é perigoso. • phoelie.

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song • w/"charlie"

Je n’ai pas laissé le choix a mon frère de me dire ou il allait ce soir. Je dois et j’ai promis a mes parents de le surveiller. Alors que je suis partie au point de rendez-vous mon frère et déjà présent et je vois qu’il est clean pour le coup. Je sais que ça ne va pas durée longtemps. Une fois que nous sommes à l’intérieur, j’observe un peu tout le monde. Un verre de whisky à la main je bois quelques gorgées en observant mon frère. Savoir ce qu’il a faire et à qui il parle. Mais je ne la sens pas cette soirée. Il vient tout juste de sortir de cure de désintoxication mais là, je ne sais pas il me cache quelque chose qu’il ne veut pas me dire. Alors que je viens redemander un verre, je relève doucement le regard sur la salle et… je me bloque. Pourquoi ? J’ai cru te voir. Sachant pas ce que tu es devenu je me dis que c’est une hallucination. Je secoue doucement la tête de gauche à droite et prends mon verre. Je pense que l’alcool n’est pas une bonne chose pour moi ce soir. Mais je ne sais plus à combien je suis. Je soupire doucement et je viens m’appuyer au bar pour oublier se que je viens de voir. Je ne lui ai jamais dis que j’étais ici. Mais elle est très forte malgré tout. J’avale mon verre d’un coup puis je demande au serveur de me servir à nouveau. Quand je tourne la tête en entendant le rire de mon frère pas loin, je plisse des yeux. Que fait-il avec ses pourrit ? Ses hommes qui lui procure sa drogue. Je fronce doucement des sourcils en me redressant. Sauf que je te bois une petite gorgé de mon verre et m’approche d’eux. De ce petit groupe. Mon frère est mal à l’aise en faite. Son rire sonne faux mais aussi ses gestes ne sont pas habituelle. Quand j’approche d’eux, je croise ton regard. Je ne savais pas que tu étais présente ici, mais… C’est les paroles de ses mecs qui me font revenir à moi. « Mec t’veux quoi ? » je hausse doucement un sourcil en buvant un peu ma boisson. « Parler à mon frère. » je le regarde, puis attrape mon frère pour l’éloigner. Je le traine limite. Plus grand que lui, et surtout il n’a pas la force pour me repousser. Je les entendant parler sur moi, mais je prends une inspiration pour me calmer. A chaque fois que je relève mon regard je te vois dans mon champ de vision. Ce n’est pas que ça ne me plait pas, bien au contraire, tu es tout aussi charmante, mais ce soir encore plus dans cette tenue. « Tu bouges, je te frappe toi. » je dis à mon frère. « J’ai rien fais et rien pris Phoenix ! » il me soutient alors que je vois très bien à son regard que c’est faux. Je l’ai lâcher du regard plus de vingt minutes et il ose me dire ça. « On va régler ça je te le jure mais là tu bouges pas de se siège. Tu le fais je peux te jurer que c’est moi qui t’ramène dans cette établissement bordel... Et arrête de t'foutre d'ma gueule Dan. Tu m'prends pour un con tout à coup j'y crois pas. Tu ose en plus. » Il faut son innocent, mais sa m'énerve encore plus. Je sais qu'il sait droguer avec ses mecs, je sais que se sont ses anciens dealer. Alors que je suis prêt a dire autre chose j’entends un : « Y s’prend pour qui lui d’me couper dans ma conversation. » je finis mon verre, serrant la mâchoire. Je m’approche de lui. « Que crois-tu ? Je fais se que je veux avec mon frère. Que ça te plaise ou non. » Je suis un peu proche de lui, le regard noire. Ses petits toutous me regarde et ose même prendre mon bras pour me repousser de lui. La chose a ne pas faire me toucher. Surtout pas dans l’état où je suis énerver. Je le repousse d’un main. Je ne vois plus personne autour de moi. « On va régler ça dehors, dedans je pense que n’avez pas envie de vous montrer en spectacle. » je les regarde tous un par un. Malgré ça, il y en a qui se sent pousser des ailes et me lance une droite. Ma mâchoire prends un coup, la lèvre couper. Je me retourne et les coups commencé à s’enchaîner. Je vois noire, je ne vois plus personne sauf eux. Je sens que je reçois des coups, mais, je m’en fous sans mentir. C’est au moment ou je sens une main, autre que ses petits cons, autre que mon frère. C’est comme si je connaissais cette main, cette poignée pour me dire d’arrêter, féminine et pas masculine. Mais je sens aussi qu’au moment ou je m’attends le moins on m’éloigne de ses mecs. j’entends pas si on me parle ou pas, je sens juste qu’on m’éloigne à l’extérieur je pense vue l'air frais que me tape sur le visage, un visage en feu et saignant.

