charlotte hawthorne - aloha

charlotte hawthorne

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les informations en vrac

a toujours vécu a Island Bay › mes parents étant toujours en vadrouille, c'est mon oncle Mark qui m'a presque élevé › c'est pourquoi je suis très proche de ma cousine, Zola, qui est pour moi une soeur. elle a quitté la ville depuis peu sans rien dire, brisant mon coeur a jamais › depuis toujours je suis passionnée par tout le monde sous-marin et j'ai fais en sorte de vivre de ma passion en devenant reporter sous-marin mais comme dit plus haut, ça ne suffisait plus de plonger et j'avais besoin de faire quelque chose qui servirait. c'est pourquoi je suis maintenant en école d'infirmière. › j'ai rejoins Zola dans son evasion en Europe en visitant avec l'Espagne et le Portugal il a deux ans › si je pouvais, j'aimerai vivre sous l'eau › j'adore m'amuser et profiter de la vie › mais même si je profite de la vie, je rêve intérieurement de fonder une famille pour devenir une meilleure mère que la mienne n'a jamais été › j'aime cuisiner pour les autres › je compte rester à IB, c'est ici que je me sens chez moi  › ma cousine m'a laissé la maison familiale mais celle ci me rappelant tellement de souvenir, je passe le plus clair de mon temps sur mon bateau › je n'aime pas trop le luxe, je préfère les choses simples › j'ai découvert lors de mes nombreuses soirées être attirée essentiellement par les femmes. › depuis que sage m'a elle aussi laissé tomber, je me persuade que l'amour n'existe pas. serais-je un jour heureuse? je ne sais pas. mais il en faudra beaucoup pour que quelqu'un me convainc de croire de nouveau en l'amour. et encore plus pour que je tombe de nouveau amoureuse. › ma cousine roxy est la seule famille qui me reste, et je compte bien la garder. c'est une grande soeur, et presque une mère pour moi. son fils est tout aussi important. › j'ai peur de l'avenir. mon état de santé. quelque chose cloche.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>emma roberts ›</pris> charlotte hawthorne

   

l'histoire de ma vie

“Unie à l'océan, la goutte d'eau demeure"

« Je suis désolée Zola, mais je ne vais pas te suivre en Irlande, le travail vient de m’appeler et ils ont absolument besoin de moi à Island Bay. » annonçais-je à ma sœur, enfin ma cousine. En réalité, je venais de mentir sur toute la ligne mais je n’avais pas le choix. Je n’avais pas envie de rentrer, je voulais encore vivre de moments magiques avec elle, visiter, nager, profiter de la vie loin des problèmes. Mais malheureusement, ils reviennent toujours à nous ces soucis, ils nous rattrapent et nous ramènes à la réalité. Pendant ces 11 mois en Espagne et au Portugal avec Zola, je m’étais retrouvée en enfance, lorsqu’elle et moi faisions toutes les bêtises du monde. Bien sûr nous n’avons pas été aussi extrème qu’autrefois : pas de passage au poste de police cette fois ci.

C’est vrai que toute ma vie je l’ai passé avec elle. Mes parents étant toujours en vadrouille à l’autre bout du monde, je passais le plus clair de mon temps chez mon Oncle Mark, le père de la belle blonde. Il a comblé le manque de famille que mes parents ont instaurés. Toujours à voyager, je ne les voyais très peu. D’ailleurs je détestais être chez mes parents, me sentant plus chez moi avec mon oncle et ma cousine. Grâce à eux, j’ai tout de même eu un semblant de famille. Il est comme un père et elle sera toujours comme une sœur pour moi. Malgré leur soutient, j’ai souffert toute mon enfance du manque d’attention qu’avait mes parents pour moi. Il se contentait de faire leur boulot de parent à distance, m’envoyant un peu d’argent ou des cadeaux pour se faire pardonner mais ça ne remplacera jamais l’amour d’un père et d’une mère pour leur fille. Avec Zola, nous étions de petites terreurs. Dès l’adolescence, nous faisions toutes les bêtises possibles, nous retrouvant plus d’une fois au poste de police. Mais nous avons profité et je ne crois pas avoir eu une vie si difficile. D’ailleurs c’est grâce à notre autre cousine que nous sommes restée dans le droit chemin et n’avons pas dérivées. Je me souviens encore de nos grandes soirées sur la place ou encore chez moi, lorsque mes parents n’étaient pas là. Je dois avouer avoir été une grande adepte des jeux alcoolisés, de quelques petits joints de temps en temps. Aujourd’hui encore, je me permets de m’amuser et de dépasser quelques limites mais je me suis tout de même reprise en main et puis je dois maintenant faire très attention à moi.  Alors, n’étais-ce pas logique que je rejoigne Zola dans son road-trip en Europe ?

Mon retour à Island Bay en aout 2015 a été très difficile. J’ai du faire face a un nouveau problème, donc je n’ose parler à personne. Pendant ma petite escapade avec Zola, j’ai commencé à avoir de plus en plus de mal a distinguer les formes, je voyais de moins en moins bien d’un œil et surtout lorsque j’étais sous l’eau. Je me suis alors discrètement rendue chez un médecin portugais qui m’a alors avoué que j’étais victime des gènes lointains de ma famille. Je suis porteuse d’une maladie retienne, qui touche une personne sur mille dans ce monde. Ma vision va se troubler de plus en plus et je vais perdre la vue. Pour l’instant, seul l’un de mes yeux est gravement touché mais il se peut que les deux soient touchés. J’ai du rentrer au plus vite pour pouvoir consulter des spécialistes qui m’ont tous confirmé ce problème. Malheureusement, les recherches sur cette anomalie sont en cours et personne ne sait comment y remédier. Je ne sais pas encore comment en parler, surtout à Zola. A son retour j’avais prévu de tout lui dire mais malheureusement, entre temps, mon oncle, son père nous as quitté et je n’ai pas envie d’en rajouter une couche. J’ai tellement peur d’elle parler et que les gens me prennent par pitié que je garde tout pour moi, me trouvant des excuses pour tous les rendez vous, pour toutes les fois ou j’ai du mal a voir ce qu’on me demande de voir.

Et ce n’est pas tout. A cause de cette anomalie je pourrais peut-être perdre mon métier qui me tient tant à cœur. Depuis toujours, je suis passionnée par la vie sous-marine. Peut-être parce que mon oncle tient un centre nautique et que ma cousine et moi passions beaucoup de temps là-bas. Alors j’ai toujours voulus vivre de ce que j’aime, et j’ai réussis en passant un diplôme de reporter et en devenant reporter sous marine pour la télévision. Je passe donc le plus clair de mon temps sous l’eau, là ou je me sens le mieux. Entourée de merveilles. Aujourd’hui, je ne sais pas ce que je pourrai faire de ma vie si je perdais mon métier et ma passion. Alors pour l’instant, je n’en parler à personne mais si ça devient de plus en plus difficile de le cacher. Peut-être vais-je réussir à l’annoncer à mes cousines.

FICHE PLUS A JOUR. A REFAIRE.