J'ai jamais aimé la pluie de toute façon.. (avec Sven)

j'ai jamais aimé la pluie de toute façon...
song † w/"savannah"

Comme à mon habitude, ou du moins mon semblant d’habitude j’éteins rapidement mon réveille. Simplement que le fait de l’entendre sonner trop longtemps me tape sur le système. Une fois lever, j’enfile mon jogging puis je vais me préparer mon café comme chaque matin. Alors que je suis posté devant ma fenêtre pour observer ce qu’il se passe dehors je peux clairement voir le temps, un temps maussade. Je laisse échapper un petit soupire, puis je viens allumer ma bande son pour la connecter avec mon téléphone mais aussi mettre un peu de musique. Il faut que je me réveille mais aussi que je pense à autre chose que cette pluie sadique d’aujourd’hui. Alors que je finis rapidement mon café, je file sous la douche puis me préparer. Aujourd’hui ça sera jean, tee-shirt noir et ma veste en cuir marron. Et c’est assez rapide car je ne tarde pas à partir de chez moi. Pour le coup ma voiture est en panne et, je dois prendre les transports en commun. Fallait que ça tombe un jour comme ça, je soupire, passant alors mes écouteurs dans mes oreilles et je marche assez rapidement sous la pluie. Je n’ai jamais eu de parapluie et ce n’est pas aujourd’hui que j’en aurais un pour le coup. Une fois dans le bus, je me cale dans un coin, sortant alors mon livre pour le continuer. Je n’aime pas ça les transports en commun, j’ai l’impression que tout le monde te dévisage quoique tu fasses. Je me concentre alors sur mon livre le temps du trajet. Un trajet trop long à mon goût encore. Une fois arriver non loin de l’université je me dépêche pour y arriver avant mes élèves. L’histoire de l’art, surement la chose qui me fait oublier mes problèmes. Diplômer ? On va dire que oui. C’est surtout un bon et faux diplôme que j’ai transmis à l’université mais ça, personne ne le sait pour le coup. Alors que j’arrive dans ma classe, retirant ma veste, me fait un café puis je viens alors sortir mon cahier pour les cours du jour. Je m'assois à mon siège. Aujourd’hui ça sera la Russie, où du moins la fin de mon cours là-dessus. En revoyant mes croquis je me rends compte que oui, oui je n’y mettrais surement jamais les pieds là-bas vue que j’ai pu faire… Mais c’est une autre histoire pour le coup. Une fois que mon café est finit, les cours annonce le début, je peux le commencer, voir le continuer. Je vois souvent les mêmes élèves, des fois des nouveaux, mais aussi je sais que beaucoup sont là juste pour mes histoires. Parce que mes cours ne sont pas comme ceux de tout le monde, interaction, action, réaction, croquis de fait… Bref j’essaye de faire en sorte que tout ce passe bien. Quand la journée se finit, j’ai une élève qui vient me demander des conseilles sur un de mes cours. Je l’aide avec plaisir. Puis, chemin inverse, bus et marche à pied. Alors que j’ai plus de batterie j’ai l’impression d’être seul sans musique. Avant d’arriver vers chez moi je sors mes clés. C’est en relevant la tête que je te vois sous le peron. Prêt a dire quelques chose, mais tu me devances. « Non, je ne me suis pas engueulé avec Jake. J'ai juste passé une bonne journée de merde, tu vois. J'avais besoin de me défouler sur quelqu'un. » Rassurer ce n’est pas Jake, mais quand tu me dis que tu dois te défouler sur quelqu’un je te fais signe de la tête pour tout me dire, tout en ouvrant la porte et te laisse passer la première. « T'sais que c'est chiant ces journées où rien ne va ? J'me suis réveillée en retard, premier truc nul. Je