contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:24
Phoenix Lancaster
See my skin, have an opinion, stop, you’re already wrong
nom › Lancaster. prénoms › Phoenix. âge › 30 ans. lieu de naissance › Londres. statut civil › Célibataire. orientation sexuelle › N’aime plus que les femmes. métier/études › Auteur, compositeur, interprète. groupe › Lost in my Mind. avatar choisi › Ruby Rose.
les informations en vrac
Est fille de militaire décoré › N’a connu que la discipline des grandes écoles militaires › Est un esprit rebelle né › dessine elle-même ses tatouages › A toujours eu un don pour l’artistique, non reconnu › A puisé un courage monstre dans la musique › A fait plusieurs tentatives de suicide › Est suivie par un psy pour stress post-traumatique › A servi en Irak › Porte beaucoup de stigmates qu’elle cache sous ses tatouages › Le tatouage est une forme de thérapie › Elle est aussi croyante que patriotique › Porte toujours une croix sur elle › Est plutôt superstitieuse › Adore le lait › A appris à jouer de la guitare en douce, alors qu’elle était inscrite à des cours de piano › La discipline a toujours été le souci premier de la jeune femme › A été élevée dans la violence › Cache de lourds secrets › Se forge une armure de ses tatouages, et joue un rôle pour ne pas qu’on la perce à jour › N’aimera sans doute jamais une femme comme elle aime sa mère › A été élevée aux Etats-Unis
les indiscrétions sur le joueur
pseudo/prénom › Félicity. âge › Plus de la vingtaine. pays/région › Sud de la France. présence › 7/7 capt’ain ! comment as-tu connu island bay › Je le connaissais déjà, je suis comme ça moi ! scénario/inventé › Inventé. raison de ton inscription › Ben… Pour RP, non ? dernier mot d'amour › Love you all <3.
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<pris>ruby rose ›</pris> phoénix lancaster
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:25
l'histoire de ma vie
Il y a une femme à laquelle vous devez la vie, et elle deviendra celle de la vôtre
Maman… Tout a été compliqué pour toi, pas vrai ? Depuis le jour où tu as rencontré papa. Je me demande même bien par quel malheur il a pu croiser ton chemin. Tu ne méritais pas ça. Même si tu t’es toujours persuadée l’aimer, en être dingue, au point de subir tout ça, sans broncher, pour qui ? Pour quoi ? Je le sais maintenant, pour moi… Parce que j’étais selon toi, la seule raison valable de supporter et de tenir bon. Tu croyais dur comme fer que la roue pouvait tourner, et elle l’a fait, mais tu as attendu toutes ces années pour la voir faire. D’où tu tiens cette force ? Celle dont je n’ai pas hérité ? Et dis-moi maman, pourquoi j’ai tout pris de papa ? Pourquoi je n’ai que de toi, ces yeux là, pleins de mélancolie. Aussi brune que tu es blonde, aussi enragée que tu sais relativiser, tu lâches autant prise que ce que je peux être hargneuse, et tu es aussi bienveillante que j’aime me faire du mal, par quelque moyen que ce soit dans mes périodes obscures. Et tu soutiens encore aujourd’hui en avoir été amoureuse, de papa… Il n’était alors pas encore le connard qu’il est devenu ? Je demande à voir, j’ai du mal à l’imaginer sensible, avoir un cœur, ou une quelconque bonne intention du moment que ça ne sert pas ses intérêts. Le résultat chef, le résultat mon caporal, le résultat mon commandant, le résultat mon colonel. Tout ça, c’est du passé, mais tout ça, c’était ton quotidien. Et le mien…
Tu te souviens de ces foutues rentrées dans les écoles militaires les plus chères et renommées ? Tout ça pour t’éloigner un peu plus de moi, ou m’éloigner de toi, je n’ai jamais su. Je devais apprendre l’indépendance, toute petite, dès 6 ans. Moi tout ce dont je me rappelle, c’étaient ces semaines à rallonge, ces robes en laine qui gratte et ces uniformes horribles. Alors quand tu critiques aujourd’hui mes jeans usés, s’il-te-plaît, je reviens de l’enfer, quand même ! Et mes cheveux… Mes cheveux mamans. Ces couettes parfaites, ces cheveux peignés chaque jour que Dieu faisait. Mes cheveux d’un noir de jais qui contrastaient avec mes yeux clairs, les tiens. Ceux qui faisaient craquer tout le monde. Heureusement pour moi, j’étais maligne et savait charmer les surveillantes. Combien de remarques j’ai eu à encaisser sur mon comportement ? Et le nombre que papa avait eu à entendre sur mon compte ? Tu prenais toujours ma défense et en pâtissais toujours. Tu crois que je ne voyais pas ces bleus sur ton visage, tes bras, et tes épaules, quand tu venais me chercher le vendredi soir après l’école ? Et que je peinais à porter mon sac trop lourd pour moi. Tu proposais toujours de le faire à ma place, même si la douleur que la sangle exerçait sur ta peau meurtrie te faisait grimacer. Con, violent, impatient et intransigeant, ça faisait déjà beaucoup, non ?
