Azrael&Luna (loterie rp) first dance

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Everything you do with a horse is dance
@luna albertini

L'objectif principal de l'ouverture de ce centre, c'était d'être accessible à n'importe qui. Sûrement pas ce qu'on attendrait d'un ancien champion olympique, mais ça devenait une genre d'habitude de ne jamais être à l'endroit attendu. Alors j'avais lancé ces initiations, une fois par semaine, toutes les deux semaines quand j'étais débordé, je m'appliquais à faire découvrir cet univers à quelqu'un de nouveau. J'organisais ça au quartier de loisir, ça aidait la visibilité il parait, et ça forcait moins l'engagement que déjà devoir se déplacer aux écuries, j'imagine du moins.

J'étais pas forcément à l'aise avec le côté un peu répétitif et théâtral de tout ça, donc souvent ça passait pas mal à la trappe, c'était pas si grave. Je cherchais pas forcément de futurs clients, juste à éveiller des vocations, et je me disais que si ça devait se faire ça se ferait, quelles que soient les formes. Alors je faisais pas de grande enquête sur qui allait venir, il y'avait des réservations bien sûr, mais plus pour des questions d'affluence, le reste se faisait pas mal au feeling. J'aurais probablement même laissé le choix du cheval dans un environnement plus propice.

Je jetais un dernier oeil sur le matériel, les brosses, la selle, la petite carrière aménagée pour l'occasion et plus loin, le petit chemin de balade, puis sur Amadeo, le cheval blanc ramené pour l'occasion. Tout était prêt. Tant mieux, puisqu'une jeune fille semblait marcher dans notre direction. Une dernière caresse sur l'encolure de mon allié du jour, et je faisais quelques pas pour aller à sa rencontre Bonjour !! Luna c'est bien ça ? Vous allez bien ? il valait mieux, sans quoi j'allais probablement me ridiculiser bien plus vite que je ne le souhaiterais enchanté, je suis Azraël quelques pas en sa compagnie qui nous rapprochent de l'enclos et voici Amadeo une main qui passe à l'arrière de la tête le temps de reprendre mes esprits, c'était toujours délicat de faire un programme assez flexible tout en paraissant sûr de soi et malgré tout professionnel et préparé. D'un autre côté j'envisageais pas ca non plus comme un stand de kermesse, ou les chevaux sont déjà préparés et font un petit tour sur un circuit, ça collait pas vraiment à ma vision, même si ça pouvait aussi être un point de départ pour beaucoup d'enfants, ça l'avait été pour moi d'ailleurs. Du coup j'aurais besoin de savoir quelle relation vous avez avec les chevaux jusqu'ici et pourquoi vous avez pensé à vous inscrire, pour mieux saisir ce qui vous plairait et pouvoir adapter ! mon attention se reporte alors sur les brosses On va commencer par le brosser et le seller, donc on a tout le temps d'en discuter pendant Un sourire. Je parle trop, peut être, ou pas assez, peut-être même les deux à la fois.

@made by ice and fire.

