manquait plus que ça ► phoenix

manquait plus que ça.
song ◘ w/"nina"

Cela fait plusieurs jours que je n’ai pas de nouvelle d’Arielle, elle m'a dit qu’elle voulait passer sa convalescence auprès de sa famille je ne sais trop où en réalité. Mais bon, après plusieurs messages sans réponses et appels sans qu’elle décroche, je me rends compte que je lui ai peut-être fait peur cette nuit là, avec le braquage, cette homme qui a oser tirer avec son arme… Bref, je ne sais pas, je ne sais pas du tout ce qu’il se passe dans sa tête et elle ne veut pas m’en parler. D’un côté oui ça me blesse mais de l’autre, je me dis que nous sommes tous différent, qu’on réagit tous différemment à certaine situation. Comme moi, je me suis réfugier dans le sport, et ma petite. Je me suis bien plus occupé d’elle pour oublier tout ça. Mais non je ne lâcherais pas le pub, surtout pas en ce moment. Il y a encore bien trop de monde à s’occuper ici, des personnes qui ont besoin de ce boulot, mais je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir. C’est une force de caractère que je ne peux pas supporter. J’ai déjà dû mal avec ma salle, alors un pub ? C’est bien plus compliqué. Mais j’espère qu'à tout moment Arielle passe le pas de cette porte avec sa bonne humeur et que tout revient comme avant…

Après une journée mouvementé à la salle je suis quand même ici au pub. Dan s’occupe de Sarah comme tout les soirs où je bosse ici. Appuyer contre le contoire de derrière face à la salle, je l’observe. Je laisse un petit soupir m’échapper en voyant le peu de monde. C’est vrai que je paraît pas très bavard en ce moment, enfin, un peu comme tout les jours. Beaucoup pense que je suis associable mais non, j’arrive à l’être quand même il le faut. Alors que je suis entrain de me préparer un café, pour faire passer le temps. Je sens une présence au bar, quand je tourne doucement la tête je te vois penchant un peu la tête je t’observe tranquillement en t’écoutant. "C'est calme ce soir." je pince doucement des lèvres pour faire une petite grimace. « M’en parle pas, c’est même plus calme que les autres soirs... » je prends ma tasse que je sucre un peu puis je me met face a toi. C’est vrai que je me rends compte qu’on a jamais réellement parler tout les deux. Je t’observe pendant le boulot, mais quand vient l’heure de partir, tu te faufile rapidement pour rentrer, ce que je comprends totalement. "Tu crois que le pub va pouvoir tenir encore longtemps comme ça ?" Je viens doucement hausser des épaules. « Sans te mentir ? » je laisse un petit soupire m’échapper. « Je ne sais pas du tout. Je n’ai plus de nouvelle d’Arielle et… devoir gérer le pub seul c’est pas simple. » je bois une seconde gorgée de ma boisson et je la finit rapidement. « Déjà que j’ai du mal a m’occuper de ma salle alors je ne sais pas si j’arriverais à m’occuper du pub aussi. » je dépose la tasse pas loin, puis je viens déposer une fesse vers l'évier pour être face à toi pour mieux discuter. « Y a tellement de chose à faire, Arielle c’est mise tellement en retard dans les papiers que.. » je hausse des épaules. « C’est compliqué. » je ne sais pas pourquoi mais je me “confesse” un peu sur ce qui ce passe en dehors du service et surement parce que j’en ai besoin. et aussi tu n’es pas bête tu as peut-être dû comprendre ou remarquer des choses aussi. « Les stocks, y a beaucoup trop de chose à vendre, mais des commandes arrivent encore. Y avait des travaux a faire, qu’elle à laisser trainer malheureusement… Je pense aussi a toi, et les autres employés, que faire si le pub ne tient pas... Je ne sais pas trop où mettre la tête. » je te regardant disant tout ça, puis je croise les bras sur mon torse en haussant a nouveau des épaules.