Papa avait une idée en tête, avoir un garçon. Mais tu ne lui as apporté que moi. Un accident, et tu es devenue stérile, et moi, l’espoir raté de mon père. Je ne valais pas grand-chose de mon statut de nana, pour un mec comme lui. Il lui fallait une paire de couilles, c’est limite ce qu’il a tenté de me greffer ! Il m’a élevée à la dure, et à force de t’y opposer, tu es devenue sa cible préférée. J’ai suivi le mouvement de son fils fantôme, je suis rentrée à l’armée. Pourquoi ? Parce que c’était sans doute ma place, parce que je devais sans doute suivre les traces de mon père dans l’espoir qu’il finisse par te foutre la paix, à toi. J’ai suivi les classes, non sans broncher, mais tu me connais, comment j’aurais pu la fermer tout ce temps ? Ce n’est pas moi, il a bien fallu que je leur dise à tous ces gros cons que leur façon de penser me cassait singulièrement les couilles ! Et puis tu parles, fille de Lancaster, comment j’aurais pu m’en sortir autrement que bizutée ? Y a un truc qui m’aidait à tenir, de l’école à mes classes, et même après, c’était cette petite croix, que tu m’avais donné le jour de ma première rentrée à l’école, tu te souviens ? Je ne l’ai jamais quitté, pas même dans les pires moments, et c’est sans doute ce qui me protégeait si bien.
Mais ça c’était mon pain blanc. Une fois mes classes faites, et un goût certain pour les armes et la vengeance qu’elles m’apporteraient, papa n’a pas perdu de temps pour m’envoyer loin. Je croyais que c’était fini tout ça, qu’il avait fini de me faire chier, que je pourrais prétendre à un putain de poste dans un bureau, au pire, dans sa caserne, mais pouvoir te retrouver tous les soirs et te raconter mes journées de merde. Tu parles Charles ! Il me l’a faite à l’envers autant qu’à toi le vieux ! Et je me suis retrouvée en Irak avant même de dire ouf. J’avais pourtant tout supporté pour qu’il me foute la paix. La formation, les remarques déplacées, les regards et parfois même leurs mains sur moi, que je repoussais souvent d’une manière bien à moi. Je fumais comme un pompier, déjà à cette époque, mais tu ne supportais pas ça. Toi-même qui en faisais autant. En cachette de papa, au début, puis plus du tout. Quitte à prendre une beigne, autant savoir pourquoi ! Mais je crois que c’est ça qui a fait que tu as eu le déclic, tu l’as quitté, ce jour-là, je partais l’esprit libre et la vie sans doute en sursis, mais heureuse, de te savoir à présent loin de lui. Il ne méritait pas mieux, mais toi, si, beaucoup plus !
