contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Assis sur ma chaise de bureau entrain de regarder mes papiers je laisse un long soupire m’échapper de mes lèvres en regardant les papiers qui se trouve sous mes yeux. Va réellement falloir que je me trouve quelqu’un qui puisse enfin m’aider pour ça en réalité. Mais qui ? Je ne sais pas trop. Je laisse tomber mon stylo sur le bureau, passe une main dans mes cheveux bien trop long, comme dirait ma fille “papa tu n’es pas beau avec ses cheveux comme ça.” Oui j’en rigole toujours quand elle me fait ça, mais en réalité, je n’ai pas spécialement le temps d’aller chez le barbier/coiffeur pour m’en occuper. Parce que ma barbe aussi est devenu trop importante. Je dépose mon regard sur ma salle. En observant le monde qui sont entrain de s’entraîner, je me dis à moi-même que, malgré tout, ma salle tourne plutôt bien. Je n’ai pas a me plaindre. Par moment j’ai l’envie de repartir à Los Angeles, mais je ne le fais pas. Dernièrement j’ai appris que la mère de ma fille était retourner là-bas mais surtout avait racheté notre ancienne maison. Cette maison, qui n’était pas donner pour le coup, mais surtout où j’avais tous mes souvenirs, des bons comme des mauvais en réalité. Ce n’est pas grave, le temps qu’elle ne nous retrouve pas, et qu’elle n’essaye pas de m’enlever ma fille. Ca m'est égale. Je viens m'étirer bruyamment, comme un ours, comme toujours en faite. Je laisse tomber les papiers pour le moment, j’avais besoin de bouger, mais aussi de me lever et me détendre les jambes. C’est au moment ou je me redresse sur mes jambes que je sens mon genou droit me tiré. Je grimace un peu, puis je viens forcé dessus. Comme toujours. Ce fameux genou ou j’ai reçu une balle en étant à l’armée. Je n’ai jamais cherché à savoir s’il restait des fragments ou non. De toute façon, à quoi bon ? J’ai tenu des années comme ça, alors je peux tenir longtemps. J’ai combattus à la boxe avec, je cours toujours autant. Donc ce n’est pas aujourd’hui que je vais m’inquiéter. Je sors de mon bureau que je ferme derrière moi. Descend les escaliers puis je rejoins la salle de sport. J’en vois qui s’entraîne au sac, des plus âgés mais aussi ceux qui on un peut d’expérience montre comment faire a des petits nouveaux. Ca me fait doucement sourire malgré moi, vue que oui, on peut apprendre malgré tout mais aussi on n’est pas toujours dans son petit coin a rien faire. Je savais très bien que je t’attendais. Tu m’avais demander de te donner des cours de self-défense et je n’ai pas du tout refuser. Ayant mon short de sport, qui m’arrive au milieu des genoux, sur moi avec mon débardeur je me balade doucement, saluant quelques personnes. Je vois très bien que les personnes sont ici pour se défouler, y en a qui on la passion mais aussi vous avez les cliché, ceux/celles qui sont là pour prendre des photos mais aussi pour montrer à tout le monde qui font du sport alors qu’ils passent plus de temps sur le téléphone qu’autre chose. Pour ce que l’on va faire, j’ai ma petite salle ou peu de monde peut voir à l’intérieur. Je préfère, comme ça, c’est plus simple. Alors que j’ouvre simplement la porte pour la préparer tout en chantonnant doucement. Je ne m’attendais pas a se que tu sois là aussi rapidement. C’est quand j’entends ta voix que je me relève puis je me retourne. « Salut Jody. » je dis calmement mais tout en souriant. Ca fait un petit temps que je te connais, mais aussi, je t’ai toujours apprécié. Tu m’as bien aider avec Sarah, mais aussi quand tu t’occupais d’Alya. Nos deux petites, celle de Roxanne et la mienne, était entre de bonne main. On est heureux de te savoir dans les parages mais aussi quand on peu t’aider on le fait avec plaisir. Comme moi, je le fais en te donnant des cours de selfs defences, bon même si ce n’est que le premier ce n’est pas grave. « Je finis de préparer la salle, au pire ce que je te conseille pour t’échauffer un peu c’est faire des étirements, et de faire quelques sauts à la corde ? » je dis en souriant, et ça me permettra de m’échauffer un peu aussi. « De toute façon les échauffements on va les faire ensemble. Ca ne me fera pas de mal a mon vieux corps. » je dis en riant doucement.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Dim 25 Aoû - 12:37
Faire du sport. Tout comme mon métier. C’est ma passion, ma drogue, je ne pourrais pas vivre sans. Tous les jours je suis debout aux aurores pour faire mon footing. Au bord de la plage ou en forêt suivant la saison. Depuis l’agression, j’ai besoin de me défouler encore plus pour évacuer toutes ces merdes qui me réveillent encore en pleine nuit. En ce moment c’est pire que tout. J’ai déménagé de chez mes parents et quitté mon cocon familial confortable pour emménager en collocation. Tess et Spencer m’ont accueillie à bras ouvert et je ne pouvais rêver mieux. Mais ce n’est pas la maison. Et je crois que j’ai encore un pied chez mes parents malgré tout. Pour changer de mon train-train quotidien, de temps en temps je vais rendre visite à Phoenix à sa salle de sport, pas que j’aime être enfermée et côtoyer tous ces m’as-tu-vu qui se prennent en photo pendant qu’ils font