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song ◘ w/"nina"

Qui ne serait pas inquiet à ne plus voir sa patronne pointer le bout de son nez, qui ne serait pas inquiet pour sa propre personne mais aussi pour son propre travail. C’est se qui nous fait vivre et sans mentir je peux retomber sur mes pâtes moi. J’ai peut-être ma salle mais je pense aussi à vous tous, les autres employés. Même si on ne parle pas trop, je sais que ce n’est pas simple. Certain sont des étudiants comme toi et c’est pas évident à tout gérer. La vie est dur quand on n’a pas de petit boulot pour subvenir à nos besoin. Après je ne te connais pas assez pour savoir si on peut reprendre les deux le pub. Je ne sais pas, je n’ai pas envie de te donner du boulot supplémentaire, et puis je sais que si je suis épauler je pourrais gérer les deux, enfin, j’espère. "Ca fait peur quand même." je hoche à mon tour la tête à tes paroles. "Enfin, si ça continue comme ça." je passe doucement ma main dans mes cheveux en soupirant un peu. « Je suis d’accord avec toi... » et puis ce soir comme beaucoup de soir en ce moment on n’a pas beaucoup de monde donc on a le temps de parler de se poser un peu, mais pour l’instant c’est notre inquiétude sur l’état de Arielle. Et si tout compte fait on lui a fait peur ? Et si, tout ça n’était pas fait pour elle et qu’elle a préféré fuir simplement… "Ca pue … J'veux dire ... j'ai essayé de la contacter aussi ..." je fais une petite grimace je vois que je ne suis pas le seul à qui elle ne répond pas. « Je vois elle sait couper de tout et tout le monde alors ce n’est pas que moi... » je te dis et montre mon inquiétude, ce qui est assez rare pour moi, ce qui n’est pas mon habitude surtout. J’apporte ma tasse à mes lèvres pour finir mon café ! "C'est bien ce que je dis ... Ca pue ..." je soupire doucement en te regardant, mais plus je prends le temps de t’observer plus je remarque que tu avais changer, ta couleur, je me souviens que tu étais rousse quand je suis arriver au pub et toi aussi. Mais c’est vrai que le blond te va bien. Rend ton visage plus doux mais aussi, le changement ne t’a pas fait de mal à ce que je vois. "Tu crois qu'on devrait aller la voir ? Histoire de savoir ... ce qu'elle veut faire à propos du pub ?" je te regarde en haussant doucement des épaules. Ce n’est pas une mauvaise idée. Ouais c’est vrai que, ça pourrait être plus simple. Je sais qu’elle t’apprécie beaucoup donc je pense que si elle voit les deux personnes qu’elle apprécie peut-être qu’elle nous ouvrira. Quand tu me dis ça je sors rapidement mon téléphone de ma poche. « Tu sais que ce n’est pas une mauvaise idée miss. » je le déverrouille rapidement. J’écris tout sur mon téléphone et je sais qu’elle m’avait donner l’adresse de ses parents. « Je crois savoir où elle est en plus. Après je ne suis pas certain qu’elle soit là-bas par contre… » partir à l’aventure ? Pourquoi pas. Mais après tout est-ce qu’on va se casser le nez sur une porte fermée ? Est-ce qu’elle va réellement vouloir nous voir ? Est-ce que, tout compte fait on pense à bien mais qu’en réalité on va faire tout ça pour rien. Je ne sais pas, mais comme on dit si bien : qui ne tente rien n’a rien.

