What is love? [Madison]

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Bien que ce soit l'hiver, j'ose encore profiter de la température clémente qu'offre ma chère ville de Wellington. En me réveillant ce matin, j'avais comme un gouffre au creux de mon ventre, de mon coeur même... Je sentais qu'il fallait que je parle à quelqu'un de ce mal-être qui me ronge depuis déjà 22 ans. La question qui s'est alors posée à moi est
* A qui puis-je parler de ce malaise?*
La première personne à laquelle j'ai pensé, c'est Sean, mais son coeur ne doit pas aller bien mieux que le mien. Ensuite, j'ai pensé à Avery, puis, en pensant à la tristesse de sa séparation avec mon frère, j'ai vite refoulé cette idée... C'est à ce moment que je me suis rendue compte d'un autre fait réel, je n'ai pas d'amie proche de mon âge à qui je sais que je peux me confier. En navigant dans mes contacts, j'ai trouvé celui de Madison et je me suis dit qu'elle pouvait être la clé qu'il me fallait...

Madison, cette adorable jeune femme que j'ai rencontré grâce à Avery. Elle est pétillante et a toujours le sourire. Oui! C'est elle la meilleure personne à qui je peux confier mon trouble. Enfin, c'est surtout la seule qui pourrait me conseiller au vue des histoires qui m'entourent.

J'arrive donc dans le parc et trouve un banc libre, un petit peu à l'écart. Je sais d'avance qu'elle va me trouver rapidement, puisque c'est toujours dans les environs que nous nous retrouvons pour des sessions de papotage. Je ferme les yeux un instant lorsqu'une voix familière me rappelle à la réalité.

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Madison* Debbie

J’étais en congé. On n’avait encore essaie de le faire. Mais chaque sa fonction pas, je voulais enfants. Je dois dire que je ne savais plus quoi faire du tout. Je me demande s’il se force vraiment quand on le faisait. Je le vis mettre son chandail et son pantalon. Je me demande ce qu’il fait.Je soupire et sors mon tour du lit.
Je suis sûre que tu fais force pasJ’étais convenu que c’était de sa faute. Je le regarde furieuse contre lui. Il sort de la chambre et je le fixe toujours du regard. J’enfile mes vêtements de la journée et le regarde descendre. En haut de l’escalier, je lui dis en colère.C’est ça va-t'en c’est tout ce que tu sais faire.

Puis j’entends mon portable sonner. Donc je retourne vers la chambre. Au moment , j’entendis la porte-claque. Il était encore sorti après notre dispute. Je l’aime tellement c’est sûr.. J’aimerais bien avoir un enfant. Je n’aime pas du tout être ainsi avec lui. Mais il avait le don de me mettre dans tous mes états. Je regarde qui m’a contacté . Et je vois que c'est jeune Sawyers. Je souris. Je lui texte que je m’en viens.J’enfile mon manteau , une tuque , un foulard chaud, des mitaine et paire de bottes. Puis je pars de chez moi. Je montai dans ma voiture. Puis je décide d’arrêter nous prendre un café . Je prends deux cafés pour apporte. Puis je stationne au parc. Et je marche dans la neige vers l’endroit où est-elle ma dis. Je la considère comme une petite sœur et je fais du mieux que je peux pour l’aider.
Bonjour! ma puce dis je. Avant donne un café. Je tes amener un café, mais comment je ne sais pas ce prend avec. Donc j'ai apporte du lait et du sucre dans mon sac a mainJe m’assois sur mon manteau. Je bus une gorgée de mon café. Il ne fait pas chaud dehors un bon café va me réchauffer un peu. Je me demande bien pourquoi elle m’avait fait venir ici. Si elle n’avait pas appelé, j’aurais sûrement utilisé ma conversation et ma dispute avec l’homme que j’aime. Je prends mon portable et le texte’’ je suis sortie au parc ce soir. Je veux aller au restaurant .’’ Je le range dans ma poche et me tourne vers elle.Tout va bien ma belle ? dis-je intriguer

(C) CANTARELLA.

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Toujours entrain de rêvasser, j'entends la voix familière de Madison, mais elle me semble vraiment très lointaine. Comme si mon esprit était entrain de vagabonder à cent milles lieues d'ici. Sortant de mon évasion d'esprit, j'aperçus le café chaud qu'elle me tendait. Coucou ma belle, merci beaucoup pour le café dis-je en souriant et surtout, en prenant le café fumant. C'est du Madison tout craché de penser à prendre de la crème et du sucre sur elle. En général, je le bois noir, sans rien, mais une petite voix me chuchota de prendre du sucre. Cela me ferait du bien Volontiers du sucre puisque tu en as pris Je bus rapidement une goutte et sa chaleur se répandit en moi comme une bougie qui était éteinte depuis longtemps.

Je sentis à la façon dont Madison me demanda si tout allait bien, qu'elle avait compris mon désarroi dans mon texto. Oui, ça va commençais-je à dire. Mais pourquoi donc essayais-je de lui mentir? Est-ce que je voulais me cacher la vérité à moi-même également? Je sentis les larmes me monter aux yeux et continua En fait, non, ça ne va pas si bien que ça... Je n'ai pas l'impression d'être normale. Sentimentalement parlant je veux dire Je la regarde timidement à travers les quelques larmes qui sont restées coincées au coin de mon oeil.

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