contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 17:47
Leo Thompson
An eye for an eye will only make the whole world blind.(Gandhi)
nom ○thompson, un nom assez répandu dans les pays anglophones et qui a le mérite d'être passe-partout. prénoms ○leo, du mot latin signifiant lion. âge ○trente-neuf ans, ni trop jeune ni trop vieux, mais il craint que le passage à la quarantaine fasse pencher la balance. lieu de naissance ○ la jolie ville d'auckland l'a vu naître un certain vingt-deux décembre 1980. statut civil ○ aux dernières nouvelles, fiancé.orientation sexuelle ○ pas du genre à étaler sa vie privée sur la place publique. métier/études ○ ancien médecin militaire, chirurgien en traumatologie depuis septembre 2019. groupe ○lost in my mind, le retour à la vie civile est bien plus difficile qu'il n'y paraît. avatar choisi ○ryanlovelygosling.
les informations en vrac
la partie anecdotes ○(one) il a oeuvré dans nombreux pays en urgence sanitaire dont le Pérou, le Cameroun, le Laos et la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Il garde un souvenir impérissable de tous les visages qui ont croisé son chemin. (two) pour combler sa solitude et dans le respect de chaque âme consentante, il s'est souvent laissé aller au plaisir charnel le temps d'une nuit. (three) il est rentré pour de bon à Island Bay en juillet 2019, près de dix ans après son premier engagement dans l'armée. (four) sa mère est décédée des suites d'une angine mal soignée quand il avait quatorze ans. (five) le chagrin a plongé son père dans l'alcool jusqu'à ce qu'il ne soit plus en mesure d’assurer la sécurité des siens, il a ensuite été baladé de foyer en foyer pendant plus de deux ans. (six) il a toujours été studieux avec une large préférence pour les matières scientifiques. (seven) il est cartésien et déteste tout ce qui relève du surnaturel quand bien même il garde en mémoire les rites africains appris au Cameroun. (eight) c'est une tête de mule dotée d'un égo démesuré, il ne supporte pas d'avoir tort. (nine) c'est le besoin de rigueur qui l'a conduit à faire médecine puis à s'engager dans l'armée. (ten) les karaokés de fortune des camps militaires ont fait de lui un excellent chanteur. (eleven) il passe la plupart de son temps en dehors de chez lui. (twelve) il s'est fiancé sur un malentendu, lors d'une soirée au restaurant alors qu'il était en permission. la personne en face de lui était si heureuse qu'il n'a pas eu le courage de la contrarier. (thirteen) il est infidèle malgré lui, l'idée de se retrouver bloqué dans une relation pour le restant de ses jours l'effraie. (fourteen) il doit ses qualités de danseur à sa dernière mère d’accueil, une ancienne professeur de danse contemporaine. (fifteen) quand il n'est pas à l'hôpital, on peut le trouver dans le ranch qu'il entretient avec sa sœur. (sixteen) il possède un certain nombre de tatouages dont certains ne sont visibles que quand il est totalement dénudé. (seventeen) en plus de la musculation, il joue et entraîne une équipe de football du coin. (eighteen) il a des origines irlandaises - dépouillés, ses ancêtres ont émigré pendant la grande famine de 1845 pour sauver leur peau et tenter leur chance à l'autre bout du globe. (nineteen) les rations militaires lui ont appris à ne plus être difficile en matière de nourriture, il mange de tout. (twenty) il est l'oncle gâteau qui cède aux caprices de ses neveux, mais il ne s'est jamais imaginé père.
les indiscrétions sur le joueur
pseudo/prénom ○kuma.âge ○vingt-quatre ans déjà. pays/région ○picardie.présence ○autant que je peux.comment as-tu connu island bay ○je n'm'en souviens toujours pas.scénario/pré-lien/inventé ○scénario de@Cassie Holtraison de ton inscription ○la fidélité.dernier mot d'amour ○ rien qu'une larme dans tes yeux
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<pris>○ ryan gosling</pris> leo thompson
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Dernière édition par Leo Thompson le Jeu 26 Mar - 10:01, édité 2 fois
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 17:49
l'histoire de ma vie
Tu m'as laissé seul ici, partout tu me suis.
La vie est belle, mais cruelle parfois.