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Rien n’est simple pour personne. Personnellement ça m’ennuierais beaucoup de perdre tout ça, que beaucoup d’entre vous se retrouvent sans boulot, que les étudiants qui bossent ici pour payer leur étude doivent à nouveau retrouver un job qui peut être encore plus mal payé et qu’ils galèrent encore plus. J’essaye de trouver une solution le plus rapidement possible mais pour le coup je n’ai plus rien en tête, je n’ai plus rien qui me vient. Je sais que je pourrais aider une voir deux personnes mais, je pense que la salle de sport n'intéressait pas grand monde. C’est de là qu’on parle du fait que oui Arielle pourrait se cache pour éviter quelque chose, ou bien simplement m’éviter moi vue la dernière chose qu’il sait passer, je comprendrais totalement. "Ah ... Tu pensais qu'elle faisait exprès de t'éviter ?" je viens doucement hausser des épaules en te regardant. "J'dirais pas que y'a un truc qui cloche ... Mais y'a un truc qui cloche quand même." je te fais un oui de la tête. « Y a un truc qui cloche tu peux le dire oui. » Après je peux très bien me tromper et que ça ne soit pas moi. Mais son mode de vie. Elle ne supportait peut-être plus de vivre ici, avec le pub qui ne tourne pas à sa guise en réalité. Je ne sais pas du tout en réalité. "Il s'est passé quelque chose ... qui pourrait expliquer que ... Qu'elle ne veuille plus venir ?" Je me pince doucement les lèvres quand tu me demandes ça, puis je passe une main dans mes cheveux. C’est pas simple dans parler mais bon, pourquoi pas avec toi, tu es sûrement au courant ou pas du tout. « Tu te souviens qu’on a du fermer le pub deux ou trois jours il y a quelque mois ? » je te dis doucement, puis je me lance. « Et tu as sûrement du entendre parler de la fusillade qui a eu ici ? Enfin, qu’un homme armé a essayer de braquer le pub. Et bien on y était encore à l’intérieur avec Arielle ce jour là et... » Je retrousse mes manches par nervosité et dévoile l’un de mes tatouages, celui que j’ai de l’armée de terre américaine. « L’homme nous a tiré dessus. Enfin j’ai essayé de protéger Arielle comme je pouvais et on c’est prit les deux une balle… » je m'appuie un peu sur le contoire. « Et quand elle est rentré de l’hôpital elle était totalement différente, elle ne m'adressait plus ou presque plus la parole comparé a d’autre personne qui se trouve ici. Comme si elle m’en voulait de ne pas avoir pu l’éviter tu vois ? » Même si ce n’était pas la première que je me prenais, je m’en voulais de ne pas avoir réussi à lui faire éviter ça. C’est une expérience que personne ne veut vivre de toute façon. Après ça, on en vient au fait que je pense savoir où elle est. Même si c’est le cas, je suis sur de me faire jeter totalement. J’ai retrouvé l’adresse de ses parents. "Mais ... on peut pas ... y aller maintenant. Même si le pub tourne au ralenti, on peut pas vraiment ..." Je laisse un petit soupire m’échapper quand tu exprimes ses paroles. « Tu sais, même si on ferme un peu plus tôt ça ne gênera personne, tu penses que les quatre personnes qui reste vont être là jusqu’à la fermeture ? » je fais une petite moue doucement en ayant balayé la salle du regard. « Elle doit être chez ses parents, ils à a peine deux heures de route d’ici en faite. » je te dis doucement. Comme pour te dire, que pour moi ça ne me dérange pas, puis au moins au sera réellement pourquoi elle n’est pas plus là ou elle ne veut plus revenir.

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song ◘ w/"nina"

