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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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  Un verre pour la route ♕ Spencer

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MessageSujet: Re: Un verre pour la route ♕ Spencer (#)    Un verre pour la route ♕ Spencer  - Page 2 EmptySam 15 Aoû - 1:29

Je comprends mieux pourquoi je ne connais pas son truc de Victoria machin chose. Apparemment c’est une sorte de défilé de filles anorexiques en sous-vêtements pour détraqués sexuels. Et franchement, mater des planches à pain où il n’y a que la peau sur les os, cela ne m’intéresse pas du tout. Mais alors pas du tout ! Je préfère de très loin les femmes naturelles aux jolies formes comme mon amie.Je ne dis pas qu’elle est grosse. Très loin de là. Elle est juste un corps parfait. Agréable à regarder. «  Tu n’as rien à envier des mannequins Clay. Tu es belle comme tu es. Beaucoup plus belle qu’elles en tout cas… »

Je dois bien avouer que malgré l’alcool, je stresse de partager ma couche avec une femme. Même si cette dernière est mon épouse, on ne s’était jamais embrassé avant ce soir. C’est la première fois que nous sommes dans le même lit. Il va falloir que l’on joue à collés-serrés à la vue des dimension de ce dernier. L’atmosphère est déjà on ne peut plus chaude entre nous. Était-ce à cause des degrés d’alcool mêlés dans notre sang ? L’attirance était-elle déjà naturelle d’avant la boisson ? Sera-t-elle toujours présente demain et les autres jours tout en étant sobres ? Nul ne saurait le dire. Je ne veux pas me torturer l’esprit à savoir de quoi demain sera fait. Je dois absolument profiter du moment présent. Mais mes démons du passé ont tendance à poser des obstacles. Clay semble vouloir m’expliquer qu’elle me désire. Sa torture à elle serait de ne pas me faire l’amour. Bah alors dans ce cas là… Pourquoi veut-elle m’infliger sa tradition du Moyen-Âge ? Je n’ai pas tout saisi. En même temps je n’ai jamais rien compris aux femmes, donc ça m’aide pas ! «  Mais arrêtez tous de dire toujours que je me rabaisse ! Après mon meilleur pote Reed, maintenant c’est toi… Il n’y a pas que le nom de famille que vous avez en commun… » Je vois tout à coup Miss Marlowe changer de couleur. Va-t-elle vomir sur moi ? J’ai bien été malade plus tôt dans la soirée à cause de l’alcool. Clay peut très bien l’être aussi. «  Ca ne va pas Princesse ? » Je m’inquiète pour elle.

La nuit s’est déroulée sans encombre particulière. Je me suis senti légèrement plus à l’étroit dans mon lit. Allez savoir pourquoi… J’étais bien trop occupé à pioncer au lieu de me mêler de ce problème. Trop fatigué pour avoir le courage de me réveiller. Il y a eu toute la nuit une source de chaleur tout contre moi, dans mes bras. J’ignore d’où cela pouvait provenir. Même si c’était un alien qui s’était invité à dormir avec moi, je dois bien avouer que cela m’était un petit peu égal. J’aime cette sensation de chaleur contre mon corps. Sentir et caresser les courbes de cette chose. Je me surprends à rêvasser de choses pas très catholiques. Je suis en très charmante compagnie dans mes songes. J’ai du mal à voir le visage de cette créature. Cela reste assez floue. Jusqu’à ce que j’aperçoive son bras marqué d’un tatouage. Cette femme a le dessin d’une fleur imprégnée sur son avant-bras. Celui d’une rose. Je comprends de suite que je suis en train de m’accoupler avec mon amie Clay. Quel doux rêve… Je me surprends à sourire lorsqu’on me réveille. Et je suis encore plus surpris, voir même embarrassé lorsque je vois mon amie en question nue avec moi dans mon lit. Mes joues se colorent de suite comme un petit garçon pris en flagrant délit de saliver devant un carambar. Sauf que là, si je n’avais pas ma migraine qui me martèle la tête, je saliverai bien sur la pompier sinon. En attendant d’aller toucher la marchandises, c’est en allant récupérer un de mes tee shirts que Clay se frôtte légèrement à moi. Si je n’étais pas un peu trop coincé sur les bords et que je me rappellerais de notre nuit d’amour, je la titillerais bien pour repasser directement aux choses sérieuses. Satanés alcool et ses conséquences ! C’est le big trou de mémoire. Mon amie semble très déçue. Elle m’avoue que je suis le premier homme avec qui elle a couché depuis son mari. «  Tu… Tu es aussi la première depuis que mon ex m’a quitté. » C’est à se demander lequel ou laquelle de nous deux est le ou la plus mal à l’aise en présence de l’autre. En se levant du lit pour quitter la chambre, elle me réconforte en me déclarant que je reste son ami. Elle part prendre sa douche avant même que je lui dise où la salle de bains se trouve. Bon en même temps l’appartement n’est pas très grand non plus, donc je pense qu’elle trouvera facilement.