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Tu as eu une illumination il y a quelques jours. En fait plusieurs gosses dont tu t'occupes font de l'équitation ou ont envie d'en faire. Spontanément ça t'a rappelé des souvenirs de ta jeunesse où tu avais extrêmement peur des chevaux depuis que tu étais tombée de sur l'un d'eux à l'époque où tu vivais encore au Canada et où tu suivais des cours d'équitation avec un moniteur. Ça t'a laissée un souvenir assez désagréable. Néanmoins tu veux voir si la peur des chevaux est passée ou si au contraire elle demeure bien présente malgré les années qui sont passées. Un homme donne des cours ici en ville et tu as rendez-vous aujourd'hui même avec lui. Pour l'occasion tu portes un jogging blanc et petit haut bleu, étant donné que vous êtes en été ici en Nouvelle-Zélande, encore un truc étrange par rapport à ton pays natal où là-bas c'est l'hiver et il fait très froid à cette période de l'année, mais du coup tu profites du climat chaud de ce pays en cette période de l'année pour te vêtir pas trop chaudement et pour aller à la plage. Mais pour l'heure tu arrives sur le lieu du rendez-vous à Wellington après que ton frère t'a déposée dans la grande ville et tu approches voyant aussitôt un homme au loin avec un cheval blanc. En arrivant à sa portée tu lui offres un beau sourire "Bonjour !! Luna c'est bien ça ? Vous allez bien ?" Tu souris en le dévisageant de tes grands yeux bleus « Bonjour. Ça va et vous ? C'est bien moi en effet. » Tu réponds joyeusement au jeune homme qui est à peine plus âgé que toi pour le coup. "enchanté, je suis Azraël" Tu lui souris joyeusement en hochant de la tête « enchantée également. » Tu murmures d'une voix douce. "et voici Amadeo" Tu souris en scrutant le bel animal « Il est magnifique ! C'est un mâle ou une femelle ? » Tu réponds avec enthousiasme face au beau cheval blanc. "Du coup j'aurais besoin de savoir quelle relation vous avez avec les chevaux jusqu'ici et pourquoi vous avez pensé à vous inscrire, pour mieux saisir ce qui vous plairait et pouvoir adapter !" Tu penches la tête sur le côté, pour le coup tu t'attendais bien à ce que la question arrive. « Eh bien j'adore les animaux en général. Toutefois avec les chevaux je n'ai pas forcément une bonne expérience. Enfant lorsque je vivais encore au Canada je suis tombée à cheval du coup même si j'adore les animaux je pense qu'ils doivent sentir que je les crains tout de même un petit peu. » Tu commences en soupirant. « Quant au reste je suis nounou d'enfants. Et plusieurs jeunes dont je m'occupe font de l'équitation et j'ai eu l'envie de retenter l'expérience pour voir si ma phobie est partie ou si j'avais une chance de pouvoir monter à cheval un jour... » Tu ajoutes en le scrutant. "On va commencer par le brosser et le seller, donc on a tout le temps d'en discuter pendant" Tu hoches de la tête en souriant « Brosser je sais faire. Sceller je n'ai jamais vu faire ça par contre. » Tu réponds avec un petit sourire. « Vous pouvez me tutoyer si vous voulez, je ne suis pas si vieille.... » Tu proposes d'une voix douce...

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@luna albertini

Tout l'aspect social, c'était vraiment pas mon fort, accueillir une personne à la fois m'avait d'abord paru être la meilleure solution, avec le recul j'en sais trop rien, c'était à la fois moins et plus de stress. Après, heureusement, je me rendais souvent compte que ça n'était pas nécessaire et tout se passait bien, et à entendre le ton enjoué de la jeune fille, qui était bel et bien Luna, après vérification, j'avais bon espoir qu'il en soit de même aujourd'hui. J'ai presque oublié de répondre à sa question sur le coup, simple formalité mais tout de même je vais bien aussi, merci
Un petit rougissement au compliment sur Amadeo, même si le compliment était pour lui au fond, j'étais globalement fier de la cavalerie que j'avais rassemblé dans ces écuries, lui tout particulièrement. Un ancien de l'école d'équitation que j'avais fréquenté, en Autriche, toujours en pleine forme cela étant C'est un mâle en caressant doucement son encolure j'ajoute un petit père tranquille, idéal pour ce genre d'exercices S'ensuivent quelques questions usuelles, c'est toujours bien de tâter le terrain, ça évitait les redites et les gaffes, et la mention d'une chute dans le passé me démontrait que j'avais bien fait de demander. Je vois ! C'est probable mais certains y réagissent très bien et essaient justement d'être le plus rassurant possible c'était le cas de l'étalon blanc, qui s'autoriserait volontiers une indiscipline avec moi, mais jamais avec un débutant. En tout cas j'aimais sa motivation et son enthousiasme, sa volonté de dépasser sa peur, même si je voulais tout faire pour ne pas la brusquer Cela étant, s'il y a le moindre souci, ou qu'à un moment vous ne le sentez plus c'est pas du tout un souci et n'hésitez vraiment pas à me le dire le but n'étant bien entendu pas de créer un nouveau mauvais souvenir, surtout que ça se sentait qu'elle aimerait vraiment passer au dessus de tout ça... Pas de souci pour la selle, c'est juste un coup de main à prendre et puis, elle m'a proposé de la tutoyer. C'était une délivrance, avouons-le, ça s'est sûrement lu sur mon visage d'ailleurs. Je me suis vaguement embourbé avec cette histoire d'âge C'est pas du tout pour ça c'est juste que bon, on peut jamais trop savoir et, enfin voilà une grande inspiration plus tard, je me ressaisis un peu et reprends simplement Avec plaisir... et mutuellement d'ailleurs j'étais pas bien fan du vouvoiement non plus, encore une chose qui faisait pro mais me faisait surtout me sentir comme un clown, ou au moins un acteur.

