Milan O'BRIEN - Présentation

Milan O’BRIEN

Une photographie, c'est un fragment de temps qui ne reviendra pas.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ * Abandonné par ses parents biologiques à sa naissance, le brun arrive à Island Bay aux alentours de ses 5 ans, adopté par la famille O’Brien. Être adopté est la meilleure chose qui lui soit arrivé et il ne pourrait jamais assez remercier sa famille adoptive de l’avoir aussi bien accueilli dans ce cocon d’amour et de bienveillance.
* Milan n’éprouve pas le besoin de retrouver ses origines, il sait de quel pays il vient et ça lui suffit pour l’instant. Avec le retour de Chance, le brun en vint à se poser de nouvelles questions : et si lui aussi une famille l’attendait quelque part ? Milan n’avait plus de souvenirs de son ancienne famille, de sa vie avant d’arrivé ici ou que des bribes un peu flous.
* Quand il était petit, le brun était un peu turbulent, il avait cette envie de bouger, de se dépenser et le sport fut la solution qui était venu à lui naturellement. Il avait longuement testé différents sports : du foot, au tennis en passant par le baseball, il s’était avéré que le brun préférait la randonnée, parcourir les paysages plutôt que de jouer à la baballe. Il n’est pas contre non plus un peu de musculation, mais ce n’était pas sa tasse de thé.
* Turbulent quand il était enfant, il se renferme à l’adolescence avant de s’épanouir à son arrivée à l’université. Ses études supérieures sont la meilleure période de la vie du brun, et décrocher son diplôme est sa plus belle réussite. Il a su prendre confiance en lui.
* Son plat préféré est la pizza et c’est un amateur de café.
*  Si la photographie est sa passion première, le brun s’intéresse à tout ce qui touche au domaine de l’art, et son péché mignon est d’aller visiter des musées et les monuments historiques.
* Le jeune homme n’a jamais été très bon à l’école, mais il se révèle maître en matière de conversation, sûrement parce qu’il s’est efforcé dès son arrivée d’apprendre la langue de ce pays et de ne jamais donner la possibilité aux autres de le charrier sur son langage, alors même s’il y a toujours ce petit accent hispanique dans sa voix, le brun parle très bien et sait comment bien parler en présence des autres.  
* Milan a toujours été terrifié à l’idée que sa famille finisse par se lasser de lui et le renvoyer. Petit, il pensait même qu’un jour, quelqu’un pourrait l’arracher à ce cocon qu’il aimait tant pour lui faire prendre le bateau retour pour retourner dans son pays natal.
* Il a très peur du noir. Si le brun n’est pas effrayé par les petites bêtes ou les araignées comme la plupart des gens, il déteste être enfermé dans le noir, alors malgré son âge, dans sa chambre, il y a toujours une petite veilleuse, au cas où.
* Milan n’a toujours pas le permis, il se déplace le plus généralement en skateboard ou à vélo, et ne souhaite pas que cela change, il n’est pas contre l’idée de passer en premier son permis moto plus à l’aise dans un véhicule à deux roues qu’à quatre. Quand Milan n’a pas d’autre choix, il se déplace à pied et est habitué à parcourir plusieurs kilomètres par jour ou faire du stop.
* Au niveau sentimental, le brun n’a jamais connu vraiment d’histoires sérieuses, il préférait les moments en famille aux moments amoureux et n’en a jamais fait une priorité de son bonheur, maintenant qu’il mûrit et qu’il n’a plus à s’inquiéter pour son frère, le brun pourrait se faire à l’idée de rencontrer quelqu’un, mais il n’est pas pressé.

les indiscrétions sur le joueur

 

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l'histoire de ma vie

Un être sans famille c'est comme un arbre sans branches.