« Maman, maman ! » cria Ethan en entrant en trombe dans la chambre parentale. Il venait d’attraper sa énième salamandre dans la rivière qui se trouvait derrière la propriété familiale. Cela faisait plus de deux semaines que sa mère était alitée, abattue par une vilaine angine qui ne se soignait pas. Pour le commun des mortels, il s’agissait d’une infection bénigne, mais pour un système immunitaire déjà bien affaibli par la sclérose en plaques comme celui de l’épouse Thompson, cela suffisait à la maintenir couchée pendant des jours. Des épisodes inquiétants comme celui-là, la famille en avait vécu plusieurs, mais la longévité de ce dernier faisait craindre le pire. La météo était ensoleillée. Dehors, on pouvait voir le printemps pointer le bout de son nez. Tout laissait présager la venue des beaux jours. Pourtant, quand Ethan secoua sa mère, qu’il n’obtint aucune réponse et qu’il se mit à hurler le prénom de son frère aîné, Leo comprit. Du haut de ses quatorze ans, il s’était préparé à ce moment. Non pas par choix, mais parce qu’il savait que le jour où le ciel lui tomberait sur la tête, il devrait panser les plaies de ceux qu’il aimait avant les siennes. Il avait saisi Ethan par la taille et l’avait sorti de la pièce contre son gré, avait verrouillé la porte et déposé ses doigts dans le cou encore chaud de sa mère pour ne sentir aucun pouls. Elle les avait quittés. Un jour d’apparence plus beau que les autres, la mort avait frappé sa famille. Elle avait pourtant prévenu, mais ils avaient fait les sourds par peur d’affronter la réalité. Leo était seul dans la pièce et il profita de ce moment pour déverser toutes les larmes que son corps pouvait fabriquer. Il lui fallait saisir l’occasion car il savait que ce serait la dernière et qu’après, il devrait emmurer son chagrin pour prendre soin des siens.
Comme elle est partie, attention Jimmy tourne pas rond.
« Il faut t’accrocher pour les enfants », « elle n’aimerait pas te voir comme ça », « il faut que tu te reprennes » répétait-on en boucle à son père. A croire que c’était trop difficile pour eux de comprendre qu’en lui enlevant sa femme, on lui avait arraché une partie de lui. Il l’avait aimée jusqu’à son dernier souffle même s’il n’avait pas été là pour l’entendre. Dans l’alcool, il trouvait un refuge, ce même refuge qui lui permettait parfois de la revoir et de lui dire tous les mots qu’il avait tus pendant des années, foutue fierté masculine. Drogue vicieuse, poison lent, l’alcool le tuait à petit feu. En quelques mois, il avait anéanti des années de vie. Perdu, infiniment seul, il avait perdu le goût de vivre et même de s’occuper de ses enfants – ceux dans lesquels il reconnaissait les traits de l’être qu’il avait aimé à s’en détruire. Leo avait bien essayé de porter le poids de son chagrin sur ses maigres épaules, mais le challenge était trop corsé. Petit homme avait lutté, mais l’assistante sociale n’avait pas cédé. Séparés, les frères et sœurs Thompson avaient été promenés de foyer en foyer dans l’attente de trouver une famille d’accueil susceptible de bien vouloir accueillir trois enfants, dont deux adolescents, simultanément – condition sine qua non pour éviter à Leo de commettre l’irréparable. Tant de fois, il avait imaginé prendre ses deux cadets sous son bras et fuir loin de tout ça. Autant de fois, il avait renoncé, lâche. A chaque jour que Dieu faisait, il perdait un peu plus d’espoir de retrouver un jour la sensation d’appartenir quelque part et ce sentiment lui tordait le ventre. Jusqu’à ce fameux soir d’automne où on lui annonça qu’une famille était prête à leur ouvrir les portes de leur foyer et de leur cœur.
J’irai où tu iras.
Un père avocat, une mère professeur de danse, deux enfants nés dans l’amour, un pavillon en banlieue, un chien pour subtiliser les pantoufles et un chat pour démonter le sapin – une famille parfaite que les trois enfants Thompson avaient su intégrer malgré leurs nombreux bleus au cœur. Les parents ne s’étaient pas contentés de leur offrir de quoi dormir et se nourrir, non, ils leur avaient fait une place proportionnelle aux autres membres du foyer. Ils avaient aidé l’aîné à exploiter son potentiel, écouté la passion de la cadette et entendu le manque de repères du benjamin. En dépit de tout ce qui lui était arrivé, Leo avait réussi là où son père avait failli : il s’était accroché. Même si la médecine n’avait pas réussi à sauver sa mère, il l’avait choisie dans l’espoir qu’un jour peut-être, il trouverait ce foutu remède qui détruirait la sclérose en plaques. Il l’avait choisie parce que même s’il ne cessait de prétendre le contraire, il avait un je-ne-sais-quoi sur le cœur qui le suppliait de ne pas se laisser aller à tout ce qui n’était pas concret – sûrement causé par ses nombreux faux-espoirs de reformer un jour une véritable famille avec ce qu’il restait de son père.
