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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain !
Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?

vous recherchez une famille ? les wilson attendent encore le reste de leurs membres
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 Déménagement feat Mathangi Chowdhury

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MessageSujet: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyDim 30 Juin - 18:37

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Mathangi & Maya
Après plusieurs expériences désastreuses, Jenny et elle avait enfin trouvé une colocataire qui n’avait pas l’air complètement détraqué. Elles avaient eu de beau cas et pendant un instant, Maya songea sérieusement à abandonner l’idée de trouver un.e autre coloc. Mais elle avait finalement trouvé, quelqu’un qui ne prenait pas les deux filles pour des ménagères, qui avaient un minimum de savoir-vivre et qui n’avait pas des habitudes bizarres.

Bon elles n’avaient pas encore habité avec la jeune femme, mais la première impression avait été très bonne. Maya avait même eu le droit à un Madame Schepper qui l’avait bien fait rire. Personne ne l’appelait comme ça, c’était le nom que l’on donnait à sa mère. Qui d’ailleurs le détestait et qui se faisait appeler par son prénom pour avoir l’air jeune et faire croire à son interlocuteur qu’elle était sympa. Donc lorsqu’elle avait entendu la candidate l’appeler comme ça, elle n’avait pas pu retenir un sourire amusé.

D’ailleurs elle aimait bien le rappeler à la jeune femme faisant semblant de prendre la grosse tête. Maya n’était pas imbu d’elle-même, la preuve, elle avait fait installer la sonnette lumineuse pour que Jenny puisse savoir quand la sonnette retentissait en essayant de lui trouver un moyen de lui faire remarquer sans qu’elle doive se planter devant.

Maya ne sachant pas tout, elle avait laissé libre cours à Jenny pour qu’elle s’achète un bracelet ou une montre connectée à la sonnette. Elle se doutait bien que la jeune femme ne voulait pas un truc trop moche ou trop encombrant.

Aujourd’hui était toutefois un jour beaucoup plus joyeux. Maya allait aider sa troisième colocataire à emménager dans l’appartement. Jenny  avait trouvé une excuse, soi-disant elle travaillait. Mais Maya comptait bien lui faire regretter son absence, toujours dans la gentillesse et dans la bonne humeur. Elle ne faisait jamais de mal volontairement, donc sa vengeance n’allait pas être méchante. Mais Jenny allait apprendre qu’on n’abandonnait pas les copines en plein déménagement.

D’ailleurs Mathangi venait d’arriver ayant le droit à un gros câlin de la part de Maya. Coucou toi ! Je suis ravie de te voir ici. Elle lui fit un grand sourire avant de laisser la jeune femme respirer. Elles avaient des camions à décharger. Tu as mis tout dans une voiture ? Ou tu as loué un camion de livraison ? Maya devait admettre qu’elle ne s’était pas trop renseigné à ce sujet.

Lors de son déménagement, elle ne s’était pas posé de questions. Elle avait appelé la société de déménagement que ses parents prenaient tous le temps lorsqu’ils déménageaient. Elle n’avait pas vraiment regardé le prix de la livraison. Et elle n’avait jamais eu de problème donc elle devait bien admettre qu’elle n’y connaissait rien en déménagement. Elle allait bien voir comment tout ça se déroulait vu que les cartons n’allaient pas se monter tout seul et les meubles non plus. La journée risquait d’être éprouvante pour elle et aussi pour Ma. Je te propose qu’on s’y mette ? D’ailleurs je peux t’appeler Ma ? Ou tu trouves ça choquant ?

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyMar 2 Juil - 17:22

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Maya & Mathangi
Dhury cocha une nouvelle case sur la petite liste de choses à faire qu’elle avait enfouie au fond de la tête. Enfin, elle avait trouvé un logement : ce n’était pas comme si elle cherchait depuis des lustres, puisqu’elle n’était revenue de Chypre qu’il y a seulement deux semaines. Elle avait séjourné chez une ancienne « copine de travail », le genre d’ami avec qui on ne garde jamais vraiment contact mais qui est toujours là pour raviver les bons souvenirs en compagnie d’une bouteille de blanc et pour rendre service. Mais deux semaines d’hébergement gratuit, c’était un sacré service, et Mathangi était bien consciente que ça ne pourrait pas durer. Maintenant qu’elle avait réussi à se mettre d’accord avec Madame Schepp… - Maya, un prénom qu’elle a tout intérêt à retenir, elle flottait sur un petit nuage, ne s’inquiétait plus de grand-chose si ce n’est ses séances de kinésithérapie.

