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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 You're to hot for your own good (Kylian&Tara)

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MessageSujet: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyDim 18 Sep - 1:09

Plusieurs dossiers sous le bras j’achève ma tournée de visite aux patients que j’ai opéré les jours précédents. Je suis plutôt de bonne humeur, les nouvelles sont positives et l’évolution des cas que j’ai en charge avance dans la bonne direction. Evidemment ce n’est pas parce que tout va bien que je l’affiche, au contraire je garde mon air neutre et impassible mais tout de même un peu moins froid que quand je suis énervée ou contrariée. J’aime que les internes soient toujours dans l’incertitude de mon humeur, ça les rend bien plus attentifs à ce que j’ai à leur dire. D’ailleurs j’ai quelques mots à toucher à l’un d’eux – enfin s’il n’y avait que ça – un petit sourire en coin s’invite discrètement sur mes lèvres alors que quelques pensées assaillent mon esprit. Mes pas me mènent alors vers l’une des salles de pause que je sais fréquentée par le jeune homme que je cherche. Aux abords de la dite salle j’affiche tout mon aplomb et m’habille d’un air sévère tout à fait de circonstance. J’entends que ça rit à l’intérieur, je m’avance et m’arrête sur le pas de la porte ouverte avant d’y frapper deux coups nets. Les discussions s’interrompent et je pose mon regard de glace sur l’interne concerné par ma venue « Doherty, si j’avais voulu un torchon en guise de compte rendu post-opératoire j’aurais été à la laverie en chercher un directement. » je fronce les sourcils « Vous passerez dans mon bureau dans vingt minutes, tout est à refaire et visiblement il faut encore vous expliquer la marche à suivre. » j’use de mon ton le plus autoritaire, celui que les internes connaissent sans doute le mieux venant de moi. Sans un mot de plus je m’éloigne de la salle de pause en faisant claquer mes talons sur le sol du couloir. Je prends la direction du secrétariat pour y signer quelques autorisations de sortie puis rejoins mon bureau.
A peine la porte fermée je quitte ma blouse et la pose soigneusement sur le dossier de mon fauteuil. Mon smartphone vibre sur mon bureau, m’indiquant l’arrivée d’un nouveau message. Je lis le nom du destinataire et soupire, Scott. J’ignore pourquoi je fais durer cette relation avec lui… il est sexy et adorable mais un truc manque à l’équation. Peut-être qu’il est trop lisse, trop fade, tout simplement. En revanche il y en a un dont je ne peut pas dire cela, c’est celui qui vient de frapper à la porte de mon bureau. « Entrez. » dis-je en conservant mon attitude autoritaire. Il s’exécute, une vague de chaleur m’envahie déjà… pourquoi faut-il que ce mec me fasse un tel effet ? C’est un vrai danger pour les hormones ! Mais il n’est pas que ça, c’est aussi un futur bon médecin et j’apprécie également. Il referme la porte et s’avance dans la pièce sous mon regard plus aussi glacial que précédemment « Tu te fais encore taper sur les doigts... » je souris « J’aime que tes collègues pensent que j’adore te maltraiter. » or nous savons tout deux que ce que nous faisons est bien loin de la maltraitance. « Assieds toi. » dis je en désignant le siège face à moi. Sa belle gueule et son sex appeal sont en partis la raison de sa visite dans mon bureau, mais je veux principalement lui parler d’une chose qui me tient à cœur : l’état de ma meilleure amie. « Est-ce que tu es allé voir Alyx ? » ces derniers jours je n’ai pas eu le temps de pouvoir lui rendre visite plus de quelques minutes, j’ai en quelque sorte missionné Kylian pour me faire un compte rendu de l’évolution de son état.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyDim 18 Sep - 19:29

❝ You're to hot for your own good ❞
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Milieu de service, la journée est plutôt calme. Il y a des jours comme ça où les urgences ne sont pas trop engorgées et où je peux vaquer à tous les postes, changeant de service toutes les heures. A l’heure de ma pause, je fais un détour par le service où se trouve Alyx et après avoir frappé doucement quelques coups, je pousse la porte de sa chambre et entre à pas de loup. Elle dort. Je viens vérifier ses constantes, jette un oeil sur sa fiche pour voir quand est passé le médecin pour la dernière fois, et je reste quelques secondes à la regarder dormir. J’espère qu’elle ira bientôt mieux. Je viens replacer une mèche de cheveux derrière son oreille et finis par quitter la chambre, la laissant dans son sommeil. A peine sorti, je me fais happer par deux de mes collègues. « Doherty, t’es en pause aussi ? » Je regarde ma montre et hoche la tête. « Ouais, et j’ai bien besoin d’un café ! » Nous partons tous trois vers la salle de repos la plus proche, celle que j’utilise le plus souvent pour la bonne raison que c’est ici que se trouve mon casier et mes affaires. Assis autour d’une table, nous discutons de tout et de rien, profitant de cette pause et surtout de cette journée assez calme. J’entends soudainement des talons claquer dans le couloir qui mène à la salle de repos, et je reconnaitrais entre mille la démarche assurée de Tara. Je n’interromps pas pour autant ma discussion avec mes collègues qui rient de bon coeur à mes âneries. Mais à peine la jolie chirurgienne eut elle frappé deux coups secs contre la porte, que l’assemblée se tait. Je tourne mes yeux vers la blonde assurée et me retiens de sourire devant son applonb et la froideur dont elle fait part. Ce personnage qui fait peur à tout le monde ne m’effraie pas le moins du monde, et pour cause, je suis le seul à la voir sous un autre angle. Notre relation a dépassé les limites du cadre professionnel depuis quelques mois déjà, et quand je la regarde, je ne peux faire autrement que de l’imaginer nue, mes mains caressant son corps sensuel. « Doherty, si j’avais voulu un torchon en guise de compte rendu post-opératoire j’aurais été à la laverie en chercher un directement. » J’arque un sourcil, comprenant à quel jeu elle veut jouer. Très bien. « Vous passerez dans mon bureau dans vingt minutes, tout est à refaire et visiblement il faut encore vous expliquer la marche à suivre. » Je soupire un peu, faisant mine d’être dépité alors que je n’ai aucune angoisse et que la plupart du temps quand elle me demande dans son bureau, ce n’est pas pour parler boulot. Ou pas seulement. La jeune femme s’éloigne et mes collègues se tournent vers moi. « J’croyais qu’elle t’avait à la bonne ? » Je secoue la tête et fini mon café. « Tu rigoles, elle me pourrit la vie ouais ! J’sais pas ce qu’elle a avec moi mais elle me fatigue ! » Dans tous les sens du terme. « Tu lui plais ! » J’éclate de rire. « Oulà non ! S’tu verrais comme elle me parle comme de la merde, merci bien ! Si je l’écoute, je me tire une balle demain, selon elle je suis genre le pire futur médecin du monde ! » Et vas-y que j’en rajoute des caisses. Je n’ai aucune envie de perdre ma place, et encore moins de lui faire perdre la sienne. Il n’est pas question que quelqu’un apprenne nos escapades sexuelles dans son bureau - ou ailleurs.