me suis fais mal à cause d'un jouet à Maya, deuxième truc nul. J'avais pas vu qu'il pleuvait donc j'avais pas pris de manteau ou de parapluie, troisième truc nul. Je continue ? » Je laisse un petit sourire d’amusement apparaître sur mes lèvres en t’écoutant. Enlevant alors ma veste et mes chaussures. Je fais un oui de la tête pour que tu continues. Je te laisse parler, je ne veux pas prendre le risque de te couper la parole. Quand même. « Ouais j'vais continuer. Ensuite, une voiture est passé à côté de moi sur une flaque et j'ai pris de l'eau de plein fouet. Mais en plus de mon corps entier qui a pris, mes affaires de dessin ont été trempées aussi. Du coup j'ai pas pu dessiner aujourd'hui. Ça me gave. Je déteste ça. J'aime pas la vie, p*tain. » Prêt à rejoindre la cuisine qui est accrocher au salon mais aussi à l’entré je penche doucement la tête sur le côté. « Ma pauvre chérie. » je dis simplement avec une pointe d’humour. « Je peux t'emprunter des fringues ? S'il te plait ? » Puis je me mets doucement à rire à ta demande. « Tu en as d’autre des questions débiles ? » tout ça pour te dire que oui, de toute façon je sais où seront mes fringues et Jake rentrera pas dedans. « Chocolat marshma’ ? Et … Bonjour Sav’ » je dis en riant et embrasse ton front humide malgré tout. « Tu connais la maison hein. Et pour les jouets de Maya, tu t’en plains a Jake, quand j’étais à l’appartement tout était rangé, mais depuis que je suis partie c’est toujours autant le bordel à ce que je peux voir quand j’y vais. » m'avançant vers la cuisine, sachant très bien que tu ne dis pas a non a une boisson chaude, mais surtout a mes chocolats chauds, si spéciale que je ne donne même pas mon ingrédient secret. Même si les marshmallow se voit. Il y a autre chose que je ne dirais pas. Je passe doucement ma main dans mes cheveux encore mouillé moi aussi mais ça, ça ne me dérange pas.

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Tu sais que ici c’est ta deuxième maison, tu sais que tu peux venir quand tu veux mais aussi que tu peux y passer quelques jours s’il se passe quelques choses chez Jake, ou si tu as besoin de calme tu peux venir ici mais aussi qu’ici y a plus de calme qu’à l’appartement de Jake. Alors quand je t’es vue devant chez moi sur le coup j’ai cru que tu t’étais engueuler avec Jake, mais non c’était ta journée, une journée de merde et ça, j’en doute pas une seule seconde. Je ne te coupe pas la parole, car oui c’est de famille on déteste ça, on déteste qu’on nous coupe la parole. Je le fais avec Jake par moment simplement quand il part un peu trop loin, mais bon c’est une autre histoire. C’est pour ça que je te laisse tout m’expliquer, je te laisse parler, pendant que d’un côté je fais mes petites affaires de mon côté. Quand tu as finis, ton petit roman, mais aussi ou je me moque un peu de toi en te disant que tu connais bien la maison mais aussi que tu peux faire comme chez toi. Mais quand on parle de l’appartement, à ce que je vois Jake ne ta pas dis que j’étais la petite fée du logis quand j’étais là-bas. Mais aussi je pense que c’est la prison qui m’a fait ça, je ne supporte plus de voir du bordel. C’est peut-être pour ça que je suis ordonner chez moi, même un peu trop. « Merci Sven, t'es vraiment le meilleur ! » Je me mets doucement à rire, puis je te laisse aller dans les pièce d’à côté. Je me mets doucement à siffloter un petit air que je viens d’entendre. Sortant les deux tasses, le lait, mon chocolat et mon ingrédient secret. Je fais chauffer le tout et quelques secondes avant de les sortir je mets quelques marshmallow dans les tasses. Continuant de siffloter, je t’entends revenir. Je me tourne doucement en souriant, voyant que tu as pris le pull, ce pull que tu prends assez souvent mais que je sens que je vais finir par te laisser réellement. « Comment tu vas toi sinon ? » Je me retourne doucement vers toi en souriant doucement. « Ca va oui, mes élèves sont un peu chiant en ce moment, ils n’écoutent pas, n’arrête pas de parler dans tous les sens ils me tapent sur le système. » je dis en riant doucement. Sortant les tasses, je viens te passer la tienne, puis je viens te rejoindre a t’es côté en prenant une chaise. « Mais, je pense fortement à changer de métier. Faire… Je ne sais pas trop, exprès d’oeuvre d’art et rare tu vois ? » Bien sur je ne te dis pas que la prison me perturbe encore, me tue le sommeil, mais aussi que je suis angoissé d’y retourner malgré tout. Je ne suis toujours pas clean et je sais que je ne le serais jamais. Je sais qu’on parler de tout, mais de ça, enfin il y à quelques petites choses que l’on te cache avec Jake, ce qui est normal. Surement que l’on veut que tu sois dans le droit chemin, que tu ne suivent pas notre trace. « Tu pourrais me donner un coup de main de ces jours pour un dessin ? J'arrive pas à trouver à faire la bonne proportion pour un visage. » Je trempe doucement mes lèvres dans mon chocolat en t’écoutant. Je hoche la tête en acquiesçant. « Bien sûr oui, tu me montre ça après ? On profite de ce petit délice, que tu te réchauffe totalement et on voit pour trouver l’astuce pour ton visage ? » Je dis en souriant. Souvent, souvent je te vois ici un peu en colère parce que tu ne t’en sors pas avec l’un de tes dessins. Ca me fait un peu rire parce que oui, j’ai l’impression de me voir quand j’avais ton âge et quand je n’arrivais pas à faire quelques choses. Ca fait du bien de pouvoir parler à quelqu’un de l’art, de dessin mais aussi de pouvoir partager une passion. Je bois encore une gorgée puis je viens te regarder. « En parlant de ça, tu sais que je t’avais parlé d’un… tableau, enfin une sorte de tableau, un peu comme une photo ? Je voudrais l’offrir à Jake et j’aimerais ton avis. » je sais que tu ne vas pas me dire non. Je descends de ma chaise, puis m’avance vers ma bibliothèque. « Je suis obliger de le cacher parce que Jake, il fouille un peu partout quand il veut quelque chose, sauf qu’il viendrait pas fouiller dans mes livres. » Je prends un gros bouquin, un bouquin de l’art ou se trouve plusieurs oeuvres Russes. Je l’ouvre doucement et sort la petite plaquette. « Je ne sais pas si tu te souviens de Stéphanie, enfin oui, mais tu devais être jeune non ? » Je dis avec un petit pincement au coeur. On m’a laissé aller à son enterrement, entouré de policier en civile mais j’y étais. Je m’avance vers toi, posant le bouquin sur la table et te montre la plaquette. C’est un peu une de mes idées, Stéphanie ayant Maya dans les bras, assise sur une chaise. Sauf que derrière se trouvant Jake et moi, assez proche, qui l’entour mais aussi je t’es mise à côté de Jake bras dessus, bras dessous. Puis Rachel qui accroupis entre Jake et toi. « J’ai mis un moment à la faire, mais… J’ai peur que Jake ne l’apprécie pas... » je dis en soufflant. Même si je ne connais mieux que toi, j’ai quand une crainte qui ne l’apprécie pas. Il se mets la faute sur le dos du décès de Stéphanie, mais, on sait tous qu’il est un très bon tuteur ou plutôt père pour Maya et si elle serait là, elle serait fière de lui comme je n’ai cessé de lui dire.

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Quand tu me demandes comment je vais, je viens t’expliquer qu’en ce moment j’ai du mal a supporter mes élèves même si j’essaye de donner de l’action à mes cours, mais bon, ils ne sont pas très motivés pour le coup. Donc ça me gave un peu et, ce n’est pas pour ça que je change ma façon de faire ni même de faire mes cours. C’est alors que je viens exprimer le fait que je pense fortement à changer de métier, je sais que tu seras quand même d’accord avec moi, vue que ça touche l’art et je vois que tu n’es pas contre. Mais ce qui est certain c’est que j’y pense de plus en plus. Mais c’est alors que j’aimerais te parler de certaines choses, de choses que j’ai pu faire ou que je fais avec Jake, mais ce n’est pas possible et même si tu nous pose toutes les questions du monde, que tu essayes de nous suivre on arrive toujours a te détourner de la chose pour que tu ne sois pas mêler de l’histoire de famille. Même s’il y a quelques semaines tu as pu me voir dans des état pas possible, que je refusait l’accès à tout le monde de mon appartement, mais aussi que je ne répondais a personne ni par message ni par téléphone. C’était une chose un peu trop délicate et Jake sait pourquoi. Si tu me demandes j’essayerais de t’expliquer mais vue que tu n’as pas connus, où très peu connus ton oncle, mon géniteur ça peut être un sujet délicat et compliqué d’un côté. Alors que l’on parle de ton projet, ou du moins de ton dessin je t’expliquerais tout se que tu veux savoir et ça sans soucis et sans problème tu avais même ma pièce dite bureau pour les gens normaux, mais atelier pour moi que tu peux te servir quand tu en as envie. Je vois encore une gorgée de ma boisson et je viens te parler d’une plaquette que j’ai faite pour jake, t’explique que je suis obligé de la cacher à un endroit ou Jake ne viendra pas fouiller, car oui à noël j’avais caché mes cadeaux mais monsieur a réussi à les trouver avant que je les emballes. Son prétexte était qu’il voulait trouver des crayons de couleurs pour Maya. Je te parle de Stéphanie. « Je me souviens d'elle, oui.. » Je souris doucement quand me dis ça, ça me fait plaisir parce que d’un côté tu étais quand même jeune malgré tout. L’enterrement était des plus beaux mais je n’ai pas pu rester longtemps, j’avais prévenue Jake mais toi ni Rachel pour le coup. Je secoue doucement la tête pour revenir à moi après avoir poser le livre sur la table ainsi que la plaquette. T’expliquant tout, le temps que j’ai pris mais aussi que j’ai peur que Jake n’apprécie pas. Ouais il est quand même difficile et j’ai peur qu’il soit… Mal après ça. Mes deux mains sur la table pour m’appuyer dessus, je te laisse l’observer, mais aussi je ne dis plus rien. Je veux avoir ton point de vue sur ça, sur ce que j’ai fais mais aussi, j’ai peur que les détails ne soient pas hyper nette. « Non non, je crois qu'il va aimer. C'est… une belle représentation de notre famille. Je suis sûre qu'il va apprécier. » Soulager. Tu apprécies toi aussi. Mais aussi tu me rassure sur le fait ça lui plaira. « Je suis content que tu aimes toi aussi alors… Oui c’est vrai que, et bien par défaut de ne pas pouvoir faire “la photo” de famille je me suis dis ça, ça peut être pas mal.. » je mets des guillemets avec mes doigts en désignant la photo, c’est vrai que c’est impossible et que si ça aurait été possible est-ce qu’en réalité tout le monde aurait pu être dessus ? Je ne sais pas moi-même, parce qu’après avoir eu l’annonce de sa mort je me suis calmer en prison et j’ai pu sortir plutôt qu’il ne le faut malgré tout. Sauf que si ça n’aurait pas été le cas, j’y serais encore et peut-être pour un moment vue les conneries que j’ai faite là-bas. Jake ne m’a jamais demandé, mais toi aussi vue que j’ai encore mon bracelet a la cheville qui se voit de temps en temps et que je ne cache pas...Tu n’es pas bête mais tu m’as jamais demander pour le coup.