Mathangi avait apprécié ce bref échange qu’elle avait pu avoir lors de sa première visite chez ses nouvelles colocataires, parler à du monde lui avait fait beaucoup de bien. Devant la porte de l’appartement, elle espérait que le ressenti qu’avaient pu avoir les deux blondes à son égard était au moins positif. Elle trouva réponse à sa question à travers une bête constatation : si ce n’était pas le cas, elle ne serait pas là, à tendre le bras pour appuyer sur la sonnette. Elle sortit son plus grand sourire lorsque la porte s’ouvrit face à elle et ne cacha pas sa surprise face à l’affection avec laquelle Maya la salua. Elle lâcha cependant la poignée de sa valise pour se prendre au jeu et lui rendit son étreinte. Lorsque enfin elles s’éloignèrent l’une de l’autre, Mathangi inclina la tête face au compliment que lui adressa sa nouvelle colocataire, la plus bavarde des deux. Merci Mad-… Maya. Je n’y arrives pas encore. Moi aussi je suis contente de te voir. Oh oui, qu’elle l’était. Mais la question que posa ensuite la blonde eu l’effet d’une claque pour Mathangi. Elle n’avait pas pris sa  béquille, ce qui était peut-être une mauvaise idée pour quelqu’un qui s’apprêtait à vivre un déménagement, car convaincue qu’il fallait que le nouveau trio s’habitue au fait qu’elle ne l’utilise jamais lorsqu’elle est chez elle. Un conseil de sa kiné, et elle les suit toujours à la lettre. Elle baissa donc simplement les yeux vers sa jambe, avant de murmurer avec un semblant de gêne et un petit côté enfant mignon. Je ne peux pas vraiment conduire, Madame Schepper. J’ai réussi à m’arranger  avec une amie, elle a déposé mes cartons juste devant avant de filer au travail. Mais ça m’embête que ce soit toi qui te retrouves à faire le sale boulot… Je vais faire ce que je peux pour t’aider, d’accord ? On ira quand même plus vite. Oh, et j’ai commandé un lit et une armoire, ils doivent être livrés dans la journée alors j’ai préféré mettre ton adresse. Ça ne te dérange pas, j’espère ? Elle avait tout fait pour paraître sincère, elle ne voulait pas donner l’impression de se moquer du monde et n’était pas non plus du genre à s’imposer.

Mathangi laissa sa valise dans l’entrée de l’appartement. Elle s’était également débarrassée de sa veste en prenant soin de récupérer la paire de solaires qu’elle avait fourrée dans la poche. Elle leva les yeux vers Maya lorsque celle-ci lui proposa de lancer les hostilités, arqua un sourcil lorsqu’elle prononça « Ma » et éclata de rire lorsqu’elle s’assura que ce n’était pas déplacé. Appelles-moi comme tu veux, Maya. C’est la première fois qu’on m’appelle Ma, mais c’est toujours plus simple que mon nom. Et ce n’est pas choquant, c’est toujours difficile pour tout le monde. Elle mis ses lunettes sur le bout de son nez et rentra les bords de son t-shirt dans son jean en signe de préparation pour les efforts qui s’annonçaient.

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyJeu 11 Juil - 22:19

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Mathangi & Maya
Maya et Jenny avaient pris du temps pour trouver une colocataire digne de ce nom. Elles n’avaient pas choisi n’importe qui est Maya avait fait particulièrement attention à ne pas tomber sur quelqu’un incapable de payer le loyer.

Elle n’avait pas de soucis financiers, mais elle ne voulait pas héberger quelqu’un gratuitement. Son appartement était certes à elle, mais elle devait payer l’eau et toutes les autres charges. Payer la consommation des autres colocataires n’était pas son délire, chacun devait assumer sa part. Elle n’avait pas le temps de materner ses colocataires, elle avait une bonne relation avec Jenny parce qu’elle se débrouillait par elle-même. Et aussi parce que sa copine de cheveux était sympa et que les deux jeunes femmes s’étaient tout de suite bien entendu.

Pour Maya, la complicité qu’elle avait avec sa ou son futur colocataire était très importante. Elle allait vivre avec cette personne et elle devait bien s’entendre si elle ne voulait pas que la situation devienne catastrophique. Les deux jeunes femmes avaient finalement trouvé leur bonheur et Mathangi devait venir aujourd’hui s’installer. Maya l’attendait avec impatience ayant eu un très bon feeling avec cette dernière. Et elle espérait construire avec la jeune femme une relation aussi forte que celle qu’elle pouvait avoir avec Jenny.