Vingt minutes plus tard, comme prévu, je frappe à la porte du bureau du Dr Owenson. Elle me dit d’entrer et je ne me fais pas prier, posant les pieds dans ce bureau que je connais comme ma poche. « Tu te fais encore taper sur les doigts... » Je souris en même temps qu’elle, approchant de son bureau doucement. « J’aime que tes collègues pensent que j’adore te maltraiter. » Je ris légèrement, enfouissant mes mains dans les poches de ma blouse. « J’en ai rajouté une couche, j’ai joué le martyr, histoire de noyer un peu plus le poisson ! » Je lui offre un sourire complice alors qu’elle me demande de m’asseoir. Je ne me fais pas prier et prends place dans le fauteuil qu’elle me désigne, ne la lâchant pas des yeux. Elle est vraiment beaucoup trop belle pour être réelle. « Est-ce que tu es allé voir Alyx ? » Je penche la tête sur le côté, sortant de mes idées peu catholiques pour me reconcentrer sur ses dires, et l’état de sa meilleure amie. « Oui ! Hier déjà, elle avait appelé pour refaire son cathéter qui lui faisait mal. Elle était dans un sale état, le temps que j’aille lui chercher des comprimés gastro-résistants, je suis revenu elle avait arraché son nouveau cathéter et elle était au dessus des toilettes… je suis resté un peu avec elle, on a discuté, histoire de lui changer les idées… » Je hausse légèrement les épaules. Ce n’était pas beau à voir, mais cette femme a quelque chose de véritablement touchant. « Je suis passé tout à l’heure dans sa chambre elle dormait, tout avait l’air d’aller. Je pense qu’elle a besoin d’une thérapie mais elle devrait aller mieux, non ? » C’est étrange de m’inquiéter d’une patiente que je ne connais même pas. Enfin, même si la sensation de l’avoir déjà croisée quelque part ne me quitte pas.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyDim 18 Sep - 22:40

Kylian est un garçon intelligent je l’ai tout de suite remarqué, ça et son professionnalisme qui en plus de sa belle gueule ne gâchent rien. Et c’est principalement parce qu’il n’est pas une coquille vide que mon attention s’est posée sur lui. L’interne a d’ailleurs tout de suite compris les enjeux d’une relation comme celle que nous entretenons… parce que l’excitation de l’interdit a un prix : la discrétion. Et depuis six mois que ce petit manège dure nous nous en sortons plutôt bien. Enfin jusqu’à maintenant, puisque ça fait quelques temps que des rumeurs courent et que j’œuvre pour les faire taire. Je me montre particulièrement exigeante avec le beau brun, le rabaisse volontiers mais sans jamais tomber dans l’excès pour que mon attitude ne soit pas too much et fasse l’effet inverse de celui recherché. De son côté Kylian œuvre également pour garder nos petites entrevues totalement secrètes et faire que les rumeurs restent à cet état là. Au fil du temps nous avons développé une vraie complicité, il est le seul parmi les internes a avoir le privilège de me voir sous d’autres aspects que ceux que je veux bien montrer dès que je suis le Docteur Owenson aussi surnommée l’Iceberg, et je passerai sur les autres sobriquets que l’on m’a attribué. « Tu as bien fait. Si ça commence à jaser un peu trop il faudra arrêter tout ça et… » je lâche un léger rire « Je n’en ai pas vraiment envie. » je suis honnête, toujours. Je n’ai pas à cacher mes envies, surtout pas à Kylian qui en a assouvit plus d’une durant les mois passés.
Pour le moment je délaisse cela dans un coin de ma tête, bien que la seule présence du jeune homme et cette façon qu’il a de me regarder pourraient me faire flancher. Mais le sujet que je veux aborder avec lui en priorité est plus important que mon désir. C’est dire si c’est important ! Lorsqu’il s’agit d’Alyx tout passe au second plan, surtout depuis qu’elle a été admise entre ces murs après avoir avalé une boite entière de médocs. J’interroge l’interne sur le bon déroulement de cette mission que je lui ai donné et sourit lorsqu’il affirme avoir pris le temps de rendre visite à ma meilleure amie. Je sais que c’est d’avantage le médecin en lui qui le conduit à agir en ce sens plutôt que ma requête, mais je suis contente de savoir qu’il veille un peu sur elle et peut me tenir au courant de son état quand mon planning ne me permet pas de le faire moi-même. Je perds mon sourire en l’écoutant me dire qu’Alyx est dans un sale état, ma mine se fait plus grave et la culpabilité m’assaille à nouveau, je détourne le regard. J’aurai dû voir que quelque chose clochait, j’aurai dû être plus attentive et elle ne serait très certainement pas dans un lit d’hôpital à l’heure qu’il est. Je soupire, me sentant impuissante puis me redresse dans mon fauteuil et hoche la tête avec conviction. Oui elle va s’en sortir je ne lui laisserai de toute façon pas d’autres choix. « Bien sûr. C’est une battante et… je vais l’aider. » faire mieux, être plus présente. Il le faut. « Si elle rechigne à voir quelqu’un je l’y trainerai par la peau des fesses. » je hausse les épaules « Je suis passée à côté une fois, je ne vais pas refaire cette erreur et tant pis si elle fini par me détester d’être toujours sur son dos. ». Mes iris azures se fixent à nouveau sur mon interlocuteur « C’est très gentil de ta part de prendre du temps pour aller la voir. Même si tu le fais parce que c’est ton boulot, je ne doute pas un seul instant que tu sois particulièrement attentif la concernant. Merci. » mes propos sont sincères, je suis peut-être une sorte de dragon aux yeux de bons nombres des gens qui travaillent ici mais je sais dire merci quand quelqu’un le mérite.
Cette fois ce sont un sourire et un regard malicieux qui animent mes traits quand j’ajoute « Certains ne se plaignent pas de m'avoir sur le dos, au contraire. » j’arque un sourcil, je sais que Kylian comprend très bien ce que je sous-entends. J’aperçois ses tatouages sous sa manche légèrement relevée, j’en imagine la suite en sachant que les moments où j’ai tout le loisir de les contempler dans leur totalité, sont ceux où l’interne est dévêtu. Je me lève, plus pour faire quelque chose que par réelle utilité, réaligne les dossiers avec l’arrête de mon bureau et m’avance jusqu’au coin le plus proche de l’interne. Je m’y assoie, croise les jambes, observant le beau brun en profitant de le dominer de par ma position par rapport à lui. Il provoque en moi une tension dont j’ai du mal à me passer, parce que je connais la suite, je sais le dénouement délicieux qu’il est capable de m’offrir. « Tu as toujours ce torchon de rapport post-op à réécrire… » dis-je avant de tendre la main vers sa joue et de laisser mes doigts fins glisser sur sa barbe « C’est une catastrophe Doherty, et vous êtes en quoi déjà… ? Dernière année, c’est ça ? » je ris, passe mes doigts sur le contour de sa mâchoire puis exerce une légère pression sous son menton pour l’inviter à se rapprocher « Ce n’est pas sérieux. » cette fois c’est presque seulement un souffle qui s’est échappé d’entre mes lèvres.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyLun 19 Sep - 12:10