Pendant que la pompier se douche, je décide quand même d’enfiler un pyjama. Je ne vais quand même pas rester en simple boxer devant mon amie… Cela ne se fait pas. Même si réellement nous avons été très loin cette nuit, ce n’est pas une raison pour avoir du laisser-aller. Tel un gentleman, je lui concocte un petit déjeuner à la new yorkaise. Le café passe. Je suis en train de cuire des pancakes, des œufs et du bacon. Pendant que je me concentre à faire la cuisine et surtout à éviter de remettre le feu à cause d’un torchon posé trop près des flammes, Clay fait je ne sais trop quoi avec sa robe. Cherchant à fouiller dans mon petit esprit perdu des morceaux de puzzles pour tenter de reconstituer la soirée de la veille, voilà que la miss s’assoit et me pose une question on ne peut plus directe. Je suis en train de ramener le dernier pancake pour le mettre sur les autres déjà prêts lorsque j’entends ses mots qui me font beaucoup de peine et me déstabilisent royalement. A tel point que j’en fait tomber ma poêle avec le dernier pancake par terre. «  Oups ! » Je ramasse illico mes bêtises, jetant la nourriture sale à la poubelle et mettant la poêle à laver dans l’évier. Je viens m’asseoir à côté de Clay et fais comme si de rien n’était. Mais ses mots m’ont profondément blessés. « Sers toi et mange. Tu… Tu veux du jus d’orange ou du jus de pomme ? » Ma voix est légèrement cassée. Très sensible, trop pour un mec, je n’ai qu’une envie, c’est d’aller me cacher dans le trou d’une souris et pleurer. A croire que je n’étais déjà pas assez attristé de ne pas me rappeler ce que l’on a fait la veille. Si encore cela m’arrivait d’avoir des relations plus souvent je m’en ficherais peut-être. Mais là non. Je n’avais pas touché une femme depuis deux ans. Je me rends compte que si je l’ai fait avec elle, c’est qu’en fait, je ne suis pas indifférent à son charme. Je me rappelle de mon rêve érotique. C’est Clay que je voyais et pas n’importe quelle autre fille, inconnue ou que sais-je… Non ! «  Je… Je ne comprends pas ta question… Ça aurait changé quoi ? » Je n’ose toujours pas la regarder dans les yeux. J’ai honte. Tellement honte de moi… Je crois comprendre qu’elle me prend pour un salop. Dans le fond elle a bien raison. La pauvre Clay doit penser que j’ai abusé d’elle si ça se trouve… Mais si je lui réponds en lui disant qu’il n’y a qu’avec elle que j’ai envie de faire l’amour, comment Clay va-t-elle le prendre ? Nous sommes censés être que des amis. Et des amis ça ne couchent pas ensemble normalement. Nous ne sommes pas en couple. Elle me l’a clairement fait comprendre dans la chambre. Si seulement… Si seulement il n’y avait pas que de l’amitié de son côté, j’aurai peut-être pu lui dire qu’elle me plait. Mais visiblement ce que je ressens n’est pas partagé. J’ai peur. J’ai tellement peur d’être retombé amoureux. Cette nuit, la pompier a réussi à me faire baisser les armes. Depuis ma rupture avec Magdalena, cela s’était tellement mal passé avec mon ex que j’avais fini par me forger une carapace solide. En restant seul dans mon coin loin des femmes, elles ne pourraient plus me faire de mal. Le peu d’expériences que j’avais avant ma voisine de petit déjeuner, je n’avais subi que moqueries et humiliations. Je m’étais juré pourtant que cela ne se reproduirait jamais. Et pourtant… «  Elle est jolie ta robe… Elle… Elle te va vraiment bien… » Dire que je ne me rappelle même plus comment Clay était habillée la veille ! J’étais pourtant persuadé qu’elle n’avait pas cette robe-là. Non elle était toute vêtue de noire dans mes souvenirs. Mais même si ces derniers me font défauts… Je suis bien mal barré pour le coup. Je nous sers tous les deux. L’atmosphère est on ne peut plus glacial entre nous. Evidemment c’est de ma faute tout ça. Luttant pour manger un peu mais n’y arrivant pas, je me lève. « Mange tranquillement, je reviens dans cinq minutes. » Me sentant sale, je m’éclipse dans la salle de bains à mon tour pour me doucher. En passant par le salon, je vois des vêtements sur le canapé. En les regardant de plus près, je reconnais la tenue de la veille de mon amie. Je me rassure de ne pas être aussi amnésique que ça. Je vais me laver. J’ai grandement besoin de me rafraichir. Je me prépare en enfilant simplement un jean et le tee shirt que Clay m’avait emprunté en se levant. Je respire le tissu de mon haut. Il avait pris le parfum de la belle. Je souris tristement. Oui. Je crois bien que je suis bel et bien en train de craquer pour Clay. Je ne suis pas dans la merde avec le coup que je viens de lui faire. Je me dégoûte moi-même. Pour cacher le tee shirt, j’enfile un sweat par-dessus. En sortant de la salle de bains, je récupère les habits de Clay sur le canapé et la rejoint dans la cuisine. «  Je ne sais pas pourquoi tu as une deuxième tenue. Hier tu avais mis ça sur toi. » Je les lui donne. Je frisonne légèrement lorsque sa main frôle ma mienne pour récupérer son bien.
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MessageSujet: Re: Un verre pour la route ♕ Spencer (#)    Un verre pour la route ♕ Spencer  - Page 2 EmptyDim 23 Aoû - 17:13