du sport mais rien que la présence de mon ami de longue date vaut le coup. Je vois la lumière de la petite salle du fond ouverte quand j’entre dans la salle et je trace direct vers l’endroit qui m’intéresse sans trop de regard aux autres sportifs présents dans la salle. — Salut Jody. — Salut ‘nix. Comment vas-tu ? Et ma Sarah, ma chipie d’amour, elle va bien ? Elle ne t’a pas dit que tu ressemble à son ours en peluche comme ça ? Je le charrie en chatouillant sa barbe et mes bras s’enroulent chaleureusement autour du cou de Phoenix. Sarah n’aime pas du tout quand son papa se néglige et moi non plus, je ne manque jamais de lui rappeler que sa petite princesse a bien raison. C’est toujours agréable de le retrouver même si en ce moment ces moments se font rares. Quand il m’a proposé de me donner des cours de self-défense la dernière fois quand je lui ai parlé de mon manque de confiance en moi, j’ai foncé. Sur le moment ça m’a paru la meilleure chose à faire pour évacuer. Mais quand il faut se jeter à l’eau, c’est différent et j’arrive à peine masquer ma nervosité. — Je finis de préparer la salle, au pire ce que je te conseille pour t’échauffer un peu c’est faire des étirements, et de faire quelques sauts à la corde ? Je hoche la tête en guise de réponse. Mettre mon corps en chauffe y a que ça que je connaisse pour tout oublier. Je suis venue directement habillée en tenue de sport et je commence par quelques flexions. Mes nerfs sont tellement à vif que l’effort ravive ma tension, j’ai besoin de cogner, d’évacuer toute cette rancœur, cette séance promet d’être intense. — De toute façon les échauffements on va les faire ensemble. Ça ne me fera pas de mal à mon vieux corps. Je lève les yeux au ciel. Vieux ? Tu parles. A 40 ans l’ex-boxeur et toujours plus endurant que moi, j’ai souvent du mal à le suivre et c’est pour ça que j’adore venir ici aussi souvent que je le peux, il m’aide à me dépasser. — Ton genoux te fait encore souffrir ? Si tu veux je regarde ça après la séance. Et puis je suis aussi venue avec mes aiguilles dans mon sac. Est-ce que la séance d’acupuncture t’avait fait du bien la dernière fois ? Le terme « aiguille » ferait fuir n’importe quelle personne saine d’esprit en temps normal. Mais Phoenix a l’habitude de me servir de cobaye pour les nouvelles médecines que j’expérimente sans cesse. Ca fait presque un an que j’ai suivi ces cours sur l’acuponcture chinoise et je ne le regrette pas, c’est vraiment une discipline fascinante et très complémentaire de mon activité de kinésithérapeute.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Jeu 29 Aoû - 16:52
Il est vrai que depuis que je suis tout jeune je n’ai jamais arrêter le sport mais même encore aujourd’hui je cours tout les jours, une à deux fois par jour en réalité. Même si par fois c’est pas simple pour moi avec Sarah, mais je n’hésite pas a y aller avec mon chien comme ça il m’entraîne pas mal pour ma course. En t’attendant je viens commencer à préparer la salle de sport, ça faisait un petit temps que je ne t’avais pas vue mais je sais très bien qu’avec tes cours, et tout le reste tu étais bien occuper et je te laisse vivre. Tu savais très bien qu’au moindre problème tu peux m’appeler et je rapplique rapidement. Chantonnant la musique qui passe dans la salle, je n’aime pas mettre la radio je trouve qu’il y a trop de pub. Alors je mets de vieux cd’s que j’ai depuis des années mais aussi par moment je mets une radio étrangère, principalement portugaise ou italienne ça dépend de mon humeur. Aujourd’hui c’est le ritale qui passe en fond. Quand je te vois je te salut. — Salut ‘nix. Comment vas-tu ? Et ma Sarah, ma chipie d’amour, elle va bien ? Elle ne t’a pas dit que tu ressemble à son ours en peluche comme ça ? Je plisse doucement les yeux, après t’avoir prit dans mes bras et je te laisse toucher ma grosse barbue mal taillé mais surtout pas raser d’un poil. « Ne me dit pas que tu as comploté avec Sarah avant de venir ? » je dis comme si je boudais, mais ce n’était pas le cas. Plusieurs fois vous avez été contre moi pour plusieurs choses, mes cheveux, ma barbe, ma tenue quand je rentre du sport, mais aussi par moment ma façon de manger. Je sais que j’ai l’impression d’avoir deux filles quand tu es avec nous mais ça ne me dérange pas. Pas du tout. C’est même amusant par moment. « Peut-être que ce soir je m’en occuperais, je ne sais pas, a moins que je la garde encore un peu pour vous embêter. » je dis en souriant. J’avais alors choisi la salle du fond pour qu’on puisse s’entraîner simplement, pour être à l’abri des regards de certain. Mais aussi c’est le coin ou généralement il y a les entraînements de boxe. Le ring au fond, les sacs de frappes pendu, avec les ballons… y a tout ce qu’il faut. Quand je vois que tu hoches la tête pour l’échauffement, je viens alors chercher quelques petits outils qui nous serviront. Mais je n’hésite pas à parler de mon vieux corps en même temps. En revenant vers toi, je te vois lever les yeux au ciel quand je dis ça. — Ton genoux te fait encore souffrir ? Si tu veux je regarde ça après la séance. Et puis je suis aussi venue avec mes aiguilles dans mon