Je la laissais brosser tranquillement en continuant d'échanger quelques mots avec elle avant d'aller chercher le tapis et la selle et de lui expliquer, pas à pas le truc, c'est de la mettre d'abord très en avant et de la faire glisser vers l'arrière, y'a un moment ou on sent qu'elle commence à être calée et la laissais essayer, prêt à l'aider en cas de doute, ou même de difficulté quelconque avec le poids de la selle ou que sais-je encore. Puis les explications sur la sangle, la necessité de ressangler avant de monter, puis le filet, tout un tas de théorie un peu écrasante qui devient très vite un automatisme avec la pratique ça parait peut être très technique pour l'instant, mais avec le temps on s'en rend même plus compte, et puis on vous lâche jamais complètement dans la nature non plus, à terme être autonome c'est bien, mais c'est pas une urgence. je lui adresse alors un sourire, le plus rassurant que j'ai en stock et lui demande Prête ?

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L'homme finit par arriver face à toi et vous échangez les banalités, notamment savoir comment ça va, tu es la première à répondre et il te dit ensuite que ça va pour lui. Puis vous parlez du cheval qu'il a emmené avec lui que tu trouves très beau. Tu vois l'homme rougir et ça te fait sourire, à croire qu'il prend le compliment pour lui plus que pour le cheval, tu demandes alors si le cheval nommé Amadeo est un male ou une femelle et l'homme t'annonce qu'il s'agit d'un mâle et tu acquiesces. « Tu es un beau garçon. » Tu dis au cheval qui te fixe et tu souris. L'homme t'annonce alors qu'il est tranquille et même idéal pour ce type d'exercices, tu hoches alors de la tête en posant tes yeux bleus sur l'homme en face de toi. « Tant mieux alors. » Tu réponds en souriant tout en lui parlant ensuite de ta mésaventure à l'enfance avec un cheval qui t'a fait tomber par terre alors que tu avais été effrayée. L'homme semble comprendre et te dit que certains chevaux tentent d'être le plus rassurant possible tu soupires alors tout en posant tes yeux sur l'homme. « Le moniteur au Canada m'a dit à l'époque que les chevaux ressentent la peur et que ça les stresse. Il aurait donc dit des bêtises ? » Tu demandes mal à l'aise. Il te dit alors que s'il y a un problème et que tu veux arrêter qu'il faudra le lui dire et tu acquiesces en souriant « Très bien. » Tu réponds d'une voix douce. Il te parle alors de l'entretien envers l'animal à savoir le brosser et le sceller, autant pour le brosser tu sais comment faire ayant déjà fait ça. En revanche pour la scelle tu n'as jamais vu faire et tu le préviens il te rassure alors tandis que vous parlez du vouvoiement et de ton malaise à l'idée d'être vouvoyée comme si tu étais une personne âgée et il te répond que ce n'est pas pour cette raison, tu supposes qu'il s'agit là simplement de politesse, il te dit alors que ce sera avec plaisir et que tu peux le tutoyer et tu acquiesces. « ça marche. On fait comme ça. » Tu murmures d'une voix douce. A la suite de ça tu brosses Amadeo tandis qu'il t'explique comment tu dois t'y prendre avec la scelle. Tu laisses donc le brossage de côté et tu commences à sceller le cheval selon les indications de l'homme. Malgré une certaine difficulté tu y arrives et tu finis par attacher la scelle tout en te tournant vers Azrael « je crois que j'ai pigé le truc, pas vrai ? » Tu demandes juste pour être sûre que tu t'y es bien prise. Il te fait alors remarquer que ça semble très difficile au début mais que ça s'apprend et qu'on s'y habitue. Mais qu'on ne vous lâche pas dans la nature pour autant, tu acquiesces alors « Je vois oui. » Tu réponds d'une voix douce tandis qu'il te demande si tu es prête, tu penches alors la tête sur le côté. « On peut essayer oui. Qu'est-ce que je dois faire ? » Tu réponds en posant tes grands yeux bleus sur lui... T'es déterminée a surmonter ta peur, notamment envers la hauteur parce qu'il est vrai que le cheval blanc est tout de même très grand donc il y aura de la hauteur lorsque tu seras assise sur lui, mais tu gardes confiance aussi bien que possible...

