contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
elles étaient meilleures amies, mais le temps les a éloignées.. qu'est-ce qu'il en sera quand elles se recroiseront ?
elles ont partagé une relation amoureuse il y a quelques années et aujourd'hui elles sont toujours en contact et sont mêmes devenues confidentes
Sujet: It's time to talk (Maxyne&Lane) (#) Lun 9 Aoû - 23:17
It's time to talk (Maxyne&Lane)
Cela fait pratiquement un an que je vis dans mon appartement à West Bay. J'ai apprit il y a quelques temps qu'une de mes voisines n'étaient autre que Maxyne. Maxyne est une femme pour qui j'ai craqué, disons que j'ai eu mes premiers sentiments pour elle il y a quelques années car j'avais tout juste la vingtaine quand je l'ai rencontré, tout d'abord à son boulot, je venais faire de la plongée avec mes potes et je l'ai rencontré, cette belle blonde, elle me plaisait, mais j'étais jeune et con, alors j'écoutais rien de ce qu'elle disait lors des consignes. Je la voyais bouillir au fond d'elle. Ce qui m'avait fait beaucoup rire. Quelques semaines plus tard, j'ai emmené Lou faire de la plongée, mais ma jumelle nous a fait une crise de panique et un malaise, alors me voilà entrain de la réanimer mais Maxyne n'était pas loin de moi, je l'ai vu me regarder plusieurs fois. Je la recroisais dans un bar quelques jours par la suite, elle était en compagnie d'un vieux gars, qui n'avait pas l'air de lui plaire, mais je la voyais descendre ses verres un à un, et je me doutais qu'il y avait un souci. En m'approchant un peu, je me rends compte qu'elle veut se débarrasser de lui mais qu'il ne compte pas partir, alors vu son état, j'interviens pour faire bouger le mec. Je la ramène par la suite chez elle et de peur de la laisser toute seule, je suis restée toute la nuit chez elle à attendre qu'elle se réveille. Tous ces évènements nous ont conduit à une relation pure sexuelle, on était d'accord la dessus, mais on se voyait plus qu'un simple cul et j'ai fini par m'attacher à elle, moi qui pensait jamais m'attacher à une femme. Je suis tombé amoureux d'elle même si je lui ai jamais dis. Je lui demandais de plus en plus de faire des sorties avec elle, je ne voulais pas lui mettre la pression, mais j'avais aussi besoin de me sentir à l'aise avec elle à l'extérieur. Finalement, notre histoire a échoué très vite, car Maxyne prit peur et refusa de faire des sorties avec moi ou même autre. On a décidé d'arrêter notre relation et je lui en voulais beaucoup de m'avoir utilisé pour me mettre dans son lit mais qu'il était hors de question de plus avec moi. Cela fait donc presque un an qu'on ne s'adresse pas la parole. C'était pas compliqué de ne pas la croiser dans la ville avant que je déménage à west bay en décembre 2020 à deux apparts d'elle. Alors, je fais tout depuis presque un an pour l'éviter. Je suis passé à autre chose de mon côté, je préfère ne plus m'attacher, je profite de ma jeunesse en compagnie de jeunes demoiselles et je ne pense plus à elle. Aujourd'hui, j'avais été invité par mes potes dans le bar où j'ai sauvé le cul de Maxyne, la première fois. C'était un peu notre bar après tout ça, mais aujourd'hui, j'y vais que par obligation et ce soir, la soirée se déroulait là. J'enfile, après la douche, un jean noir slim, des baskets, un tee shirt blanc à motif de surf et une veste par dessus. Je met un peu de gel, du parfum et me voilà prêt à m'amuser ce soir. Je pars d'un pas déterminé au volant de ma voiture pour rejoindre le centre-ville et donc le fameux bar en question. Je me gare sur le parking et fait mon entrée dans le bar quelques minutes plus tard, je repère assez vite la table de mes potes. Je passe par le comptoir dire bonjour à mes serveuses préférées et à mon pote barman. "Salut les gars, un gin tonic pour moi, même table que d'habitude, tu connais.." dis-je en souriant. Je pars par la suite, rejoindre mes potes à la table. Je m'installe avec eux en les saluant les uns après les autres avec des tapes dans la main. "Ça va les gars, qui vous matez comme ça ?". Je tourne la tête et m'aperçoit qu'ils regardent tous à une même table, il y a un groupe de filles. Je ris et je comprends vite qu'ils ont de quoi regarder. "Fermez la bouche les gars c'est degueulasse, bon je vais pisser moi". Je me lève directement les toilettes. Sur le passage, j'entends mon téléphone vibrait, je le prends pour regarder tout en continuant de marcher. Et bien sûr, je rentre dans quelqu'un. "Pardon..." je range mon téléphone tout en regardant la personne que je viens de bousculer. "Maxyne...". Finalement, je suis moins désolée de l'avoir heurté. J'aurais pu continuer mon chemin en l'ignorant ce que j'essaye de faire depuis un an presque, mais finalement je vais rester là, face à elle, sans pouvoir rien dire de plus.
(c) Liliana
mad max
Maxyne Oakley
ONGLET 1
○ âge : 34 ans
○ statut : En couple avec Lane, le coeur plus vivant que jamais
○ métier : Ancienne nageuse de haut niveau, aujourd'hui monitrice de plongée, elle encadre les débutants pour leur premier baptème en mer et accompagne en excursion les touristes amateurs de plongée. Toutefois, ses récents soucis de santé la poussent à lever le pied.