sac. Est-ce que la séance d’acupuncture t’avait fait du bien la dernière fois ? Pour beaucoup le fait de parler d’aiguille ça fait peur, mais j’ai tellement eu recours à certaines médecines quand j’étais boxeur que rien ne me fait peur. « Malheureusement oui, il recommence a me faire un peu mal... » je soupire doucement. « Plus que du bien même ! Et je ne dis pas a non a ce que tu me refasse une séance s’il te plait ! » j’ai toujours été un cobaye pour toi mais aussi ça ne me dérange pas que tu teste ça sur quelqu’un qui a un genou insoignable mais aussi qui n’arrive pas à arrêter la boxe donc qui prend des coups et s’échauffe mal la plupart du temps quand les cours commence. C’est pour ça qu’aujourd’hui je fais ça dans les règles. Étirement du dos, des bras, des jambes aussi. Une fois que c’est fait je vais chercher les cordes à sauté. « Un peu de cardio avant de commencer, normalement je dis à tout le monde une série de quarante saut à répéter cinq fois. Sauf que pour toi, tu en fera cinquante, cinq fois d’accord ? » Je te laisse la prendre puis je me mets à côté de toi. « Par contre, toujours tête, cou, tronc bien aligné, et les sauts c’est sur la pointe des pieds. faut que tu arrives a avoir un rythme régulier. Il faut que ça soit le tien de rythme et pas le mien d’accord. Et la pause entre, c'est d'une minute montre en main. » Tu sais que j’allais les faire en même temps que toi. « Avant que l’on parte là-dessus, après la corde, on commencera les choses sérieuses. Je vais voir comme tu frappes. » je dis dans un petit sourire. Je te regarde, voyant que tu te positionne bien et je lance le top départ pour commencer la première série.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Sam 31 Aoû - 15:50
Un petit rire s’échappe de mes lèvres. Ça fait du bien alors que j’ai eu une journée difficile. Un nouveau patient est arrivé aujourd’hui, un sportif de haut-niveau qui s’est blessé dans un accident de ski à Wanaka pendant de ses vacances. Les deux heures de séances ont été ardues et sa mauvaise humeur a entamé la mienne pour le reste de la journée. Et pour finir Roman a raté une de nos séances encore, je n’ai pas de ses nouvelles depuis plusieurs jours et je commence à être inquiète. Mais bref. Je ne suis pas là pour m’embrumer l’esprit avec tout ça. Je me concentre à nouveau sur l’instant présent pour profiter de ce moment avec Phoenix. — Ne me dit pas que tu as comploté avec Sarah avant de venir ? — Oui, oui parfaitement on complote toujours contre toi. C’est presque vrai puisque j’ai téléphoné chez Phoenix et Sarah pour le prévenir que j’aurai un peu de retard pour notre séance. Je suis tombée sur Sarah, son père était déjà parti et nous avons papoté quelques minutes. Elle m’a parlé de son nouvel amoureux, en chuchotant pour que sa baby-sitter ne l’entende pas. Elle m’a collé un sourire aux lèvres tellement qu’elle est mignonne. Elle me manque et je lui ai promis une soirée filles rien que nous deux très prochainement. — Peut-être que ce soir je m’en occuperai, je ne sais pas, à moins que je la garde encore un peu pour vous embêter. Ma langue tirée en guise de réponse, je commence à faire tourner ma tête et bouger les épaules pour m’échauffer avec un grand sourire taquin. J’adore Phoenix, malgré le fait qu’il aurait presque l’âge d’être mon père, il reste un grand gamin toujours prêt à blaguer. Quand je le vois avec sa fille, papa poule toujours à se plier en quatre pour elle, c’est toujours des grands moments de bonheur. — Malheureusement oui, il recommence à me faire un peu mal... Je lève les yeux au ciel plus pour la forme que pour de réelles remontrances, je sais que l’activité de coach est toute sa vie, comme la boxe l’été avant ça. C’est difficile dans ce métier de toujours bien s’échauffer, il doit être aux petits soins avec ses clients et s’occuper de lui-même passe au second plan. C’est pour ça que je n’hésite jamais quand je peux lui rendre la pareille. — Plus que du bien même ! Et je ne dis pas non à ce que tu me refasses une séance s’il te plait ! — Aucun soucis, tout à l’heure, après la sueur, c’est moi qui m’occupe de toi ! Je lui dois bien ça. Il est toujours là quand j’ai besoin. Et même bientôt peut-être nous serons amenés à nous voir plus souvent. Nous en avons discuté il y a quelques temps et l’idée commence à faire son bonhomme de chemin. L’année prochaine, quand j’aurais mon diplôme, Phoenix m’a proposé de me réserver un petit local dans sa salle pour ouvrir mon propre cabinet. Pratiquer l’activité que j’aime en étant indépendante et libre de mes méthodes me laisse rêveuse. En plus, la salle de sport de mon ami pourrait bien être l’endroit idéal, mais nous en discuterons plus tard. Place à l’action. — Un peu de cardio avant de commencer, normalement je dis à tout le monde une série de quarante sauts à répéter cinq fois. Sauf que pour toi, tu en feras cinquante, cinq fois d’accord ? » — J’ai droit au traitement spécial ? Fais gaffe, je pourrai bien me venger tout à l’heure moi aussi. Mais fini de plaisanter. Loin de me faire peur au contraire, je suis plus que contente de me dépasser. Il me tend une corde à sauter, une poignée