animals souls - (loterie rp) fabian & jaeyoon

OOTD //→ D’aussi longtemps que tu t’en souviennes, t’as toujours aimé les animaux. Tout petit déjà, tu te passionnais pour eux et passais un temps incroyable en leur compagnie. Tu as d’ailleurs beaucoup insisté auprès de tes parents pour en adopter, mais tu n’as jamais reçu de réponse favorable à cette demande. « Un chien, ça prend du temps il faut s’en occuper et c’est contraignant », t’avaient-ils dit, te faisant comprendre implicitement qu’ils ne te pensaient pas suffisamment responsable pour cela. Tu l’étais, évidemment car prendre soin des autres, c’est ce que tu fais de mieux. Tes parents n’ont jamais considéré cette qualité comme viable, ni intéressante et c’était là bien leur tort. Pour eux, l’ambition, vouloir être le meilleur, cela prédominait largement sur des qualités plus humaines – et cela allait totalement à l’encontre de leur décision de quitter Séoul. Tu n’as jamais compris leurs décisions, il faut dire que parfois elles étaient bien étranges. De toute façon, cela ne t’intéresse plus dorénavant, car tu es seul à décider de ton destin. Seul… Pas tout à fait, car depuis quelques mois Yéo est d’un soutien sans faille au quotidien. Le loulou de poméranie a rendu ta vie plus joyeuse, plus rythmée aussi et bien plus amusante. Yéo et toi êtes rapidement devenus inséparables et, en ces temps difficiles, tu as besoin plus que jamais d’un ami. Yéo, c’est le tien et tout l’amour que tu lui donnes, il sait te le rendre au centuple. Pour rien au monde, tu ne t’en séparerais ! Il t’accompagne d’ailleurs à cette journée porte ouverte organisée par l’association de sauvegarde pour récolter des fonds et permettre aux animaux du refuge de recevoir des soins nécessaires. Allongé dans son petit panier, langue pendante, il observe d’un œil vif toutes les personnes qui s’approchent du stand, se demandant très certainement ce que tu es en train de faire et pourquoi tu as cet air si sérieux sur le visage ? Tu éprouves des difficultés à sourire en présence du monde, la crainte qu’il sorte du milieu de la foule te serre le ventre alors tu te concentres sur ta tâche et évites le contact humain. Heureusement, tu n’es pas seul à tenir le stand. Fabian est là, et même si tu ne le connais pas vraiment, sa présence t’apporte un petit peu de réconfort. D’ailleurs, alors que tu alignes les petits pots de confiture faits maisons par les bénévoles du refuge, tu lui demandes avec curiosité « ça fait longtemps que t’es bénévole ici ? Nous ne nous sommes jamais réellement croisé auparavant… » Toi, ça fait plusieurs années – bien que durant la dernière, ta présence n’a pas été régulière.  Tu fais partie de ceux qu’on appelle fréquemment pour donner un coup de main, toujours prêt à donner de ton temps pour ces petites bêtes sans défense.  En y pensant, peut-être que tu aurais dû changer d’association… c’est tellement facile de te retrouver. Mais si ça se trouve, il ne te cherche même pas, il se fiche de ton sort. C’est surement mieux comme ça d’ailleurs, alors pourquoi est-ce que ça fait si mal ? « je crois qu'il y a suffisamment de pots... on le vends combien l'unité déjà ?  » Tu ignores la douleur, tu la voiles et tu te concentres sur ta tâche.

