AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Le Deal du moment : -48%
Philips Hue Pack Decouverte 2024 : lightstrip 3M + ...
Voir le deal
119 €

 

 until the sun . rise again | Luasha

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: until the sun . rise again | Luasha (#)   until the sun . rise again | Luasha EmptyMar 10 Déc - 1:01


until the sun . rise again | Luasha Sans_t34

myriades d’étoiles chuchotent, mondes infinis trahis par le paradoxe des quelques espaces de l’astre de flammes responsable de la vie . la nuit est belle . la nuit est paisible . doux voile d’harmonie , robe à pois blancs souvent masqué par la fourrure du ciel . antan guidant les rois mages vers le christ , les grands explorateurs vers la terre promise , elle guide désormais les larmes , de sa douce et élégante mélancolie …

Les premières lueurs peinent à se montrer. Cheveux trempés, assise en tailleur pour savourer mon thé, je compte les étoiles entre les passages des nuages. Elles guident ma voix, les notes de ma guitares, boucles d’or niché entre les cordes de métal froid réchauffées par mes fins doigts.

Si les nuances s’entendent, elles ne se voient guère. Simplement des contrastes. Alors, les premières marques orangées d’un ciel prêt de l’embrasement en marquait le temps. La lumière paraîtrait, bientôt. Bientôt, elle pourrait voir mes cernes, peindre de mon visage, de la crispation de mes os, le résultat d’une brutale terreur nocturne.

Pourtant les notes sont si douces…

L’harmonie m’élance, achevant le morceau, je laissais l’instrument se reposer sur le canapé. Une caresse pour Kiwi, l’un de mes chats, déjà réveillé, un sac à dos avec le minimum nécessaire, une barre de céréales maison, une bouteille d’eau, mes écouteurs, nichés à mes oreilles, mon téléphone plongé dans mon sac, les notes s'enchaînent. Papiers d’identité, carte bancaire, quelques espèces, clés de maison… C’est le premier rituel que j’ai pris en arrivant ici. Me sédentariser quelque part pour la première fois depuis plus de cinq ans évoque cette possibilité, parallèlement à celle d’adopter mes petits fauves. Quittant le foyer, bien trop grand pour une jeune femme seule, il suffisait de quelques foulées pour que je laisse tout derrière moi.

Les rues sont désertes, pourtant le soleil levant apporte quelque chose de chaleureux. Un temps d’oubli… Important… Si important… Tout oublier, il faut tout oublier, sont mes songes de chaque soir et mes actes de chaque matins. Le vent parcours mes cheveux noircis par la saturation ambiante, encore humides. Mais mes joues rougissent vite face à l’effort. Sillonner de nouvelles routes, chaque matin, découvrir de nouvelles rues, de nouveaux quartiers. D’abord à l’horizontal.

Puis… Après avoir attaché mes cheveux, je m’attaquais aux moulures, aux bordures et aux gouttières pour gagner les toits. Féline, je laissais me bercer le vent glacial de la liberté, évoluant entre les bâtiments rapprochés pour trouver l’endroit le plus discret et le mieux placé pour profiter du levant. Les kilomètres me séparaient de chez moi. Le GPS me ramènera…

Recroquevillée pour profiter du paysage, je retirais l’un de mes gants pour observer les trous présents aux genoux de mon legging, irréguliers, trahissant le nombre de choc contre différents murs. Angles écorchés, il en va de même pour mes coudes où les cicatrices s’effacent petit à petit avec le temps, pour laisser place à de nouvelles.

La dernière morsure de béton remonte à trois jours. Effleurant la petite blessure, un frisson m’échappait. C’était une douleur agréable. Pas en ce qu’elle était volontaire, mais… Tellement insignifiante… La douleur qu’embrasserait une tendre mère en rétorquant que “tu vois, ce n’est rien, un bisous magique et pouf, la douleur s’envole comme par magie.”

Je jubilais de mon onirisme, alors qu’un gargouillis me traversait, accompagné d’une grimace. C’est déjà l’heure de petit déjeuner ? Enfin. Petit déjeuner. Avec le nombre de voyage en un laps de temps si réduit et une telle densité de travail, je me suis habituée à manger “un peu quand je peux” et dormir par intermittence. Mes seuls armes contre ce chaos qu’est mon horloge interne, ce doit être le maquillage pour masquer les cernes, le sport pour éviter de prendre du poids et cette capacité à s’endormir vite, très vite pour maximiser l’effet réparateur de petites siestes.