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Une soirée entre filles au bar du coin, elle a toujours été proche de ses amies, bien que différentes que celles-ci, parce qu'elle n'est ni mariée, ni enceinte, aucun gosse ne parcourt les couloirs de son grand appartement et aucun pour lui crier à l'oreille de se réveiller ou de s'occuper de ce petit être humain. Elle n'aime pas non plus être dans la norme et avoir un enfant comme tout le monde, juste parce qu'elle est au début de la trentaine et qu'il serait temps qu'elle ait enfin une véritable relation. D'ailleurs, selon elles, elle devrait cesser de penser au passé, d'arrêter de voir que ces échecs amoureux et d'avancer, d'accord, elles n'ont peut-être pas tort, mais elle ne se sent pas encore prête pour cela et elle est très bien toute seule. La brune enfile une robe noire qui met en valeur sa silhouette, être plus grande que la plupart des femmes, ça aide, enfin, parfois, en ce qui concerne les hommes, il faut absolument qu'il soit plus grand, ce qui n'est pas toujours facile à trouver, du moins, dans ses goûts. Une fois à la soirée, elles s'enfilent quelques verres de shooter, elles discutent de tout et de rien, notamment d'enfants et d'époux, c'est ainsi qu'elle arrive à s’éclipser de la conversation pour se rendre comptoir des âmes seules. C'est là, qu'elle remarque son ex, Phoenix, au départ, elle détourne le regard, ce n'est pas comme s'ils s'étaient quittés sur de bons termes et elle n'a pas aidé la cause en rejoignant une espèce de groupe de hippies en Californie. Elle ne lui a pas redonné de nouvelles depuis tout ce temps-là. Après quoi, bien qu'elle ait toujours cru en l'amour, elle a enchaîné les désastres, trois fiancées, c'est après cela, qu'elle a compris qu'il vaut mieux arrêter d'y croire, que l'amour n'est pas faite pour elle. Charlie attrape son verre de tequila qu'elle venait de commander, elle continue de jeter des regards à Phoenix, comme si elle avait besoin de le savoir encore dans les parages, après tout ce temps, elle regrette certaines choses concernant leur ancienne relation, mais trop rancunière pour lui dire quoique ce soit à ce sujet. Elle secoue doucement la tête et elle termine rapidement son verre, à croire que l'alcool commence à bien rentrer dans son système. Elle pousse un long soupir, elle balance un regard à ses amies et puis à nouveau vers son ex, elle le perd de vue une minute et la situation commence déjà à chauffer. Elle n'a pas envie de s'en mêler, de toute manière, d'un, il sait très bien se débrouiller et de deux, elle n'a pas envie d'entendre à nouveau sa voix et d'être en contact avec lui, autant qu'ils restent loin de l'un et de l'autre, comme ces dernières années. Malheureusement, personne n'arrête ces brutes et il est seul contre tous. Donc, malgré son état d'ébriété avancé, Charlie s'approche vers eux, elle arrive à tordre le bras d'un de ses hommes, elle s'entraîne toujours avec les arts martiaux, les hommes finissent par s'éloigner et eux aussi, elle pose sa main sur Phoenix, l'entraînant à l'extérieur du bar, cette fraîcheur qui s'installe arrive à la réveiller. Elle le lâche finalement, une fois qu'ils sont proches d'une petite ruelle, à l'abri des regards. « Je ne pensais pas te revoir, mais étrangement, nos retrouvailles ne sont pas si éloignées de l'idée que je me faisais. Qu'est-ce que tu as encore fait ? » Après tout, elle n'a pas tout suivi le pourquoi du comment la situation a dégénéré. Elle hésite un instant, elle s'approche de lui, attrapant doucement son visage entre ses mains pour vérifier qu'il ne faut pas se rendre à l'urgence, normalement, ça devrait le faire, elle peut arriver à le soigner, avec un kit sous la main.

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Tout, tout avait dégénéré ce soir. Surtout que si je ne serais pas revenu, je ne sais pas comment mon frère aurait terminé et c’est cette idée qui me rend encore plu mal. Il “essaye” de s’en sortir et le premier venu qui lui propose cette merde il ne refuse pas, bien au contraire et il se laisse faire. Ouais ça me prends les tripes mais aussi ça me rends limite malade. Donc oui je ne me suis pas laisser dégonfler devant ses mecs, mais aussi il faut avouer que l’alcool que j’ai dans le corps, la fatigue en ce moment entre mon père qui est à l'hôpital, mon frère qui ne fait que des conneries et ma fille qui ne se tient pas à l’école avec la petite Maya, rien n'arrange les affaires, rien ne fait en sorte que je sois reposer mais aussi stable… Rien que le fait de voir comment il est réagi, il fait avec les autres je n’ai pas du tout apprécier mais aussi je pense qu’il va se barré, et ça ne m’étonnerait pas une seule seconde. Vue qu’il fuit toujours les problèmes et que je sais ou il se réfugie ça sera simple pour moi de le retrouver. Alors que j’étais sur ses trois personnes, peut-être plus petite que moi mais surtout je n’ai pas hésiter à leur sauter dessus. Je vois rouge en une seule seconde et plus rien autour de moi ne compte. C’est le moment ou j’ai cette main sur moi, qui me traîne dehors. Une claque assez violente sur le visage se fait pour me réveiller mais aussi je sens bien ma peau qui se tire du au coup que j’ai pris. Ce n’est pas comme si j’avais l’habitude, bien au contraire. Ca me fait revenir à la réalité. Mais en faite, se qui me fait faire face à toi c’est ta voix, cette voix que je n’ai pas entendus depuis des années, cette voix que je pensais avoir oublié, je me retourne doucement pour te faire face, observer ton visage, je laisse glisser mon regard sur ta personne. Ta robe te va a ravir prolonge les courbes ton corps, tu n’as pas changer, surtout un peu maigri depuis la dernière fois que je tes vue mais, tu es toujours la même. « Je ne pensais pas te revoir, mais étrangement, nos retrouvailles ne sont pas si éloignées de l'idée que je me faisais. Qu'est-ce que tu as encore fait ? » Alors que tu me poses cette question je relève rapidement le regard sur ta personne. « Moi ? J’ai juste défendus mon abruti de frère simplement. » J’avais croisé mes bras sur mon torse en te regardant dans les yeux, les sourcils légèrement froncé. C’est quand tu prends mon visage entre mes mains que je viens doucement reculer d’un pas. Pourquoi je fais ça ? Je sais que tu ne me veux pas de mal bien au contraire, mais vue les nerfs à vif que j’ai je ne veux pas m’en prendre a toi. « Et puis de toute façon ils ont mérité ce qu’ils leurs aient arrivés. Je les ai prévenu de ne pas trop me chercher mais personne ne m’écoute quand je dis ça, personne ne veut me croire. Maintenant mon stupide frère c’est barrer et il est retomber dans cette merde et ses connards... » je serre doucement des dents, je dois me calmer, ils ne sont plus face à moi, mais surtout je suis dehors avec toi. C’est de la que je penche un peu le visage sur ta personne. « Pourquoi tu ne ma pas laisser faire ? Et… depuis quand tu es ici toi ? » je dis simplement en réalité j’ai tellement de question qui me viennent en tête que je ne pourrais pas te les poser maintenant, dans la seconde qui suit. Mais tu sais déjà qu’il faut me parler pour que puisse me “laisser” faire, niveau soin. Même si je sais que j’en ai un peu besoin, je suis encore bloqué, bloqué sur tout ce qu’il se passe. Je n’avais pas rêver quand je tes vue traverser la pièce, c’était belle et bien toi en faite.