Le jeune Milan n’a pas commencé sa vie avec ce prénom-là, né dans une petite ville au Mexique, il fut le petit bonheur de ses parents, un vrai rayon de soleil et pourtant la suite de son histoire allait prendre un virage qu’il n’avait pas anticipé. Ses parents n’étaient pas riches et la vie au Mexique était difficile, son père avait commencé à se mettre dans des sales histoires pour subvenir aux besoins de sa famille, mais au fil du temps, le paternel avait commencé à avoir peur pour sa vie, et pour la vie des siens, il avait tellement eu peur qu’il eût préféré envoyer son fils dans un autre pays. Direction la Nouvelle-Zélande pour le petit garçon d’à peine 5 ans. Milan c’est le nom qu’on lui a attribué à son arrivée à l’orphelinat. Si au début, les souvenirs de son enfance au Mexique étaient encore frais, par la suite, il commença à les remplacer par de nouveaux, surtout après son adoption par les O’Brien. Milan arriva chez eux d’abord impressionné, mais heureux d’avoir une nouvelle famille et c’était mieux que l’orphelinat. Enfant, le petit garçon était assez turbulent, il avait ce besoin de bouger, de préférence avec les autres et il comprit plus tard qu’il avait dû fatiguer ses parents adoptifs, mais il n’était pas méchant et n’avait pas mauvais fond. Tout avait été découvertes et surprises, le brun avait découvert ce qu’était vivre dans un foyer rempli d’amour et assez riche pour subvenir aux besoins de chacun, ce qu’il avait retenu le plus c’était l’odeur des premiers vêtements qu’il avait enfilé chez les O’Brien, loin des habits crasseux qu’il avait au Mexique. Si le brun avait eu du mal au début à véritablement se faire une place chez les O’Brien, au fil des années il s’était senti complètement à sa place parmi eux. Milan se rendait compte de la chance qu’il avait, être adopté par les O’Brien était la meilleure chose qui lui soit arrivé. Milan s’était également pris d’affection pour sa sœur et son frère, Milan avait quelques mois d’écart avec la blondinette et quatre ans avec son grand frère. Enfant, il été très complice de la blonde, il aimait lui raconter ses malheurs et discuter avec elle pendant des heures, quand avec Chance s’était plus délicat, le brun n’arrivait pas à accepter la surprotection de son ainé, cela partait d’une bonne intention, mais Milan n’avait pas besoin d’être couvé, il voulait juste profiter de l’euphorie de sa nouvelle vie. Quand le brun aurait eu besoin de son grand-frère celui-ci s’était engagé, pourtant Milan aurait bien eu besoin de son modèle dans sa vie à cette période.

L’adolescence ne fût pas une période agréable dans la vie du brun, réservé et timide, le brun ne se sentait bien que chez lui, il avait trouvé chez les O’Brien un vrai cocon, un noyau auquel se rattaché quand ça n’allait pas, mais le brun n’arrivait pas à se faire une place dans la société, il était cet enfant adopté que l’on a sauvé de sa misère et les moqueries allaient bon train quand il avait dit qu’il était mexicain. Le brun était bien trop réservé pour se rebeller comme aurait pu le faire sa sœur, il préférait évacuer tout cela caché sous son lit en pleurant avec Lorelei à ses côtés. Elle avait fait son maximum pour le protéger des autres, et Milan restait dans le cocon familial plus souvent qu’il n’allait jouer à l’extérieur avec ses copains. Il avait très peu d’amis et il était bien mieux chez lui. Milan était passionné de photographie, il aimait capturer les doux moments qu’il passait chez les O’Brien en famille, un sourire de sa mère par-ci, une autre de sa sœur par-là, et avoir le loisir de regarder ces moments à nouveau. C’était peut-être parce que le brun n’avait aucune photo pour se souvenir de son enfance au Mexique qu’il lui était important d’en avoir ici. Rose et Oliver l’avait poussé dans ce sens-là, l’accompagnant à des expositions et lui offrant pour ses 12 ans son premier appareil photo. Milan préférait largement rester chez lui à prendre des photos et s’essayer à ses premiers shootings plutôt que de voir les autres ados de son école bien moins intéressants. Le brun se construisit comme cela petit à petit jusqu’à l’université où il prit un peu plus de confiance en lui, il était temps pour lui de faire sa place dans ce monde et il n’avait plus envie d’être cet ado qui pleure sous son lit. Milan voulait devenir quelqu’un et faire quelque chose de bien. Il s’inscrit donc dans cursus de photographie et devint major de promo chaque année jusqu’à l’obtention de son diplôme. Lui qui vivait encore chez les O’Brien avait eu l’envie de prendre son indépendance et loue un loft dans le centre de la ville. Il avait besoin de sortir du cocon quelques temps, être à la maison lui rappelait constamment qu’ils n’avaient plus de nouvelles de son frère depuis un paquet de temps et Milan arrivait toujours à voir les regards de désespoir de ses parents, ou leur espoir quand ça venait à sonner à la porte. Le brun avait besoin de prendre l’air de cette situation, et la fin de ses études et le début de sa vie active était un bon tremplin.

Le brun vivait avec des moyens corrects, encore amateur il était parfois difficile pour lui de trouver des shootings, mais assez pour subvenir à ses besoins. Il n’était pas dans le manque, et c’était bien ainsi. Ça lui avait fait du bien de sortir du cocon, de penser à lui plutôt qu’à l’absence de son frère ou qu’à l’inquiétude qu’il ressentait par rapport à Lorelei, il avait bien vu que la blondinette commençait elle aussi à s’éloigner et maintenant avec le retour de Chance, ça ne rendait pas les choses faciles. Milan avait d’abord été surpris de retrouver son frère, mais il savait que les choses avaient changé pour chacun d’eux, mais il n’arrivait pas à lui en vouloir, il était heureux de le revoir à nouveau. Milan veut laisser une chance à son frère de rattraper les moments où il n’était pas là, et de raisonner sa sœur d’en faire autant.