Redescendre de mon perchoir se montrait plus éprouvant, fatiguée par les précédents efforts. Mes pieds foulant le sol paraissait le retour à une réalité un peu trop cruel à l’exception proche de la douce musique se profilant en mes oreilles, rangeant mes gants blanchis par la poussière des murs et les petits résidus de plâtre, laissant mon téléphone m’indiquer le lieu le plus proche pour prendre mon petit déjeuner, pénétrant en les lieux en regardant tout autour pour observer la décoration tout en m’approchant d’un pas lent du comptoir en retirant mes écouteurs.

« Bonjour, c’est possible de voir la liste de vos allergènes s’il vous plaît ? »

Émis-je d’une voix douce avant de quitter les lieux du regard pour me plonger vers la personne face à moi.


@Luana Pankhurst
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: until the sun . rise again | Luasha (#)   until the sun . rise again | Luasha EmptyMar 10 Déc - 23:12


Until the sun rise again
Misha & Luana


Il faisait encore nuit quand Luana ouvrit les yeux. Son radio-réveil fredonnait les notes d’une musique pop et ça la mit de bonne humeur. Elle sortit du lit sans perdre une seconde. Elle n’aimait pas y traîner. Elle avait déjà passé beaucoup trop de temps dans un lit au cours de sa vie. Fatigue. Lassitude. Abandon. Elle y avait fait ses pires cauchemars mais pendant un temps, il avait été son seul refuge. Être allongée dans sa chambre sans rien faire faisait remonter des souvenirs peu agréables alors elle n’y restait que pour la nuit.
Elle aimait la douceur du tapis sous ses orteils. Un peu moins le froid du sol nu. Elle marcha donc sur la pointe des pieds jusqu’au salon où gisait une grosse paire de chaussettes en pilou qu’elle enfila. Elle pouvait désormais débuter son rituel du matin avec sérénité.
Un : donner à manger à ses p’tits morfales. Mimosa se frottait déjà à ses chevilles pour faire son charme. Et Merlin savait qu’elle ne pouvait lui résister. Elle le prit dans ses bras pour le déposer sur le plan de travail tout en lui faisant des gratouilles derrière les oreilles. Elle sortit du placard sa ration de croquettes et il se jeta dessus sans attente. Elle en profita pour s’éclipser de la cuisine et aller nourrir ses tortues. Les deux petites boules d’amour sortaient tout juste du sommeil, alors elle ne les pressa pas trop.
Deux : arroser ses bébés plantes. Il y en avait partout. Partout. Elle connaissait les besoins de chacune d’elle sur le bout des doigts et les chouchoutait comme des enfants, leur parlant en faisant le tour de son appartement, un arrosoir à la main.
Trois : ouvrir les rideaux. Certes, pas de rayons de Soleil à cette heure, mais les murmures de la nuit s’estompaient pour pâlir face aux ciel triste.
Quatre : boire son thé. C’était sa boisson. Son petit bonheur liquide. L’eau brûlante réveillait sa langue dans une douleur délectable au goût de cannelle.
Une fois toute ces tâches accomplies, le reste n’était que détails. Après s’être préparée, elle sortit.

Moments uniques où la ville endormie veillent sur les rares aventuriers affrontant le grand méchant monde de si bonne heure. Les regards se croisent joviaux et compatissants. Il faut de l’amour ou de la contrainte pour être là, à marcher sur les pavés. C’est le temps des travailleurs de nuit et des insomniaques qui regardent passer le temps au ralenti des aiguilles somnolentes.

En quelques minutes, Luana arriva dans sa deuxième maison : sa boutique. Il s’en échappait une douce odeur de pain d’épices. Les fourneaux étaient en marche depuis une heure et toutes les senteurs virevoltaient autour de la jeune femme. Elle était fière de ce qu’elle produisait. De ses gâteaux aux mille couleurs et aux mille saveurs. Elle s’en réserva un pour goûter, assurer la qualité de ses produits. Elle prit le temps de se faire un lait de poule pour le tremper dedans, tandis qu’elle attendait que le minuteur sonne. Une petite pause ne faisait de mal à personne. Elle bu donc quelques gorgée de sa boisson crémeuse, sans alcool évidemment. Après avoir repris des forces grâce à cette entracte, il était temps d’ouvrir la scène. Elle tourna le panneau pour indiquer « Ouvert » aux visiteurs de la rue.