Sa troisième colocataire finit par arriver et faillit l’appeler à nouveau Madame Schepper se retenant au dernier moment. Mais son habitude de l’appeler par son nom de famille revient bien vite et la brune en face d’elle commença à lui faire tout un discours lui demandant en autres si son handicap ne la dérangeait pas. Pour commencer, appelle-moi Maya. Madame Schepper est le nom de ma mère. Sauf si c’est une tradition familiale ou une coutume dans ta famille ? Si ce n’est pas le cas, fait comme tu le sens finalement. Et ne t’inquiète pas, tu as ta place ici. Détends-toi profite. Tu es chez toi, dans ton appart avec deux colocs complètement folles.

Tant que tu ne fais pas venir de drogue ou d’objets illégaux ou d’animaux dangereux, tu peux faire tout livrer ici. Tu peux décorer ta chambre comme tu le sens, mettre les meubles que tu veux. En dehors de la chambre de Jenny et de la mienne, tu peux aller partout, installer tout ce que tu veux tant que ce n’est pas dangereux.
Elle lui fit un sourire avant de la prendre dans ses bras espérant la rassurer. On est tranquille dans cette coloc et j’aime faire des câlins. Dis-moi si ça te dérange.

Elle adressa un dernier sourire rassurant à sa future amie espérant l’avoir convaincu. Elle finit par évoquer le boulot qui les attendait et fut rassurer en voyant que Ma avait l’air motiver. Certes elle n’allait pas pouvoir faire tout et n’importe quoi avec son handicap, mais au moins elle ne restait pas les mains dans les poches.

La blonde sortit de l’appartement et appela l’ascenseur parlant du surnom et d’un détail auquel elle venait de penser. Parfait pour le surnom. Ce n’est pas que ton prénom est compliqué, il est juste long. Et j’aime faire court étant hyperactive, j’ai tendance à parler beaucoup et bouger beaucoup. Et je pense à autre chose, j’ai fait installer quelques trucs pour aider Jenny avec son handicap, donc si on peut faire un truc dans l’appart pour toi, hésite pas.

Il y a déjà un ascenseur comme tu peux le voir, je ne sais pas s’il te faut des trucs spécifiques ? Une salle de bain aménagé ? Je ne sais pas si tu as vu, mais nous avons une lumière à l’entrée, c’est pour que Jenny sache quand ça sonne. C’est relié aux lumières de l’appartement et à un dispositif que Jenny t’expliquera. Donc si les lumières s’allument puis s’éteignent immédiatement, c’est que quelqu’un sonne. Bon tu l’entendras toi.
Elle termina sa phrase en rentrant dans l’ascenseur avant d’arriver en bas. On met tout dans l’ascenseur si ça rentre ?

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyMar 23 Juil - 9:27

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Maya & Mathangi
Plus les minutes passaient dans l’appartement, et plus Mathangi se confortait à l’idée qu’elle avait fait le bon choix en venant frapper chez les deux blondes. Oh bien sûr, elle aurait pu se trouver un petit coin de paradis rien qu’à elle, un truc assez bien placé et pas trop hors de prix, mais ce n’est pas ce qu’elle voulait. Elle espérait avoir quelqu’un avec qui passer de bons moments, qui soit toujours à proximité en cas de pépin et qui lui permettrait de renouer lentement mais sûrement avec le monde civilisé, le vrai. C’était désormais chose faite avec Maya et Jenny, et Mathangi comptait bien leur rendre toute l’affection que les deux lui avaient offerte jusqu’à maintenant.

Mathangi avait cette difficulté à se détacher de formes de politesses un peu trop pompeuses lors de ses échanges avec des inconnus. Elle allait bien finir par arrêter d’appeler Maya par son nom, mais il lui faudrait probablement un petit peu de temps pour ça. En attendant, c’est la blonde qui l’invita à se contenter de Maya, avant d’interroger l’indienne à propos de ses traditions, ses coutumes. Petit ricanement, puis grand sourire de la part de la brune. Je suis très attachée à mes coutumes, j’essaye de les appliquer à la lettre, mais… Non, il n’est écrit nul part en Inde que Maya devrait être appelée Madame Schepper, alors je vais faire attention. C’est gentil en tout cas, il y a longtemps que je ne me suis pas sentie chez moi comme ça. Ça doit être le côté complètement folles, je sais pas.

Mathangi écoutait attentivement les instructions de la maîtresse de la maison en hochant lentement la tête, à défaut de prendre des notes sur son portable. Enfin, lorsqu’elle eut finit, Mathangi pris une grande inspiration avant de récapituler. Pas de drogues, de flingues, d’argent sale ni d’animaux dangereux. Et mon tigre alors, je le mets où ? Plus sérieusement, c’est très clair. Je ne ramènerais rien de tout ça, je suis quelqu’un de clean. Mathangi fut surprise de plus belle lorsque Maya la pris dans ses bras pour la deuxième fois. Elle semblait avoir le contact facile, et ce n’était pas désagréable. Mathangi se prêta au jeu. Non, c’est… c’est super.