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@luna albertini

Ca m'a fait sourire de l'entendre parler au cheval, peut être plus que cela n'aurait du, mais j'avais vu passer tellement de personnes désireuses d'essayer une nouvelle chose sans vraiment chercher à construire un lien que c'était plutôt touchant à voir. Et ça me semblait essentiel pour établir la confiance nécessaire avec quelqu'un d'un peu inquiet à l'idée de monter.

J'avais essayé de la rassurer sur cette idée des chevaux qui sentent la peur, pas que ce soit foncièrement faux, mais je voyais pas non plus l'intérêt de dire à quelqu'un d'inquiet que s'il l'était tout se passerait mal. Ca n'avait jamais rassuré personne, et puis, c'était pas si absolu. Alors l'entendre demander si son ancien moniteur aurait dit des bêtises, ça m'a arraché un petit rire Non j'irais pas jusque là, en soi c'est pas faux qu'ils le sentent et que ça peut influencer, mais l'état d'esprit du cheval à la base compte aussi d'abord une petite pause, puis je me dis que c'est surement pas plus mal d'élaborer Sur un cheval jeune et inexperimenté, avec un tempérament nerveux, ou dans un lien dans lequel il est pas en confiance ou sur une activité un peu complexe, c'est mieux que le cavalier soit sûr de lui et rassurant. Mais sur un petit tour comme ça et avec quelques années d'expérience et un bon caractère ils peuvent aussi comprendre et faire de leur mieux pour rassurer C'était le cas d'Amedeo, un excellent maître d'école, très doux avec les débutants, et malgré tout, assez exigeant face à un cavalier plus expérimenté. Jamais une désobéissance nette ou dangereuse, mais de là à dire qu'on en tirerait quelque chose sur un exercice plus complexe, c'était tout autre chose.

je l'ai laissé un peu faire pour la préparation, en veillant à ne pas trop la fixer et à rester le plus bienveillant possible sans qu'elle se sente mal à l'aise. Elle se débrouillait bien en tout ca, et rapidement, la selle était parfaitement en place, ce qu'elle semble avoir remarqué avec une certaine fierté, j'ai hoché la tête avant de lui confirmer Oui, c'est parfait c'était pas un exercice facile en soi, surtout avec de mauvaises selles, mais quand elles étaient adaptées au cheval elles trouvaient leur place assez facilement. Les explications se poursuivent alors pour les étapes suivantes, de manière assez fluide, du moins je crois, et rapidement viens la question de monter ce à quoi elle répond assez positivement. Je lui tends alors une bombe, qui viendrait la protéger en cas de chute avant de décrocher Amadeo Y a une petite structure là pour monter plus facilement, toujours à la gauche du cheval pour monter, les étriers devraient etre bons a priori c'était un peu un super pouvoir de cavaliers expérimenté de savoir estimer ça a l'avance, le résultat d'années à galérer à trouver la bonne longueur pour lui. Et après on peut y aller doucement, je pense que pour l'instant on peut rester dans la petite carrières ? Je reste à côté,et je peux le tenir dans un premier temps et quand ça va je te laisse diriger ? je ne mentionnais pas encore la possibilité du trot ou du galop. Rien ne pressait et inutile de la stresser plus que nécessaire, mais si elle avait déjà monté je n'avais aucun doute sur le fait qu'elle reprenne la main facilement.

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Vous papotez à propos du cheval et tu écoutes chaque mot que l'homme en face de toi prononce, tu le dévisages tout un moment alors que vous parlez de ton ancien moniteur et tu lui demandes si ce dernier t'a dit des conneries comme quoi que les chevaux ressentent l'inquiétude de leur cavalier et voilà que le mec éclate de rire en te disant que c'est vrai mais que le caractère du cheval et son état d'esprit comptent également, tu acquiesces tandis qu'il te donne de plus amples infos à ce sujet comme quoi que le cheval peut comprendre et tenter de rassurer au mieux à sa façon et tu souris. « Bon tant mieux. » Tu murmures avec un sourire. A la suite de ça tu t'occupes du cheval blanc en le brossant puis en le scellant et tu demandes au moniteur si tu as fait les choses correctement et il te répond que oui donc tu es ravie. Il te demande ensuite si tu es prête et tu dis que oui en lui demandant ce que tu dois faire et il t'explique alors la manœuvre et tu soupires un peu stressée en tentant de grimper sur le cheval, enfin la scelle, grâce aux étriers et après un moment te voilà sur Amadeo, tu tentes donc de ne pas regarder le vide et tu te concentres sur Azrael qui t'annonce qu'il va rester près de vous en premier lieu puis te laisser gérer ensuite tu hoches alors la tête. « Je préfère effectivement que vous restiez à proximité. Je ne suis pas à l'aise avec le vertige pour être honnête. » Tu réponds mal à l'aise en posant tes yeux bleus sur l'homme... Le cheval avance alors et tu regardes droit devant toi en soupirant, pour le moment l'animal avance doucement donc ce n'est pas encore trop effrayant mais tu appréhendes le moment où il va galoper, là ça sera carrément une autre histoire....