❝ You're to hot for your own good ❞
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« Tu as bien fait. Si ça commence à jaser un peu trop il faudra arrêter tout ça et… » Je la regarde rire avant d’entendre la suite. « Je n’en ai pas vraiment envie. » Me voilà rassuré parce que pour être tout à fait honnête, je n’ai pas non plus envie que ça cesse. Nous ne sommes pas un couple, notre relation n’est pas exclusive et je l’ai même déjà croisée avec son petit ami, alors rien d’officiel entre nous. Pourtant cela dure depuis quasiment six mois, et j’aime cette relation, alors je ferai tout ce qui est en mon possible pour que personne ne soit jamais au courant, je n’en ai même pas parlé à ma soeur, c’est pour dire. Elle aurait été capable de débarquer ici et demander le Dr Owenson pour voir sa tête et ça aurait empiré la situation. Je laisse Tara me poser ses questions concernant Alyx, sa meilleure amie de qui j’ai fait la connaissance pas plus tard qu’hier. Je suis franc avec elle, je ne prends pas vraiment de gants, elle est médecin elle aurait eu vite fait de comprendre que je ne disais pas la vérité. Je la vois grimacer et je me pince un peu les lèvres dans une moue véritablement désolée. Je ne connais pas cette Alyx, j’ai seulement compris qu’elle n’allait pas bien ce moment, je ne sais si pourquoi ni comment mais elle a fait une erreur et elle n’avais pourtant aucune envie de se retrouver ici, avec autour d’elle ce corps médical qui lui rappelle visiblement ses années d’internat. « Bien sûr. C’est une battante et… je vais l’aider. » Je hoche la tête, heureux de voir qu’elle ne restera pas là sans rien faire. Alyx avait l’air de sous-entendre que Tara avait honte d’elle, de son geste, pourtant, je n’imagine pas le Dr Owenson porter préjudice à sa propre meilleure amie, de quelque manière que ce soit. Elle m’explique qu’elle ne laissera pas le choix à Alyx, même si elle ne veut pas de son aide. J’imagine que ces paroles sont plus prononcées pour elle-même que pour moi, mais je la laisse dire, continuant de l’écouter attentivement, assis dans mon fauteuil. « C’est très gentil de ta part de prendre du temps pour aller la voir. Même si tu le fais parce que c’est ton boulot, je ne doute pas un seul instant que tu sois particulièrement attentif la concernant. Merci. » Je lui offre un tendre sourire et hoche légèrement la tête. « Tant qu’elle sera là je ferai de mon mieux, tu me l’as demandé, et puis elle est loin d’être désagréable comme d’autres patients pourraient l’être.» Un silence s’installe et bien vite, le regard inquiet de Tara est remplacé par une étincelle de malice. « Certains ne se plaignent pas de m'avoir sur le dos, au contraire. » Je ricane légèrement à son sous-entendu. « Hum, les bruits de couloir ont tendance à dire que la totalité de cet hôpital se plaint de t’avoir sur le dos. » J’arque un sourcil à mon tour avant de poursuivre. « Mais moi je sais que ce n’est pas vrai. » S’il devait n’y avoir qu’une seule personne a ne pas s’en plaindre, ce serait bien moi. Je la laisse parcourir ma silhouette de son regard gourmand et je ne me gêne pas pour en faire de même, ne bougeant pas pour autant d’un seule centimètre. Lorsqu’elle se lève pour réaligner les dossiers sur son bureau, je souris, et fais légèrement glisser mes fesses sur le bord du fauteuil, mon dos contre le dossier dans une attitude un peu plus avachie, mes bras sur les accoudoirs, et mon regard dévorant la trentenaire blonde. Elle s’installe, ses fesses en appui sur le rebord du bureau, ses jambes - divines - croisées juste à hauteur de mon regard, et ses mains prennent place sur le bois de son bureau, de part et d’autre de ses fesses magnifiquement moulées dans cette petite jupe. Un frisson me parcourt l’échine à l’idée de tout ce que j’aurai envie de lui faire. « Tu as toujours ce torchon de rapport post-op à réécrire… » Je m’approche, toujours assis, mes avant-bras en appui sur mes genoux et le dos légèrement courbé. Sa main vient caresser ma barbe de quelques jours et je ne quitte pas son regard, je le dévore même. « C’est une catastrophe Doherty, et vous êtes en quoi déjà… ? Dernière année, c’est ça ? » Elle saisit ma mâchoire m’incitant à m’approcher d’elle et je la laisse faire, me levant de mon siège pour venir me coller à elle, sans un bruit, mon regard toujours ancré au sien cependant. « Ce n’est pas sérieux. » « Je sais… J'ai été absorbé par bien d'autres choses il faut dire... » lui répondis-je dans la même intonation que son murmure sensuel. « Mais j’ai peut-être un moyen de corrompre le jury… » Je viens poser mes deux mains de part et d’autre de ses cuisses, à l’extérieur, les soulevant pour l’asseoir totalement sur le bureau et insinuant mon corps entre ses jambes. Mes doigts remontent sous sa jupe, toujours sur le flanc extérieur, et un sourire coquin vient prendre place sur mes lèvres. « Reste à savoir s’il est corruptible, à vous de me dire, Dr Owenson.. » Je viens glisser mon nez dans son cou et y dépose mes lèvres, quelques baisers fiévreux destinés à la faire perdre pieds. Je ne sais pas combien de temps on a, ni même si c’est raisonnable de nous laisser aller, mais après tout, notre relation n’est pas raisonnable, alors pourquoi se priver ?
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyLun 19 Sep - 19:14