dans chaque main, la corde derrière les pieds, je suis déjà prête à commencer écoutant attentivement ses instructions. — Par contre, toujours tête, cou, tronc bien aligné, et les sauts c’est sur la pointe des pieds. Faut que tu arrives à avoir un rythme régulier. Il faut que ça soit le tien de rythme et pas le mien d’accord. Et la pause entre, c'est d'une minute montre en main. Un hochement de tête pour lui signifier que j’ai compris. Concentrée et le regard droit, je suis déjà en mode machine de guerre. — Avant que l’on parte là-dessus, après la corde, on commencera les choses sérieuses. Je vais voir comme tu frappes. — Tant mieux… parce qu’après la journée que je viens de passer, j’ai bien besoin de me défouler. Le yoga et la course en bord de plage sont plutôt mes activités sportives habituelles. Je suis toujours heureuse d’essayer de nouvelles activités. Il suffit que Phoenix me parle de frapper sur quelque chose pour que ça déclenche encore plus de motivation pour la suite. Je commence l’exercice en gainant mes abdos, le dos bien droit comme il me l’a demandé, mon corps répond au quart de tour et ma tête se vide. La corde tourne autour de moi comme un halo de lumière qui passe et repasse devant mes yeux. Un… deux… trois… vingt… trente et un… quand j’arrive à cinquante je pourrais encore continuer mais je me force à marquer une pause pour ne pas m’épuiser d’un coup et pouvoir fournir un effort constant sur la durée. Phoenix finit lui aussi sa première série et je lui souris en écoutant la musique entrainante qui fait pulser l’adrénaline qui coure dans mes veines. — C’est tout ? C’était trop facile, on y retourne ? Mon souffle agité me trahit quand je parle, je balance les épaules, et les bras vers le sol en courbant mon dos pour détendre mon corps. Le coach va probablement me ménager encore moins après cette petite blague.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Sam 31 Aoû - 18:05
Il est vrai que j’ai toujours eu l’impression d’avoir deux filles quand vous êtes ensembles. — Oui, oui parfaitement on complote toujours contre toi. quand tu me dis ça je viens plisser des yeux en te regardant. Comme si j’allais me venger mais aussi que j’allais en préparer une pour Sarah, ce n’est jamais grave de toute façon, même si par moment avec ma fille on aime se faire des petites vengeance comme ça. Ca arrive souvent. C’est de là que je te dis que je vais peut-être m’en occuper ou pas du tout. Juste pour vous embêter tout les deux, mais aussi parce que j’aime quand ma fille râle quand je lui fais des bisous parce que je pique ou je ne sais trop quoi. En ce moment elle est avec sa nounou, même si pour l’instant on, Sarah et moi-même, n'arrivons pas a trouver une nounou correcte. Comme tu as pu l’être avec ma fille, mais aussi comme tu peux être simplement. Elle ne se confie pas comme tu le fais. Je sais que j’ai Roxanne et Alexie, mais elles aussi ont leur propre vie et doivent travailler. Mais ça m'embête de la laisser comme ça. Normalement ça aurait du être mon frère, mais tête de mule qu’il est mais surtout il est enfin retourner au centre ce n’est pas plus mal. Pour lui, nos parents mais aussi pour Sarah. C’est même elle qui lui a dit qu’il était moche, tout moue mais aussi qu’il puait l’alcool, un soir qu’il est rentré complètement drogué et bourré. Après ce petit taquinage je vois ton tirage de langue qui, oui me fait doucement rire. Ce n’est pas parce que j’ai quarante ans passés que je dois être le vieux con du quartier, si ? Je te laisse te réchauffer tout en discutant. Pour ma part je m’étire les jambes, c’est mon point faible malheureusement et je déclare mes douleurs récemments revenus. Ca me tire un peu aujourd’hui mais je fais avec en réalité. J’ai du faire un faux mouvement l’autre jour en m’entraînant avec un. Ou à courir dans la hauteur. Je reste bien trop actif que je devrais me calmer. Déjà que j’étais dans l’obligation de raccrocher les gangs pour ma fille. Alors le sport en lui même, comment l’arrêter. C’était impossible pour moi. — Aucun soucis, tout à l’heure, après la sueur, c’est moi qui m’occupe de toi ! Je souris doucement en hochant la tête de haut en bas. « Je ne dis jamais non. » je dis en riant doucement. Une personne rentrerais en entendant juste ses dernières paroles, ça lui paraîtrait louche. Mais ce n’est pas le cas. Je sais aussi que tu aimes ce que tu fais, et que je ferais tout pour t’aider comme rénover la dernière salle qui se trouve au fond et que je ne savais pas quoi en faire. J’avais tout, ma réserve pour tout ce qui est achat de serviette, de bouteil d’eau ou d’autre chose. Il me restait plus que cette pièce là je pensais condamné jusqu’au moment ou tu m’as parler de ton projet. Ce qui n’est pas plus mal en réalité, mais aussi ça me ferais plaisir que grâce à la salle ça puisse t’aider à évoluer dans ce que tu aimes. Alors que je viens te parler des choses sérieuses, le cardio, c’est le premier truc à faire. Mais aussi faire vraiment attention malgré tout. Ce n’est pas parce que tu vas courir des kilomètres que ce cardio là, sera bénéfique pour toi. — J’ai droit au traitement spécial ? Fais gaffe, je