Un verre pour la route


Alors, chaque soir, je bois
Je me tronche la gueule
Pour oublier qu'au fond
Dans ma tête c'est le bordel
Qui a éteint la lumière?

@Spencer Cooper (sarasvati)


Cet homme est clairement un extraterrestre pour me dire des choses pareilles, moi qui ai perdu tout sens de la féminité depuis des années. Rabaissée humiliée, je me suis mise à me détester, à ne plus reconnaître mes atouts physiques, comme psychologiques d’ailleurs . Pourtant dans sa franchise il me réchauffe le coeur, et alors qu’il dit ses mots, je colle davantage mon dos sur son torse, alors que je murmure .

”Cooper, pourquoi notre route ne s’est pas croisée plus tôt à New York … Cela aurait tellement changé la donne”

Ce n’est en rien l’alcool qui me fait parler, j’ai conscience que les hommes comme lui sont rares, sans ma rencontre quand il été bénévole je me serais foutue en l’air. Il ne le sait pas mais il a été ma bouée, et depuis je le vois tel un ange gardien . Je me dis que si la vie avait été différente, j’aurais peut-être quitté mon mari plutôt; j’aurais trouver le courage grâce à lui ….. Mais le destin parfois nous joue de drôles de tour, je vous jure .

Pour le reste de la soirée après l’union, très vite la température monte, et surtout je ne contrôle en rien mes pulsions, même si je veux être sûre qu’il le veut autant que moi; je dois dire que je ne pensais pas être un jour dans un tel état . Merci à l’alcool de me désinhiber complètement face à cet homme qui est mon mari . Mais on peut dire que malgré la chaleur et mon désir de sa personne, sans le vouloir soudainement il me coupe vraiment l’envie. Mes oreilles ne déraillent pas, il vient bien de prononcer le nom de mon cousin, comment dire, dans une situation pareil c’est vraiment compliqué ! On est quand même tous les deux dans le même lit, et voilà que l’image de mon cousin s’incruste dans mon esprit, d’ailleurs à un moment donné, au lieu de voir le visage de Spencer je vois celui de mon cousin . Sérieusement son meilleur pote, je suis livide et il ne peut que le remarquer, mais je me vois mal lui dire là maintenant, surtout que mon désir lui ne s’est pas éteints, je ferme donc les yeux alors que je m’approche de lui nichant mon visage dans son cou, pour sentir son odeur, et chasser donc Reed de ma tête . Parcourant le corps de Spencer de baiser, je lui dis alors .

”Rien tout va bien ! Mais justement si on est plusieurs à le dire, c’est forcément que tu ne te vois pas tel que tu es “

Pour le reste je dois dire qu’on ne parle pas vraiment, non disons que nos corps et nos coeurs apprennent à faire connaissance, alors que je m’endors dans ses bras, comme il me l’avait promis . Le réveil par contre c’est une vraie douche froide, en plus de ma migraine, je comprends vite qu’il ne se rappelle de rien, et comment dire, je ne peux cacher ma déception. Surtout que j’ai bien vu que quand il aperçu mon visage, son sourire est dissipée, sympa si en plus son esprit lui à fait croire qu’il venait de passer la nuit avec une autre .
Moi je me souviens de tout, et je dois dire que garder une contenance est assez difficile, certes j’avais bu, mais j’étais plus que consentante et à voir sa tête, je doute de la réciprocité …. J’aurais envie de me cacher dans un trou de souris là tout de suite, alors que je lui confis qu’il est le premier depuis mon ex, soit le deuxième homme dans ma vie . Il me confirme que lui aussi, mais je suis comme anesthésiée … Mes souvenirs se chamboulent, et clairement j’ai l’impression d’avoir rêvé cette nuit, et que le réveil n’est qu’un cauchemar … Alors évidemment quand il formule une question, c’est mon égo de femme blessée qui parle quand je le rassure sur notre amitié . Comment pourrions-nous être plus, alors qu’il se rappelle de rien hein franchement . Je dois changer de pièce, je manque clairement d’air, donc je file sous la douche, alors que je manque de m’éffondrer pendant que je suis sous les robinets d’eau chaude ...