Ce n’est pas vraiment mon genre de me montrer aussi soucieuse, de laisser transparaitre cette impuissance que je ressens vis à vis de la situation d’Alyx. Je n’arrête pas de me demander ce que j’ai pu raté, pourquoi je n’ai rien vu venir… Kylian en a assez vu pour aujourd’hui, ce n’est pas parce que nous couchons ensemble que je vais lui faire des confidences plus poussées. C’est un allié certes, et il en sait déjà bien plus – même en excluant notre intimité – que la plupart des gens travaillant avec moi, mais je m’en tiens là de mes doutes face à ce sujet délicat. En présence de l’interne j’ai de toute façon beaucoup de mal à ce que mon esprit ne se mette pas à divaguer dès lors que mes yeux se posent sur lui. Son corps est peut-être dissimulé sous ses vêtements et sa blouse mais je sais pertinemment ce qui se cache dessous et mon imagination peut s’en donner à cœur joie. Mes sens se mettent en alerte, je change d’attitude et me fait plus malicieux, un peu prédatrice. J’aime l’immobilité du beau brun, sentir son regard brûlant sur moi et savoir combien il apprécie de me regarder. C’est terriblement flatteur pour mon égo d’une part et il a une façon de le faire qui me peut vite me donner chaud. Joueuse, je me rapproche, mes précédentes préoccupations sont déjà loin et c’est mon amant qui capte toute mon attention. J’use bien volontiers d’un ton taquin en reprenant les propos que j’ai utilisé pour le faire venir dans mon bureau, un prétexte monté de toute pièce. C’est plus fort que moi, je veux le sentir prêt de moi, ne serait-ce que pour me délecter de l’excitation qu’il provoque dans tout mon être. Puisque je suis dans l’interdit, Kylian est le bûcher sur lequel je veux être brûlée. Il se lève et je frissonne quand il me répond avec tout autant de sensualité que ce dont j’ai pu faire preuve. Nous sommes physiquement connectés… c’est chimique probablement, mais l’entente entre nous sur ce plan là c’est faite instantanément, favorisant que nous y ayons pris autant goût.
J’esquisse un sourire énigmatique lorsque le beau brun affirme avoir un moyen de corrompre le jury pour alléger sa sentence pour son horrible faute imaginaire. Je sens alors ses mains se poser sur mes cuisses, il me soulève pour m’asseoir d’avantage sur mon bureau et c’est avec plaisir que je le laisse se rapprocher. Ses doigts s’invitent sous ma jupe avec audace, il sait combien j’aime ce genre d’initiatives de sa part. Je l’ai déjà dit, c’est un garçon intelligent et il a toutes les clés pour me faire perdre le tête, précisément ce que j’attends de lui. Son sourire m’achève, Kylian est la tentation incarnée quand ces traits là se peignent sur son visage. Ma corruptibilité reste à prouver et le jeune homme vient vilement embrasser mon cou pour amorcer sa tentative de corruption. Je soupire d’aise et penche la tête pour lui donner un accès plus aisé, ses lèvres me goûtent avec arrogance et j’aime ça. « Tout dépend des arguments… » dis-je dans un murmure au creux de son oreille, si proche de mes lèvres qu’elles happent son lobe un bref instant avant que je n’ajoute « Mais tu es sur la bonne voie. Le jury pourrait ne pas être totalement impartial. ». Mes mains se glissent sur sa blouse et j’en saisi les bords pour la lui retirer après quoi je l’envoie sur le fauteuil où était assis Kylian un instant plus tôt. Je passe une main sur son cou, caresse sa nuque en y laissant mes ongles flirter avec sa peau « Va verrouiller la porte, les délibérations se font en huis clos. ». Je le fais reculer et lui adresse un sourire qui en dit long « Comme ça je profiterai de la vue au passage. » je ne perds pas le nord je sais, mais ce mec à un cul d’enfer alors autant en profiter.
Lorsque Kylian s’éloigne je mate sans vergogne tout en défaisant quelques boutons de mon chemisier. Je suis bonne joueuse et il a bien le droit à un petit bonus lui aussi. Et pour favoriser cette vue sur mon décolleté je recroise les jambes et m’appuie sur mes mains que j’ai cette fois placé derrière moi. Je le regarde un sourcil levé quand il se retourne pour revenir dans ma direction « Tu aurais pu me faire un slow motion. ». Je me mords la lèvre et décroise les jambes lorsque l’interne m’a presque rejoint, l’invitant à reprendre la place qu’il occupait précédemment. « Bien. Maintenant les négociations sont ouvertes. » j’approche mes lèvres des siennes, laisse mon souffle les caresser alors que mes yeux fixent toujours les siens « L’offre va devoir être très intéressante. ».
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyMar 20 Sep - 18:37