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@luna albertini

Je crois avoir réussi à la détendre un petit peu en lui expliquant comment pouvaient réagir les chevaux vis-à-vis du stress et tout particulièrement qu'être nerveux ou un peu stressé n'empêchait en rien qu'une séance aussi basique se passe mal, c'était probablement pas assez pour la rassurer complètement, mais c'était déjà ça. Une fois les premières formalités passées et en selle, son inquiétude se précise et elle confie rapidement qu'elle préfère que je reste à côté, en hochant la tête je lui réponds Aucun souci ! les risques n'étaient bien entendus pas bien grands à ce stade, mais c'était bien de pouvoir se concentrer sur une seule tache à la fois, comme lorsqu'on apprend à conduire et que l'on ne gère que le volant dans un premier temps, puis les pédales et tout le reste, c'était un peu pareil ici. Quand elle mentionne le vertige, j'ai un peu hésité a proposé un cheval plus petit, pas pour aujourd'hui, mais les prochaines fois pourquoi pas, j'étais pas bien sur de la pertinence et pas persuadé que 20 cm changent grand chose, mais je ne manquerais pas de lui proposer si elle revenait un jour. j'ajoutais alors de la manière la plus décontractée que possible A terme je peux même courir à côté si nécessaire mon regard se posait alors sur mes baskets avant de lui adresser un petit sourire Mais chaque chose en son temps ! Afin d'éviter qu'un petit silence gênant, prompt à renfocer les angoisses ne s'installe, je lui lance, en espérant la détendre Tu as toujours vécu ici ? les années à voyager et à entendre différents accents m'avaient presque convaincu qu'elle était canadienne, aussi léger que puisse être son accent. Mais j'avais aussi appris à ne pas trop présumer, et puis l'objectif principal restait de la mettre en confiance

@made by ice and fire.

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Il semble beaucoup plus à l'aise que toi en tout cas. Pour le moment tu as du mal à te détendre alors que tu posée sur Amadeo le cheval blanc très haut. Mais la présence de l'homme près de toi aide à ce que tu te détendes petit à petit. Il te confie qu'il peut même courir à côté s'il y a besoin et tu le fixes en acquiesçant « est-ce qu'il y aura vraiment besoin ? Il risque de partir au galop d'une seconde à l'autre ? » Tu demandes, un poil angoissée tout d'un coup. Il tente alors de te détendre en retour en te demandant alors si tu as toujours vécu et tu secoues la tête en riant. « Pas le moins du monde. Je suis née au Canada, je suis ici depuis 2016. J'y suis venue avec mon frère. » Tu commentes avec un sourire. « Et vous venez d'où, vous ? » Tu demandes curieuse en le dévisageant. « Pour tout dire je suis canadienne de nationalité mais également italienne d'origine de la part de ma mère. J'ai aussi des origines néo-zélandaises de la part de mon père. » Tu confies en te détendant peu à peu, te concentrant sur le paysage qui se dresse devant toi en tentant d'oublier la hauteur et ça paye ses fruits parce que tu arrives à être sereine et c'est l'essentiel en soit...