Alors que les confessions se font ce soir, c’est vrai que je ne suis pas trop du genre a parler de moi ou de ma vie, mais pour le coup il le faut vue qu’on parle d’Arielle mais aussi, du pourquoi elle aurait pu disparaître. Alors que je te parle de la fusillade, je ne pensais pas en reparler un jour mais c’était aujourd’hui et aussi avec toi. Surement parce que tu dois être au courant de ce qu’il sait passer. C’est sur qu’avant ça, tout le monde était joyeux et heureux de venir ici. "Oui. J'me souviens. J'avais été étonnée d'ailleurs. Surtout qu'à ce moment, le pub fonctionnait bien." Je hoche la tête de haut en bas, oui le pub marchait très bien à ce moment là et j’ai peur que depuis ça, aussi, ça a fait défaut à l’endroit. J’ai peur que les gens ne veulent plus trop venir depuis ce qu’il sait passer. "Tu veux dire que ... il vous ..." Je te regarde droit dans les yeux, connaissant la fin de ta phrase. « Oui Nina... » Je dis doucement pour affirmé ta penser. Mais aussi je n’ai pas envie de te faire peur, de te faire penser que personne n’est en sécurité nul part en réalité. Je le savais très bien, mais on fait du mieux que l’on peut pour vivre correctement sans avoir peur. "Je ... J'étais pas au courant. Pourquoi vous ne m'avez rien dit ?" A ta question j’étais prêt à répondre du tac au tac, mais en réfléchissant bien et me rappelant bien votre relation vous étiez toujours entrain de parler de tout et de rien. « Je pensais qu’Arielle t’en avait parlé. » je peux voir que ouais, tu as une certaine peur qui te vient, mais aussi que ça fait peur en général. Se dire qu’à tout moment l’on peut se faire braquer pour un oui ou pour un non ce n’est pas une pensée que l’on doit avoir. Je dépose doucement ma main sur ton avant-bras avec douceur en continuant de te regarder. « Simplement pour que personne n’ait peur de revenir ici et qui ne sent pas en sécurité. Comme toi en ce moment. Et ne me ment pas je le vois. » je te dis assez calmement parce que oui, je ne vais pas t’agresser ça ne sert à rien. Mieux vaut que j’essaye d’être rassurant comme j’essaye de faire, mais aussi je ne veux pas que tu aies peur. « Si tu veux savoir, ce n’était pas prévu qu’il nous tire dessus. Ce n’était pas prévu que ça parte aussi mal. Tu sais comment je suis quand je dois sortir quelqu’un qui mets le bazar ou qui est à deux doigts de se battre. Mais ce soir c’était une autre chose. Le mec avait une autre arme et ça personne ne peut le prévoir même pas moi ou quiconque alors Nina, rassure toi. Ca ne se reproduira pas tant que je suis dans les parages. » je continue d’avoir une voix assez rassurante pour que tu me fasses confiance, et je pense que c’est le cas, jamais je n’ai été méchant avec aucun employés du pub. « Si tu veux toute à l’heure je te ramène ou t'emmène où tu veux si ça peut te rassurer. » je te dis avec un sourire rassurant et limite protecteur à la fois. Je ne suis plus le vieille ours mal léché qui n’en fait qu’à sa tête et qui s’en fou un peu de tout. C’est ce que j’étais en sortant de l’armée. C’est alors qu’on parle des parents d’Arielle, mais aussi des quatres clients qui restent dans leur coin. "Tu veux les foutre à la porte ?" je laisse un petit rire m'échappe quand tu me dis ça et secoue ma tête. « Non je ne vais pas les foutre à la porte, mais ça fait plus de vingt cinq minutes qu’ils ont finit et ne t’on rien commander d’autre alors je soupçonne qu’ils ne vont pas tarder. » je garde un sourire un peu amusé a se que tu viens de dire. "On peut tenter. On verra bien ce que ça donne." Je relève le regarde alors que j’étais entrain de me servir un verre d’eau. « Qui ne tente rien n’a rien comme dit le bon vieu dicton. On verra bien quand on y sera et on aura le coeur net je pense. » je dis en haussant des épaules doucement.