Alors qu’elle venait d’installer les derniers biscuits sur leur présentoir acier, la clochette tinta pour indiquer l’arrivée d’une cliente. La première cliente. Il était assez exceptionnel pour elle de recevoir des gens si tôt, mais ce n’était pas pour lui déplaire. Elle faisait face à une jeune et jolie femme à la voix douce dont la question la prit légèrement au dépourvu. Ce n’était pas tous les jours qu’on lui demandait cette liste. Bien sûr, elle était toujours sous le comptoir par précaution. Généralement, on lui demandait la présence d’un ingrédient en particulier, pas toute la liste entière, ce qui l’intrigua beaucoup.

« Bonjour ! Oui, pas de souci, la voici. »

Elle employa un ton jovial tout en lui tendant le tableau plastifié. Il contenait les différents ingrédients susceptible de causer problème : gluten, œufs, fruits à coque, lactose, soja et chocolat. Elle tentait de faire des produits qui contenait le moins possible de ces éléments, en raison des allergies de son entourage mais aussi de ses convictions personnelles.

« Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas. »


Elle savait ce qu’elle mettait dans ses créations donc elle pouvait gérer sans liste, mais c’était rassurant de l’avoir à portée de main.

« Vous êtes allergique à quelque chose en particulier ? »

N’aimant pas particulièrement le silence, et même si l’écho d’une musique venait de l’arrière-boutique, Lu’ se disait que ça ne faisait pas de mal d’engager la conversation. Son interlocutrice n’était pas obligée de répondre, mais au moins elle aurait essayé.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: until the sun . rise again | Luasha (#)   until the sun . rise again | Luasha EmptyMer 11 Déc - 7:44


Après avoir accueilli les recoins du chaleureux lieu dans mon esprit pour essayer de m’en imprégner, mon minois se tournait vers la serveuse, s’égarant quelques instants en ses yeux clairs. Faisant rouler mes écouteurs entre mes doigts, mes yeux découlait sur ses boucles d’or avant de se détourner d’une certaine pudeur pour ne pas paraître insistante ou malaisante.

« Bonjour ! Oui, pas de souci, la voici. »

Un ton jovial, agréable malgré l’état de la journée. Il est tôt, trop tôt pour que de telles expressions s’affichent à mon visage et un certain complexe d’infériorité s’éprend de moi. Alors, les yeux baissés vers ses mains me tendant le petit tableau, j’avançais d’un pas pour l’attraper en douceur de ma main libre, relevant les yeux pour la remercier d’un sourire maladroit et d’un hochement de la tête en me plongeant dans les écrits, focalisée sur les lignes “oeuf” et “lait”.

« Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas. »

« Je vous remercie. »

Bien sûr que des tas de questions me viennent à l’esprit. Pourquoi il semble y avoir autant d’alternatives végétaliennes dans une petite ville comme celle-ci ? Je revoyais mes managers criser face à mes commandes de loges et ça me donnait vaguement le sourire. “c’est toujours pareil avec toi, un café noir ‘équitable’ et des pâtisseries végétales, tu peux pas jouer dans des pays du tiers monde et être aussi exigeante !”

« Vous êtes allergique à quelque chose en particulier ? »

Je me redressais vers elle, mon petit sourire pensif et nostalgique toujours dressé aux lèvres, un petit grain de malice habitant mes yeux alors que sous ceux-ci les cernes trahissaient de lourdes et violentes insomnies, délicat paradoxe. Le monde “lambda” m’était étranger depuis quatre ans, cinq peut-être, alors si évidente sa question puisse-t-elle paraître, elle me surprenait, clignant des yeux dans une certaine incompréhension. Cela dit, une chose étant certaine du coup, elle ne doit pas me connaître. C’est un peu la raison pour laquelle je suis retournée en nouvelle-zélande d’ailleurs. Éviter d’être reconnue partout.

« Ca dépends de si on compte la cruauté animale comme une allergie, je suis vegan. »

Repris-je avec une certaine douceur dans la voix. Le fait de ne pas être reconnue m’aidait grandement à me détendre. En outre, c’est un sujet que j’abordais avec une certaine légèreté, le monde évolue peu à peu. Au fil des années, j’ai vu l’état de ma condition évoluer de “mais t’as pas des carences ? tu vas tomber malade !” à “c’est so hipster” vers “j’ai plein d’admiration pour les vegans, mais je pourrais pas !” pour enfin aboutir dans la plupart des cas à un simple “ah d’accord.”, sûrement la réponse à laquelle j’adhère le plus.