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Probablement qu'elle aurait dû rester à l'égard de tout cela, qu'elle aurait mieux fait de retourner auprès de ses amies, qui doivent sûrement se demander si elle ne s'est pas faite kidnapper par un homme ou si elle ne s'est juste pas éclipsée, parce que la conversation est loin de ses intérêts. Mais Charlie ne pouvait pas rester de marbre, boire son cocktail en regardant la scène comme spectatrice, comme quelqu'un qui ne réagit pas face à la violence, comme beaucoup de gens dans ce genre de situation. Elle s'était tout simplement levé debout, poussant des gens sur son passage pour pouvoir le sortir à l'extérieur, mettant un terme à cette scène entre ses hommes et son ex. Elle ne pensait pas le retrouver, pas dans ces conditions, mais au final, ce n'est pas si éloigné de la relation qu'ils avaient tous les deux, entre amour et haine, sexe et bataille. Elle n'en attendait pas moins de sa part, son frère est si précieux à ses yeux, ça peut se comprendre, la famille est importante pour bien des gens. Elle ne peut s'empêcher de sourire en le voyant s'énerver, parce qu'elle n'est pas effrayée, parce qu'elle connaît cette sensation de brûlure dans l'estomac et ce bouillonnement dans la tête. « Ton frère peut faire ses propres choix, non ? Tu ne peux pas toujours être là pour lui. » En tout cas, elle n'aimerait pas être surveillée vingt-quatre heures sur vingt-quatre par son frère. Elle sait que son grand frère, Miguel est du style protecteur à souhait et elle trouvait toujours des combines pour échapper à sa surveillance au Texas. Mais bon, elle ne veut pas se mêler de ses problèmes, elle dit seulement ce qu'elle pense. Phoenix recule lorsqu'elle le touche, par simple peur ? par dégoût ? Elle l'ignore, mais elle se contente de froncer les sourcils face à son geste. Charlie hausse doucement les épaules à sa question. « Je voulais participer un peu, c'est mon genre de soirée, tu devrais le savoir. » Dit-elle finalement pour mentir, enfin, à moitié, quand on pense qu'elle a toujours été un peu colérique et bagarreuse. Bien qu'au final, elle préfère cela à sa soirée entre copines, à parler de couches, de bébés et de maris, des sujets dont elle se fiche bien. Elle se recule légèrement pour lui laisser de l'espace. « Ça fait presque trois ans que je suis à Island Bay. » Finit-elle par lui dire en soupirant légèrement. Elle ne croit pas vraiment au destin, alors bon, ils allaient forcément finir par se tomber dessus, l'un et l'autre. « Eh bien, tu n'as qu'à y retourner alors, si c'est vraiment ce que tu as envie, je ne vais pas te retenir. » Sa voix a légèrement augmenté en disant cela, tout simplement parce qu'elle ne croit pas que c'est nécessaire de tabasser ces hommes à mort, surtout si c'est son frère qui a décidé d'accepter de faire affaire avec eux, mais encore une fois, elle ne va rien dire de plus à ce sujet, à quoi pouvait-elle s'attendre de toute façon, en le revoyant ? Elle a regretté à plusieurs reprises d'être partie comme une voleuse, mais au final, ils en sont rendus là, à parler dans une ruelle, comme si rien n'était. « Heureuse de voir que tu es toujours vivant.. » Elle baisse les bras, elle n'insiste pas plus, elle est sur le point de partir, encore.

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song • w/"charlie"