❝ You're to hot for your own good ❞
tara & kylian

You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 3901455339

Elle revient sur ce faux rapport post opératoire et je ne peux faire autre chose que sourire. Parce que cette fausse excuse pour me faire venir dans son bureau m’a plus excitée qu’elle m’a fait peur.  Je viens m’approcher d’elle, posant enfin mes mains sur sa peau nue, d’une douceur infinie, j’en redemande. J’écarte mes doigts pour couvrir une plus grande parcelle de sa peau et je les enfonce un peu plus dans ses cuisses pour lui montrer à quel point je la désire. Mes lèvres viennent chercher son cou alors que je lui murmure quelques mots, la taquine, la cherche, joue avec elle comme nous savons si bien le faire. Elle penche la tête et mes dents tâtonnent la peau tendre se son cou offert, ma langue l’attendrit finalement et je remonte mes baisers jusqu’à l’arrête de sa mâchoire. « Tout dépend des arguments… » Elle vient chercher le lobe de mon oreille de ses dents et je frissonne sans le vouloir. « Mais tu es sur la bonne voie. Le jury pourrait ne pas être totalement impartial. » Tara commence à retirer ma blouse et je dois détacher mes mains de son contact pour qu’elle puisse me la retirer totalement avant de revenir contre elle, la laissant glisser ses mains dans ma nuque. Elle a bien compris depuis le temps que cet endroit me faisait perdre pieds. « Va verrouiller la porte, les délibérations se font en huis clos. » Elle me pousse légèrement et je ris légèrement avant de m’éloigner de quelques pas toujours face à elle avant de me retourner. « Comme ça je profiterai de la vue au passage. » Je ris à nouveau et m’amuse à prendre mon temps malgré l’impatience qui me ronge. J’atteins la porte et verrouille la serrure avant de me retourner pour plonger mon regard dans le sien, au loin. Je meurs d’envie de courir et la prendre sauvagement sur le bureau mais je me retiendrais, pour le moment du moins. Mon regard coule sur son corps parfait à mesure que je m’avance, et je remarque qu’elle a défait quelques boutons de son chemisier, ce qui fait esquisser un sourire intéressé au coin de mes lèvres. « Tu aurais pu me faire un slow motion. » Je ris avec elle et lorsque je m’approche, elle écarte ses jambes pour me laisser reprendre ma place entre ces dernières. Cette fois, une main dans le creux de ses reins, sous son chemisier, alors que de ma main libre, je viens laisser le bout de mes doigts flirter avec son décolleté dénudé et le tissus de son chemisier, taquinant la naissance de sa poitrine que j’adore. « Bien. Maintenant les négociations sont ouvertes. » « J’ai cru que ça n’arriverait jamais ! » Je lui souris, cherchant à la déstabiliser, et elle vient approcher ses lèvres des miennes sans pour autant les embrasser. « L’offre va devoir être très intéressante. » « Sans vouloir me vanter, je pense qu’elle pourrait vous plaire… » De ma main dans le bas de son dos, je l’attire un peu plus à moi pour que son corps soit totalement collé contre le mien et que, de ce fait, elle puisse sentir toute mon excitation. Une fois fait, je libère ma main et de mes dix doigts, je commence à déboutonner son chemisier sans pour autant l’embrasser, gardant pourtant mes lèvres très proches des siennes. « J’ai de très bons arguments, si vous me laissez faire mes preuves, je vous laisserai quelques… » Je me mords la lèvres avant de poursuivre. « Secondes pour réfléchir à votre décision finale… » Je m’approche de son oreille pour venir y murmurer avec un poil de malice. « Le temps que tu retrouves ton souffle. » Une fois fini de déboutonner son chemisier, je glisser mes mains à l’intérieur au niveau de ses épaules pour le faire tomber le long de ses bras. Une fois retiré, mes mains trouvent leur place en caressant sa poitrine et je lâche un soupir de satisfaction. Sans plus tarder, d’une main dans son dos, je dégrafe son soutien-gorge et l’envoie valser aussi vite que son chemisier. Je mords sa lèvre inférieure mais sans encore l’embrasser et mes baisers glissent à nouveau dans son cou, sur son épaule, et je la retiens d’une main dans son dos pour la faire se cambrer et se pencher un peu en arrière de façon à ce que je puisse embrasser aisément ses seins galbés, les tétons durcis et pointant vers moi. Je m’en délecte comme du fruit le plus beau que je n’ai jamais vu, touché, senti, embrassé. Je peux sentir son ventre qui se soulève plus rapidement et je viens glisser ma main sous sa jupe, entre ses jambes pour la caresser et faire monter un peu plus encore la température. Je la fais remonter de par la pression dans son dos et cette fois je me jette sur ses lèvres avec une envie non dissimulée, cherchant sa langue, mordant sa lèvre inférieure avec fièvre. « Laissez-moi vous montrer à quel point je suis compétent dans mon métier. » Je lui souris, charmeur, et m’écarte au moment où elle cherche à m’embrasser à nouveau, le souffle plus court. Sans plus tarder, je viens me mettre à genoux sur la moquette, arrivant exactement à l’endroit propice, de mes deux mains j’attrape les bords de son sous-vêtement et le fais glisser le long de ses jambes, par dessus ses escarpins que je lui laisse, ainsi que sa jupe - que je relève juste assez pour avoir une vue sublime sur l’endroit le plus sensible de son anatomie. Sans attendre, je viens la chatouiller de mon souffle dépose quelques baisers sur l’intérieur de ses cuisses, d’un côté puis de l’autre laissant ma barbe naissante chatouiller elle aussi la peau sensible de cet endroit. Une fois que je sens que Tara est prête, je laisse mes baisers la faire succomber, jouant également de ma langue pour lui faire perdre pieds.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyVen 23 Sep - 21:42

You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197  You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197