OOTD //→ Tu fais parti d'une association depuis bien cinq ans maintenant. On va dire que cette association t'aura permit de tenir le choc de la mort de ta petite-amie décédée d'une sclérose-en-plaques une belle saloperie il faut bien le dire. Et puis cette association t'aura également permit d'adopter Marley un jeune chien, un Husky que tu adores. Puis en dehors de cette association et de ce chien il y a ton meilleur ami de longue date, de l'époque de San Diego, qui t'a rejoint ici à Island Bay après la mort de Lucie. Il a été très présent pour toi, te soutenant du mieux qu'il le pouvait dans cette épreuve parce qu'après tout lui aussi connaissait bien Lucie vu qu'elle était patineuse tout comme vous dans la troupe de Holiday on Ice. Tu as pu compter sur tout ce petit monde, Killian comme les gens de l'association ainsi que la troupe de patineurs dans laquelle tu as un rôle plus que majeur désormais dans chacune de vos tournées. Mais pour l'heure tu te concentres sur Marley couché à tes pieds en train de ronchonner dans ses rêves pendant que tu vends des produits faits maison pour l'association. Un petit gars est avec toi, un gars que tu n'avais jamais vraiment croisé avant aujourd'hui. Tu l'as juste aperçu a quelques reprises. « Ça fait longtemps que t’es bénévole ici ? Nous ne nous sommes jamais réellement croisé auparavant… » Tu souris en scrutant le jeune asiatique de tes grands yeux bleus « ça fait environ cinq ans que je suis ici. Et toi ? » Tu réponds poliment au jeune brun. Toi-même pour cette collecte de fonds tu as mit la main à la pâte en préparant des confitures faites maison ainsi que des biscuits, bref que de la bouffe. Et ça se vend comme des petits pains si on peut dire. « Je crois qu'il y a suffisamment de pots... on le vends combien l'unité déjà ? » Tu te tournes de nouveau vers le jeune brun « un dollar néozélandais le pot. » Tu commentes d'une voix douce. « Celles-ci c'est moi qui les ai faites. Je me débrouille bien en cuisine. » Tu confies en désignant d'un signe de tête les pots de confitures que ton binôme a aligné les unes à côté des autres. « Tu as préparé quelque chose toi pour la vente ? Ou tu n'es pas très manuel ou que sais-je ? » Tu lui demandes plutôt curieux pour le coup... Décidément vous êtes fin prêt pour la journée de collecte de fonds pour l'association afin d'offrir de meilleurs soins et une meilleure qualité de vie aux chiens présents au refuge...

OOTD //→ « ça fait environ cinq ans que je suis ici. Et toi ? » Là pour le coup, t’es scotché, Jaeyoon. Cinq ans qu’il est bénévole au refuge et tout autant de temps où vous ne vous êtes jamais croisés, c’est surprenant. Ta bouche s’ouvre, forme un ‘o’ parfait puis se referme, te donnant un air de poisson perdu au milieu de son bocal, avant que tu ne clignes des yeux pour te remettre de l’effet de surprise. « Ah bah moi p..pareil à peu près… je..j’crois. » Et tu bégaies comme un idiot, parce que ses yeux bleus sont assez impressionnants en plus de ça. De tels yeux tu t’en serais rappelé non ? Tout de même… Avec de telles pensées, tu finis rouge écarlate et te sens définitivement bien stupide alors tu te racles la gorge et te concentres sur votre tâche commune, à savoir : vendre le maximum de ses petits pots de confiture fait maison. «  Un dollar le pot. Celles-ci c’est moi qui les ai faites. Je me débrouille bien en cuisine. Tu as préparé quelque chose toi pour la vente ? Ou tu n’es pas très manuel ou que sais-je ? » T’oses relever tes yeux noirs vers les siens, si clairs et si perturbants – pourtant il ne fait rien d’extraordinaire hein, il te regarde juste ce qui semble normal quand on parle aux gens – et tu arrives à délier ta langue sans t’emmêler les pinceaux cette fois. « J’en ai fait quelques-uns, si. Les confitures d’abricot et de cassis qui sont là… » T’y as passé quelques heures d’ailleurs, mais ça t’a fait plaisir car la cause te tient à cœur. Tu hausses les épaules et poursuis pour ne pas paraître