Maintenant, il était temps de se mettre au boulot : Mathangi n’était pas venue avec des centaines de cartons, mais elle n’était pas non plus décidée à laisser Maya faire tout le sale boulot. Ce n’est pas comme ça qu’on l’avait éduquée, et elle ressentait le besoin de défier sa patte folle, de se prouver à elle-même qu’elle était capable de surmonter cette épreuve de la vie sans jouer l’inspectrice des travaux finis. Elle suivit Maya en dehors de l’appartement, patienta sagement jusqu’à la montée de l’ascenseur avec elle. Pendant ce temps, elles se décidèrent sur un surnom qui conviendrait à Mathangi. J’ai cru remarquer. Ça va me changer, tu dois sûrement être la petite tornade de la colocation ? Non, l’indienne n’avait pas raté le caractère ultra-dynamique de sa nouvelle colocataire, mais elle n’était pas non plus contre l’idée. Et puis, tout le monde ne décide pas d’être hyperactif du jour au lendemain, n’est-ce pas ?

Oh, tu sais… C’est vraiment gentil, mais je ne sais pas si c’est vraiment nécessaire d’en faire autant. La baignoire n’a pas l’air très très haute, alors ça devrait aller, et pour le reste… j’essaye de me déplacer sans béquille quand je suis à l’intérieur, ma kiné me répètes que c’est bon pour ma jambe. Reçu cinq sur cinq pour la sonnette, c’est touchant de ta part. Je ne me cacherais pas derrière le canapé en pensant qu’il y a un explosif dans l’appart’ si jamais ça se met à clignoter, au moins. Mathangi laissa échapper un petit rire, même si sa pointe d’humour était un peu douteuse, en rentrant dans l’ascenseur avec Maya. Je pense que ça va le faire. Je te le dis, je ne suis pas venue très très chargée, il ne me restait plus grand-chose ici après mon départ. Ça devrait passer sans problèmes. Je crois.

Mathangi retrouva sa petite pile de cartons devant l’appartement, ainsi que quelques sacs. Voilà. Tout est là. Elle commença à se charger de quelques affaires avant de se poster sur le seuil. Et Jenny, alors ? Est-ce qu’elle est au travail ? D’ailleurs, qu’est-ce que vous faites dans la vie toutes les deux ? Je ne vous ai pas demandées la dernière fois.  

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyDim 8 Sep - 18:19

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Mathangi & Maya
Maya ne savait pas tout, elle ne voulait pas vexer sa nouvelle colocataire. Elle n’était jamais allée en Inde et ne connaissait pas forcément les cultures et traditions des autres pays. Elle avait hâte de vivre avec sa nouvelle colocataire, pour apprendre à la connaitre de façon plus précise et créer un lien unique. Maya espérait sincèrement que sa nouvelle colocataire allait rester de longues années avec elles. Les deux blondes avaient connu plusieurs départs et chaque départ était douloureux. Les deux jeunes femmes s’attachaient finalement pour rien vu qu’elles n’avaient pas forcément de nouvelles après le départ des anciens colocataires.

Mathangi la rassura rapidement en lui affirmant que ce n’était pas une tradition de son pays d’origine. Je suis soulagée, Madame Schepper est ma mère. Surtout que j’ai l’impression de me prendre vingt ans dans les dents. Elle fit un clin d’œil à sa nouvelle colocataire. Je suis contente de savoir que tu nous aimes déjà, on est formidable je sais. Elle fit semblant de prendre la grosse tête. Parce que bien entendu, elle n’en pensait pas une miette, elle était certainement plus folle que formidable. De toute façon, soit Mama allait l’aimer, soit elle allait la détester et partir. Maya n’avait plus qu’à attendre quelques semaines ou mois.


Pour poursuivre la conversation, elle énonça les rares règles à sa nouvelle colocataire. Elle ne voulait pas vraiment une descente de police dans son appartement parce que sa colocataire trempait dans des affaires louches ou faisait pousser de la drogue dans sa chambre. La réponse de Mathangi la fit rire et la blonde réagit également sur le ton de l’humour. Un tigre ? Écoute s’il est sage, tu peux le garder. On économisera de l’argent sur l’alarme. L’appartement était bien entendu sous alarme, malgré que le quartier ne craigne pas, la blonde ne pouvait pas laisser son appartement sans surveillance. Certains de ces meubles valaient une fortune tout comme les appareils électroniques que les colocataires possédaient.

