qui me relit à ma planche me force à basculer vers le sol. Plus qu’une solution, hurler : « S’il vous plait. J’ai besoin d’aide ! Une méduse… »Je n’ai pas la force de m’époumoner davantage. Je n’implore pas souvent. J’aime me débrouiller seul, mais je sais quand je n’en suis pas capable. Si l’on ne m’aide pas tout de suite, je crains le pire. Je connais quelques gestes à avoir, comme frotter la brulure dans l’eau de mer, appliquer du sable dessus, le laisser sécher et frotter ensuite pour éliminer les derniers filaments de l’animal. Mais j’ai encore ces saletés de tentacules accrochées à ma peau et sans aide, d’une personne, je ne peux rien faire.

codage : Djoan || Gif : tumblr

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MessageSujet: Re: loterie rp #4 | Piqué à vif - NOA (#)   loterie rp #4 | Piqué à vif - NOA EmptyJeu 15 Sep - 21:38

La plage est définitivement l’endroit que je préfère sur cette terre. Un refuge que je ne crois pas quitter de sitôt. Elle a accueilli toutes les émotions qui m’ont traversé et m’en séparer me serait tout simplement impossible. D’autant que je me souvienne, j’ai appris à nager peu après avoir appris à marcher. Cette relation avec l’eau s’est juste intensifiée au fil des années. Bien que l’université et mes stages chez Vogue prennent beaucoup sur mon horaire, je trouve toujours un certain temps pour profiter des vagues et de l’eau. Aujourd’hui, comme j’ai un temps libre dans mes études, j’ai dis oui pour un remplacement de dernières minutes afin d’entraîner un groupe d’adolescent intermédiaire. Le genre de groupe que je préfère parce qu’ils savent les bases et que je n’ai pas besoin de regarder leurs moindres faits et gestes.

J’arrive donc en avance au travail, ce qui était très rare, et en profite pour saluer mes collègues déjà présents. Je vais dans le vestiaire pour enfiler une combinaison qui allait avec les températures d’Island Bay, avant de me diriger sur le sable. Je salue les quelques personnes du groupe déjà arrivé aussi avant de constater que j’avais 30 minutes avant de commencer le cours. Je prends donc une planche de surf que le centre nautique prêtait et décide de faire un tour rapidement dans l’eau, profiter des vagues que la mer offrait en abondance.

Ce n’est qu’après un certain temps que je sors de l’eau prête à enseigner au groupe qui était plus qu’excité à l’idée d’affronter les vagues à leur tour.  Plusieurs avaient pris l’habitude de riposter ou de s’obstiner, mais je n’étais pas de celle qui se laissait marcher sur les pieds et ils l’ont compris rapidement et l’heure s’est passée plutôt rapidement. J’étais contente, j’allais pouvoir en profiter encore un peu avant de retourner à la maison. Alors que j’allais rassembler le groupe pour leur dire les points forts de la séance et ceux à travailler, un des jeunes hommes m’interrompt en me pointant un monsieur qui était installé par terre sur le sable. Celui-ci semblait en détresse. « S’il vous plait. J’ai besoin d’aide ! Une méduse… ». Je ne prends pas trois secondes pour réagir que je courrais déjà vers lui. « Maxime, va vite demander à un collègue à l’intérieur la trousse de secours s’il-te-plaît. » Celui-ci n’ajoute rien et part à courir en direction du centre. Je m’agenouille auprès du monsieur, constatant que la méduse était déjà en partie retirée de sa jambe. Cependant, je sais que la douleur d’une piqure peut s’avérer intense. « Monsieur, la seule chose que je vous demanderais, c’est de ne pas bouger votre jambe. » C’est ma première intervention de ce genre, mais toute l’équipe avait reçu les bases pour des situations comme celle-ci, il s’agit juste que je m’en rappelle. Le monsieur n’avait pas l’air de paniquer, encore, et je dois avouer que ça m’aidait à garder mon calme. Je vois un de mes collègues ressortir avec la trousse et prend tout de suite les pinces et essaie délicatement de retirer les particules restantes de l’animal marin et les dépose plus loin sur le sable. « Attention pour ne pas trop les pincer sinon les particules vont éclater et ça va lui faire mal. » Je reste concentrée sur ce que je fais. « Marc, merci pour la trousse, tu peux y aller maintenant. » Je n’ai pas besoin de ce stress supplémentaire que mon collègue me procure en restant à côté de moi. « Il m’en reste qu’une, tenez bon. » dis-je à l’homme en face de moi, tentant tant bien que mal de le rassurer. Une fois terminé, je prends du sable et l’étale sur le jeune homme et sors mon permis de conduire pour enlever le tout rapidement afin  d’éviter qu’il reste des particules invisibles.  « Je suis désolée que ça soit tombé sur vous. Habituellement, la plage met une alerte aux méduses lorsqu’ils en voient plusieurs se ramener sur la rive. » Ça aurait pu tombé sur n'importe qui, même un de mes élèves et peut-être que l'intervention aurait été plus dur à gérer à cause de la panique. Je sors un sachet contenant une antalgique et lui tend. « Tenez, ça va probablement calmer la douleur. Il ne reste plus qu’à désinfecter. Vous voulez que je continue ou vous préférez le faire ? »
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