trop sauvage. « J’aime aussi beaucoup cuisiner. » Mais cuisiner pour soi tout seul, c’est assez barbant en vérité, donc ce n’est pas rare que tu finisses avec un bol de ramen réchauffé à la va-vite ou des nouilles devant ta télé comme l’asocial que tu es devenu. Quand tu penses à tous les petits plats que tu lui préparais… Ah, nostalgie quand tu nous tiens ! « Tu as un chien toi aussi ? » Tu demandes, voulant continuer la conversation et t’éloigner de ses pensées dévastatrices. La journée allait être longue en plus de ça alors autant bien s’entendre dès le début. « Au fait, t’es bon en calcul ? Parce que je ne voudrais pas faire de gaffes et j’suis pas hyper doué. » Un peu trop tête en l’air en vérité, et maladroit aussi.  Les premiers intéressés commencent à se diriger vers le stand, ce sont des petits vieux qui lorgnent sur les confitures et demandent avec curiosité « Est-ce que c’est vous qui les avez faites jeunes hommes ? » Tu réponds par l’affirmative avec un sourire, et la vieille dame vous lance un regard suspicieux. «  Vous avez mis quoi dedans ? » Quelle étrange question ! Tu es tenté de répondre : de l’arsenic pour écourter vos jours, mais tu vas rester poli – pas la peine de te faire remarquer d’entrée de jeu. « Des fruits et du sucre, Madame, ainsi qu’un soupçon de patience et beaucoup d’amour. » Tu souris un peu trop pour que cela soit naturel et tu ajoutes, fier de toi en jetant un coup d’œil à ton camarade de stand « C’est 1dollar le pot. »

Spoiler:

OOTD //→ Tu fais donc la causette avec le jeune homme à tes côtés et quand tu lui dis depuis combien de temps tu es dans ce refuge il te semble choqué, tu le vois à la tête qu'il tire « Ah bah moi p..pareil à peu près… je..j’crois. » Tu souris en riant « nous devons être aveugles tous les deux dans ce cas pour ne pas nous être croisés avant aujourd'hui. » Tu commentes blagueur. Il finit par t'interroger sur le prix des pots que vous allez vendre et tu lui donnes le montant tout en lui confiant que tu en as préparé quelques uns, lui demandant au passage s'il a préparé quelque chose de son côté « J’en ai fait quelques-uns, si. Les confitures d’abricot et de cassis qui sont là… » Tu acquiesces en souriant « j'adore l'abricot. » Tu confies avec un sourire. « J’aime aussi beaucoup cuisiner. » Tu souris en le dévisageant « Je trouve ça plutôt thérapeutique la cuisine, pas toi ? » Tu fais remarquer au jeune homme. « Au fait, t’es bon en calcul ? Parce que je ne voudrais pas faire de gaffes et j’suis pas hyper doué. » Tu ricanes en le scrutant « Les maths à l'école ça n'a jamais été mon truc. J'étais meilleur en sport. Mais au besoin on a une calculette sur les mobiles. Tu peux toujours te servir de ça au cas où. » Tu réponds au jeune homme que tu scrutes longuement de tes grands yeux bleus qui semblent le déstabiliser. A la suite de ça des personnes arrivent et notamment des personnes âges et tout de suite une vieille femme vient vers vous « Est-ce que c’est vous qui les avez faites jeunes hommes ? » Tu acquiesces en lui souriant poliment « Vous avez mit quoi dedans ? » Tu fronces les sourcils à sa question tandis que Jaeyoon fait de même visiblement choqué lui aussi par une question pareille « Des fruits et du sucre, Madame, ainsi qu’un soupçon de patience et beaucoup d’amour. » Tu souris à sa réponse « Un peu la même sauf que je mets un soupçon de citron et de vanille pour donner du goût. » Tu ajoutes à la suite des mots du jeune asiatique. « C’est 1dollar le pot. » Tu acquiesces tandis que la petite vieille vous achète deux pots un à la cerise et un aux abricots, donc un de chaque que vous avez l'un et l'autre cuisiné, tu souris largement ravi d'avoir déjà vendu quelque chose avec ton binôme et une fois que la vieille fut partie tu te tournes vers le jeune homme « Bizarre la question de la Dame... » Tu fais remarquer avec un petit soupir tandis qu'un couple de trentenaires vient vers vous et vous achètent un pot à la pêche....