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La conversation tourne sur le fait de la fusillade, c’est sur que moi, je n’allais pas en parler et c’est une chose que je ne veux pas car je n’ai pas envie de faire peur aux gens, comme là, avec toi. Mais je pensais fortement qu’Arielle t’en avais parler. Je me trompe. "Je ... Non ... Elle n'a rien dit. Peut-être qu'elle ne voulait pas me faire peur ..." Je hausse doucement des épaules quand tu me dis ça. « Peut-être... » Je pensais fortement qu’elle t’en avait parler, mais bon sur le coup ça ne m’étonne pas beaucoup. Elle cachait tellement de chose, même par rapport au pub, par moment je ne sais pas comment elle se débrouillent mais, elle me disait tout au dernier moment. Ce qui n’était pas très bon car on ne pouvait pas prévoir les choses à l’avance. N’aimant pas m’y prendre au dernier moment, elle savait très bien que ça m’agaçait un peu. Mais à cause de se qui c’est passer, on voyait le pub tomber petit à petit. Je ne savais pas quoi faire pour le remonter mais je vois bien que toi aussi. On est un peu démunie sans elle. Mais parler de ça, je voyais bien que ça te faisait peur, j’essaye, j’essaye au maximum de te réconforter, mais aussi de te faire parler se qui marche plutôt bien. "J'm'attendais pas vraiment à ça surtout." Je t’observe doucement. « C’est normal, on ne s’attend jamais à ça. » Malgré mon petit récit la dessus, mais aussi qui n’est pas un très bon souvenir. J’ai malgré moi une capacité à relativiser sur les choses, à passer outre on va dire. Avec ce que j’ai pu voir ou faire à l’armée il le faut. Il faut ça pour qu’on puisse vivre jour après jour. Mais j’essaye aussi d’être le plus rassurant possible auprès de toi. "Tu peux pas le promettre. Ca peut arriver. Encore une fois." j’allais dire quelques choses sans réellement réfléchir, même si tu as raisons, il faut pas être pessimiste. « Certes, mais, on m’a toujours dit et apprit que les prochaines fois, s’il y en a une on réagira autrement mais surtout d’un façon plus meilleur. » je dis doucement. « C’est mon colonel qui m’a appris ça en faite. » je dis doucement. Avouant avoir été dans l’armée, ce que je ne dis pas. Mais c’était une très bonne leçon de vie qu’il m’a donner et je ne le regrette pas d’un côté. Alors que je viens être protecteur envers toi, car bon, je ne sous-estime pas tes capacités à te défendre mais d’un côté je n’ai pas envie que quelque chose t’arrive. Par moment avoir un mec assez “baraqué” peut empêcher certaines personnes s’approcher et faire du mal. On va dire. "Non, ça ira, merci." Je te regarde un instant puis je hoche la tête de haut en bas sans trop insisté. « Si tu changes d’avis n’hésite pas. » je doucement dans un sourire. Beaucoup au pub savait que je tenais un salle ou il y a plusieurs cours, surtout celui de self défense mais aussi je n’insiste pas pour que plusieurs personnes en prenne surtout les femmes. Je trouvent qu’elles se font de plus en plus agresser et ça m’énerve au plus haut point. Je ne sais pas comment je réagirais si c’était ma fille. peut-être très mal. Alors qu’on parle des derniers clients, je les observe un peu du coin de l’oeil pour voir s’il on besoin ou pas. "On n'a plus qu'à attendre qu'ils s'en aillent alors." je hoche la tête, mais en réalité ils ne tardent pas à se lever pour s’approcher du bar et payer. je t’abandonner quelques instants pour les encaissés, sourire toujours aux lèvres les remerciant et souhaitant une bonne soirée. « Tu veux un coup de main pour finir de tout débarrasser ? »

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song ◘ w/"nina"

Toute cette histoire ne peut que faire peur et je le conçois très bien surtout pour toi, une femme qui n’a rien à voir la dedans. Pensant fortement qu’Arielle t’en aies parlé mais bon, ce n’était pas le cas. Mais en réalité j’essaye de ne pas t’en dire plus, juste se qu’il faut pour te rassurée. "Mouais ... je sais pas si c'est un conseil de génie ... ou le contraire." C’est vrai que rien n’y personne ne peut le savoir. Mais bon, j’espère juste que ça ne se reproduira pas, ou si c’est le cas que tu ne sois pas dans les parages pour le coup. Une fille, pas deux. Même si je suis très protecteur, je ne veux pas que ça se reproduise, ou bien pire encore. Parce que malgré tout, je n’ai jamais été l’homme que mes parents voyaient en moi. Même si je l’ai été a une époque mais loin de tout le monde. Depuis que Sarah est arrivée dans ma vie, ça fait sept ans que je suis devenu trop protecteur. Je hoche simplement des épaule quand tu me dis ça. Alors oui, oui je fais tout pour te montrer que je veux t’aider, mais aussi te rassurer un minimum en te laissant pas repartir seule, sans garder cette peur au fond de toi, mais encore pire, penser que tout peut t’arriver. Même pour ton refus, je pense que je vais te redemander et ne pas trop te laisser le choix pour le coup. Je vois, je vois que sur ton visage il y a quelques choses qui te bloque. Je ne te laisse pas comme ça. Une fois que j’ai finis avec les derniers clients, je te demande si tu veux de l’aide. "Tu peux déjà monter les chaises sur les tables." Je hoche la tête, prends un torchon un peu humide, puis je commence à essuyer le socle des chaises avant de commencer à les montés sur les tables comme tu me le demande. Je commence par celle que tu as nettoyer. Tout en faisant mon travail, je passe a un autre sujet. « Dit moi, tu m’avais parler de cours, mais a part le service tu t’en sors ou pas du tout ? » je m'intéresse un peu a toi parce que bon, faut bien et ne pas rester dans ce silence mais aussi pour te faire penser à autre chose. « Je te dis ça, parce que j’ai une petite crapule a la maison, et en ce moment c’est mon frère qui me la garde mais j’aimerais aussi qu’il vive sa vie et qu’il ne reste pas qu’avec elle. » je dis en levant un peu les yeux au ciel. « Donc si ça te dis de faire un peu de baby-sitting pour moi, n’hésite pas à me le dire. » je dis en souriant doucement, j’étais assez rapidement j’arrive vite à ta hauteur. « Après ça ne sera pas souvent je te rassure, mais quelques heures, je sais que l’ancienne arrivait à travailler en même temps. Elle est très active mais elle comprend vite quand il faut qu’elle joue seule ou, quand la miss qui était avant avait besoin de se concentrer. Elle était assez sage. Et je suis sur qu’elle t'apprécierait. » je te regarde en souriant doucement tout en haussant des épaules doucement. C’est vrai que pour l’instant je suis obligé de rentré plutôt de la salle parce que normalement elle est ouverte un peu tard et j’ai personne qui peut faire la fermeture à par moi. Donc j’ai personne sauf mon frère qui peut la récupérer à l’école et s’occuper d’elle en attendant que je rentre...