pourrai bien me venger tout à l’heure moi aussi. je ris doucement et te fais un non de la tête. « Simplement que ce n’est pas le même que la course. » Bien évidemment je te donne les instructions qu’il faut pour pouvoir faire de bon sauts mais aussi que tu ne te fasse pas de mal. Mais aussi une petite suite tu programmes qu’on fera. — Tant mieux… parce qu’après la journée que je viens de passer, j’ai bien besoin de me défouler. je plisse doucement des sourcils quand tu me dis ça, sauf que je vois que tu te concentre bien. Tu m’en parleras surement après, ou je te demanderais. Le top départ fait, j’enchaine un peu plus les sauts que toi. Une vieille habitude que je n’ai pas perdus à ce que je vois. Malgré tout j’en ai fais plus que toi, mais je ne voulais pas m’arrêter avant toi. Simplement parce que, je veux te montrer que je te suis, mais à un rythme plus rapide que toi. Dès que t’arrête, j'enclenche mon chronomètre sur ma montre d’une durer de une minute. — C’est tout ? C’était trop facile, on y retourne ? Je fais un non de la tête en te regardant, je pouvais entendre ton souffle. « Tu ne penses pas à souffler quand tu sautes. Faut que tu fasses le “petit chien” en même temps. Tu ne donnes pas assez d’air à tes poumons mais aussi tes organes vitaux ainsi que tes muscle. Pense à boire durant la pause, ça te ferait du bien. » je te dis en souriant doucement et te lance une bouteille d’eau que j’avais récupérer. Je l’ouvre et en bois une longue gorgée. Mais c’est clair que je ne te m'engagerais pas pour la suite. Je t’ai laissé boire, puis le bip de ma montre nous donne l’ordre de repartir sur la série. Une fois la deuxième finis, je refait la même pour mettre le chronomètre, je t’observe et je vois que tu m’écoutes, tu bois mais aussi que tu as souffler durant tes sauts régulier. Pour la dernière série je te regarde en souriant. «Pour celle-là, je sens qu’elle va être plus compliqué, mais... » j’ai un sourire un peu sadique aux lèvres. « Tu vas faire deux sauts sur une jambe, puis deux sur l’autre, tout en allant à cinquante. » Je t’avais rapidement montrer quand je t’explique la difficulté. Je peux sentir ton regard sur moi, mais j’ai toujours mon sourire sadique sur mes lèvres. Et de là, je lance le top départ. Bien évidemment je fais la même que toi, mais sans difficulté. Je m’entraîne toujours autant et je vois que ça ne me fait pas de mal...
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Dim 8 Sep - 17:52
Un instant avec Phoenix et je me sens déjà mieux. Il a cette force tranquille en lui qui me rassure. C’est peut-être pour cette raison que je n’étais pas venue le voir depuis plusieurs semaines, parce que je ne voulais pas, parce que je ne pouvais pas. Remonter la pente. Il a toujours un ascendant positif sur ma vie, sa fille Sarah est un amour et parler cinq minutes avec elle suffit à me coller des papillons de bonheur dans le ventre. Maintenant et plus que jamais, je sais depuis l’agression qu’il faut que je me raccroche à la vie et à toutes ces choses qui me font avancer. Il faudra que me pose plus sérieusement avec Phoenix une prochaine fois, pour qu’on parle business. La fin de mon cursus va arriver plus vite que je ne le crois. A la fin de l’année. Plus j’y pense, plus ouvrir mon propre cabinet avec mes propres règles me semble la solution idéale. Mais pour ça il faut que je sois sûre qu’il me fasse confiance, comme une partenaire d’affaire et pas comme sa deuxième fille. Je dois faire mes preuves et je ne manque jamais une occasion de lui prouver. — Je ne dis jamais non. Sa réaction comme à chaque fois me conforte dans mon projet et je ne peux m’empêcher de sourire. — Ca tombe bien parce que j’ai encore une nouvelle technique à te faire essayer. C’est un peu comme l’acuponcture, mais sans les aiguilles. Ça stimule les méridiens de notre corps pour revenir à l’équilibre. C’est très efficace sur les douleurs chroniques ou fantômes parce qu’on fait un travail sur l’harmonie de tout le corps en plus de la zone endolorie. Lancez-moi sur le sujet et on ne m’arrête plus quand il s’agit de ma passion, mon métier. La plupart des gens de mon entourage professionnel sont trop cartésiens et on m’a rapidement conseillé ne pas parler au centre de rééducation de ce genre de médecines, disons parallèles, pour ne pas dire charlatan dans leur langage à eux. Même si parfois je les applique sans rien dire dans mes massages en séance. Phoenix lui est toujours ouvert et je sais qu’il prête toujours attention aux techniques de bien-être du corps que je lui propose. Après tout c’est son métier aussi. Il prend ça très au sérieux. Et il n’est pas dupe de ma petite blague. — Simplement que ce n’est pas la même que la course. Oui effectivement. Le cardio ce n’est pas la même affaire. C’est PIRE. Aujourd’hui ma concentration n’est pas au top, dès la première série, je sens que je m’épuise et que ce n’est pas normal, d’habitude je parcoure la place en long et en large avant d’arriver à ce point de non-retour où mon souffle s’affole, mes muscles s’engourdissent. Y a pas à dire je suis accro à cette sensation. Mon esprit oublie tout quand c’est comme ça. Seulement là, on est beaucoup trop tôt dans l’exercice pour que ça me procure cette sensation où les endorphines comme une drogue me font planer. Tout ce que je ressens c’est de la frustration. J’ai beau tenter de narguer Phoenix, il n’est pas dupe. Quand il me lance une bouteille d’eau comme on lance une bouée à un homme à la mer, je suis en nage. — Faut que tu fasses le “petit chien” en même temps. Tu ne donnes pas assez d’air à tes poumons mais aussi tes organes vitaux ainsi que tes muscles. Pense à boire durant la pause, ça te ferait du bien. Je hoche la tête le souffle coupé. Je sais qu’il a raison et ça me met en colère. Respirer un grand coup et reporter ma rage sur l’exercice suivant. C’est tout ce qu’il me reste à faire. — Merci… Avoir tort, être prise en faute, j’ai horreur de ça. Mon coach lui est encore en plein échauffement c’est à peine si le col de son t-shirt laisse apparaitre quelques goutes de sueur. J’ai déjà les cheveux trempés et je m’asperge d’eau fraiche en même temps que je bois quelques gorgées. Il faut absolument que je me concentre. Ces derniers temps j’ai un peu négligé la course pour préférer le yoga et les séances d’étirement à la maison et je le ressens lors de cette séance. Je manque d’entrainement. — Pour celle-là, je sens qu’elle va être plus compliqué, mais... Je m’attends au pire alors que mon cœur est enfin revenu à ses pulsations normales. Je bois une dernière gorgée d’eau et me reconcentre pour l’écouter attentivement. — Tu vas faire deux sauts sur une jambe, puis deux sur l’autre, tout en allant à cinquante. Oh bordel. Mon cauchemar. La coordination. Phoenix me montre l’exercice en sautant habilement d’un pied sur l’autre. Il pose ce regard fier sur moi et je ne peux m’empêcher de m’en amuser. L’ancien boxeur a encore de beaux restes et il le sait parfaitement pour prendre un malin plaisir à me pousser dans mes retranchements. La corde à sauter à nouveau en main, je démarre à mon tour. Evidement premier tour de corde et mes pieds s’emmêlent. Je manque de tomber et je lâche un juron. — Et mer… credi… Vieux réflexe quand je suis en présence de Phoenix, les gros mots sont interdits devant Sarah. Pourtant j’aurai envie de lâcher tout un tas de juron tellement mon manque d’assurance dans cet exercice m’agace. Mais ma ténacité reprend le dessus et je ressaye sans me décourager. Deux sauts pieds gauche. Je souffle. Deux sauts pieds droit… je souffle. La corde bute sur mes talons plusieurs fois avant d’arriver à trouver mon rythme petit à petit. Quand j’arrive à cinquante un peu penaude je regarde Phoenix la mine déconfite. — Il va falloir que je m’entraine encore, un peu… beaucoup, tu vas encore devoir me donner pas mal de leçons avant que je devienne ta « million dollar baby ». Je rigole en donnant un petit coup de poing sur l’épaule de mon ami. Ça fait du bien. Malgré mon manque de coordination évident, je me suis un peu moins essoufflée pour cette série et je bois à peine une gorgée d’eau avant de faire signe à Phoenix que je suis prête pour la suivante.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Sam 14 Sep - 17:31
Il est vrai que tu pourrais être une deuxième fille pour moi, tu sais où me trouver quand tu as besoin, tu sais que je suis là pour tout et n’importe quoi. Tu sais que tu peux même te dépanner pour tout si tu as besoin. Mais quand il s’agit de boulot je sais très bien être dans le milieu professionnelle puis rester dans ce monde jusqu’à passer le seuil de la porte et redevenir celui qui je suis. Alors quand tu me propose une autre séance tu sais très bien que je ne dis jamais non. — Ca tombe bien parce que j’ai encore une nouvelle technique à te faire essayer. C’est un peu comme l’acuponcture, mais sans les aiguilles. Ça stimule les méridiens de notre corps pour revenir à l’équilibre. C’est très efficace sur les douleurs chroniques ou fantômes parce qu’on fait un travail sur l’harmonie de tout le corps en plus de la zone endolorie. Je souris quand tu es lancer dans ce sujet et je ne t’arrête pas. Je hoche simplement la tête pour te faire comprendre que tout me va. On est dans le même optique pour ce qui est de prendre soin de notre corps, ou d’aider notre prochain là-dessus. Donc je ne refuse pas que tu t’expérimente sur moi. Alors que je t’explique que la corde n’est pas la même que la course, c’est même plus intense, je sais qu tu m’écoutes attentivement. Durant la première série je peux voir que tu as bien du mal, je le remarque, l’entends à ta respiration. Quand tu finis et que je finis en même temps que toi. Je viens te lancer une bouteille d’eau car tu en as besoin, tu as de bon réflexe c’est déjà ça. Quand je t’explique comment faire pour la seconde et que tu m’écoutes je peux voir que tu t’en sors un peu mieux pour le coup. Je te laisse prendre ton temps pour reprendre quand même, mais aussi pour boire. J’ai continué mon habitude moi, mes entraînements, la course, les sauts à la corde, mais aussi a frappé au sac et avec d’autre pour leur apprendre certaine chose. J’ai quand même un petit sourire aux lèvres un peu sadique en t’expliquant le dernier exercice que je veux te faire. J’aime