OOTD //→ Sûrement que vous êtes aveugles, oui. En tout cas, des yeux comme les siens, tu t’en serais souvenu tout de même. Quoique… t’étais pas mal aveuglé dernièrement. Tu soupires doucement, un peu affligé par ta propre constatation. C’est dingue tout de même d’avoir vécu des mois avec des œillères sans s’en rendre compte ! Il faut bien que tu sois stupide pour tout zapper par amour – et encore ‘amour’ c’est un bien grand mot parce qu’un mec qui vous rabaisse constamment et vous pointe tous vos défauts à longueur de journée, bon… Ce n’est surement pas la meilleure définition de l’amour. Mais il avait ses bons côtés aussi… Ah non, stop ! Tu ne recommences pas à lui trouver des excuses à tout va ! C’est fini, Jaeyoon ! Et comme si Yéo entendait ton débat intérieur, il se met à aboyer vers toi, mécontent. Tu te tournes, l’observe et hausse les épaules, marmonnant un « Je sais… » Yéo et toi avez une connexion spéciale, car cela suffit à apaiser le chien qui tourne son attention ailleurs. « J’adore l’abricot. Je trouve ça plutôt thérapeutique la cuisine, pas toi ? » Tu fais une drôle de moue en l’entendant. Le travail te rattrape un peu trop vite. « Ça peut être un moyen de s’occuper oui, de prendre soin de soi aussi… mais il y a beaucoup de pièges qui n’en font pas une thérapie fiable. » T’as parlé sans réfléchir, et dès que tu le réalises tu grimaces en pensant que ton collègue va te trouver complètement cinglé. Ce ne sera pas la première fois que tu passes pour un allumé en réalité, alors bon… Il t’indique par la suite que tu as une calculatrice intégrée à ton smartphone et tu lui souris en répondant « Ah bah oui, j’y avais pas pensé… Merci. » T’es con aussi, grâce aux nouvelles technologies, la quasi-totalité des petits tracas du quotidien peuvent se régler. Dommage qu’ils n’aient pas encore créé une application anti peine de cœur, ils se feraient un max de blé ! Enfin, ils en abuseraient certainement, tout comme ils le font avec leurs pseudos sites de rencontre. T’as une très mauvaise opinion de ce business personnellement. Suite à cela, vous servez les clients. T’as sérieusement envie de renvoyer chier la vieille dame mais tu te contiens car c’est pour la bonne cause. C’est quoi ces aprioris ? Les garçons ne savent pas cuisiner peut-être ? Certaines choses ont du mal à changer, et tu penses à tes propres parents qui seraient très certainement d’accord avec ce genre de discours ultraconservateur (et réducteur, de fait). « Bizarre la question de la dame… » « Pfff, c’est une vieille bique, faut l’ignorer. De toute façon, les vieux ont toujours à redire. C’était mieux de leur temps, avant les choses étaient comme si, comme ça… Insupportables ! » Tu souffles, te tords les lèvres, réalises que tes propos sont limites et tu te redresses soudainement, pour bafouiller « Enfin… Je… J’veux dire que les conflits entre générations sont fréquents hein, c’est normal les époques évoluent tellement vite ! Encore plus avec les nouvelles technologies donc bon, y’a un gouffre entre nos générations… tu vois ? J’voulais pas paraître impoli… » Mais tu l’as été ! Tu te racles la gorge, observe tes pots de confiture et affiches un joli sourire sur ton visage pour continuer à vendre et inciter le client à venir. Il va falloir que tu te maîtrises, tu as tendance à un peu trop te laisser aller aujourd’hui. Est-ce le temps ? La compagnie ? Tu ne sais pas, mais ça ne peut que t’attirer des ennuis ce genre d’attitude alors il faut rectifier le tir avant que ça ne soit trop tard.