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song ◘ w/"nina"

Il commence à se faire tard pour que l’on bouge voir Arielle, mais aussi j’aimerais voir un peu ma fille avant qu’elle s’endorme, profiter d’elle comme il se doit, mais aussi je pense que toi aussi tu aimerais te reposer quand même alors je laisse ce sujet en suspens pour l’instant et je viens t’aider à nettoyer pour qu’on puisse rentrer plus rapidement. C’est alors que je viens te poser une petite question en te donner des explications, je n’allais pas te laisser comme ça non plus. "Bah ... j'dois dire que comme mon colocataire est parti, c'est pas forcément ... évident tous les mois." je grimace doucement quand tu me dis ça, je peux le comprendre malgré tout. Étant partie à Los Angeles sans avoir réellement d’argent, je sais qu’on peut tout faire pour se débrouiller comme on peut. Mais je t'ai parlé de ma fille et je ne sais pas si ça allait t’intéresser malgré tout. "Et bien, si j'bosse pas, ça sera avec plaisir." je souris doucement quand tu me dis ça, bien sûr que je n’allais pas te le demander quand tu bosses, je ne suis pas bête non plus. Alors je te laisse finit, voyant que tu veux rajouter quelque chose. "Faudrait faire un test, un après midi, ou un soir. Juste pour voir comment ça se passe. Même si y'a pas vraiment de raison que ça se passe mal. Les enfants m'aiment bien. Enfin, jusqu'à présent, j'suis jamais tombée sur un gamin qui m'appréciait pas." Je souris doucement en t’écoutant et d’un côté ça ne m’étonne pas, vue la gentillesse que tu as. Le sourire que tu as toujours aux lèvres c’est une qualité. Je hoche la tête quand tu as finis. « Tu sais quoi ? » Je me permets d’attrapé ton carnet, puis ton stylo. Je viens noter mon numéro de téléphone et te donner le papier, enfin je te redonner le tout bien sûr, tu en aura plus besoin que moi. « Tiens, envoie moi un message ou appel moi directement quand tu es disponible et on voit pour se faire ça ? Après je pense qu’une après-midi ça peut être sympathique aussi. Enfin, comme tu veux avec tes disponibilité. » je te dis en souriant, toujours. Après t’avoir rendus le tout, je viens passer le coup de balais dans la salle, puis je ferme la caisse. Passant une main dans mes cheveux, les ébouriffants sans trop le faire exprès. Je te vois prendre tes affaires et je fais de même. Alors qu’on sort en même temps, j’ai mon casque en main puis je reviens à la charge. « Laisse moi te ramener. » je dis tranquillement. « J’ai un autre casque sous le siège de la moto. Tu me dis juste où tu vie et je te ramène, ça sera plus simple. » je te dis en sortant mes clés de ma poche, mais aussi m’avance vers la moto qui est juste devant ouvrant le petit coffre pour sortir le casque et te le tend. « Tu sera plus vite rentré et tu pourrais plus vite te reposer qu’en dis tu ? » je ne suis pas du genre insistant mais pour le coup je le suis, la nuit est tombée et d’un côté, ça ne me dérange pas une seule seconde de te ramener, au contraire ça me fait même plaisir et ça peut ce voir sur mon visage.