J’aime son regard, j’aime ses mains sur ma peau, la franchise de ses intentions qui s’accordent tout à fait aux miennes. J’adore ce que Kylian provoque en moi, cette petite décharge électrique qui me traverse lorsque ses gestes se font plus intenses. Nous jouons au même jeu et c’est pour ça que les choses fonctionnent si bien. Je le missionne d’aller fermer la porte, l’éloignement provisoire de l’interne ne faisant qu’augmenter mon désir. Mon corps le réclame, il veut sa dose de désir, l’échauffement progressif de nos peaux l’une contre l’autre. Je garde ma place privilégiée, celle de la femme qui sait ce qu’elle veut et mon amant est parfaitement au courant que je mets la barre très haute. Je suis dans l’intimité comme professionnellement très exigeante, je ne m’embarrasse pas de la médiocrité et si Kylian a encore mes faveurs après plusieurs mois c’est qu’il est parfaitement à la hauteur. Oh ça oui il l’est… et le creux de mes reins brûlent de le savoir. Mon être entier anticipe la fièvre qui ne tardera plus à s’emparer de moi. Et c’est bon, tellement bon que parfois je pourrais assimiler ça à une sorte de drogue. Mais je ne suis pas la seule impatiente, je vois dans les yeux du beau brun toute l’envie qu’il éprouve à mon égard. Constat terriblement excitant et j’adore être celle qui déclare les négociations ouvertes. Je sais que ce contrôle n’est qu’une illusion, qu’il aurait tout aussi bien pu décider de se montrer bien plus intense et direct dans ses gestes, mais Kylian sait jouer le jeu, un vrai atout. Incapable de résister à ces quelques caresses qu’il exerce à la naissance de ma poitrine j’ai hâte de l’étape suivante, le moment où ses mains viendront se poser sur mes seins.
Sûr de lui, pleinement confiant des cartes qu’il a à jouer, Kylian affirme que son offre pourrait vraiment me plaire. Docilement je lui laisse l’opportunité de me vendre ses arguments, il prend le contrôle et me rapproche de son corps par un seul geste que les hommes de sa trempe savent rendre irrésistible. Un mélange d’autorité et de respect, un équilibre subtil que l’interne m’a plusieurs fois prouvé maitriser. Je sens son excitation et m’en réjouis, mon bassin oscillant subrepticement contre le sien donnant ainsi un indice sur mon propre niveau d’envie à cet instant. Joueur, le beau brun s’applique à me faire languir. Il dose son effet et un sourire presque carnassier orne mes lèvres quand il mord la sienne. Son murmure m’arrache un frisson et je réplique, amusée « Prétentieux. ». Il ne l’est aucunement en réalité, je vais perdre mon souffle, d’ailleurs ma respiration se hache déjà alors qu’il retire mon chemisier. J’ai à la fois envie qu’il aille plus vite et garde ce même tempo qui rend mon impatience délicieuse. Paradoxe du désir. Je n’ai pas bougé, ou presque pas, m’en remettant à ses mains audacieuses. J’apprécie par moment de me laisser aller ainsi, être comme dominée… mais si c’est excitant c’est parce que j’ai décidé que les choses se passeraient comme ça. Lorsqu’il mord ma lèvre une légère frustration se mêle à l’envie, cependant c’est mon cou qui obtient les bonnes grâce de ses baisers. Je me cambre volontiers, m’embrase à chaque contact de sa bouche sur ma peau, apprécie le traitement qu’il réserve à mes seins. Je soupire, agrippe sa nuque d’une main et laisse la chaleur bienveillante du plaisir m’envahir sous l’effet des gestes parfaitement calculés du jeune homme.
Le futur médecin ne s’en tiendra pas là, ce n’est qu’une amorce d’une suite que je sais prometteuse. Kylian ne m’a jamais déçu et j’espère qu’il n’a pas choisi ce jour pour commencer. Mais tout dans son attitude me laisse croire que ce n’est pas le cas, que comme à son habitude le jeune homme va être pleinement à la hauteur. Ses dents agrippent ma lèvre inférieure et j’ai l’espoir qu’enfin je puisse l’embrasser, dévorer ses lèvres que j’apprécie tant. Elles ont tout l’air d’avoir été faite pour s’entendre à merveille avec les miennes. La remarque du beau brun n’est pas sans effet sur moi et je lis dans son regard une lueur prometteuse. J’allais l’encourager par un baiser rempli de cette fièvre qui m’a envahie, et il m’en empêche, se dérobe en m’arrachant une légère mimique de contrariété. Mais son geste suivant lève toutes les interrogations sur ses intentions. J’anticipe la suite et mon excitation grimpe encore d’un cran. Mes mains s’accrochent sur le bord de mon bureau, mes doigts s’y crispent dès les prémices de ce nouvel argument que me vante l’interne. Mon ventre se contracte brutalement au contact de ses lèvres, je brûle et me consume. Un souffle m’échappe, je rejette ma tête en arrière totalement incapable de masquer l’effet du plaisir qu’il m’offre. Mon souffle m’échappe en plusieurs soupirs, une chance que je sois une pro de la discrétion. Mes ongles quant à eux maltraitent volontiers le bois avant que l’une de mes mains ne quitte sa prise et faire reculer mon amant.
Je me redresse, saisi les bords de son col et le fait se relever, je le rapproche énergiquement de moi et mes doigts habiles défont sson pantalon avec rapidité. Ce dernier et son sous-vêtement subissent un traitement express. Mes jambes s’enroulent, l’emprisonnent contre moi et passant les bras autour de son cou je me soulève légèrement pour lui chuchoter « Prends moi maintenant… ». Un ordre, une supplique peu importe à quoi cela ressemble c’est la traduction de mon état. Je suis au bord du précipice, prête à me laisser emporter par le vertige et je veux que Doherty m’y précipite comme il sait si bien le faire. Je ne suis pas du genre patiente et je chérie la petite décharge électrique que me donne l’empressement.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyMar 27 Sep - 13:12

❝ You're to hot for your own good ❞
tara & kylian


You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197  You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197  You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 3901455339