Maya pourrait se les racheter sans aucun problème, mais elle aimerait éviter qu’un étranger ou une étrangère viole son intimité. Surtout qu’elle avait également les projets de ses clients dans sa chambre, ça l’embêterait de voir ces projets dans la nature ou même sur la peau de personne dont ce n’était pas l’idée de base. Maya avait donc installé rapidement une alarme assez performante. Elle continua la conversation en prenant sa nouvelle colocataire dans ses bras puis en prenant l’ascenseur avec cette dernière. Je suis atteinte d’hyper activité. Normalement j’ai un traitement, mais il me shoote dans je ne le prends pas tout le temps.

Les deux jeunes femmes atteignirent la rue prête à monter les rares affaires de la jeune femme. Comme dit, pour la baignoire tu peux me le signaler, je pourrais te mettre une porte ou autres. Elle fit un sourire à Mama avant de porter plusieurs sacs à son tour. Je te propose de tout rentrer dans l’immeuble puis de monter les affaires au fur et à mesure ? Il n’y a pas trop de vol dans le quartier, mais sait-on jamais.

Elle attendit que Mathangi soit d’accord avec son idée avant de se remettre en route vers l’entrée. Jenny est danseuse et effectivement elle travaille aujourd’hui. Me concernant, je suis tatoueuse, j’ai mon propre salon au centre-ville. Je pourrais te faire visiter si tu veux ? Tu pourras également voir danser Jenny un jour si tu veux. Je crois qu’elle va bientôt faire un nouveau spectacle, on pourrait jouer le jeu des fans énamourés. Malgré qu’elle n’entendra pas nos cris d’amour. Elle fit un clin d’œil à Mama fière de son idée.

B-Ever


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Désolé du délai, j'étais en vacance.


Dernière édition par Maya Schepper le Mar 22 Oct - 20:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyLun 30 Sep - 11:48

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Maya & Mathangi
Au moins, on pouvait dire que la glace était brisée maintenant. Vue l’insistance que Maya avait exprimée lorsqu’il s’agissait de se faire appeler par son prénom, Mathangi ne s’y reprendrait probablement plus jamais à deux fois. Maya ce sera. Et puis, elle avait raison : Madame Schepper, ça donnait quand même l’impression de porter le poids des âges, et ça, c’était pas forcément rigolo. Enfin, toujours est-il que la blonde enchaîna sur un lancer de fleurs qui prêta à sourire, et même si Maya exagérait un peu les choses, Mathangi n’en pensait pour l’instant pas vraiment moins.

- Vous avez l’air formidables, en tout cas. J’espère que tout va bien se passer. Même si il n’y a pas de raisons que ça se passe mal, on a l’air plutôt d’accord sur pas mal de choses. Et je suis sûre qu’on va se trouver un paquet de centres d’intérêts.

Elle adressa un clin d’œil à Maya, comme pour souligner ses dires. En attendant de se motiver pour aller chercher les affaires de l’indienne, elles repassèrent par l’étape explication des règles, ce qui fit rire Mathangi tout en lui donnant une drôle d’impression d’habiter dans un poste de contrôle de douane. Mais Maya est ok pour le tigre, alors encore une fois, elle n’a rien à redire. Maya avait l’air à cheval sur la sécurité, ce qui laissa Dhury assez songeuse. C’est vrai, ce sont des installations parfois coûteuses : est-ce que Center Bay serait devenu une no-go zone pendant son départ ? Il faudra qu’elle en parle à la proprio.

La facilité avec laquelle Maya pouvait créer un contact physique était assez déconcertante, mais faisait pourtant un bien fou. Elle ne saurait dire depuis combien de semaines on ne l’avait pas prise dans ses bras, mais elle ne troquerait ça pour rien au monde. Elle hésita même à en redemander, tiens. Dans l’ascenseur, elle apprend que Maya est une hyper active, pas de ceux qui aiment faire cent-cinquante trucs à la fois simplement parce qu’ils sont stressés pour un rien, mais une vraie hyper active. Elle n’y connaissait pas grand-chose la Dhury, mais elle se demanda quand-même quel pouvait être l’intérêt d’un traitement si il vous mettait dans un état complètement inverse à l’autre.

Enfin, elles arrivèrent dans la rue pour récupérer les affaires de la nouvelle colocataire. Maya insista sur le fait qu’il était possible d’aménager l’appartement pour sa jambe, comme il avait pu être aménagé pour Jenny. Elle hocha lentement la tête, avant de se pincer les lèvres.

- C’est vraiment très gentil, Maya, mais ça me gêne. Je te jure que ça va aller, ne t’embêtes pas avec tout ça.