Même mon prénom il était conditionné pour que je finisse comme ça ! Phoénix, c’était la première base militaire américaine que papa a rallié après ses grades dans les services secrets anglais. Une pointure sur le terrain, et un enfer à la maison. Si seulement il avait eu l’honneur de se faire buter sur le terrain, mais non, il était bon ce con ! Malgré mon dégoût pour tout ça, mes supérieurs avaient dû reconnaître que je prouvais certaines aptitudes, et je suis devenue sniper, sur le sol irakien. Tuer un ennemi, OK, c’était ma mission. Mais quand ce connard était derrière moi, ce bras droit de papa, son allié, son missionné pour me chaperonner sur le terrain et me rappeler que je n’ai jamais été qu’un pion entre ses doigts, m’a poussé à bout, m’a forcé, à tirer sur un enfant, tout armé qu’il soit, j’ai pété un plomb, littéralement. Une crise de nerfs. Un foutu blackout, je me souviens à peine de ce qui s’est passé après. Non, je ne m’en souviens pas. Mais je l’ai tué, lui, je crois. En tout cas c’est ce qu’en disait le corps en lambeaux de chair que je tenais entre mes bras quand je suis revenue à moi, un couteau ensanglanté à la main. J’avais tué un enfant, qu’aurais-je pu faire de pire que ça ? Il me fallait rentrer, c’était plus fort que moi. Ces tentatives de me supprimer sur lesquelles je n’ai pas dit un mot, mais que tu avais deviné en posant tes yeux sur mes poignets. Mais ce n’était encore qu’un début. J’ai tout fait pour rentrer maman, tout… absolument tout. Même des trucs que je ne peux pas te raconter, t’es ma mère, ton regard ne doit jamais changer sur moi. Jamais, tu m’entends ? C’est la seule chose que je te demande. Le moyen pour tenir ? J’ai mis du temps à le trouver, mais j’écrivais, tout ce qui me passait par la tête, des cahiers entiers noircis, que je cachais envers et contre tous. Mais c’est eux qui me sauveraient. Je me suis faite réformer maman, j’avais enfin réussi et j’ai reposé le pied sur le sol américain. Je t’ai tendu les bras, et t’ai serré si fort que j’ai failli t’en briser tes côtes frêles. Je m’en serais voulu, plus que tout, de te faire du mal, d’une quelconque façon. Mais je crois que je t’en ai fait pourtant, quand tu m’as vue rentrer, dans cet état, si amaigrie, si triste, sur le point de céder, pendue à la vie par un fil, un seul, qui s’effilochait, petit à petit.
Je me suis réfugiée dans tes bras, mais aussi dans la drogue. Nous avons vécu ensemble, longtemps, et je n’ai jamais su te rendre fière, pas comme je l’aurais voulu. Arrête de me dire que tu es fière de moi quoi qu’il arrive, tu n’avais aucune raison de l’être à ce moment-là. Même si je replonge parfois, tu as mis toute ton énergie dans le fait de me mettre en désintox, de m’aider à tenir le cap, et de vivre et espérer pour deux, parfois. Tu es tombée sur mes carnets, un jour où j’étais enfermée dans une institution, 21 jours pas plus, tu savais que je ne tiendrais pas d’avantage, et moi non plus. Tu m’as dit que ça, ça pourrait valoir tout l’or du monde. Et tu savais que mon âme de musicienne n’était pas feinte, c’est même toi qui m’a offert ma première guitare, dans le dos de papa, alors qu’il passait son temps à me pousser au piano. Tu adorais m’entendre chanter, tu adorais ce petit côté artiste chez moi, et tu savais que j’avais du talent, mais tu es ma mère, aucune objectivité ! Au centre, je suis tombée amoureuse d’une fille, d’une première fille, et moi qui croyait choquer tes principes religieux et tes convictions si ancrées en chaque port de ta peau, je me suis rendue compte que le seul Dieu en lequel tu croyais pour moi, était celui de l’apaisement, du bonheur, de mon épanouissement. Tu priais tous les jours, pas pour que je change, mais pour que je m’en sorte.