Je ne peux pas lui résister, c’est tout bonnement impossible. La voir là, ses yeux sur moi, j’ai envie de la dévorer toute crue. Et si je sais qu’elle aime quand je ne passe pas par quatre chemins, j’aime aussi la faire languir au maximum du possible, que le désir monte en flèche sans qu’elle ne puisse le contrôler. Parce que la voir perdre le contrôle est quelque chose d’étonnement jouissif. Elle, cette femme de caractère qui a tendance à vouloir toujours tout contrôler, qui prend les choses en main chaque fois qu’elle en a l’occasion, me laisse le droit de la faire languir, bouillir, et j’y arrive plutôt pas mal sans vouloir me vanter. « Prétentieux. » Je ris un peu, mais nous savons tous les deux que je ne mens pas. Je sais à quel point je peux la faire frémir par un regard, par une caresse. Je joue avec elle, l’allume plus que de raison, mords sa peau, me délecte de ses seins parfaits, et je suis bien décidé à lui faire tout oublier de sa journée, des choses qu’elle a à faire, je veux qu’elle ne pense plus à rien qu’à moi et à ce que je vais lui faire. Ses jambes reposant sur mes larges épaules, je m’attelle à lui procurer un plaisir sas nom. Je n’ai pas le loisir de voir son corps se cambrer, bien malheureusement, caché par sa jupe que je ne lui ai pas retirée. Je profite de ma main pour aller caresser ses seins. J’entends sa respiration s’accélérer et les râles de plaisir traverser ses lèvres. Bordel c’est pas possible d’être aussi excitante. La chaleur s’invite aussi en moi alors que mes lèvres la dévorent, s’emparent de sa peau, de son goût délicat. Mais je sens la main de Tara s’emparer de mes cheveux, non pas pour m’inciter à continuer mais au contraire pour me faire reculer. Je passe négligemment le revers de ma main contre mes lèvres alors qu’elle attrape de ses deux mains le col de mon t-shirt pour m’attirer à elle. De ses doigts fins, rapides et agiles, elle s’empresse de défaire mon pantalon pendant que je viens l’embrasser à pleine bouche. Je sais exactement ce qu’elle veut, et je sais aussi que je ne pourrai lui refuser puisque l’envie me démange autant qu’elle. Elle se débarrasse de mon pantalon et de mon sous-vêtement plus rapidement qu’il ne faudrait de temps pour le dire, et je finis le travail en m’aidant de mes pieds. D’un geste rapide je retire aussi mon t-shirt avant qu’elle ne vienne entourer mon cou de ses bras, plaquant son corps brûlant contre le mien. « Prends moi maintenant… » Un rictus carnassier prend place au coin de mes lèvres et je m’amuse et venir frotter ma virilité tout contre son intimité pour la faire languir un peu plus. Elle est trempée et je sais que je n’y suis pas pour rien. Mes mains sur ses fesses, je la soulève encore un peu alors que ses jambes s’enroulent autour de mon bassin. « J’en conclus que je suis sur la bonne voie pour convaincre le jury ? » Je ne perds pas une seconde et m’introduis en elle, pleinement, d’un seul coup, me délectant du gémissement qui franchit ses lèvres. Un grognement s’empare des miennes et je la laisse onduler un peu avant de reposer ses fesses sur le bureau, prenant appui pour que je puisse faire des mouvements plus amples et plus profonds. Comme toujours, je m’adapte à elle, prenant plaisir à lui en donner avant d’en recevoir. C’est ce que je suis. Mes doigts s’enfoncent dans sa peau, la caressent de manière virile mais sans oublier la tendresse dont je peu faire part, mêlée à une certaine bestialité. Je viens chercher ses lèvres pour lier nos bouches dans un nouveau baiser fiévreux, n’arrêtant pas pour autant mes coups de reins. Je décide de m’arrêter d’un seul coup, et je souris de voir le regard surpris de Tara. Elle pourrait me tuer à cet instant, et d’autant plus que je me retire, toujours avec ce sourire amusé. Je la fais descendre du bureau et reviens l’embrasser, plaquant son corps contre le mien, et après un baiser brûlant, je la retourne de manière à ce que son dos épouse la forme de mon buste. Mes mains divaguent pour la caresser absolument partout, m’attardant sur ses seins bien sûr, et je descends jusqu’à la titiller le centimètre carré le plus sensible de son anatomie du bout de mon index. « Tu veux d’autres arguments ? » Je souris et mordille la peau de son cou, avançant à nouveau jusqu’au bureau avant de la faire se pencher sur ce dernier. Ma main glisse de sa nuque jusqu’au bas de ses reins, et je caresse ses fesses avant d’entrer en elle à nouveau, d’une facilité déconcertante.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyVen 30 Sep - 12:01

You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 216521197 You're to hot for your own good (Kylian&Tara) 2573357129
Sous ses mains, ses baisers, ses gestes calculés et précis je suffoque presque de plaisir. Je perds pied, me cambre et souffle cette extase qui m’envahie. Sa force grande force c’est son attention et son sens de l’observation, il a appris de moi ce qui me fait me tordre de plaisir et je sais que ça flatte son égo que de se sentir maître de ma jouissance. Je lui laisse volontiers ce rôle, lâche prise et m’abandonne à la merci du beau brun. J’aurais pu le laisser m’emmener jusqu’au bout, atteindre l’orgasme mais mon appétit est autre. L’interne le sait, il me connaît désormais et quand je le fais reculer je lis la détermination dans ses yeux. J’aime sentir son excitation contre mon intimité, mais m’impatiente de le sentir en moi. Il joue, sait que mon envie ne fait que croitre à chaque instant et s’autorise même un petit commentaire qui à cet instant, bien qu’il fasse parti du jeu, n’a rien à faire là. « Moins de mots plus d’actions Doherty. » soufflais-je sur le point d’unir nos deux corps moi-même. Je n’ai pas besoin d’en arriver là, enfin il accède à ma requête presque avec autorité et j’en gémit de manière incontrôlable. S’en suit le ballet délicieux de nos deux corps qui se heurtent, s’emboitent, s’embrasent. Kylian allie à merveille douceur et bestialité, il me rend folle et mes ongles s’enfonce dans son dos sans ménagement. Je dévore ses lèvres, trouvant là un moyen de canaliser l’expression de mon plaisir. Je sens poindre le moment où je vais flirter avec l’inconscience, mourir l’espace de quelques secondes dans un tourbillon de sensations.
Mais mon amant s’arrête brusquement me laissant frustrée et interdite. Mon regard en dit long sur ce que je pense, ma perplexité augmente quand il se retire. Bordel mais à quoi il joue ? Il m’invite à descendre de mon bureau ce que je fais, me plaquant à nouveau contre lui sans résistance. Il m’embrasse avec voracité, le désir chassant alors ma brève incompréhension pour reprendre le contrôle de mon être. Et avant même qu’il ne me fasse me retourner je vois soudainement clair dans son jeu, m’en veut presque de ne pas avoir percuté plus rapidement. C’est un homme plein d’audace, ce que j’adore. Il caresse mon corps de nouveau, je ne me lasse pas de sentir ses paumes sur chaque parcelle de ma peau et encore moins ses doigts habiles et aventurier sur mon intimité. Je n’en peut plus, je veux qu’il m’achève mais il parle encore alors que je frissonne à son mordillement. Je sais que dans ces moments là il profite de ma docilité, en fait j’apprécie lui donner le dessus, ou au moins l’illusion qu’il l’a. Je me courbe au dessus de mon bureau, creuse les reins en sentant cette longue caresse le long de mon dos. Alors qu’il se décide enfin à entrer à nouveau en moi, je saisi sa main et l’emmène jusqu’à ma poitrine. Quelques gémissements m’échappent, je tente tant bien que mal de les maîtriser, me mord la lèvre. Nous sommes en phase sur le rythme de nos corps unis, je me redresse légèrement pour sentir le jeune homme contre moi, j’ai besoin de ce contact qui participe activement à mon ascension vers le plaisir ultime.
Je me sens emporter par une vague impossible à arrêter, perds la notion de la réalité, bascule dans une délicieuse forme d’inconscience mon corps entier tendu par la jouissance. Essoufflée je m’appuie contre Kylian, ferme les yeux et me délecte de cette sensation « Arguments recevables… sanction annulée. » dis-je avec un léger sourire le souffle toujours court. L’abandon est toujours de courte durée avec moi et reprenant pleinement lien avec la réalité je m’éloigne de mon amant afin de récupérer mes affaires pour me rhabiller. Je jette un coup d’œil vers l’horloge et souris « Ta disparition n’aura rien de trop suspecte. » je reboutonne mon chemisier en prenant soin de ne pas me tromper de bouton, ça la foutrait mal. Je ramasse mon sous-vêtement et fais une légère moue « De la lingerie hors de prix et voilà comme tu la traite… » je lève les yeux, amusée « La prochaine fois je me contenterai d’une gaine. ». Sans être prétentieuse je crois que j’arriverais à exciter le beau brun même en étant vêtue d’un sac poubelle. C’est un homme, il suffit de s’avoir y faire. M’approchant de lui je passe la main sur sa joue « J’aime la ferveur de vos argumentations Doherty. » je dépose mes lèvres contre les siennes avec une certaine lenteur calculée « Ne perdez pas ça, c’est une belle qualité que de savoir défendre sa position. ». Je recule, ouvre un tiroir de mon bureau pour en sortir un miroir et contrôler mon aspect « J’espère en tout cas que désormais ce genre de compte-rendu est acquis. » je reprends mon aplomb et mon autorité « Déguerpissez Doherty, je vous ai assez vu. » le sourire que je lui offre en dit long sur mon appréciation quant au moment que nous venons de passer.
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MessageSujet: Re: You're to hot for your own good (Kylian&Tara) (#)   You're to hot for your own good (Kylian&Tara) EmptyLun 3 Oct - 23:33