Puis, Maya partagea son plan en ce qui concerne toutes les affaires à monter, apprenant en même temps à Mathangi que le quartier n’était pas trop craignos, contrairement à ce qu’elle avait pu penser plus tôt.

- C’est tip-top, on a qu’à faire ça. De toutes façons, il n’y a pas grand-chose à voler, tu sais.

Ainsi, les deux se mirent à rentrer les affaires de l’indienne dans le hall, ainsi que quelques cartons avec lesquels elle était arrivée. Cette idée diabolique de fans énamourés la fit rire aux éclats.

- C’est une idée géniale. J’espère que ça ne la déstabilisera pas, quand-même, mais c’est génial ! C’est cool que vous soyez aussi proches, en général quand on entend parler de colocations, on s’imagine surtout des gens qui se croisent et qui mangent ensemble une fois par-ci par-là. Je dois vraiment être bien tombée. Et puis, ça vous permettra de goûter indien, vous allez devenir accros.

Elle poussa quelques cartons dans l’ascenseur avec elle et s’assit sur l’un d’eux en attendant Maya.

- Tatoueuse, alors ? C’est super, et c’est gentil de me proposer de visiter. Je ne veux pas déranger.  

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyMar 22 Oct - 20:59

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Mathangi & Maya
Mais nous sommes les meilleures colocataires au monde, il n’y a aucune raison pour que ça se passe mal. Tu vas vite finir par tomber amoureuse de nous et ne plus vouloir nous quitter. De toute façon, je sens que l’on finirait par te l’interdire. Tu vas devoir rester jusqu’à la fin de ta vie. Maya termina sa phrase par un clin d’œil montrant par cet acte qu’elle ne parlait pas sérieusement. Elle ne voulait pas que sa nouvelle colocataire se vexe déjà. Parce qu’il y allait peut-être avoir des conflits entre elles, lorsque trois êtres humains tous différents vivaient ensemble, il y avait forcément des conflits. Jenny et Maya n’étaient pas d’accord sur tout et elles se disputaient parfois. Ce n’était jamais violent, des conflits du quotidien pour des broutilles.

Des conflits qui ne duraient jamais longtemps et qui finissaient par disparaître aussi vite qu’ils étaient arrivés. Mathangi et Maya parlèrent des installations éventuelles à faire pour la jambe de la jeune femme puis elles commencèrent à se diriger en bas de l’immeuble. Comme elle l’avait annoncé, sa nouvelle colocataire n’avait pas beaucoup de bien. Maya suggéra l’idée de mettre tous les cartons et autres meubles dans le hall puis de monter tout au fur et à mesure ce que Ma accepta rapidement.


Une fois ceci fait, la blonde se redressa et appuya sur le bouton de l’ascenseur pour que ce dernier vienne en bas tout en parlant de Jenny. Je savais que mon plan diabolique allait te plaire. Et rien ne peut déstabiliser Jenny lorsqu’elle danse, sauf si je lui saute dessus. Ce que je n’ai jamais fait, malgré que l’idée soit dans un coin de ma tête. Mais je ne veux pas la blesser inutilement non plus, comme je te l’ai dit avant, le quartier est très calme. Nous n’avons pas de voleurs ou d’agression, inutile de faire un œil au beurre noir à Jenny qu’elle n’aurait pas eu sans mon aide.

Je suis la plus grande menace du quartier, enfin surtout vis-à-vis de Jenny, sinon j’inspire autant la peur qu’un chaton. Elle finit sa phrase en commençant à mettre les cartons de la jeune femme dans l’ascenseur le bloquant afin de le remplir au maximum. Je te propose que l’une d’entre nous monte pour récupérer les affaires pendant que l’autre reste ici. Ou alors on met tout dedans, mais j’ai peur qu’on atteigne le poids maximum. Après si on met juste tes cartons, tu peux monter avec et moi je monte à pied avec le reste. Comme ça je t’attends en haut, on vide et on redescend ?

Elle n’était pas certaine que son idée allait fonctionner, mais elle était ouverte à toutes autres propositions. Les jeunes femmes finirent par trouver une solution qui allait convenir à tout le monde. Les affaires montées, Maya souffla un bon coup avant de reprendre la parole. Voilà ! J’espère que j’aurais le droit à un plat indien en exclusivité. Je mange vegan pour info. Elle fit un clin d’œil à sa nouvelle coloc avant de prendre un carton au hasard et de l’emmener en plein milieu du salon. Et pour la visite dans mon salon de tatouage, tu passes quand tu veux. Et si tu as un projet, n’hésite pas à en discuter avec moi. Sur ces belles paroles, elle continua sa lourde besogne essayant de faire rentrer tous les cartons dans le salon ne sachant pas comment la brune voulait les installer dans sa chambre.