Parlons des tatouages, si j’ai commencé très jeune, juste pour faire chier papa, j’ai fini par en faire une foutue thérapie. Thérapie que tu veilles à ce que je suive. Victime de stress post-traumatique, le truc pour les tarés de la guerre, ceux qui reviennent en miettes, parce qu’ils en ont trop vus. Trop vécu. Trop encaissés. La violence, je la connais, elle ne me fait pas peur. Mais la cruauté à un tel niveau… ce n’est pas moi que papa touchait, c’était toi. Et au passage maman, un rapport forcé le soir dans la chambre, même avec son mari, reste un viol, je sais que tu le sais, et je n’ai pas besoin d’avoir fait droit pour le savoir. Droit, comme toi. Mais tu as tout laissé tomber pour papa. Encore une fois, il t’a eu, rien qu’à lui, rien que pour lui. Mais tout ça, c’était fini, tu l’avais compris et rayé de la carte. A présent, c’était toi et moi, et Dieu au milieu, juste pour nous rassurer. Et puis il y a eu ce pas en avant aussi, ce coup de pouce que tu m’as donné, pour que je me lance, dans la musique, le seul amour de ma vie, je ne compte pas ces filles qui défilaient, j’avais déjà adopté une véritable vie de rock star ! Je les enchainais, mais ça, je te l’épargne, en tout cas, même si je sais que tu le sais, je ne le crie pas sur tous les toits. Toi et moi on a mis tout ce qu’on avait encore pour ce premier album. Notre énergie, notre foi, en bons patriotes que nous sommes, et aussi nos économies. Tu n’avais pas grand-chose et moi non plus, mais tu t’es saignée aux quatre veines pour que je puisse enregistrer cette maquette à Los Angeles. Une fois fait, j’ai réussi à la proposer à plusieurs maisons de disques. Tu te souviens de la fierté que j’ai lu dans tes yeux ? Moi je me souviens surtout du soulagement. Pour toi, j’étais sauvée, t’en étais certaine, et c’est peut-être même vrai.
Il y a eu d’autres albums entre temps, d’autres aventures, d’autres filles qui passent, d’autres chagrins d’amour, même toi tu as ton lot d’amants, j’hallucine, ma mère se tape des petits jeunes ! Tu as toujours eu ce côté rebelle, au fond, bien au fond, c’est peut-être finalement de toi que je tiens la majeure partie de mon être, qui sait… En tout cas, ce que moi je sais, c’est que je t’aime maman. Comme jamais je n’aimerais personne. Depuis toujours et à jamais. Je t’aime.
P. Ton bébé.
Dernière édition par Phoénix Lancaster le Jeu 22 Sep - 17:56, édité 1 fois
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:26
Re-bienvenue par ici En espérant que tu te plaises avec ce nouveau personnage
Celeste Wade
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○ statut : en couple avec son premier amour, après plus de douze ans de séparation. maman de deux petits garçon : elliot (06.03.2017) et leo (22.03.2021).
○ métier : récente propriétaire d'un café. ancienne chargée de recrutement.
○ quartier : east bay.
○ orientation sexuelle : bisexuelle.
○ informations en vrac : celeste est née à wellington et a grandi juste à côté, dans un quartier d’island bay. // elle est le deuxième enfant, la deuxième fille également, d’une famille de cinq enfants. // elle a toujours été très studieuse, au point de finir major de sa promotion au lycée. // elle a fait partie de l’équipe de pom-pom girls. // elle est sortie avec une fille, une fois. c’était son premier amour. // elle a fait ses études à wellington. // après avoir travaillé dans une grosse entreprise, en tant que chargée de recrutement, elle a démissionné en apprenant qu’elle était enceinte du fils de son patron. // depuis trois ans, elle élève son fils seule.
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:26
re-bienvenue parmi nous je ne te souhaite pas bon courage pour ta fiche, elle semble bien avancée
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:26
Merci les filles ! En effet, elle est finie XD
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:29
Re-bienvenue à toi ! Et amuse toi bien avec ce nouveau personnage.