❝ You're to hot for your own good ❞
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Je continue le petit jeu auquel nous jouons depuis tout à l’heure, mais de toute évidence, Tara veut que je me taise. « Moins de mots plus d’actions Doherty. » Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais je ne m’en formalise pas, et au lieu de jouer les rebels, je fais exactement ce qu’elle me demande, c’est à dire redoubler d’efforts pour lui donner du plaisir. Mon but est bien là, nulle part ailleurs. Je ne tarde pas à unir nos corps et le gémissement qu’elle laisse échapper, mêlé à mon grognement semi étouffé me fait sourire. Il ne nous faut pas longtemps pour nous adonner à un ballet de corps, alternant moments de tendresse et de bestialité pour ne pas laisser un seul instant de battement. Je ne la laisse pas respirer, moi non plus d’ailleurs. Comme à chaque fois, je ne fais pas les choses à moitié, me laissant aller complètement, lui donnant tout ce dont je suis en mesure de lui donner. Mais alors que je sens qu’elle est à deux doigts d’atteindre l’orgasme, je décide de la faire languir quelques secondes, me retirant pour la faire se tourner et se pencher contre le bureau. Un petit fantasme auquel j’aime la faire se plier. Je la fais se pencher et je ne tarde pas à venir m’unir à elle à nouveau. Tara vient chercher ma main pour que je puisse caresser sa poitrine, geste auquel je ne rechigne pas, bien au contraire. Je me nourris de ses gémissements et elle se redresse pour chercher le contact de mon corps brûlant. Je lui fais remonter un genou sur le bureau pour avoir plus de facilités dans mes mouvements et j’ajoute des caresses de mes mains contre son intimité pour être sûr de la faire venir plus vite. Je suis déjà en train de me retenir depuis quelques secondes. Je commence à bien la connaître depuis le temps, et comme souvent, nous atteignons ensemble le nirvana. Je la soutiens de mes mains alors que son corps devient aussi mou qu’un chamallow. Elle repose ses pieds sur le sol et je garde son corps encore brûlant contre le mien, mes mains désormais sur son ventre qui se soulève encore bien vite. « Arguments recevables… sanction annulée. » Je laisse échapper un rire amusé alors que je viens l’embrasser dans le creux de son cou. Une dernière marque d’affection avant qu’elle ne s’éloigne et m’échappe. Je la laisse, elle a besoin de sa liberté, c’est comme ça que ça fonctionne entre nous de toute manière. De l’affection, mais surtout pas d’amour. « Ta disparition n’aura rien de trop suspecte. » dit-elle après un bref regard sur l’horloge alors que je suis en train de me rhabiller. « Ça devrait aller, mon beeper n’a pas sonné, personne n’a besoin de moi pour le moment ! » Mon regard jongle entre les boutons de ma blouse que je rattache et le corps encore à moitié nu de Tara, alors qu’elle se rhabille peu à peu. « De la lingerie hors de prix et voilà comme tu la traite… » Je souris en la regardant, une petite moue de canaille au coin des lèvres. Je hausse les épaules et vais pour lui répondre mais elle est plus rapide que moi. « La prochaine fois je me contenterai d’une gaine. » Je ris et grimace cette fois. « Non, j’allais dire la prochaine fois ne mets rien, ça ira plus vite ! » Cela dit, même habillée dans un vieux pyjama en pilou pilou je pourrai bien être excité par la jeune femme, c’est bien ça le souci. Il est difficile de la croiser dans les couloirs et me retenir de la reluquer, ou parfois même de cacher l’excitation qui se dessine dans mon pantalon juste parce que je pense à nos échanges charnels. « J’aime la ferveur de vos argumentations Doherty. » Je réajuste le col de ma blouse en lui souriant fièrement. Elle dépose sa main sur ma joue et un baiser sur mes lèvres, baiser que j’apprécie comprenant qu’il est le dernier pour aujourd’hui. « Ne perdez pas ça, c’est une belle qualité que de savoir défendre sa position. » Je hoche la tête. « C’est noté, je ferai en sorte de ne pas vous décevoir Docteur… » Je la regarde une seconde encore alors qu’elle se recoiffe passant sa main dans sa crinière blonde. J’ai encore envie d’elle bordel… Un soupire et je commence déjà à faire quelques pas en arrière pour rejoindre la porte sans pour autant la quitter du regard. « J’espère en tout cas que désormais ce genre de compte-rendu est acquis. Déguerpissez Doherty, je vous ai assez vu. » Je lui souris, complice, ravie de comprendre qu’elle a été satisfaite une fois encore. Je hoche la tête. « Reçu. Mais n’hésitez pas si j’ai encore fait quelque chose de mal… » Je me mords la lèvre inférieure dans un sourire et quitte finalement le bureau, prenant soin d’éviter les collègues qui pourraient se trouver dans les environs.
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