Peut-être que je n’aurais jamais du venir ici, je savais très bien comment ça allait se finir a un moment donné, puis avec l’alcool ça n’arrange rien en réalité. Une fois que nous sommes dehors, je ne peux m’empêcher de continuer d’être à cran mais aussi d’avoir toujours autant envie de leur foutre sur la gueule. Malheureusement sur ce point c’est mon côté militaire et boxeur qui ressort. Toujours à vouloir frapper jusqu’à ce que ma soif de vengeance soit assouvie. « Ton frère peut faire ses propres choix, non ? Tu ne peux pas toujours être là pour lui. » Ma famille a toujours été très précieuse pour moi et si je suis de retour en ville c’est pour cet imbécile qui est mon frère. « Il a toujours eut le choix. Le choix d’arrêter de se droguer où de se retrouver mort dans une ruelle ! » Je dis en haussant un peu la voix. Mais pourquoi ? Pourquoi je hausse le ton avec toi comme ça, tu me libère des griffes de connards qui veulent me battre a mort. Et c’est comme ça que je te remercie ? Je peux être totalement débile par moment. De toute façon, j’ai aussi l’alcool qui joue contre moi. Et je ne sais pas, j’ai toujours été à cran quand il faut parler de mon frère et de sa drogue à la noix où l’on a essayer plusieurs fois de le sortir de là parce qu’il nous a demander de l’aide mais non. Rien n’y fait. « Je voulais participer un peu, c'est mon genre de soirée, tu devrais le savoir. » je secoue doucement la tête de gauche à droite a ta réponse. Oui peut-être mais, tu aurais pu totalement l'ignorer comme beaucoup l’on fait. Mais quand tu me touches je réagis mal, encore et toujours. Ca ne changera pas, ça toujours été comme ça et depuis que la mère de ma fille a disparu c’est même pire j’ai l’impression. « Ça fait presque trois ans que je suis à Island Bay. » Je fais un oui de la tête. « Bien. » Je dis simplement. D’un côté toi aussi tu ne pouvais pas savoir que j’étais revenu en ville vue que quand tu as fuis tu m’a laisser sans nouvelle de toi, et que je ne pouvais même te contacter. « Eh bien, tu n'as qu'à y retourner alors, si c'est vraiment ce que tu as envie, je ne vais pas te retenir. » Je soupire doucement quand tu hausse la voix. Je viens alors doucement me laisser aller contre le mur qui est juste derrière moi. Je sens que toute cette colère est en train de redescendre et je suis entrain de me rendre compte que… et bien que ouais, ça fait des années qu’on ne sait pas vue et la première chose que l’on fait c’est de se gueuler dessus. Je pouvais sentir mon sang se remettre à couleur de mon nez, mais aussi que ma lèvre me fait affreusement mal. « Heureuse de voir que tu es toujours vivant.. » Quand je relève la tête avoir légèrement essuyer mon nez avec un mouchoir que j’avais dans ma poche. Je te regarde, voyant que tu es prête à fuir, encore. « Attend Charlie ! » Je dis rapidement en me redressant tout aussi vite. Je viens doucement attraper ton poignet de ma main pour te retenir. Ma voix est devenu un peu plus douce, je me suis calmer, comme je pouvais mais je suis calme. Je sais que mon frère a fui les lieux depuis un moment donc bon, je le retrouverais bien demain. Je sais où il se planque. « J’arriverais pas a soigner ça seul. » menteur. « Et, ça te dis d’aller boire un dernier verre ? » je te laisse prendre la décision, mais si on doit aller chez moi, je pense qu’il ne faudra pas qu’on fasse un bruit vue que ma fille dormira et comment t’annonce que je suis devenu père. Je ne vais pas te balancer ça comme ça non plus.

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song • w/"phoenix"

Elle ne va pas se prendre la tête avec lui, encore moins concernant son frère, ce n'est pas de ses affaires, mais elle sait ce que cela fait d'être toujours surveillé par ses frères et même si elle ne se drogue pas, elle n'a pas toujours été sage non plus. Charlie finit par lui dire qu'elle est déjà là depuis un petit moment, c'est un peu le choc quand même de se dire qu'ils ne se sont jamais croisés, qu'elle n'a jamais vu sa tête plus tôt, non, il a fallu qu'ils se revoient dans ce genre de circonstance, dans la violence, au fond, c'est peut-être pas si ironique que ça. Il a quand même fallu qu'ils arrivent dans la même ville et ce n'est pas comme si Island Bay était vraiment peuplé. Mais voilà, Charlie décide qu'il est peut-être temps de partir, cette fois-ci, il va pouvoir la regarder quitter les lieux, pas comme la dernière fois, elle n'avait laissé aucune note, aucune chance de la rattraper et de s'expliquer. Peut-être qu'au fond, elle espérait, espérait quoi ? Ça, elle l'ignore, peut-être profiter un peu plus de sa présence, quitte à s'engueuler comme des putois en pleine ruelle. Elle tourne les talons, il n'a pas besoin d'elle, de toute façon, il fait qu'à sa tête, un peu comme la Texane finalement. Elle s'arrête soudainement lorsqu'il lui attrape le poignet, elle baisse la tête en soupirant légèrement, son cœur bat à toute vitesse et ce n'est pas seulement à cause de l'alcool, elle n'est pas bourrée, enfin, un peu, mais ce n'est pas pour cela qu'elle a envie de partir et de s'allonger dans son lit en se posant dix mille questions. Elle fige un peu avant de se retourner vers Phoenix, les yeux dans les yeux, honnêtement, elle n'a pas envie de retourner dans ce bar, avec tout ce bruit, peut-être même que ses amies sont en train de se demander où elle peut bien être et pas question de leur expliquer qui est le mec à côté d'elle. « Bon, d'accord, je veux bien, seulement parce que j'ai soif. » Qu'elle dit pour essayer d'éviter les véritables raisons et d'avoir l'air sentimental. « On va chez moi ? Je n'ai pas envie de retourner à l'intérieur et puis, on sera plus tranquille. » Et ça va de soi, ils vont devoir soi marcher, soi prendre le taxi pour se rendre à son appartement du centre-ville. En plus, elle a déjà l'alcool qu'il faut et qu'ils n'auront pas à débourser, si la vie n'est pas belle. Ils se déplacent ensuite vers un taxi, ils se trouvent souvent pas très loin des bars, au cas où, pour éviter que les gens prennent leur voiture. Ils se dirigent vers le logement de Charlie, une fois arrivée, elle paie le chauffeur et ils débarquent du véhicule. Elle vit dans un grand appartement dans les derniers étages de l'immeuble et pour une fois, ce n'est pas le grand bordel là-dedans, elle a appris à faire le ménage, de temps en temps. Elle sort les clés de ses poches, une fois dans l'ascenseur. « J'ai tout ce qu'il faut pour nettoyer ça. » Elle brise la glace, ce silence de mort la rend mal à l'aise et c'est assez rare. Après l'ascenseur, ils atteignent l'appartement de la brune et ils peuvent enfin y entrer. Elle dépose ses clés dans un petit bocal et retire rapidement ses escarpins. « Mets-toi à l'aise, je vais te chercher tout ça, le minibar se trouve dans le salon, tu peux nous servir quelque chose. » Charlie se rend vite fait dans la salle de bain, elle attrape la trousse de premiers secours et elle revient auprès de Phoenix. Elle se passe une main dans les cheveux avant de s'installer sur le canapé et de le regarder. C'est vraiment trop bizarre, d'être là, assis à côté de lui, elle essaye de garder son sang-froid le concernant. Une fois qu'il est installé, elle commence à désinfecter puis à le soigner.