beaucoup le faire faire, ça montre l’agilité qu’une personne peut avoir mais aussi sa patience sur le fait de se tromper. Je me suis remis à côté de toi pour les faire en même temps que toi. Mais je te vois, je vois que t’a patience n’est pas présence, c’était aussi un peu pour ça que je te fais ça. — Et mer… credi… Quand il y à Sarah je préfère évité au maximum les jurons, mais je vois qu’aujour’hui, tu en as presque besoin. Je passe doucement une main dans mes cheveux en te laissant faire, je me suis doucement arrêter puis reculer, juste un peu pour que tu te concentre. Je plisse doucement des yeux, que t’es t-il arriver pour que ta patience te perdre aussi vite ? Ca je ne sais pas trop, mais j’espère que tu vas me le dire un jour. Quand je vois que tu prends un petit rythme, même s’il n’est pas aussi rapide que les premier sauts, je vois que tu te concentre et que tu t’en sors. Je hoche doucement la tête, puis je reviens doucement à côté de toi quand tu vas avoir finit. Je vois ta mine un peu, pâle mais à la fois les joues bien roses par le cardio. — Il va falloir que je m’entraine encore, un peu… beaucoup, tu vas encore devoir me donner pas mal de leçons avant que je devienne ta « million dollar baby ». Je ne peux pas m’empêcher de lâcher une rire quand tu me dis ça. « T’inquiète pas, avec de l’entraînement tu arrivera a être ma million dollar baby. » Je te dis en souriant et te fais un clin d’oeil. Quand je vois ton signe que tu es prête je souris. « Alors pour la …. » je suis coupé en voyant entré un de mes clients habitués en étant tout essoufflé. « Phoe… L’jeune est revenu et s’en prend encore au p’tit. » je secoue doucement la tête de gauche à droite. « Bouge pas miss. » je dis en passant ma main sur ton épaule, je sors de la salle rapidement, je sais, je sais que tu allais faire ta curieuse mais aussi que tu allais regarder. Mais ça, ce n’est pas un problème. J’arrive en courant dans la salle. Je vois cette tête à claque présente mais aussi au dessus du petit, un petit jeune pas bien épais qui est là pour s’entraîner et l’autre bien plus costaud que lui qui veut toujours le battre. Je siffle un coup en arrivant pour attirer leur attention, j’attire l’attention de tout le monde au passage. « Toi tu viens là ! » je dis en l’attrapant sans problème, le soulevant du sol et l’éloigne du plus fin. Je le regarde dans les yeux. « S’tu remets les pieds ici pour te battre tu vas vite être ressortir par la peau du cul. Mais si tu veux continuer a venir, payer ton abonnement et en reparle. Aujourd’hui tu vire de ma salle, illico presto ! » il essaye de me défier, il est surtout plus petit et plus fin que moi, alors qu’il marmonne un truc et sort de la salle rapidement. Je laisse les autres s'occuper du jeune, il me remercie quand même. Je hoche la tête de haut en bas en souriant doucement. Je reviens alors vers toi, dans la salle où l’on était. « Quel petit con celui là bordel ! » je dis en soufflant doucement et secouant la tête. « Alors, nous deux. La suite. » je dis en venant face à toi. Je passe ma main dans ma barbe doucement. « Je veux voir comment tu tappes déjà, alors ce que tu vas faire. Tu vas taper dans la paume des mes mains d’accord. » Je fais comme si de rien ne s’était passer. « Gauche, droite, deux fois gauche, une droite, une gauche et deux fois droite. Je te dirais stoppe d’accord ? » Puis je passe une main dans ma nuque. « Montre moi comment tu penses pouvoir te placer pour ça. » je dis tranquillement en t’observant. Car oui si tu n’as pas la bonne position je préfère te corriger de suite.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Dim 6 Oct - 19:41
Même le sport en intérieur n’est pas trop ma tasse de thé, être ici avec Phoenix à partager ce moment me fait me dire que je devrai venir plus souvent. C’est apaisant ici et au moins il encadre ma technique alors que je m’entraine généralement toute seule. — T’inquiète pas, avec de l’entraînement tu arriveras à être ma million dollar baby. Je rigole encore en haussant les épaules parce que j’en doute vraiment. La boxe et les sports de combat en général ne sont pas ma tasse de thé en général. Je préfère le yoga ou la course pour le cardio. Mais il faut bien dire qu’en ce moment… ça tombait à pic parce que me défouler me fait un bien fou. On commence à entendre un bruit malgré notre entrainement dans la petite salle du fond et je vois que Phoenix commence à être soucieux. — Alors pour la …. — Phoe… L’jeune est revenu et s’en prend encore au p’tit. Je lève presque les yeux au ciel. Phoenix est décidément irremplaçable et son affaire ne tourne pas sans lui. Lui seul est capable de faire régner une ambiance sereine dans sa salle. Il tourne le dos à peine dix minutes et il y a déjà du grabuge. — Bouge pas miss. — D’accord pas de problème. Je lui lance un sourire compréhensif et j’en profite pour m’étirer un peu après ces deux sérieux à toute allure. Je bois quelques gorgées d’eau et je fais tourner ma puis étirer l’avant de mes cuisses en tirant un pied puis l’autre en arrière. — Toi tu viens là ! S’tu remets les pieds ici pour te battre tu vas vite être ressortir par la peau du