Rick Pratchett, scénariste à Warner Bros NZ

Rick Pratchett

Donnez-moi encore quelques jours...

les informations en vrac

Il est né en Écosse. Rick a gardé un accent écossais qui ressort de temps en temps, surtout lorsqu’il est de mauvaise humeur ou sous l'emprise de l'alcool. › Jeune actif, Rick a été doubleur de personnages de dessins animés. Il arrondissait ainsi ses fins de mois difficiles. Il lui arrive encore de faire les voix de ces personnages dans son quotidien. Il pousse aussi la chansonnette, et parfois, sans raison particulière... › Rick est maladroit et très désordonné. Bien souvent, il n’arrive pas à retrouver ses propres affaires. Pour y remédier, il possède un tour de cou pour ses clefs, même s'il ne le porte jamais autour de son cou... › Rick a été dessinateur de fanzines dans sa jeunesse. Il est assez discret sur ce passé de nerd... car il dessinait et scénarisait de la science-fiction un peu olé olé à l'époque... Il a eu des fans. Il reçoit encore des e-mails qui le sollicitent à relancer sa série de fanzines. › Malgré son petit grain de folie, il apprécie le calme. Il est assez casanier. Rick proteste souvent qu’il travaille de nuit et dort le matin jusqu'à midi. Il débarque souvent en retard au travail et à ses rendez-vous. Il n'est pas ponctuel. Il trouve toujours une histoire abracadabrantesque en guise d'excuse pour justifier son retard. › Rick a une alimentation très variée : il mange des pizzas, des chips, des pâtes asiatiques, des hamburgers, de la pâte à tartiner... Il trouvera toujours une bonne justification à donner pour dire que ce n’est pas de la malbouffe. Le secret de Rick pour ne pas grossir est : faire du vélo ! Il ne sait pas conduire une voiture. Il se déplace à vélo ou à pied. Il est capable de faire beaucoup de kilomètres à vélo. › Rick aime les plantes. Il a la main verte. › Dans toutes les pièces où il va et à son bureau, il sème un bordel monstrueux autour de lui. Il est incapable de ranger ses affaires. Il se décide à ranger que lorsqu’il ne peut plus enjamber son bordel. Il est très doué pour inventer des stratégies afin de ne rien ranger autour de lui. › Toujours dans ses scénarios, Rick ne prend pas le temps de bien s’habiller. › Il évite l’alcool. Sous l'emprise de l'alcool, il devient vite saoul, câlin ou bougon. › Rick n'a jamais été quelqu’un de violent. › Il est très à l’aise avec lui-même. Rick sort parfois dans la rue en caleçon ou en peignoir. Il est insouciant. › Il est du genre à ne pas regarder à droite et à gauche lorsqu'il traverse un passage piéton. › Il est assez chanceux. Il ne s'est jamais retrouvé à l’hôpital par exemple, sauf pour une appendicite. › Rick est un peu douillet. › Il aime boire à la paille (même le vin). › Rick a débuté comme scénariste en proposant des scénarios pour des courts métrages d'animation. Il proposait des choses émouvantes. Puis, il a participé à des scénarios de séries et de films. › Il aimerait avoir des enfants, bien qu'il n'aborde pas ce sujet. › La tête ailleurs, il paye ses factures au dernier moment. › Gamin, il était réservé. Il inventait déjà des histoires à l'époque. Il faisait du quotidien, des récits héroïques ou dramatiques. › Il est sociable malgré sa réserve. Rick aime être avec les autres. Il est curieux et s'intéresse aux autres.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Rob Benedict ›</pris> rick pratchett

   

   

l'histoire de ma vie

Donnez-moi encore quelques jours...

   Rick est né en Écosse, à Glasgow, dans une famille de classe moyenne. Il a un grand frère de deux ans son aîné. Ce dernier est devenu avocat à Londres, spécialisé dans les affaires criminelles.