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@luna albertini

J'essayais de me montrer aussi flexible que possible de montrer que peu importe comment elle se sentait le mieux, c'était possible, courir, ou non, tenue, ou non. Au final je crois que ça a pas marché si bien que soit à en croire sa réaction, j'étais un peu perdu sur comment m'y prendre à vrai dire, et si j'avais voulu ouvrir le centre à tous pour ne pas tomber dans le simple coaching de compétiteurs, je manquais vraisemblablement d'expérience avec des publics moins à l'aise , mais il fallait bien un début à tout Non dans tous les cas il ne fera rien du genre, c'était plus pour tenir si nécessaire, enfin, tout ça pour dire que tout est possible et modulable selon ce qui vous met à l'aise Tout sauf que le cheval s'emballe, du coup, enfin, j'essaie de mentionner ça le moins possible pour ne pas lui donner de raisons de s inquiéter et cherche à en savoir plus sur elle, me disans tque ca ne pouvait que la mettre plus à l'aise.

En tout cas, je ne relevais pas que mes spéculations sur le Canada étaient justes, ça aurait pu sonner impoli, peut être alors j'acquiesce juste dans un premier temps Je suis né ici, j'y ai passé une bonne partie de ma vie, puis je suis parti 5 ans en Autriche et après avoir papilloné un peu je suis revenu j'en profite pour glisser un petit compliment en l'entendant détailler un petit peu des origines Deux très jolis endroits ! enfin, trois avec la Nouvelle-Zélande, mais je suis bienmoins objectif sur ce dernier point enfin, je savais meme pas ce que j'en pensais au fond, c'était indiscutablement magnifique, j'y avais vu certains des plus beaux paysages de ma vie, mais j'avais pour autant jamais ressenti trop d'attachement, je crois ? En tout cas, elle semblait commencer à se détendre et profiter de la vue, ce que je ne pouvais qu'approuver, éternellement convaincu que la meilleure manière de découvrir un paysage était entre les oreilles d'un cheval.

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Il tente de te détendre comme il le peut et ça fonctionne petit à petit étant donné que tu arrives à parler sans trop te préoccuper de la hauteur à laquelle tu te trouves étant donné la taille du cheval, enfin la hauteur du moins. Mais pour l'heure vous parlez de vos origines et il t'annonce être né ici mais avoir voyagé en Autriche et avoir papillonné pendant cinq ans tu souris alors en acquiesçant. « Papillonné ? C'est à dire ? Voyagé à travers le monde ? » Tu demandes curieuse et intéressée « C'est un pays chargé d'histoire l'Autriche. » Tu commentes en souriant. Il dit ce qu'il pense alors des pays d'où tu as des origines tout en faisant un commentaire sur le pays où vous vous trouvez actuellement et tu ris. « Oui j'aime beaucoup. Mais je dois dire que le Canada ne me manque pas du tout. » Tu réponds en le scrutant. « J'en suis partie il y a plusieurs années suite à ma victoire au Big Brother canadien et autant dire qu'après je n'avais plus aucune liberté de mes mouvements. » Tu confies preuve étant que tu te détends malgré ta peur du vide. « Tu aimes la téléréalité toi ? » Tu demandes avec un sourire repassant volontairement au tutoiement preuve ultime que tu t'es détendue.

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@luna albertini

J'étais content que la décision se lance finalement, ça m'arrivait parfois de me retrouver au coeur de silences que j'étais incapable de combler dans ces situations et c'était vraiment la pire des sensations. J'acquiescais quand elle me demandait ce que j'entendais par papilloner C'est ça, je suis parti du Brésil en 2016 et j'ai globalement fait le tour du monde, avec un de mes chevaux avant de rentrer y'avait finalement assez peu de pays par lesquels j'étais pas passé, mais dans la mesure du légal et du raisonnable, j'avais fait tout ce qui était possible je crois bien ? Quant à l'autriche; les longues heures d'histoire qui avaient lieu en parallèle de la formation m'empechaient de la contredire Oui, c'était vraiment très enrichissant d'y vivre, l'enfer de l'apprentissage de l'allemand en valait la peine un petit rire, je savais pas si elle s'y était déjà essayé d'ailleurs.