OOTD //→ Tu restes là à fixer le jeune brun face à toi tandis que ton chien, Marley, vient vers lui, un bel husky très attachant. Tu lui parles alors de la cuisine qui est thérapeutique à tes yeux « Ça peut être un moyen de s’occuper oui, de prendre soin de soi aussi… mais il y a beaucoup de pièges qui n’en font pas une thérapie fiable. » Tu ris en le scrutant « c'est bien vrai... Enfin ça dépend ce qu'on cuisine. Mais il y a des plats qui sont bien plus difficiles à réaliser que d'autres. » Tu réponds avec un sourire. « Mais personnellement ça me détend beaucoup. Quand je n'ai pas trop le moral je cuisine et ça m'apaise beaucoup. » Tu ajoutes en souriant. Il cherche ensuite à savoir si tu es doué en calcul et tu lui réponds que non en lui faisant la suggestion de se servir de la calculette sur son mobile « Ah bah oui, j’y avais pas pensé… Merci. » Tu souris simplement sans mot dire tandis qu'une femme vient vers vous en demandant certains pots tout en vous interrogeant sur ce que vous avez mit dedans, tu ne peux t'empêcher de faire un commentaire sur cette vieille femme et l'homme près de toi semble aussi blasé que tu l'es « Pfff, c’est une vieille bique, faut l’ignorer. De toute façon, les vieux ont toujours à redire. C’était mieux de leur temps, avant les choses étaient comme si, comme ça… Insupportables ! » Tu acquiesces en le fixant tandis qu'il semble gêné par ses commentaires et il reprend la parole « Enfin… Je… J’veux dire que les conflits entre générations sont fréquents hein, c’est normal les époques évoluent tellement vite ! Encore plus avec les nouvelles technologies donc bon, y’a un gouffre entre nos générations… tu vois ? J’voulais pas paraître impoli… » Tu ris en acquiesçant « ne t'en fais pas y'a pas de mal mec. Je pense la même chose que toi donc vraiment ne te cache pas de dire ce que tu penses, je préfère les personnes franches plutôt que l'hypocrisie. Beaucoup auraient trouvé des excuses à cette femme alors qu'elle a juste posé cette question soit par racisme quant à tes origines, sans vouloir te vexer, soit parce que nous sommes des hommes et là ce serait du sexisme. » Tu dis au jeune brun en roulant des yeux...

OOTD //→  Et te voilà à parler de thérapie culinaire avec ton collègue vendeur de confiture pour la journée – vraiment parfois, il y a des choses qu’on ne peut pas prévoir. ça t’épate et ça t’amuse aussi, cette journée de bénévolat te fait du bien au moral, malgré que ton ventre se serre constamment en pensant que parmi la foule, il peut se trouver. « Tu t’appelles comment au fait ? » ça t’aidera peut-être à te concentrer un peu mieux quand tu lui parles, car pour l’instant c’est le ‘mec aux yeux bleus électriques’. Il est tout en contraste d’ailleurs, car ses traits pourraient lui donner facilement un air sévère, mais il semble d’une douceur… assez exceptionnelle. D’ailleurs quand il parle cuisine, ça se ressent. « Quand ça va pas dans la tête, faut satisfaire le ventre, c’est assez radical comme méthode, en effet. » Tu conclus, avec un petit sourire qui dévoile tes dents – ce sourire adorable qui fait fondre naturellement les gens autour de toi. « Moi c’est Jaeyoon. » Tu l’informes, puisque vous ne vous étiez toujours pas présenté officiellement, déjà trop pressés de vous affairer et de vendre pour les petites bêtes si chères à vos coeurs. Un couple de vieux vous achète quelques pots et tu t’enflammes, traites la mamie de vieille bique et t’agaces légèrement avant de bien vite te reprendre. Ce n’est pas ton genre de t’agacer pour si peu, peut-être que l’enfermement n’a pas que du bon, peut-être que t’aurais