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Je te laisse avec la plaquette entre les mains. Je sais que tu vas en prendre autant soin que moi. Les belles choses on sait comment les gardés en état et en vie en quelque sorte. Alors que je suis appuyer sur la table avec mon hésitation qui part assez rapidement avec t’es paroles. J’ai relevé les regards sur toi, un regard assez rassuré pour le coup. Le coeur un peu plus soulagée parce que tu me dis. On connaît tous les deux Jake et on sait comment il peut réagir quand ça ne lui plait pas. Même si je sais que la mort de Stéph la bien plus blessé qu’il ne le dit. Quand je vois te lever et t’approcher de moi je me redresse à mon tour, je savais très bien que tu allais finir dans mes bras. Je passe délicatement mes bras autour de tes épaules pour te serrer doucement contre moi. Je ne suis pas toujours adopte de la tendresse mais, venant de toi, c’est totalement différent. Tu peux être la petite boule de nerf mais tu peux avoir cette tendresse si exceptionnel qu’on ne peut pas le refuser. « C'est vraiment un beau cadeau. Je pense que ça va le toucher. » je viens délicatement déposer un baiser sur le sommet de ton crâne, profitant de ce moment de tendresse mais aussi pour te remercier de tes paroles, des paroles qui m’ont totalement posés et soulager pour le coup. Je te laisse t’éloigner en souriant. Quand je te vois me tendre ta tasse et ajouter : « Je peux en avoir un autre ? S'il te plaît.. Mon petit Sven d'amouuuur ! » Je ne peux pas m’empêcher de lâcher un petit rire quand tu me dis ça. Je l’attrape doucement. « Tu peux oui. T’inquiète pas. » Je dis en allant vers la cuisine. Tu sais que je ne dis pas souvent non, mais aussi pour les chocolats, comment refuser de t’en faire un autre ? C’est pas possible, alors que je suis vers le plan de travail, un peu perdus dans mes pensées malgré moi mais je te sens venir, je te vois du coin de l’oeil t’asseoir sur le plan de travail. D’un seul côté, mon esprit me pose la question : pourquoi je n’ai jamais eu de petite soeur ? pourquoi je suis l’enfant unique qui n’a jamais réellement pu m’occuper d’une soeur, la protéger comme je le fais avec toi ou bien comme j’ai fais avec tes soeurs. Par moment, peu de gens peuvent se mettre a ma place, surtout pas Jake. Il ne comprend pas par moment que je regrette d’être enfant unique vue le père que j’ai eu d’un côté c’est compréhensif. « Je sais pas quoi faire après mon diplôme d'art.. J'aimerais bien devenir professeure de dessin, mais être dessinatrice de BD m'intéresse aussi. Y a plein de trucs que j'adore, je suis perdue... » je continue à être dans mes pensées et c’est en faisant chauffer le chocolat que je viens appuyer mes fesses contre le plan a t’es côté, croisant un peu les bras sur mon torse. « Quoique tu fasses on te soutiendra toujours avec ton ours de frère. Mais sache qu’être professeure de dessin n’est pas si amusant que ça tu vois… ? » je dis doucement en haussant des épaules. « Les élèves sont parfois fourbes, mais aussi têtus que tu n’arriveras pas a faire se que tu veux, quand tu ne sera pas dans un très bon jour ils vont t'agacer mais aussi te tapé sur le système... Tu n’aura plus trop envie d’y aller... » je laisse un petit soupire s’échapper en disant ça, tu sais que je le vie d’un côté. « Que dessinatrice de BD, c’est une très bonne idée. Regarde déjà des dessins la plus part forme une histoire depuis que tu tiens un crayon en main. » quand j’entends le bruit me rappeler que le chocolat est prêt je me retourne puis le sort et te le donne. Je prends la poche de marshmallow, en pique un qui me mets dans ma bouche mais ce qui ne m’empêche pas de parler, un peu bizarrement. « Tu as beaucoup de talent et tu as énormément de porte qui s’ouvre en dechin... » je me stoppe en souriant puis finis de le machin avant de l’avaler.