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song • w/"charlie"

Il est vrai que je ne m’aurais pas imaginer te revoir, encore moins ici. Mais même si ça commence à faire un petit temps que je vie ici, c’est rare que je sorte comme ça. Simplement parce que je n’ai pas envie de retomber dans des vieux démons que j’ai pu avoir avec mon ex-fiancée avant qu’elle tombe enceinte. Mais j’ai appris aussi à me contrôler et je connais un peu mes limites. On va dire. Alors que le sujet de mon frère est clos, mais je sens, je sens que quelques choses se prépare. Quoi ? J’en ai la surprise, tu veux t’enfuire à nouveau. C’est pour ça que cette fois je réussi a te retenir, attrapant ton poignet, sans force, sans te faire mal surtout simplement pour te faire comprendre que oui, oui je n’ai pas envie que cette soirée se termine comme ça, se termine sur une mauvaise note comme d’habitude. Je sens mon coeur tambouriner dans ma poitrine, jamais, jamais je n’aurais cru que j’aurais a nouveau cette sensation pour toi. En réalité, je ne l’ai jamais réellement perdus. Peut-être que oui, j’ai eu de la rage contre toi quand tu es partie comme ça sans rien me dire, et que je n’avais rien du tout pour te retrouver mais j’ai réussi a la mettre de côté jusqu’à l’oublier. Alors que je te donne le prétexte que je ne peux pas me soigner seul, bonne blague c’est certain, mais aussi un dernier verre. Ca ne peut pas nous faire de mal. « Bon, d'accord, je veux bien, seulement parce que j'ai soif. » je laisse un petit sourire m’échapper à tes paroles malgré moi, au fond, est-ce que c’est la vérité ? « On va chez moi ? Je n'ai pas envie de retourner à l'intérieur et puis, on sera plus tranquille. » je hoche la tête totalement d’accord avec toi, puis moi non plus je n’ai pas trop envie de retourner à l’intérieur, pour retrouver les têtes de noeuds que j’ai vue toute à l’heure… non merci. Je te suis, montant dans ce taxi avec toi, mais aussi laissant le trajet dans un petit silence, un silence un peu pesant. Malgré tout je voulais payer le taxi mais tu as été bien plus rapidement que moi. Je continue a te suivre, une fois dans l’ascenseur, comme à mon habitude je viens coller mon dos contre la paroie puis je laisse doucement glisser mon regard sur ta personne. Que t’es t-il réellement arrivé à ton départ ? Pourquoi, c’est surtout ça comme question. Pourquoi tu as fais ça ? Mais je ne sais pas si ça sera le bon moment pour en parler. « J'ai tout ce qu'il faut pour nettoyer ça. » je garde mon regard sur toi, étant quand même un peu en recule de toi. « Merci. » je dis doucement quand tu me dis ça. Alors qu’on arrive rapidement chez toi, je me permets aussi de retirer mes chaussures, un simple respect pour toi et ton appartement mais surtout pour le fait que ce n’est pas moi qui entretient tout ça, mais toi. « Mets-toi à l'aise, je vais te chercher tout ça, le minibar se trouve dans le salon, tu peux nous servir quelque chose. » Je hoche la tête en te regardant aller dans l’autre pièce, je me dirige vers le mini-bar puis, je prends la bouteille de whisky et deux verres, je nous en serre un chacun. Je reviens vers le canapé en te regardant, tu as toujours cette manie de toucher tes cheveux. Plus long que la dernière fois, mais tu la garder. Je viens déposer les verres sur la table, m’asseoir à tes côté. Je viens me mettre face a toi pour que tu puisses me soigner. Quand tu commences je me mets doucement à grimacer et reculer un peu le visage. « Tu mets toujours de l’alcool a plus de 90 degrés à ce que je vois. » je n’étais pas un reproche mais une simple remarque. je viens boire une gorgée de la boisson puis je me remets face à toi pour que tu puisses finir malgré que je serre les dents. Jusqu’au moment ou mon regard reste a observer ton visage, tes traits sont plus dures mais tu as toujours un regard doux quand tu as envie, un regard tendre même si tu veux le cacher ce que tu ne devrais pas avec moi. Étant proche de toi, mes mains restes sur mes cuisses. Sauf que je viens me permettre, a mes risques et périls, de retirer doucement ta mèche qui glisse sur ton visage. Je viens doucement la glisser derrière ton oreille. Aucun geste brusque. J’ai ai eu assez dans la soirée pour le coup.