Tu peux laisser des trucs dans les autres pièces si tu veux, nous avons plein de bordel un peu partout, des affaires en commun avec le temps. On devrait étiqueter nos fringues comme les gosses. Maya avait certainement des affaires de Jenny et réciproquement. La blonde avait plusieurs sweats surdimensionnés ou d’autres affaires trop larges pour elle qui pouvaient convenir également à la silhouette de ses colocataires.

B-Ever


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Dernière édition par Maya Schepper le Mer 18 Déc - 22:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyJeu 5 Déc - 21:06

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Maya & Mathangi
Les échanges de politesse avec Maya – tout comme avec Jenny, d’ailleurs – avaient été rapides lors de leur première rencontre : Mathangi avait absolument besoin d’un logement, faute de quoi elle serait forcée de passer quelques nuits entre deux poubelles, et à ce moment là, les deux blondes étaient la représentation la plus proche du plan parfait qu’elle ai pu trouver. Si il y a bien deux choses qu’elle a retenue de la propriétaire par le biais de l’entretien qu’elle a subi avant d’être intégrée à la colocation, c’est cette facilité qu’à la tatoueuse pour mettre les gens à l’aise ainsi que son très très très grand débit de parole. Mathangi en prenait de plus en plus conscience alors qu’elle l’écoutait attentivement parler. Heureusement, elle gardait malgré tout un bon sentiment à l’égard de ce moulin à parole.

- Jusqu’à la fin de ma vie ? Tu sais vendre le projet, mais c’est assez tentant. Je suis pas du genre à vivre dans le noir, dans le fond de ma caverne, et à grogner dès que quelqu’un essaye ne serait-ce que d’ouvrir la porte.

Et puis, les gens comme ça ne s’installent probablement pas en colocation. Ce serait se faire du mal bêtement. Enfin, toujours est-il que Mathangi la sentait bien cette colocation, de mieux en mieux même. Tandis qu’elles patientaient jusqu’à l’arrivée de l’ascenseur, l’indienne en profita pour questionner un peu son interlocutrice à propos de Jenny, colocataire dont elle n’avait pas encore vraiment eue l’occasion de faire la connaissance parce qu’il était avant tout nécessaire de parler d’emménagement, et aussi parce que Mathangi ne s’attendait pas à tomber sur une sourde-muette, ce qui la déstabilisa tout de même un peu. En espérant que ça ne se soit pas trop vu. C’est par le biais de Maya qu’elle en apprend un peu plus à son sujet, et elles en profitent même pour mettre au point une sorte de « prank » - c’est l’idée qu’elle en avait en tout cas – qui n’est pas sans mettre Mathangi en confiance vis-à-vis de l’ambiance bon enfant qui règne au sein de la colocation.

- Cool. Pas d’œil au beurre noir par ici, donc ? C’est pas comme si Island Bay était réputée pour être une zone de guerre, de toutes façons. Même si… il y a eu des cambriolages l’an dernier, non ? Je crois avoir entendu parler d’un truc, dans le genre. Je dis peut-être n’importe quoi.

Elle était bien loin de son chez-elle à cette période, et c’est pourquoi l’historique de sa communauté lui paraissait encore un peu flou : depuis son retour, elle n’avait eue que des bribes d’explications par-ci par-là. Maya lui propose de monter avec l’ascenseur tandis qu’elle prendrait les escaliers pour l’attendre en haut. C’était si gentiment proposé que Mathangi se retint de lui rappeler que l’ascenseur serait probablement en haut avant elle. Elle hocha la tête, comme pour accepter.

- C’est gentil. On fait ça, alors. Je reste sur mon trône de fer jusqu’en haut.

Elle leva les mains en mettant en lumière le carton sur lequel elle s’était installée. Puis, une fois Maya en route, elle se pencha pour appuyer sur le bouton qui la mènerait au bon étage.

Voilà le barda de Mathangi stocké dans l’entrée de l’appartement, un petit exploit qu’elle n’aurait probablement pas pu accomplir seule. Alors, lorsque Maya annonce espérer un plat typique en gage de gratitude, l’indienne se voit mal le lui refuser. Et le fait qu’elle soit vegan rajoute un peu de challenge, ce qui n’est pas non plus pour lui déplaire.

- Je vais te trouver un petit quelque chose, tu vas en redemander.