envie que les gens soient gentils avec toi, qu’ils fassent attention… Tu sais que ce n’est pas écrit sur ton front que t’as souffert mais tout de même… La réaction de ton camarade t’apaise tout de même, tu n’es donc pas cinglé. « Raciste ou sexiste, beau palmarès. Peut-être même que c’est les deux ! Je te dis c’est un problème de génération ça. » Tu secoues la tête, désabusé, avant de voir un énorme husky venir vers vous. Inquiet, tu demandes à Fabian « C’est ton chien ? » Tout de suite, tu te tournes vers Yéo pour guetter sa réaction. Tu sais que ton loulou est plutôt du genre territorial et un peu tête brûlée alors tu espères que tout se passera bien entre eux. Puis, lorsque tu vois qu’il a l’air de s’en foutre royalement, tu te détends. Tout s’est bien passé jusque là, pourquoi ça n’irait pas. « Excuse-moi, j’suis un peu nerveux. J’ai perdu l’habitude de ce genre d’événements, je n’y ai pas participé l’année dernière alors, j’ai l’impression d’être un novice sur le qui-vive. » Il n’y a pas que ça, mais bon… Tu ne vas pas raconter à tout le monde que tu es une flipette qui a la trouille de voir débarquer son ex hein, t’as un minimum de respect pour toi-même.

OOTD //→ Vous faites la causette tous les deux. Le petit gars semble ébloui par tes yeux, tout du moins c'est ce dont tu as l'impression car à chaque fois que tu plonges tes yeux dans les siens il semble avoir du mal à se détacher de tes yeux. « Tu t’appelles comment au fait ? » Tu lui souris en te tournant vers lui « Fabian Jones. Mais tu peux m'appeler Fab ou Bian, je comprendrai que tu t'adresses à moi et de toute façon tout le monde m'appelle comme ça. » Tu réponds avec un petit rire. A la suite de ça tu lui parles de la cuisine qui a fait thérapeutique sur toi. « Quand ça va pas dans la tête, faut satisfaire le ventre, c’est assez radical comme méthode, en effet. » Tu ris en haussant des épaules « Pour ma part j'évite de trop manger. Je suis sportif de métier donc je n'ai pas le choix d'avoir une bonne alimentation. » Tu confies au jeune asiatique. « Je suis patineur artistique pour Holiday On Ice si jamais tu te demandes. » Tu ajoutes en souriant. « Moi c’est Jaeyoon. » Tu souris face à son sourire à en faire tomber plus d'un « Enchanté mon gars. Toujours Fabian pour moi. » Tu réponds joyeusement. Vous avez ensuite des clients notamment une petite vieille vraiment désagréable et après qu'elle soit partie Jaeyoon ne peut s'empêcher de faire des commentaires à ce sujet et voyant qu'il est allé trop loin il s'excuse mais tu lui fais savoir que tu es d'accord avec lui et que tu préfères l'honnêteté à l'hypocrisie. « Raciste ou sexiste, beau palmarès. Peut-être même que c’est les deux ! Je te dis c’est un problème de génération ça. » Tu acquiesces en le scrutant « je pense la même chose que toi.... Et vu mon accent américain elle est peut-être réellement raciste. » Tu dis en roulant des yeux. « Je viens de San Diego en fait. » Tu précises. « C’est ton chien ? » Tu acquiesces en posant tes yeux sur Marley. « Oui. Il s'appelle Marley. Il est très gentil. Contrairement à la plupart des huskys il est très calme et n'est pas du genre maniaque du contrôle ou possessif de son territoire, donc ça devrait aller avec ton chien. » Tu dis joyeusement. « C'est un mâle ou une femelle ton chien ? Quelle race ? » Tu demandes curieux. « Excuse-moi, j’suis un peu nerveux. J’ai perdu l’habitude de ce genre d’événements, je n’y ai pas participé l’année dernière alors, j’ai l’impression d’être un novice sur le qui-vive. » Tu ris en secouant la tête « Il n'y a vraiment pas de mal mec ! » Tu dis joyeusement....