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Charlie venait de quitter le bar sans avoir averti ses amies, non pas qu'elle ait besoin de leur accord, mais cela pouvait tout de même porter à confusion, sachant qu'elle venait de repartir avec son ex, et ça, elles l'ignorent complètement, étant donné qu'il s'agit d'une personne de son passé dont elle a parlé à personne. Elles savent uniquement pour ses trois fiançailles ratées et elles n'ont pas besoin d'en savoir plus à ce sujet ou sur un autre ex. Quoi qu'il en soit, ils partent enfin de l'endroit pour se diriger chez Charlie, endroit plutôt tranquille, où ils pourront discuter, ce qui n'est pas obligé quand on y pense, elle n'aime pas vraiment parler de ce qui s'est passé, le mieux est de tout laisser cela en arrière et ne plus en parler. D'ailleurs, elle ne sait même pas ce qui lui prend de l'inviter chez elle comme ça, alors, qu'elle ferait mieux de rentrer seule et oublier ce fantôme du passé, ça serait tellement plus facile quand on y pense bien, mais trop tard, ils sont déjà chez elle, allant même chercher la trousse de secours pour pouvoir le soigner, eh ouais, en plus, elle va jouer les infirmières. Elle soupire légèrement avant de le rejoindre au salon, quelle connerie tout ça. Charlie attrape son verre et elle boit plus de la moitié avant de commencer à le soigner. Elle ne répond pas, elle se contente de le soigner, plus vite elle le fait, plus vite elle pourra s'éloigner de son visage et de son souffle qu'elle peut sentir contre la peau de ses doigts. Quelques petits frissons lui parcourent la chair lorsqu'il lui replace sa mèche de cheveux derrière son oreille, pile à ce moment, elle appuie légèrement plus fort sur la blessure son arcade sourcilière sans vraiment faire gaffe. « Pardon.. » Elle termine rapidement de le retaper et elle se recule par la même occasion. « Voilà, je pense que ça ira. » Elle n'ose pas le regarder dans les yeux, alors, elle attrape tout ce qu'elle peut puis elle quitte la pièce pour aller jeter les papiers et ranger la trousse de premiers secours, Charlie en profite pour se laver les mains, mais également reprendre ses esprits. Quelle idée stupide qu'il soit là, phrase qu'elle ne cesse de se répéter dans sa tête. Elle le rejoint et s'installe à côté, laissant une bonne distance entre eux. Elle termine son whisky. « Ce n'est pas un peu bizarre ? Nous deux, ici, à faire comme si rien n'était. »

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Une fois chez toi, mais aussi assit sur ton canapé, j’ai pris une bonne gorgée de ma boisson avant que tu reviennes me voir, me soigner plutôt. C’est vrai que je n’hésite pas à te faire une remarque, mais celle-ci n’était pas méchante en soit, j’aurais pu, comme on a toujours fait mais pas là, pas aujourd’hui déjà je devrais être bien content que tu t’occupes de moi mais aussi que tu accepte de me soigner. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir mon regard de plonger dans le tien, de laisser mon souffler frapper ta peau sans le vouloir, mais aussi quand j’ai vue cette mèche qui retombe sur ton visage je me suis permis de venir la remettre en place doucement. Quand je sens que tu appuies un peu sur mon arcade je comprends rapidement que je n’aurais peut-être pas dû faire ça, grimaçant un peu. « Pardon.. » Je te regarde toujours et te laisse faire. « Ce n’est pas grave. » Je dis doucement quand tu t’excuses, c’est peut-être a moi de le faire ? vue que je t’es perturbé. « Voilà, je pense que ça ira. » Je te regarde faire, je te regarde prendre tout ce que tu peux mais aussi t’enfuir rapidement pour tout ranger. Je laisse un petit soupire m’échapper puis m’assois à nouveau correctement sur ton canapé, je viens vidé mon verre en une gorgée. La plus simple qu’il soit. Quand je te revois revenir je ne peux pas m’empêcher de t’observer, mais aussi je remarque cette distance entre nous deux. Je me mords l’intérieur des lèvres, comment on peut être aussi … Aussi timide en quelque sorte l’un envers l’autre. « Ce n'est pas un peu bizarre ? Nous deux, ici, à faire comme si rien n'était. » Je tourne doucement mon regard sur toi, puis je viens prendre la bouteille que j’ai laissé sur la table pour me servir j’en ai bien besoin pour le coup. « Si mais tu m’a un peu habitué à ça quand tu es partie sans rien dire j’ai envie de te dire. » je bois une gorgée. « Même si l’envie de t’embrasser à nouveau, de sentir la chaleur de tes lèvres, toucher ton corps autrement qu’en se battant est peut-être une idée qui m’a traverser l’esprit un instant. » je hausse doucement des épaules. « Sauf que je sens bien que tu vas très vite me repousser donc... » je finis alors mon verre rapidement avant de me redresser, remontant les manches de ma chemise et récupère ma veste qui était à côté. « J’aurais du rentrer et ne pas t’ennuyer maintenant. Merci de m’avoir soigner Charlie. » Je viens glisser une dernier regard sur toi avant de commencer à me diriger vers ta porte. Peut-être que c’est moi cette fois qui fuit. Qui fuit en ayant pas envie en réalité vue se que je viens de t’avouer grâce ou avec l’alcool, mais je pense que si je fais encore un faux pas, je me ferais jeter en beauté, et tu sais que je n’aime pas forcé les choses malgré tout.

it's so dangerous.
song • w/"phoenix"