cul. Mais si tu veux continuer à venir, payer ton abonnement et en reparle. Aujourd’hui tu vire de ma salle, illico presto ! Quel petit con celui-là bordel ! La grosse voix de Phoenix s’entend encore même à l’intérieur de la salle. Ca barde pour le jeune qui a osé défier l’autorité de l’ancien boxeur. Inconsciemment je ne peux m’empêcher de me sentir en sécurité et je vais à la porte pour observer le manège. Phoenix est en train de pousser dehors un jeune d’une vingtaine d’années que je n’ai jamais vu ici. Casquette noire, sweet-shirt gris, pourtant quelque chose me frappe. Il porte un tatouage, un serpent jaune dans le cou que j’ai déjà vu. Et c’est comme si j’avais vu un fantôme… Le souffle me manque. J’ai froid. La transpiration colle à mon t-shirt et c’est comme si un vent de Sibérie traversait la pièce de part en part. Je suis même obligée de m’accrocher au montant de la porte pour rester debout. Je tente de me convaincre que ce n’est pas possible, que ça ne peut pas être mon agresseur, quand Phoenix revient enfin, j’ai de laisser encore transparaitre toute la terreur qui me glacent les os. — Alors, nous deux. La suite. Je veux voir comment tu tapes déjà, alors ce que tu vas faire. Tu vas taper dans la paume des mains d’accord. Gauche, droite, deux fois gauche, une droite, une gauche et deux fois droite. Je te dirais stop d’accord ? La concentration me manque mais pas la rage. Gauche, droite, j’effleure les paumes de Phoenix pourtant j’aurai envie de porter mes coups et de tout casser. — Montre-moi comment tu penses pouvoir te placer pour ça. Ma position s’ajuste sous le regard de mon professeur, j’espère bien faire mais peu m’importe en fait. Mon se déchaine , l’adrénaline me porte dans le transe de fureur que j’ai rarement connu. Finalement complètement épuisée devant un Phoenix sûrement complètement dépasser je finis par prendre mon courage à deux mains et lui demande d’une voix éraillée par l’effort. — Phoenix… c’était qui… ce mec… Je suis plus que sérieuse et je ne veux surtout pas qu’il se méprenne dans ma question alors j’ajoute. — Enfin… euh… rassure toi… C’est pas pour avoir son numéro de téléphone que te demande ça. Bordel ça non. Et si c’était lui… je rêverai de voir ce creuvard en prison pour ce qu’il m’a fait. Mes yeux et mon souffle crachent leur haine. Je ne suis jamais sentie aussi nerveuse et j’attends la réponse de mon ami avec une appréhension que je peine à cacher.
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Sujet: Re: défoule toi pour évacuer. ◘ jody (#) Dim 17 Nov - 12:59
Alors que j’allais t’explique comment se déroulait la suite on vient m'interrompre parce qu’il est revenu et il n’a pas comprit la première fois que s’il était là c’était pour s’entraîner et ne pas s’en prendre aux autres. La chose qui me donne des envies de meurtre par moment en faite. Alors que je m’excuse au près de toi pour que j’aille régler ça, ce que je fais assez rapidement. Je pouvais voir son petit sourire moqueur aux lèvres mais aussi je sais que je vais le revoir demain et les autres jours jusqu’au moment ou je vais réellement lui tomber dessus. Je viens retiré mon sweat en revenant vers toi, mais quand je vois ton visage, tu as remarqué quelque chose qui ne te plait pas mais surtout, tu ne vas pas vouloir me le dire de suite avant que je ne te tire les vers du nez. Je t’observe doucement, puis je t’explique ce qu’on allait faire. Tu te place plutôt bien, puis tu commences, je te laisse faire, mais je sens qu’au fond de toi tu as plus une rage que tu veux faire sortir qu’autre chose. Mais quoi ? Je sens qu’après on va devoir discuter un peu. Alors que tu finis ce que je viens de te dire, je hoche doucement la tête de haut en bas pour te montrer que c’est une bonne chose que tu viens de faire. — Phoenix… c’était qui… ce mec… Alors que je vais chercher ma bouteil d’eau je me retourne doucement vers toi en fronçant un peu les sourcils. — Enfin… euh… rassure toi… C’est pas pour avoir son numéro de téléphone que te demande ça. vu sur quel ton tu me demande je ne pensais pas du tout à ça. « Un petit con qui vient souvent ici. Au début c’était un élève qui écoutait jusqu’à ce que ça ne soit plus le cas et qu’on m’apprenne qu’il était un persécuteur à son école. » Je reviens doucement vers toi. « Mais surtout un mec qui aime venir persécuté un autre jeune qui est ici pour apprendre à se défendre. Que me cache tu Jody ? » Je viens doucement relever ton visage pour que tu me regarde, mais aussi pour te montrer que je suis là, a ton écoute et que je ne suis pas du genre à juger ou quoique ce soit. « Depuis que je l’ai foutus dehors, tu es… bizarre, perturbé ou même chambouler. Dit moi si tu l’a déjà vu, s’il t'a déjà fait quelque chose Jody. Je ne l’accepterais pas et… » je ne rajoute rien d’autre sentant ma colère commencer à monter en moi mais je ne te le montre pas une seule seconde. Ne voulais pas te faire peur ou quoique ce soit. Je sais ce qu’il peut arriver si on te touche, je te protégerais toujours et ça ne changera pas.
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désolée c'est un peu court, mais, j'ai un peu de mal en ce moment