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:31
Re bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:33
Re-bienvenue parmi nous Tu fais la paire avec Vicky
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:34
Bébé t'es la plus beeeeeeelle !! je suis pas sur le bon compte mais OSEF ! Tu sais comme je t'aime
Nova Dawson-Clarke
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○ statut : Mariée et très très heureuse ! Cette bague au doigt lui donne le sourire, et pas qu'un peu , maman d'une petite fille nommée Luna depuis le 27 février 2023
○ métier : Guide touristique, elle adore les voyages donc elle se voyait pas trop faire autre chose
○ quartier : Dans une chouette maison sur West Bay avec son homme et sa petite fille
○ orientation sexuelle : elle est Jaxsexuelle
○ informations en vrac : Elle est hyperactive. Elle bouge à droite, à gauche ► Elle n'a pas été à l'université, elle a enchaîné divers boulots jusqu'à trouver celui qu'elle a actuellement ► Elle voyage un peu aux quatre coins de la Nouvelle Zélande, avec des clients ► Son rêve ? Visiter tous les continents. Poser un pied dans les plus grandes capitales, dans les plus grandes villes. Mais faire ça toute seule, c'est pas drôle ► Elle n'a pas trop de chance en amour. Pas le bon à chaque fois. Ca ne dure jamais bien longtemps ► Elle porte des lunettes parfois, pour reposer ses yeux. Oui, des lunettes de repos ► Elle adore l'astronomie. Rester couchée sur une couverture ou sur un transat à la nuit tombée et regarder les étoiles, elle adore ça. Avec un télescope, c'est encore mieux ► Elle adore faire la fête. Et s'incruster à quelques fêtes d'ailleurs. Elle le faisait souvent quand elle était étudiante. Elle le fait encore parfois ► Elle ne voit pas souvent son père et ça lui va comme ça ► Elle adore les Maroon 5 ► Elle est fan de Star Trek. Elle a vu tous les films, les plus anciens comme les plus récents, ainsi que les séries qui se rapportent à cet univers ► Elle adore la série Stargate et ses spin-off ► Elle n'est pas une grande fan des oiseaux. Elle ne sait pas pourquoi mais ils la terrorisent un peu ► Elle fait une sérieuse allergie aux poils de chats et de chiens. Et pourtant, elle adorerait avoir une petite boule de poils mais elle ne peut pas ► Un poil garçon manqué, du moins, elle l'était quand elle était un peu plus jeune
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○ pseudo : Nao'
○ avatar : Chloe Bennet
○ DC : Sexy Nina B. & Caitlin
○ crédits : avatar by Aloa', sign by bat'phanie
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:42
Re bienv'nue à toi ^^
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 17:44
I know how much you love me baby ! <3 Me too !
Merci à tous pour ce bienvenue nouvelle édition !
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 18:22
Tu as craqué Rebienvenue parmi avec cette Ruby qui promet de belles choses !
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 18:39
J'ai pas eu grand chose à dire pour qu'elle craque en même temps... elle est faible devant mon charme que voulez-vous !
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 18:47
Ce nouveau personnage promet de belles choses Re-bienvenue
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#) Jeu 22 Sep - 19:43
bravo, tu es validé(e)
› J'sais même pas quoi dire... .
C'est le moment de profiter de ton installation sur le forum Pour se faire, tu peux déjà commencer à recenser ton métier, ton logement et créer ta fiche de liens pour élargir ton réseau de connaissances Et si tu as peur de ne pas réussir à t'intégrer, tu peux toujours venir flâner dans le flood ou tenter l'aventure de la loterie rp Et si tu as besoin de quoi que ce soit, sache que nous sommes là pour te venir en aide Toute l'équipe du forum te souhaite la bienvenue sur IB
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Sujet: Re: "Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante" (#)
"Le mal est partout, la preuve, j'en suis la descendante"