toi t'es comme un moustique, ils s'écrasent tous sur mon pare-brise

Nolan Clegane

Salut bandes de morues poilues

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ ○ Pendant un temps, j’ai voulu retrouver ma mère et je me suis dis finalement que c’était une vraie connerie. ○ Je me suis rapidement enfermé dans tout ce qui touchait à l’informatique. ○ j’ai beau aimer mon père, il est certain que je ne suis pas vraiment fier des son activité ○ j’ai souvent penser à partir pour la grande ville, pour pouvoir m’occuper d’un refuge pour animaux ○ j’ai réussi à faire craquer le padre quand je l’ai soulé pour avoir un chien loup, il a clairement pas pu résister à l’obstination de son digne fils ○ Je suis censé porter des lunettes, mais je les mets jamais, je suis déjà bien assez geek comme ça ○ je suis pas forcément très doué avec les femmes, pourtant, je devrais l’être puisque j’ai grandis avec toutes les femmes de mon père, et j’entends celles qui bossent avec lui au club ○ Je me suis jamais lancé, mais j’aimerai me faire un petit tatouage ○ partir d’Island Bay m’a déjà trotté dans la tête, mais je peux pas quitter mon père ○ J'ai un caractère bien trempé, je tiens çà de mon père, et je ne me laisse pas faire. Je suis peut-être un vrai geek mais je n'ai pas ma langue dans ma poche ○ pour pouvoir garder mon chien, j'ai construis tout ce qu'il fallait pour qu'il ne ruine pas la baraque de papa. Je fais tout pour être un maximum présent bien que tout le monde connaisse ma passion pour les jeux vidéos.

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ dylan o'brien</pris> nolan clegane

Code: nolan

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l'histoire de ma vie

ce fuckin cycle éternel

Bien le bonjour mon petit Robert.

J’ai besoin de coucher sur papier quelques petites choses qui me tracassent. Non pas que ce soit vraiment très important finalement, mais je vais quand même te raconter mon parcours, mon histoire pour que plus tard, la personne qui tombe sur toi, puisse découvrir qui j’étais vraiment.

Franchement, je vais être honnête, je ne sais pas grand chose de ma naissance, seulement que je suis né à Island Bay, d’une mère inconnue, qui a préféré me refourguer à mon père (parce que clairement elle voulait pas de moi parce que le daron voulait pas l'épouser) qui ne voulait clairement pas de moi non plus, enfin je crois qu’il était juste pas doué c’est tout. Autant dire, que je n’étais pas franchement désirer, mais je suis là, et il faut s’y faire. Je crois que mon père s’est fait à l’idée d’avoir un fils mais est-ce que je suis le fils qu’il voulait que je sois, je ne sais pas, il faudrait le lui demander. Quoiqu’il en soit, l’enfance, et bien, elle était tout ce qu’il y a de plus basique finalement. Et encore. Il s’est pas vraiment occupé de moi, j’ai grandis …  un peu tout seul. Enfant unique, mon père c’est pas le type à se poser avec une nana, je n’ai jamais vu de « vraie figure maternelle » à la maison, et j’ai très vite appris à devenir autonome. C’est compliqué quand t’es un gamin de 8 ans, qui cherche à avoir une figure paternel, qui cherche à avoir un exemple à suivre. Lui ? Je ne pouvais pas le prendre comme exemple, impossible. vous voyez un gamin faire ses pas dans un club de strip alors qu’il devrait être en train de goûter à la maison, non ? Ben c’est possible, et oui, tout est possible finalement parce que je connais ce club depuis tant d’années, depuis trop d’années. Ce sont ses filles qui m’ont un peu éduqués et ce n’est pas la meilleure éducation qu’on puisse imaginer pour un gamin qui n’a déjà pas de mère. Au moins, je faisais quand même mes devoirs avec des adultes, bien que parfois, elles n'étaient pas forcément toutes ds lumières. J’ai commencé très tôt à faire la cuisine, ah ben oui, il fallait bien nourrir papa, quand monsieur décidait de se pointer à la maison voyons.

Le pire ? C’est que je ferai tout pour lui même si j’en suis pas vraiment fier. Il sait pas s’occuper d’un gosse à proprement parlé, il me l’a toujours prouvé par A + B et pourtant, il m’a toujours montré de l’amour et il a toujours fais en sorte que je ne manque de rien. Mais çà ne l’empêchait pas de me faire conduire avant l’âge quand il n’avait clairement pas envie de conduire ou qu’il avait un petit coup de trop mais sans être dans l’excès pour autant.  Disons, finalement, qu'il s'occupe de moi à sa façon à lui, et c'est une façon peu commune de le faire c'est tout. Après je peux pas lui reprocher grand chose finalement. C’est plus un pote qu’un père, et çà m’a fait longtemps chier, mais au fil du temps, j’ai pris du recul et j’ai laissé couler. attention, çà veut pas dire que je lui pardonne tout, ou bien que je reste dans mon coin. Aucune chance, et je pense que j’ai pris çà de lui, car quand je dois lui dire un truc, je le lui dis sans pression. Je sais tout du club de strip qu’il possède, je connais toutes les filles, normal finalement, je m’entends bien avec tout le monde, et c’est un peu ma seconde maison, cela dit, tout ce qui touche aux choses qui ne sont plus légales, il peut rapidement m’oublier. Je peux lui rendre service, pour tout ce qu’il veut, mais çà, il en est hors de question. Il sait qu’il a élevé un petit geek, à la grande gueule. Quand je vois des types louches, je suis obligé de savoir ce qu’il se passe, je suis obligé de faire le fouineur parce que j’ai pas envie qu’il tombe. Il se met dans de salles affaires, et bien que je ne veuille pas l’aider, je n’ai pas non plus envie qu’il bousille tout ce qu’il a construit (même avec de l’argent sale).

aujourd’hui, je réponds toujours présent pour lui, quoiqu’il arrive, je répondrai toujours présent mais j’ai aussi ma vie. Je fais ce que j’ai toujours eu envie de faire. Programmateur chez Google. Island Bay étant une petite ville, j’ai décidé de bosser à Wellington, et çà tombait très bien puisque Google possède des locaux là-bas, et pour ainsi dire partout dans le monde. Je mène mon petit train de vie, mais je suis jamais à l’abris d’une autre connerie de mon père et encore une fois, je serai près à le couvrir malgré les réticences que j’ai.

Alors tu vois Robert, ma vie est… tranquille. J’aurais pu te parler aussi de ma première copine, de la première femme qui m’a dépucelé, de ma première gâterie aussi, mais je sais que je pourrais te choquer en couchant ces quelques mots sur ton doux papier. Soit certain que je repasserais te voir pour pouvoir t’expliquer ma première fois désastreuse et ma soudaine passion pour une jolie demoiselle qui ne me voit pas. Allez la bise mon petit Robert.