Elle hocha également la tête lorsque Maya l’invita à passer au salon. Tout comme elle se retint de dire quoi que ce soit lorsqu’elles parlèrent d’un potentiel projet – Mathangi avait bien des tatouages, mais elle les considérait surtout comme des bêtises d’ado et ne voulait pas réitérer l’expérience de si tôt. Elle aida Maya à emmener les cartons, tout en se demandant comment elle allait pouvoir agencer tout ça dans la chambre. D’autant plus que ses meubles devaient encore lui être livrés dans la journée. Pour le coup, la proposition de stocker dans le reste de l’appartement lancée par Maya l’arrangeait bien.

- C’est ce que je vais faire pour l’instant, alors. Tout est allé super vite, c’est encore un peu flou dans ma tête alors… je pense que je réfléchirais à la façon dont je vais arranger tout ça quand je serais un peu plus reposée.   

B-Ever


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MessageSujet: Re: Déménagement feat Mathangi Chowdhury (#)   Déménagement feat  Mathangi Chowdhury EmptyMer 18 Déc - 22:15

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Mathangi & Maya
Maya savait pertinemment que son débit de parole pouvait être source d’agaçant chez certaines personnes, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle aimait parler et elle avait toujours quelques choses à dire. Puis elle était hyperactive donc elle ne pouvait pas s’en empêcher. De toute manière, si on ne pouvait pas l’accepter comme elle était, elle préférait encore que la personne ne fasse pas partie de sa vie. Elle avait trop souffert suite à l’abandon de son frère et elle ne voulait pas retenter l’expérience. Certes il ne l’avait pas abandonné contre son gré, mais la blonde l’avait quand même vécu comme un abandon de sa part. Les gens partaient donc avant que Maya ne puisse s’attacher à eux et ce n’était pas plus mal.

T’inquiète Jenny et moi on maîtrise les bêtes sauvages. On serait venue dans ta grotte quand même, on est un peu chiante surtout moi. Mais pas intrusive, on ne rentre pas dans les chambres de l’une ou de l’autre sans l’accord de la personne. C’est l’une des règles de la coloc, simplement pour respecter notre vie privée respective. Elle fit un sourire à sa nouvelle colocataire avant de descendre dans la rue et de reprendre la conversation sur les cambriolages.

Alors effectivement il y a eu des cas, mais rien de grave. C’est un quartier tranquille, que ce soit au niveau cambriolage ou bruit. Bon tu ne seras pas dans un monastère, mais jusqu’à maintenant il n’y a pas eu vraiment de tapage nocturne. Aucun voisin qui ne fait la fête jusque tôt le matin, pas de circulations intempestives. Le quartier est cool. Maya ponctua ses paroles d’un haussement d’épaules, elle voulait rassurer la jeune femme sans lui mentir non plus. Le quartier était bon et Maya avait dit la vérité sans enjoliver les choses. Ce n’était pas un coupe-gorge et ce n’était pas non plus une zone de fête.

La vie était tranquille dans cette rue et c’était bien pour ça que Maya avait choisi cet appartement. Elle aimait faire la fête, mais pas à côté de chez elle, elle aimait avoir sa vie tranquille et ne pas subir les nuisances sonores qu’elle-même produisait parfois lorsqu’elle était en soirée. Ce qui était d’un égoïsme sans nom, chose qu’elle n’allait peut-être pas révéler tout de suite à sa nouvelle colocataire. Elle ne voulait pas lui faire peur non plus, ni lui donner une image négative de sa petite personne.


Les affaires de la jeune femme en haut, la blonde demanda un repas typique en compensation avant de trimbaler les différentes boîtes dans la pièce adaptée. Pas de soucis, je te l’ai dit. Il y a de la place pour toi dans les différentes pièces, je me doute que tout ne rentrera pas dans la chambre, malgré la taille de cette dernière. Sans être le château de Versailles, l’appartement de Maya possédait de beaux volumes et de belles pièces. Suffisant pour vivre à plusieurs sans se marcher dessus puis elle ne voyait pas d’inconvénient à ce que les affaires de sa coloc traînent tant que ça ne devenait pas un foutoir complet.

Pour le moment, elle était tombée sur des gens respectueux qui certes s’étalaient dans les différentes pièces, mais dans le respect d’autrui. Les règles du lieu de vie ayant déjà été citées, Maya ne refit pas un discours à sa nouvelle colocataire, c’était de toute manière des règles de savoir-vivre que le commun des mortels possédait normalement.

Une fois les cartons dans la chambre, Maya se redressa avec une grimace avant de reprendre la parole. Je te propose de boire un truc pour fêter ça. Nous avons presque de tout, boissons chaudes, froides, avec alcool ou sans. Tu peux déballer le reste plus tard, tes meubles sont en kits ?

B-Ever


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