J’essaye de faire vite, mais déjà il faut que je retrouve mes sous-vêtements et cette robe qui sort dont je ne sais où, ignorant où sont les vêtements de la veille, faut bien que je fasse avec . C’est l’odeur du café qui me fait bouger, oui je suis accro à la caféine . Le réveil aurait été tout autre, j’aurais reconnu l’intention qu’il a eu à me préparer un petit déjeuner de ma ville natale, mais là mon esprit est beaucoup trop embrouillé …. Je prends juste place, et décide de briser la glace, mais sa phrase me déchire le coeur encore plus …. Une voix en moi à envie de lui répondre quand il me demande ce que ça changerait Tout imbécile, mais j’ai mon orgueil donc je serre juste les dents, prenant des pancakes je lui réponds .

”Rien t’as raison oublions donc … tu m’excuses pour le bacon mais je suis végétarienne ….”

Le pire c’est que j’ai pas vraiment faim, non j’ai qu’une envie me barrer de là et vite pour rentrer pleurer clairement, le pire c’est qu’il a cette facilité à avoir une discussion normal après tout cela .

”Orange s’il te plait”

Il me parle de ma robe, que j’ai réussi à fermé je le regarde alors et réponds franchement en tentant d’être plus douce .

”Merci je sais, pas d’où elle sort mais je trouvais pas mes vêtements du bar, comme quoi j’ai aussi des trous de mémoire ”

C’est plus fort que moi je lui lance un léger pic, mais il m’a tellement blessé que je ne sais pas réagir autrement, il a réactiver ma carapace, alors que je ne l’ai jamais eue avec lui .

Le pire c’est qu’il me laisse manger seule, je rêve il enchaîne les bourdes, et si d’habitude j’adore son côté Gaston Lagaffe me touche là tout de suite je lui filerais des baignes, pour l’heure je tente d’avaler un pancake mais bois surtout du café, pendant qu’il est dans la salle de bain . Il en met du temps là dedans c’est à se demander s’il tente pas de se faire la malle par le vasistas je vous jure !
Dites moi qu’il fait cela d’ailleurs ! Quand j’entends ses pas je lui dis alors tournant la tête vers lui …

”Je sais pas si tu souviens de cette partie,  mais tu m’as demandé pour mon nom de famille Marlowe, via Reed; mais disons que vu notre occupation je me voyais mal te le dire alors que nous étions occupés dans ton lit! Mais il y a bien un lien, c’est mon cousin …”

Je lâche cela, comme une bombe, ignorant totalement que Mister vient justement de passer du temps avec son meilleur pote, mais j’ai besoin de le secouer quelque peu. J’ai repéré mes bottes, mais c’est lui qui me donne mes habits, quand sa main frôle la mienne, j’ai des flash-backs de ses mains me caressant et autant dire que c’est douloureux, je suis parcourue d’un frisson dont j’espère qu’il ne verra rien ….

” Merci je t’avoue que pour la tenue, je ne comprends pas plus que toi, mais merci de me les rendre, je vais mettre mes bottes, je t’ai gardé du café au chaud”

Vous allez vous dire, des bottes avec une robe ça ne le fait pas vraiment, mais honnêtement vue ma gêne dans cet appartement je me fous de mon look, je fourre juste mes vêtements de la veille dans mon sac, heureusement qu’il est grand . Pour mon plus grand soulagement mon beeper sonne, signe donc que je suis appelée pour une intervention. Désolée pour la ou les victimes mais jamais je n’ai été aussi contente, qu’il sonne me tournant vers Spencer qui mange je lui dis alors .

” Je dois aller c’est une urgence”

J’enfile alors mon blouson, et vais vers la porte d’entrée ma main sur la poignée, je me retourne pour lui dire droit dans les yeux .

”Pour toi c’est déjà fait, mais oublions cette nuit, tu es quelqu’un d’important dans ma vie Cooper je ne veux pas te perdre !”

C’est fou comme ces mots m’arrachent la bouche pour être poli alors qu’une partie de moi à envie de l’embrasser. Sans attendre qu’il me réponde quoique ce soit, je sors donc de l’appartement et hèle un taxi, afin d’être conduite le plus vite possible à la caserne, espérant que pour moi aussi cette nuit s’effacera …. Sur le chemin des larmes roulent sur mes joues .



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