Rick a toujours subi sa scolarité sans jamais s’être décidé sur son orientation, tandis que son grand frère a brillé dans ses études, et notamment dans son cursus de droit, à l’université de Glasgow. Rick avait choisi quant à lui de suivre un cursus littéraire dans la même université, mais n’arrêtant pas de dessiner en cours, il avait fini par lâcher peu à peu. Il se prit de passion à dessiner et scénariser des fanzines. Il n’avertit personne à l’époque, et surtout pas son grand frère, de ses absences répétées en cours. Rick passait son temps dans des studios de doublage pour dessins animés, et gagnait de l'argent à doubler des personnages. Son grand frère, qu’il rejoignait toujours sur le campus pour déjeuner le midi, mais avec des attitudes suspectes, avait fini par remarquer qu’il séchait ses cours en le suivant en filature, et l’avait dénoncé à leurs parents peu de temps après. Rick ne l’avait pas très bien pris et s'était senti comme le mouton noir de la famille. Plutôt que d’en parler avec son grand frère, il décida de rejoindre une colocation d’amis nerds. Rick s’était fait des amis en science dure à l'université. Il s’était un jour trompé d’amphithéâtre, mais, réservé, il n’avait pas osé partir et avait assisté à un cours de géologie... Il assista ainsi à des cours de biologie, de géologie et de chimie, pour rester avec ses amis nerds. Parfois, il les aidait à corriger leurs rapports sur l’orthographe. Un jour, son frère le prit entre quatre yeux, et Rick finit par lui dire qu'il avait eu l'impression de se faire pister sans arrêt par un flic. Rick, son frère et leurs parents continuaient de s’appeler, de s’envoyer des lettres ou des textos, mais se voyaient de moins en moins...


Un des fanzines de Rick, Star Sex, le mena dans une convention de petite envergure. Il se rendit à sa première et dernière convention à Londres. Invité à une foire à questions avec des fans du fanzine olé olé, Rick perdit un peu pied et ne s’y sentit pas à l’aise. Il répondit aux questions, mais, en sortant de la séance, il sentit qu’il devait passer à autre chose. Star Sex n’était qu’un délire pour ses amis nerds et lui. Il s’était amusé à faire ce fanzine pour ses colocataires, et avait décidé avec eux de le partager en boutique de comics et sur internet pour rigoler un peu... Rick avait enfin envie de faire quelque chose dans sa vie... Écrivain ! Il commençait d'ailleurs à peu à peu inclure des histoires moins olé olé dans Star Sex.  

Rick, enthousiaste, entama sa carrière d’écrivain. Il commença à poser sur le papier des nouvelles et en publia quelques-unes dans des revues de science-fiction. Puis, il se lança sur le marché du livre, et envoya à des maisons d'édition, un prototype de conte illustré pour enfant. Rick insista comme un possédé : il voulait absolument proposer un conte illustré et ne pensait pas son conte sans illustrations. Ce conte, moderne, racontait l’histoire d’un enfant qui avait trouvé dans une cour d’école, un stylo magique qui lui permettait de faire apparaitre tout ce qu’il dessinait dans la réalité. Ce projet de publication avait abouti avec une maison d'édition. Le conte illustré avait été publié sous le nom de Pratchett et avait rencontré son petit succès. La maison d’édition s’était en revanche attendue à mieux que Rick au niveau des bénéfices... L’éditeur de Rick lui suggéra très fortement des suites au conte pour un peu plus le populariser et le rentabiliser financièrement. Mais, Rick, lui, pensait à d’autres récits, plus matures. Il imaginait déjà une trilogie fantasy. Son dernier rendez-vous avec son éditeur devint très vite un dialogue de sourds. La relation entre l’écrivain et la maison d’édition s’ensevelit peu à peu. Rick lâcha ses projets, trop idéaliste et déçu par l’expérience...