What about us.
Brillant, Léo l’était. Des semestres obtenus sans grandes difficultés avec comme simple promesse de lire toutes ses notes sur la tombe de sa mère et de s’imaginer que de là où elle était, elle pouvait ressentir de la fierté. Une détresse affective qui l’avait poussé à plonger tête la première dans des situations inconfortables. C’est dans cette condition sordide qu’il était tombé amoureux pour la première et seule fois de sa vie. D’une femme de plus de dix ans son année, mariée, et qu’il avait cherché à conquérir jusqu’à s’en épuiser. De toutes les choses qu’il avait faites de sa maigre existence, ses tentatives étaient les plus folles. L’amour l’avait conduit à la folie. Il y avait cru jusqu’à ce qu’il se rende compte que malgré tout ce qu’il avait promis et ce qu’on lui avait promis en retour, il ne faisait pas le poids.
The show must go on.
Depuis l’époque où il jouait à good cop / bad cop, Leo montrait un penchant pour l’armée. Son père était un ancien marine dont les médailles étaient fièrement exposés dans le salon. Un héros qui ne portait pas de cape et qui faisait rêver plus d’un gosse dans la cour d’école. Entre suivre un parcours classique et intégrer un hôpital universitaire ou faire le choix de l’atypique, le blond avait choisi. Lui aussi aurait un grade, mais il mettrait également toutes ses capacités cérébrales à contribution. Médecin militaire, voilà ce qu’il deviendrait. Au péril de sa vie.
Homeless.
Il avait fait le tour du monde, son treillis sur le dos, ses connaissances en médecine et son expérience ancrés dans le crâne. Des pays, il en avait vus. Des visages soulagés, reconnaissants, apeurés, désespérés, mais aussi énervés et craintifs, il en avait vus. Il avait connu mille lieux et avait perdu ses repères tant de fois que l’adolescent qu’il était aurait dû flancher. Pourtant, il avait grandi et mûri. Suffisamment pour emporter un peu de chaque rencontre qu’il faisait et pour construire son monde à lui, un monde qui n’avait ni frontière ni barrière. Un monde qu’il baladait de fuseau horaire en fuseau horaire et qu’il enrichissait à chaque fois que le cœur lui en disait. Comme lors de cette soirée dans un petit village péruvien où une muse brune et frêle a croisé son chemin et lui a laissé un souvenir encore plus indélébile que d’origine de ce merveilleux pays.
Everybody hurts.
Il aura suffi d’un repas dans un restaurant italien pendant une permission pour que sa vie soit bousculée. Une relation de quelques mois pourtant peu insatisfaisante à ses yeux – comme toutes celles qui lui ont précédé – qui a muté en fiançailles imprévues. Une simple phrase glissée au détour d’une conversation et voilà que Leo se retrouvait la corde au cou. Il aurait pu nier et revenir sur ses mots, mais il ne l’avait pas fait. Depuis ce jour, il espérait que les choses s’useraient d’elles-mêmes jusqu’à ce que la corde finisse par rompre. Il n’était pas délicat – il ne l’avait jamais été. Il n’était pas fidèle – il n’y avait jamais songé. Avant ce fameux repas, il n’avait jamais rien promis, à personne. Il s’en était tenu à des aventures éphémères sans conséquence sur le lendemain. Non pas par plaisir, mais par crainte d’agrandir ce trou béant causé par la mort de sa mère et renforcé par le constat de ne pas avoir pu sauver sa famille.
Dernière édition par Leo Thompson le Jeu 26 Mar - 10:02, édité 2 fois
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 18:44
Je te redis pas bienvenue parce que j'ai pas envie
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 18:55
Rebienvenue à toi
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 19:15
gniiii, il est là, t'es beau je vais pas te faire le blabla, tu sais où me trouver en cas de besoin merci encore de le prendre tu refais mon confinement, t'as pas idée
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 19:15
Re-bienvenue!
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 19:43
re-bienvenue à la maison :)
Nina Baranovski
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○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 19:56
Re bienv'nue à toi ^^
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 20:03
re-bienvenue
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 21:09
Re-bienvenue.
Dorian Burns
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Lun 23 Mar - 21:22
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Mar 24 Mar - 12:24
Re bienvenue
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Mar 24 Mar - 14:23
Bon retour sur le forum avec ce nouveau personnage !
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Mar 24 Mar - 16:08
Rebienvenue !
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#) Mar 24 Mar - 16:34
Coucou J'ai bien hâte de lire la deuxième partie de ta fiche maintenant !
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Sujet: Re: meowing time is over, it's time to roar (leo) (#)