En tout cas, elle finit par annoncer que le Canada ne lui manque pas Ah oui ? d'un côté, je comprenais, moi même, la Nouvelle Zélande ne m'avait pas manqué, mais ca avait l'air un peu plus profond que ça. Quand elle a commencé à se justifier, je n'avais pas la moindre idée de ce dont elle pouvait bien parler, même si l'idée de célébrité et de manque de liberté m'a un peu mis sur la voie J'imagine, quelle plaie la célébrité... parole d'enfant de star qui a fui le feu des projecteurs toute sa vie, du coup, sa question suivante ne pouvait pas plus mal tomber, je n'avais aucune envie de la froisser, et en même temps, j'en pensais pas forcément du bien non plus. Mais elle avait l'air d'avoir la tête sur les épaules donc je m'autorisais pas vraiment de jugement hâtif, alors je lui ai juste répondu avec un petit rire gênant Pas vraiment, enfin, j'y connais pas grand chose à vrai dire, mais ça regroupe tout un tas de chose que je n'aime pas, la notoriété en tête... je me suis dit que, y'avait une chance qu'elle soit d'accord avec ça et que c'était suffisamment neutre pour ne pas la vexer, j'espérais en tout cas.

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Il te parle d'avoir papillonné et tu lui demandes ce qu'il entend par là, s'il a voyagé ou s'il pense à autre chose et il te répond que c'est bien ça, qu'il a vu le Brésil notamment et tu souris. « Wow quelle chance. Le Brésil c'est très beau à ce qu'il paraît. J'en ai vu des photos et ça donne clairement envie. Mais je suis d'avantage intéressée par le Mexique en Amérique latine pour tout dire. Ne serait-ce que pour la nourriture, c'est un délice ce qu'ils servent là-bas. » Petit sourire qui se dessine sur tes lèvres. « Du coup tu as voyagé ici et là si je pige bien ? Quel est le pays qui t'a le plus convaincu pendant que tu voyageais à droite et à gauche ? » T'es bien curieuse mais bon autant faire la conversation après tout tu ne sais pas combien de temps tu vas rester ici avec lui alors autant combler ce moment par la discussion, ça te semble préférable à un silence gênant qui en dérouterait plus d'un... Il te parle alors de l'Autriche et tu lui fais remarquer que c'est un pays remarquable pour son histoire, tu penses notamment à la seconde guerre, vu que l'Autriche est le pays natal du bourreau de cette époque bien qu'il ai longtemps tenu à se faire passer pour un allemand plutôt que pour un autrichien, ce qu'il était pourtant. Il te parle alors de l'allemand et tu souris. « Je ne le parle pas je t'avouerai. Je parle anglais, français et italien c'est déjà pas mal. » Petit gloussement qui s'échappe de tes lèvres. Oui à l'âge que tu es savoir parler à la perfection trois langues ce n'est pas donné à tout le monde il faut dire.

Tu lui confies néanmoins d'où tu viens à savoir du Canada et tu lui apprends que ça ne te manque pas et il s'en étonne, tu hoches alors de la tête tout en lui expliquant ton parcours dans la téléréalité et il semble comprendre que ça t'ai à ce point dérangée cette notoriété acquise après ton passage dans cette célèbre émission et quand il te fait remarquer que la célébrité est une plaie tu grimaces « ça sent le vécu ça, je me trompe ? » Oui t'es curieuse mais après ce qu'il vient de te dire clairement tu n'as pas pu t'empêcher de poser la question. Tu lui demandes alors s'il aime la téléréalité et il te répond que non en t'expliquant que ça regroupe certaines choses qu'il n'apprécie guère comme notamment la notoriété et tu acquiesces en le scrutant. « Je comprends oui. » Petit sourire en coin. « Je ne regrette vraiment pas mon passage dans cette émission car ça m'aura permise de gagner une grosse somme d'argent et ma famille ainsi que moi-même nous en avions besoin... Mais si j'avais su que je finirais par ne plus pouvoir sortir de chez moi sans qu'on me saute dessus comme si j'étais Julia Roberts clairement j'aurais plutôt joué à une loterie ou quelque chose dans le genre. » Aveux qui en disent long sur ce que tu penses et ressens quant à tout ceci, tu supposes qu'il peut te comprendre vu qu'il n'aime pas forcément la célébrité... « Ici au moins personne ne me connaît donc j'ai la paix. Ça a son avantage, je peux être moi-même à savoir Luna Albertini plutôt qu'être seulement Luna la grande gagnante de Big Brother canadien de l'année 2016. Tu sais à force tu perds limite ton identité parce qu'on parle de toi comme étant le candidat de telle émission ou dans mon cas la gagnante de telle émission. A un moment donné c'est plus saoulant qu'autre chose... » Précisions qui te semblent légitimes parce qu'après tout l'homme semble comprendre ce que tu as pu ressentir pour que tu en arrives à venir migrer ici avec ton frère...

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