« D’ailleurs je suis agréablement surprise d’avoir du choix ! Trop de choix ! Qu’est-ce que vous avez à me conseiller ? »

Glissant délicatement une mèche rebelle ayant fui ma queue de cheval derrière mes oreilles, je retournais la petite pancarte pour me replonger vers mon interlocutrice, soutenant son regard éprise d’une certaine curiosité mêlé à mon habituelle humilité, d’apparence j’étais cette jeune adulte un peu timide à l’accent d’Europe du nord habilement masqué par des heures et des heures d’exercice, mêlé à une oreille musicale m’ayant permis de masquer certaines sonorités pour d’autres avec le temps jusqu’à ce que ça devienne un usage.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: until the sun . rise again | Luasha (#)   until the sun . rise again | Luasha EmptyMar 31 Déc - 11:26


Until the sun rise again
Misha & Luana


Ce n'était pas donné à tout le monde d'être de si bonne humeur le matin. Pendant longtemps Luana avait rechigné à se lever, tournant sans relâche entre ses draps avant d'abandonner. Les nuits trop longues ou trop courtes. Les nuits sans fin. Elle avait fini par trouver son rythme de vie, celui qui lui donnait envie de se lever le matin grâce à la promesse d'une belle journée. Elle aimait croire que sa bonne humeur était communicative, que son sourire dès le matin pouvait illuminer la journée de quelqu'un d'autre.
Sa première cliente semblait timide, mais elle ne s'en formalisa pas. Elle devait simplement être plus prudente face au ton qu'elle employait. Elle ne voulait en aucun cas la braquer.
Elle l'observa un peu, tandis qu'elle parcourait la carte des allergènes. Elle semblait jeune, un peu maltraitée par la vie. Et elle avait un joli visage aux traits doux.
Quand elle releva la tête, elle put la regarder plus en détail, sans garder son regard appuyé trop longtemps pour ne pas l'effrayer. Elle semblait fatiguée, par ses nuits qui ne reposent pas ou par la vie, elle ne saurait dire. Bizarrement, elle se prit d'affection pour elle. Elle voulait la protéger, lui dire que demain ça irait mieux. Mais à la place, elle continua la conversation sans ajouter de paroles maladroites.

« Ce n'est pas une allergie, mais je vois ce que vous voulez dire. J'ai bon espoir de le devenir un jour moi aussi ! »

Elle était déjà végétarienne, mais n'avait pas encore sauté le pas pour être vegan. Elle préférait y aller progressivement, surtout connaissant son passif. Et puis, elle n'avait pas encore réussi à adapter toutes ses recettes, alors ça la retenait un peu pour le moment. Elle ne désespérait pas d'y arriver un jour, notamment grâce à l'aide de Liam, mais c'était toujours en cours.
En tout cas, ça lui faisait toujours plaisir de servir une personne vegan, parce que ça voulait dire que des gens se souciaient vraiment des animaux.

« Les vegans ont bien le droit d'avoir le choix aussi ! »

Généralement, les vegans avaient très peu de choix en fonction des enseignes, alors que plein de recettes étaient possibles. La blonde trouvait ça dommage de ne pas proposer autant pour une catégorie de personnes sous prétexte qu'elle n'était pas omnivore. M'enfin, c'était sa vision des choses.
Cela lui fit plaisir de voir la réaction de son interlocutrice face à ce choix. C'était gratifiant.

« Je peux vous proposer les scones ou les croissants qui sont parfaits pour le petit déjeuner. Si vous préférez quelque chose de plus consistant et chocolaté, il y a les brownies. Après tout dépend également de vos goûts. »

Elle venait d'énumérer ses recettes préférées, mais évidemment, cela ne convenait pas aux papilles de tout le monde. Si elle n'avait pas d'allergie, elle pouvait, en théorie, tout goûter. Mais encore une fois, si une saveur lui était désagréable, elle n'allait pas s'y risquer.

« Si jamais vous voulez goûter deux ou trois pâtisseries avant de faire votre choix, n'hésitez pas. »

Comme elle ne voulait pas avoir l'air de faire du favoritisme ou que ça ait l'air déplacé, elle ajouta :

« Tous les jours je choisis trois produits vegans à mettre en libre dégustation pour montrer aux gens que ce n'est pas si différent et pourquoi pas les inciter à s'intéresser au veganisme. Donc aujourd'hui, je m'en remets à vous pour choisir ces produits. »

Cette initiative lui était venue face aux regards curieux de ses clients qui n'osaient pas commander sa gamme vegane et pour le moment, ça plaisait beaucoup.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2

MessageSujet: Re: until the sun . rise again | Luasha (#)   until the sun . rise again | Luasha Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
until the sun . rise again | Luasha
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
island bay ::    :: trash :: rps-
Sauter vers: