Caractère
Tu croques les individus sur le vif avec des réparties pleines d'esprit qui font mouche. Sous tes
airs bonhommes, tu es quelqu'un de très
cynique qui énonce des vérités mettant à mal la bien-pensance des individus, se complaisant dans le politiquement correct et le conformisme.
Subversif, tu ne manques jamais une occasion de mettre en exergue les inégalités, ou de sortir de dessous le tapis tout ce qui dérange et que les élites veulent à tout prix ignorer. D'un naturel
avenant et volontaire, tu ne rechignes pas face à l'effort ou l'autorité. Sans pour autant être corvéable à merci. Etre un subalterne ne fait pas de toi un paillasson sur lequel on peut s'essuyer les pieds impudemment. Comme tout bon méridional qui se respecte, tu es doté d'un côté
sanguin. Quand l'on te prend pour un larbin ou un chien servile, tu dégoupilles tel une grenade, exploses et vas jusqu'au clash. Tant verbal que physique.
Méfiant et sceptique, tu n'accordes ta confiance qu'aux tiens, et ne te fies sous aucun prétexte aux dehors bienveillants affichés par autrui.
Social ? Tu le serais peut-être, si tu avais encore foi en l'être humain.
Fêtard ? Très volontiers, mais encore faut-il en avoir le temps et les ressources financières. Plus
fier qu'un Sultan ottoman, tu
exècres voir luire
la pitié ou la compassion au fond des yeux. Tu trouves cela encore plus humiliant et déshumanisant, que les injures ou les propos xénophobes.
Débrouillard, tu refuses virulemment avec fin de non recevoir tout ce qui vient des autres. Même les "
je te paye un café ?", offert et proposé de bon cœur. Tu
voues une haine sans merci
envers toutes celles et ceux nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Ceux pour qui tout tombe tout cuit du ciel dans le bec. Ceux qui passent leur temps à s'amuser, qui n'ont pas la moindre notion de l'argent et qui claquent sans compter dans des frivolités. Toutes celles et ceux ignorant à quoi ressemble la vraie vie, et qui seraient incapables de survivre une journée loin de leur petit confort. Oui, tu les détestes ... . Pourtant, et comble de l'ironie, avoir été toute ta vie durant à leur service t'a permis d'avoir un toit sur la tête et de t'endormir l'estomac plus ou moins repu.
Anecdotes
/!\ T.W : Présence de passages suggestifs et TCA.(one) Né le 9 décembre 1995 à Island Bay, il est le second et dernier enfant d'un couple d'immigrés pakistanais.
(two) Ses parents ont fui Lahore, pour échapper à un régime de plus en plus marqué par la sévérité et l'autoritarisme, avec l’avènement au pouvoir du président Leghari.
(three) Avides de rejoindre le pays des
All Black, leurs camarades d'infortune et eux firent escale à Island Bay pour réparer leur van, méchamment endommagé par l'usure des chaussées. Conquis par la quiétude, l'aspect paisible et l'esprit melting-pot émanant du lieu, ils changèrent leur plans et renoncèrent à gagner Auckland pour s'installer ici-même.
(four) Cinq mois plus tard, il naquit. Deuxième et dernier enfant de la famille, sa grande sœur Dilshad est de trois ans son aînée.
(five) Issu d'une famille très pieuse, rigoriste et attachée aux traditions, son père s'est toujours montré dur - mais juste - à son encontre. Il le craint autant qu'il l'admire, et ne vit que pour le rendre fier. Depuis son plus jeune âge, il le prépare à endosser l'habit de chef de famille afin qu'il soit prêt - et surtout à la hauteur - quand viendra l'heure du passage de flambeau. Entretiens en tête-à-tête et "
conversations d'hommes", quant aux devoirs, aux obligations et au sens des responsabilités ont jalonné sa jeunesse - et continuent d'émailler sa vie, à vrai dire.
(six) Sa mère est une femme douce et aimante, lui ayant de tout temps apporté l'amour et la tendresse nécessaire à son bon épanouissement. Très à cheval sur la religion, elle a mis un point d'honneur à inculquer à ses enfants les préceptes étiquetés par le Coran ainsi que la morale et les valeurs chères à ses yeux. Lorsque les finances du foyer le permettaient, la petite smala embarquait le ferry faisant la navette entre la terre d'asile et la mégalopole de Wellington, afin de pouvoir suivre l'office de l'Imam à la mosquée le week-end.
(seven) S'il s'est dans un premier temps rigoureusement conformé à toutes les composantes de son éducation qu'il a suivi à la lettre, Malik en a petit à petit "
laissé de côté" en grandissant. Notamment en ce qui concerne la religion. Se définissant comme un "
croyant sceptique", il considère Allah comme une sorte de thérapeute auprès de qui il déverse ses états d'âmes, ses névroses et autres problèmes. Il ne fréquente le lieu de prières que lorsqu'il en ressent le besoin, qu'il a mauvaise conscience, qu'il se sent perdu, impuissant ou qu'il estime avoir quelque chose à se faire pardonner.
(eight) Pêcheur en haute mer, son père enchaînait les trois huit pour subvenir à leurs besoins. Femme au foyer, sa mère s'est quant à elle privée et saignée aux quatre veines pour élever au mieux ses enfants et faire en sorte qu'ils ne manquent de rien.
(nine) Hormis quelques convocations récurrentes chez le proviseur pour cause de bagarres, sa scolarité à proprement parlé fut exemplaire et plus que correcte. Féru et incollable en astronomie, il aurait bien aimé se destiner à une carrière d'Astrophysicien, après l'obtention de son
Degree avec mention "
très bien". Malheureusement, les maigres économies de la famille avaient déjà été placées dans les études de vétérinaire de sa sœur Dilshad. Son père lui a dés lors clairement fait comprendre qu'il était à présent grand temps d'entrer dans la vie active. Précisant au passage qu'il leur était désormais financièrement compliqué de "
le garder ici", qu'il se devait de quitter le nid et prendre son indépendance.
(ten) Entré sur le marché de l'emploi à tout juste dix-huit ans, Malik a enchaîné les petits boulots, les emplois de subsistance et les tâches ingrates que personne ne souhaite réaliser, mais qui se doivent d'être effectuées. Il a tour à tout été : garçon de café, saisonnier dans les champs et les serres quand vient le temps de la récolte et de la moisson, éboueur, agent d'entretien, employé sur les marchés et coursier aux quatre coins de la ville et sa périphérie. Sa fierté le poussant à rendre son tablier, sitôt qu'il se sent chosifié, déshumanisé, traité en sous-homme ou qu'on ne daigne plus lui accorder une once d'égard et de considération. Aujourd'hui, il travaille entant que salarié dans une concession automobile sur South Bay, tenue par un certain Sasha Lazzio qui l'héberge également gracieusement et de façon temporaire.
(eleven) Côté cœur, il enchaîne les flirts, les amourettes et les idylles embryonnaires, qui flétrissent aussitôt dit. Faute d'envie et de temps à leur consacrer. Ses premiers émois de lycéen lui ayant laissé un goût amer teinté de déception et d'humiliation, il se montre en effet extrêmement méfiant et défiant en amour. Constamment sur le qui-vive, il craint et redoute l'engagement de peur d'avoir à essuyer de nouveau les affres de la souffrance.
(twelve) Sa vie est celle de "
Monsieur Tout-le-monde". D'une banalité affligeante et dépourvue du moindre fait saillant, digne d'une quelconque once d'intérêt. Une existence de forçât des temps modernes, réglée comme du papier à musique, et enlisée dans le sempiternel schéma du
"métro, boulot, dodo". Rien qui ne vaille la peine que l'on s'attarde, se réjouisse ou s'émeuve. Hormis peut-être ... "
son problème", comme il l'appelle. Ce plaisir coupable qu'il prend - depuis plusieurs années maintenant - en s'adonnant à une fiévreuse contemplation à la dérobée de ses congénères dotés d'un phallus. Alors, oui ... Malik le confesse : il laisse parfois ses amandes caresser la largueur d'une solide carrure. Dévaler des dorsaux bien dessinés. Skier le long d’une chute de reins. Pour finalement se vautrer allégrement sur de jolis culs fermes et toniques. De fieffées observations qui valent à son cœur quelques loopings incontrôlables et des cavalcades effrénées. Ne pouvant que se mordre la lippe inférieure, et laisser les braises de la turpitude crépiter dans sa région pelvienne. Et quand vient le soir ... dans le plus simple appareil, sous la douche. Quand le jet chaud du pommeau poussé à pleine puissance cajole son épiderme caramel. Que les épaules nouées s'affaissent. Les muscles se délassent. La carcasse se prélasse, alors qu’il clôt ses paupières et fait don de son faciès à la réconfortante pluie battante. Armé d’une noisette de gel douche embaumant l’ylang-ylang de synthèse au creux de la paume, la mousse parfumée habille son derme tanné et humecté. Pectoraux bombés choyés. Trapèzes râblés dorlotés. Biceps renflés malaxés. Solide grappe d’abdominaux frictionnés. Quadriceps joliment découplés pétris. Mollets galbés massés. Fessiers rebondis flagornés. Et entrejambe abondamment flatté, alors que les idées se dévergondent. Au même titre que d’inavouables pensées, jugées honteuses, avilissantes et contre-natures par un patriarche un poil réactionnaire. Concupiscence, envie de frémir et pulsions libidineuses convergent et s’embouteillent en direction de la zone stimulée. Cils tressés et avant-bras apposé contre la paroi, le pauvre pêcheur ligote ses doigts autour de son ityphalle fièrement dressé. De grisantes visions dansent et défilent devant ses iris goudronneuses. Accompagnant et égayant sa coupable session d’onanisme. Des lèvres voraces et urticantes courant sur son corps. Des bras vaillants l’enserrant avec ardeur. De puissantes mains, alternant le fort et le docile, qui inondent sa peau pralinée de caresses. Les sens en effervescence et le sang qui bouillonne. Des torses vigoureux et luisant qui s’entremêlent. Des morsures assénées au creux d’un cou enfiévré. Des poings serrés et ruinant des draps froissés. Quand ils ne se cramponnent pas à une épaisse tignasse trempée. L’exquis son moite d’un peau contre peau qui claque, sous l’œuvre de fougueux coups de reins. Des cambrures accentuées. Des ongles implantés dans une nuque ruisselante. Des suppliques extatiques égrenées hors d’haleine, pour que jamais cette succulente torture ne s’arrête. Tout cela pour finir en apothéose, dans un râle crépitant et étouffé venant mourir sur la faïence. La tête qui ploie sous le poids de la culpabilité et de la honte. L’eau flagellant la nuque bistrée du repentant aux paupières abaissées. Lui qui emmitouflé dans les nuages de vapeur, croule sous les tourments que lui coûtent ses
vilains petits penchants et sa délictueuse inclination envers la si délicieuse mâle engeance. Oui mais … est-ce que fantasmer et rêver à ces choses plutôt que de s’y adonner, n’atténue pas l’opprobre ? Peut-il être absout, ou est-il déjà en état de pêché irrémissible ?
En vrac
En sa qualité
"d'enfant sacrifié", ses parents ont tenu à lui offrir des cours de sport en guise d'activité extrascolaire, afin de réparer le préjudice de ses rêves prématurément portés en terre dans le cimetière à passions.
⚣ L'idée étant que frère et sœur maintiennent une relation saine et affectueuse. Empêchant ainsi Malik de nourrir d'hypothétiques jalousies, aigreurs, ressentiments et amertumes vis-à-vis de son aînée.
⚣ Obnubilé par le culte archaïque de l'homme fort, viril et machistador, son père l'a inscrit - sans le consulter, ni lui demander son avis - à des cours de rugby.
⚣ Absolument pas porté sur le sport de prédilection de Dan Carter, le gamin sécha très vite les entraînements. Zonant dans le quartier pour tuer le temps avant de rentrer à la maison, ses pas le ramenaient inéluctablement devant la patinoire. Où il contemplait à travers la baie vitrée depuis le trottoir, une horde d'enfants de son âge virevolter sur la glace. Les billes de tourmaline songeuses, luisant d'admiration et d'émerveillement.
⚣ Un jour devant les locaux, il trouva une vieille paire de patins élimés dans un carton jouxtant une benne à ordure à la peinture écaillée. Pour une fois, il semblerait que le "
grand patron" soit de son côté, puisque l'équipement pédestre sied à sa pointure. Avec la complicité d'un agent d'entretien le faisant entrer en douce par une issue de secours, l'ami des étoiles pu approcher le sein des seins pour s'adonner à la discipline de prédilection d'Alois Lutz les mercredis après-midi.
⚣ Autodidacte, il apprit en observant les autres. S'adonnant à la glisse artistique en dilettante, amateur et pur profane, il parvint néanmoins à se constituer au fil des ans un niveau que l'on qualifierait de semi-pro. Au point de s'attirer à huit ans les félicitations d'un professeur, qui lui dispensa bénévolement sur son temps libre quelques cours, afin de parfaire sa technique. Tout cela sans que son père n'en sache jamais rien, bien évidemment. Les idées reçues et stéréotypées concernant les patineurs, n'étant plus à énumérer.
⚣ Aujourd'hui, Malik continue volontiers de faire crisser la lame de ses patins sur la glace, lorsque ses obligations le lui permettent et qu'il en a l'énergie. Cependant, la puberté étant passée par-là ; son gabarit d'homme adulte et sa considérable prise de masse musculaire, lui ont quelque peu fait perdre en fluidité, agilité, vitesse et souplesse.
⚣ Premier amour et première déception. Au sortir d'un émoi de lycéen - où il croqua pour la première fois à dents pleines dans le fruit de la luxure - la cruelle lui ayant subtilisé sa fleur ne trouva rien de mieux que de l'humilier, le tourner en ridicule et en faire la risée de tout le bahut. Une estocade portée à l'amour-propre, qui aura par la suite de sérieuses répercutions sur le psychisme de l'homme en devenir.
⚣ L'orgueil foulé au pied saigne et crie vengeance. En son for intérieur, le smicard à perpétuité se fit le sermon de ne plus jamais être la cible de pareilles avanies. Une seule solution - virant à la lubie - s'imposa alors : quitter ce corps efflanqué et de grand dégingandé. Se façonner une plastique d'antique statue helléniques en marbre blanc. Pour que plus jamais aucune créature de Vénus n'ose le quitter, sans au minimum éprouver une fraction de regret.
⚣ Le sport, le sport, le sport. Elevé au rang de religion. Un culte auquel il se dévoue corps et âme dès qu'il en a l'occasion. Obsession frisant la démence, et allant même jusqu'à rogner sur son sommeil. La satisfaction puisée dans le flot d'endorphines sécrétées par le cerveau lors de l'effort. Des travaux forcés réalisés inlassablement. En particulier sur les plages horaires normalement dédiées aux repas. Avec pour unique motivation, l'obtention d'une vaillante charpente de bodybuildeur en herbe. Mission accomplie. Oui, mais ... à quel prix ?
⚣ Si la pratique sportive seule suffisait pour ressembler aux armoires à glace trustant la couverture des magazines de fitness ; il y a bien longtemps que cela se saurait. Sans une alimentation saine et équilibrée : tout ces efforts sont vains et voués à l'échec. Chose que Malik très bien compris. Même trop bien compris. Depuis près d'une décennie, il s'astreint en effet à un régime alimentaire drastique et draconien. Pas de matières grasses, de sucre, de sel, de gluten, de lait d'origines animales. Rarement de la viande ; beaucoup de poisson, de féculents, de fruits, de légumes. Une discipline de fer à laquelle il se soumet de son propre chef. Sans broncher. Sans ciller. Et sans jamais y déroger. Une hystérisation qui le pousse même à peser au gramme près ses portions, et à les restreindre au minimum syndical préconisé par l'Organisation Mondiale de la Santé.
⚣ Traînant comme une boulet de bagnard depuis l'adolescence des troubles du comportement alimentaire ; manger est aujourd'hui devenu pour lui une corvée, dont il ne retire pas une traître particule de plaisir. Les aliments dans son assiette lui apparaissent comme une montagne de calories, qu'il faudra rapidement brûler en soulevant de la fonte ou en multipliant les rotations autour du plan d'eau dans le parc lors de son footing.
⚣ Contrairement à d’autres, et n’ayant pas la chance de jouir d’un salaire de véto’ qui lui permettrait d’être propriétaire d’une magnifique bâtisse sur Bay Center ; la question du logement a toujours été soumise pour lui à l’impératif de la colocation. Après moult cohabitations s’étant soldées par un fiasco, pour cause incompatibilité d’humeur ; le rejeton d’immigrés semble avoir momentanément trouvé chaussure à son pied en la personne de Sasha. Un papa ours qui l’agace parfois, qui le fatigue souvent, mais dont il ne saurait se passer aujourd’hui. Sa bonté, sa générosité et son altruisme trouvent une résonance toute particulière en lui. Même s’il le garde bien de le dire au principal intéressé, le pakistanais raffole de son sérieux, son calme et sa maturité, qui lui apporte la sécurité, la stabilité et la confiance qui lui font cruellement défaut. Mal à l'aise et bien souvent gêné d'être temporairement hébergé par son patron qui n'a pas sa pareille pour l'émoustiller, Malik passe en revue les annonces immobilière en quête d'un "chez lui". Histoire de ne plus avoir à se sentir perpétuellement redevable envers le fragrant quadra. Et avant que ce dernier ne s’aperçoive de l'émoi qu'il fait naître en lui.
⚣ Facile à vivre, bonne pâte et de bonne constitution, la vie sous le même toit et en collectivité se déroule sous les meilleurs auspices. Hormis quelques petits coups de sang piqués, lorsque l’appartement ressemble à Christchurch après le séisme ; aucun désaccord majeur et irrémédiable n’a pour l’heure troublé leur improbable duo. Un exemple de petite querelle ? Hmm … les fois où il lui prend comme une envie de pisser de retaper et offrir une seconde jeunesse à un meuble ? Jouant ainsi du marteau et de la perceuse aux aurores un samedi matin.
⚣ Routinier, casanier et un brin pantouflard ; les sorties dans les lieux de festivités et les loisirs ne sont pas vraiment sa came. Peut-être le seraient-ils, s’il en avait davantage les moyens ? A quoi ressemble une soirée type pour lui ? Se barricader dans sa chambre. S’installer à la fenêtre. Accoler sa tempe contre la vitre, et lever le nez vers le firmament pour lorgner sous les jupons scintillants des ses amantes astrales. Piètre économe, il tente depuis des années d’épargner afin de réunir la somme qui lui permettrait de faire l’acquisition d’un télescope. Cassiopée et ses courbes en
W qui aguichent la rétine. Shedir qui fait sa belle, et s’efforce de voler la vedette à ses sœurs, en luisant d’un éclat sans pareil. Rendez-vous galant nocturne, accompagné d’un mug de thé tenu entre ses doigts gourds, et d’une clope – quand il ne s’agit pas d’un joint – calée entre ses pulpeuses. L’occasion de songer à ses envies d'envers. A des endroits mille pieds sous terre, où il pourrait sourire sans soupirer.