Elle ne déteste pas le fait de l'avoir aussi proche de son visage, ce n'est pas le problème, c'est plutôt parce qu'ils ne se sont pas vus depuis quelques années, qu'elle a l'impression d'avoir encore ce petit sentiment en elle, cet effet qu'il peut toujours avoir sur elle, c'est plus facile de tenter de l'ignorer que d'y faire face. Elle est consciente que ça date, qu'il a refait sa vie, elle a beaucoup à rattraper, mais en même temps, elle n'a pas vraiment envie de savoir qu'il se soit retrouvés dans les bras d'une ou plusieurs autres. Charlie s'occupe de Phoenix, elle termine de le rafistoler, ainsi, elle a une raison de pouvoir s'éloigner, elle attrape tout sur son chemin et part retrouver son calme loin de son ancien amoureux. Parce qu'ouais, elle en a besoin. Eh merde, comment peut-elle avoir encore envie d'être dans ses bras, de sentir à nouveau son étreindre alentour de sa taille ? Ce n'est pas comme s'ils étaient revus la semaine dernière, ça fait bien plus longtemps que ça et elle ne va pas nier que cette situation soit un peu embarrassante. C'est donc en revenant vers lui, qu'elle ose enfin parler, oui, c'est bizarre, oui, elle l'a quitté et il vient tout juste de lui rappeler qu'elle a claqué la porte, qu'elle a pris la fuite, c'est sûrement le bon mot, malheureusement, elle ne peut pas changer le passé. Charlie baisse légèrement la tête, elle n'est pas gênée face à ces mots, à cette envie, qu'elle ressent tout au fond d'elle, elle partage la même chose, le même désir, mais est-ce vraiment raisonnable quand on y pense ? Elle ne pourrait véritablement y répondre, elle se pose probablement trop de questions aussi. Charlie continue de rester silencieuse, écoutant chacun de ses mots qui sortent de sa bouche. D'accord, il n'a pas tort, il aurait dû rester là où il était, elle serait partie de son côté et lui du sien, mais quelque chose la pousse finalement à se lever du canapé pour le retenir, elle lui attrape doucement le bras, juste assez pour qu'il puisse réagir afin de se retourner, elle pose ses mains sur ses joues et vient enfin coller ses lèvres aux siennes pour un baiser, montrant qu'elle ne souhaite pas le voir partir, pas maintenant.

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song • w/"charlie"

Je ne pouvais pas m’empêcher de te regarder, t’observer, observer tes traits, ceux que je ne me souvenait plus ou plutôt ceux qui sont des plus nette. Ceux qui font et feront toujours autant ton charme malgré tout ce qu’il peut se passer. Alors que je prends mon second verre, je n’hésite pas, je n’hésite pas à dire se que je penses, à dire se que j’ai un peu sur le coeur malgré moi. Avec quand même un l’aide de l’alcool. Comment passer à côté de ça. Comment ne pas exprimé mon regret que tu aies pris la fuite à cette époque que je pouvais t’aider et ça tu le savais très bien. Même si après toi j’ai eu une autre femme, une femme qui m’a donné un enfant, une femme qui ma aussi lâcher mais je n’ai pas ressentis la même chose qu’avec toi. Un coeur briser, un sentiment d’abandon mais aussi de ne pas avoir été à la hauteur. Aujourd’hui ? Est-ce que ça sera pareil, je ne sais pas, mais se que je sais et ce que je ressens c’est que les palpitations de mon coeur ne sont pas les mêmes face à toi. C’est peut-être pour que ça que j’ai été doux et, un peu con face à toi. Comme j’ai toujours été en réalité. Avoir des gestes assez doux comme l’on dit, mais avoir des paroles blessantes quand je m’y mets réellement et ça peut-être pire avec l’alcool comme ce soir. Je peux te voir baisser la tête mais faut que tu tout le reste sorte. Te dire que j’aurais pu rester où j’étais et que c’est peut-être le moment pour moi de partir. Alors que j’étais proche de la porte, prêt à l’ouvrir mais aussi à la franchir. Je peux sentir tes doigts autour de mon poignet cette pression que m’arrête dans ma lancé, qui me fait pivoté sur moi-même pour te faire face, plonger mon regard dans le tien. Sentir tes mains sur mes joues puis, t’es lèvres. Mes yeux se ferme petit à petit, je laisse mes mains se déposés sur tes hanches avec délicatesse. Je te resserre doucement contre moi, prolongeant délicatement ce baiser. Baiser qui fait que mes palpitations de mon coeur s’accélère de plus en plus a tambouriné dans ma poitrine. Cette sensation, le goût de tes lèvres qui m’ont manquée, mais aussi tout ton être ma manqué. Je laisse une de mes mains glissés au creu de tes reins. Je détache doucement mes lèvres des tiennes avec un petit contre coeur, mais, ce n’est pas pour autant que je ne te garde pas contre moi. Je viens jetter ma veste sur le canapé, puis je passe cette main libre contre ta mâchoire jusqu’à ta nuque pour que cette fois je t’offre un baiser plus fougueux, plus intense.

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song • w/"phoenix"

Elle n'a pas envie de refaire cette erreur, de le laisser partir, de le regretter par la suite, comme elle avait ressenti la première fois, elle reconnaît avoir tout gâché, mais il est hélas trop tard pour retourner en arrière et tout réparer. Elle n'aime déjà pas ressentir ce genre de sentiment, elle a toujours assumé ses gestes ainsi que ses mots, ce n'était certes, pas toujours rose entre eux, mais elle ne va pas nier qu'il soit de loin ce qu'elle a le mieux connu dans ses relations amoureuses jusqu'à présent. Elle, qui a vécu trois fiançailles désastreuses, avec trois hommes qui ne le méritaient pas, elle était naïve de croire qu'elle pouvait vivre une romance digne d'un conte de fées, maintenant, elle le sait très bien tout cela et Charlie ne cherche plus à s'engager aussi rapidement. Elle peut au moins avancer, aller de l'avant, voir ce que ça donne dans cette nouvelle vie que lui offre Island Bay, advienne que pourra. Elle rattrape Phoenix, elle s'empare de ses lèvres, pas besoin d'ouvrir sa bouche pour lui dire de rester, les gestes suffisent pour lui faire comprendre ce qu'elle souhaite, c'est-à-dire qu'il reste plus longtemps que prévu. Elle le laisse faire, se retrouvant collée à lui, l'embrassant tendrement, puis plus langoureusement, appréciant les baisers de ce dernier. Cette envie s'intensifie en elle, les battements de son cœur s'accélèrent dans sa cage thoracique, laissant son corps se réchauffer face à cette soudaine chaleur qui s'empare de tout son être. Charlie rompt le baiser, le temps de lui retirer son chandail et de passer ses mains sur ses abdominaux, parcourant le haut de son corps avec le bout de ses doigts. Il n'y a pas à dire, il est toujours aussi séduisant que la dernière fois, il a pris plus de muscles et ce n'est pas pour lui déplaire, il apprécie grandement cette musculation. Elle le pousse sur le canapé en souriant légèrement et se place à califourchon sur lui. Elle se penche vers sa tête, le regardant un court instant dans les yeux, comment a-t-elle pu oublier cette attirance, maintenant qu'il est là, elle veut en profiter. Elle l'embrasse à nouveau, comme un geste naturel et sans fin.

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song • w/"charlie"

Quand tu m’as pris par la main pour me retenir, il ne faut pas sortir de saint-cire pour comprendre. On à cette envie tout les deux et on ne peux pas le renier. Les baisers deviennent plus fougueux mais aussi plus désireux que les premiers. Quand tu cesse le baiser, je te laisse faire pour retirer mon haut. Malgré tous mes lèvres viennent se perdre sur la peau de ton cou pour l’embrasser et remonter doucement contre ta mâchoire. Alors que t’es doigts parcours ma peau, se qui me donner un frisonne, agréable, mais aussi désireux. Sans m’y attendre je me retrouve sur ton canapé, un sourire aux lèvres, je t’observer, je te laisse t’installer. Mes mains viennent doucement glisser sur tes cuisses en faisant doucement remonté robe. Pour arriver jusqu’à tes hanches. Mon regard dans le tien aussi, je viens doucement approché mon visage du tien simplement pour venir frôler mes lèvres au tienne, je viens jouer au petit jeu du je veux t’embrasser mais je recule légèrement quand toi aussi tu en as envie. Je ne te lâche pas encore du regard, malgré tout j’ai quand même mon petit sourire aux lèvres. J’avais oublié comment on pouvait être, comment ce désir pouvait grandir en nous quand on est ensemble. Mais tout me revient à ce moment là. Un désir des plus agréable. C’est pour ça que je fais doucement glisser mes mains sur tes fesses pour les remonter doucement le long de ton dos. J’attrape la fermeture qui se trouve dans ton dos et l’ouvre doucement durant ce baiser. Alors que je viens doucement faire glisser les bretelles de ta robe, je laisse mes mains glisser sur ta peau, la frôlé, mais aussi la caresser. Je ne peux m’empêcher de venir faire glisser mes lèvres le long de ton cou, sur ton épaule tout en embrassant celle-ci du bout de mes lèvres. Quand je remonte mon visage est que mes main se trouve au bas de ton dos, je viens te coller contre moi, contre mon corps. Agrippant légèrement tes fesses tout en m'emparant à nouveau de tes lèvres à nouveau pour donner un baiser fougueux et envieux à la fois.

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song • w/"phoenix"

C'est sûrement une folie, une véritable connerie, elle le sait très bien et elle ose espéré que lui aussi il est au courant, qu'il sache que tout cela n'est pas raisonnable de poursuivre dans cette direction et pourtant, ils continuent de se rapprocher, de s'embrasser comme si c'était un au revoir, ce qu'ils n'ont pas pu faire la première, ni même un simple salut de la main, parce qu'elle en avait décidé autrement, parce qu'elle ne souhaitait pas rester plus longtemps. À cette époque, elle était entrée dans une espèce de secte, c'est ainsi qu'on qualifiait le groupe qu'ils formaient tous et pourtant, il n'y avait aucune violence, ni de viol, parce que c'est souvent ainsi que le gourou procède, il met enceinte les femmes et basta, or, cela n'a jamais été le cas, du moins, si Luis a fait cela, alors elle n'est pas au courant et il vaut peut-être mieux qu'elle reste dans l'ignorance, préférant garder le passé là où il doit être, un peu comme elle croyait faire avec Phoenix. Là-bas, c'était paix et amour, Charlie avait fini par quitter le fameux groupe pour voyager à travers le monde, à travers les nombreux voyages qu'elle a faite, elle a été fiancée à trois reprises, tous des échecs, elle n'a jamais eu de chance en amour, maintenant, elle se rend bien compte qu'elle n'est pas faite pour les relations de ce genre, d'où le fait qu'elle soit sugar baby, pas d'amour, pas d'attachement et le seul engagement est un simple contrat, du donnant donnant. Quoi qu'il en soit, elle se concentre sur le moment présent. Charlie frissonne au toucher de son ex, le laissant poser ses mains sur sa peau, le tissu de sa robe continue de glisser sur sa chair, elle sourit, elle le regarde dans les yeux, un simple regard suffit pour faire comprendre ce qu'ils veulent, ce qu'ils ressentent, aucune rancune, uniquement deux personnes qui veulent retrouver ce plaisir qu'ils ont connu autrefois. Charlie décide finalement de retirer cette fichue robe, elle sourit à nouveau, l'embrassant à nouveau, tandis que sa poitrine vient frôler le haut de son corps, se collant de plus en plus à lui. Elle lui mordille la lèvre inférieure, descendant peu à peu jusqu'à son cou, déposant d'autres baisers interminables. Elle prend son temps pour le rendre fou, elle le taquine, elle fait exprès de poser quelques baisers sans descendre plus bas, sans effleurer son pantalon.