Il passa quelques années au chômage à écrire. Ses amis nerds ayant trouvé des emplois et des appartements, il opta pour un studio miteux avec ses économies. Les voisins de Rick le croisaient de temps à autre dans la rue lorsque le chômeur allait chercher son courrier. Il était souvent habillé comme au saut du lit. L’écrivain se montrait toujours souriant et optimiste. Il était insouciant de sa situation précaire, persuadé que tout allait s’arranger. Même lorsqu’on lui disait de reprendre au moins un job alimentaire, il répondait que c’était inutile et que tout allait bien. A l’époque, Rick commença à manger sur le pouce. Il joua peu de sa situation d’écrivain, même si celle-ci l'aida à faire des conquêtes et à multiplier des amourettes, des histoires de courtes durées... Rick rendait souvent service à ses voisins. Il tissa des liens avec son voisinage. Certains d’entre eux lui apportaient des fruits et légumes de leurs potagers. En échange, il gardait leurs enfants en baby-sitting. Les enfants avaient le droit à des histoires avant de s’endormir. Rick continua en parallèle à doubler des dessins animés. Là-bas, il rencontra une personne qui lui proposa d’écrire des scénarios de courts métrages animés, pour l’aider à se remettre en piste. Baby-sitter, tandis qu’il passa son temps à raturer ses prototypes, il testa un jour, par hasard, ses scénarios avec un enfant, puis un autre enfant, pour aboutir à une version. Il proposa le scénario pour un studio londonien avec son contact et... Bingo !

Rick emménagea à Londres, y croyant déjà. Il n'était pourtant que scénariste en free-lance. Le studio d'animation ne lui proposa pas de poste fixe de scénariste. Il acheta son scénario et... bye bye ! Rick commença à écrire d’autres scénarios et se lança comme pigiste de critique cinéma. Il accumula très vite trop de tâches différentes. Désordonné, il n’arrivait plus à s’y retrouver. Il ne faisait jamais ses comptes et recevait bien souvent des relances pour ses impayés en loyers et factures. Il ne pouvait même plus s’acheter de nouvelles lunettes et trainait son ancienne paire pendant des mois....  

Un jour, il entendit parler d’un projet de film d’horreur à la recherche d'un scénariste junior. Rick se lança tête baissée dans l’aventure. On ne le prit pas au sérieux au début, à cause de ses récits pour enfants. Rick se rendit sans autorisation sur les lieux de tournages. On le congédia bien gentiment, voire violemment, mais le scénariste en chef du projet finit par accepter un entretien avec lui. Il testa Rick en lui proposant une journée à l’essai. Ce dernier s’avéra concluant. Rick rejoignit la petite équipe de tournage de films indépendants. Son supérieur, scénariste en chef, le présenta à toute l’équipe de tous les corps de métiers. Rick dormait dans une tente lors des tournages à l’extérieur, n’ayant pas le droit aux roulottes des Very Important Person. Il découvrit les joies du camping, des gags de tournage et des soirées alcoolisées entre collègues. Rick comprit alors qu'il voulait poursuivre dans ce milieu, plus sociable et moins solitaire que l'écriture. Le scénariste en chef décida de le garder sur un autre projet de film d’horreur, et le référença par la suite pour des séries de fiction et policières. Rick garda un contact régulier avec ce scénariste.

Rick revit aussi son grand frère à Londres, qui lui conseilla très vite de chercher un poste, et de ne pas rester en free-lance. Rick ne voulut pas entendre le conseil, mais, lorsqu’il en parla à son mentor et ami scénariste, ce dernier lui assura que son grand-frère avait très certainement raison. Rick se décida alors à suivre le sage conseil de son frère, et à candidater pour un poste de scénariste. Il chercha le plus loin possible de Londres par choix délibéré... comme pour éviter son grand frère... Il trouva un poste qui l'intéressa beaucoup en Nouvelle-Zélande à une filiale de Warner Bros. Ce studio réputé l'avait toujours fait rêver depuis sa plus tendre enfance. Il tenta le coup. Réservé, et ne parvenant pas à avouer à quiconque qu'il envisageait de s'essayer à une vie plus stable, il annonça à son frère qu'il partait en voyage pour se ressourcer...