○ quartier : West Bay
○ orientation sexuelle : Elle a toujours été plus attirée par les hommes mais elle a déjà succombé au charme de femmes.
○ sujets abordés : violence conjugale passée (principalement psychologique) non détaillée, accident et blessures
○ sujets sensibles : maltraitance infantile ou animale, violence sexuelle détaillée, le trop gore
○ informations en vrac : Elle a le sens de la famille + est proche de son frère qui a quitté la N-Z x Ses parents ont divorcé quand elle avait quatorze ans, son père a fait son coming-out x Elle a déménagé de 18 à 24 ans à Auckland pour intégrer une école de natation, a participé à de multiples compétitions dont deux fois les JO x A la suite d'un accident, son ex jaloux et possessif au volant, elle a été blessée et son avenir de sportive a été compromis, elle s'est alors réorientée comme monitrice de plongée sous-marine à Island Bay x Elle croque la vie à pleine dents et brûle la vie par les 2 bouts x C’est une véritable casse-cou adepte des sports extrêmes x Elle a une moto et fait partie d'un club de motards, qu'elle considère comme sa 2ème famille x Elle est devenue un vrai garçon manqué, c'est la bonne pote cool qui regardera des matchs de rugby et jouera à toutes sortes de jeux x Elle n’est pas du genre à mâcher ses mots ou à se laisser faire quand quelque chose lui déplaît. Elle tient tête quitte parfois à se mettre en danger x Depuis des années, Maxyne suit des cours de self-défense suite à des mésaventures x Elle a deux tatouages sur le corps, un croissant de lune dans le bas de la nuque, symbole de la féminité. Et une ancre sur une de ses côtes à gauche x Loyale en amitié, elle a en revanche relégué l’amour au douzième plan de sa vie depuis sa relation nocive et destructrice x Elle craint les guêpes plus que tout x Elle sait très bien dessiner aussi, surtout les portraits mais elle ne le montre pas forcément.
Sujet: Re: It's time to talk (Maxyne&Lane) (#) Ven 20 Aoû - 2:01
@"lane wade"
It's time to talk
Depuis la visite de son meilleur ami le jour de leur anniversaire, Maxyne avait repris du poil de la bête. C’est pourquoi, après avoir passé les semaines précédentes à « hiberner » dans son appartement, conséquence d’une incapacité de travail imposée par les médecins pour qu’elle se repose, elle s’était ressaisie et elle recommençait à sortir un peu plus. Le chemin était encore long et son humeur oscillait d’un jour à l’autre, mais ce soir, elle rejoignit un groupe d’amies dans un bar où elle se rendait régulièrement avant et beaucoup moins depuis qu’elle ne fréquentait plus Lane. Cet endroit lui rappelait de bons souvenirs, pourtant leur histoire avait terminé droit dans le mur parce qu’elle avait été incapable de surmonter ses blocages. Refus catégorique d’afficher leur relation au grand jour de peur que celle-ci ne prenne un tournant plus sérieux. Maxyne l’avait senti, elle savait que c’était ce qui se serait passé. Leur histoire aurait pris de l’ampleur, Lane aurait continué de s’attacher et il aurait attendu plus que ce qu’elle aurait été en mesure de lui offrir à l’époque, parce que la nageuse n’était pas encore prête à oublier son passé et à donner une chance au présent. Ce n’était pas faute d’avoir apprécié chaque moment passé avec lui. Toutefois, sa phobie sentimentale l’avait amenée à le perdre lui aussi, la conduisant à conclure, à tort, qu’elle avait raison de ne pas s’attacher alors que c’était précisément cette peur idiote qu’elle avait qui avait blessé Lane et qui les avait poussés à s’éloigner l’un de l’autre pour ne pas s’infliger plus de mal encore. Depuis qu’ils avaient décidé d’arrêter de se fréquenter, Maxyne ne l’avait pas vraiment revu, bien qu’elle ait appris qu’il avait déménagé dans le même immeuble qu’elle, puisqu’ils s’étaient furtivement croisés dans le hall sans s’attarder, peut-être parce qu’elle était toujours avec son colocataire ou une amie quand cela arrivait. Peu importe. C’était sans imaginer que les retrouvailles se produiraient ce soir. Garant sa moto devant le bar, elle retira sa veste et son casque, puis entra et se posa à la table de ses amies. « Salut les filles, ça va ? Je suis encore la dernière arrivée, c’est ça ? » Petit rire collectif qui lui confirma cette affirmation. A part dans le cadre de son travail, Maxyne n’était pas ce que l’on pouvait qualifier de miss ponctuelle. Après avoir déposé ses affaires, elle salua le personnel du bar qu’elle connaissait puisqu’elle était une ancienne habituée et commanda une bière en même temps que la nouvelle tournée de la table. La monitrice de plongée trinqua avec le groupe de filles puis elle se leva pour s’éclipser aux toilettes. En sortant des sanitaires des femmes, elle en profita pour répondre rapidement à un texto avant de rejoindre la table mais juste derrière la porte, elle bouscula distraitement quelqu’un. « Pardon… » Répondit-elle, à l’unisson de celui qu’elle avait percuté. Elle se figea lorsqu’elle entendit ensuite son prénom. Son regard croisa celui de son interlocuteur. Une scène digne d’un cartoon se déroula à l’intérieur d’elle, elle avait presque envie de pousser un cri de surprise en mode « no wayyyy », toutefois elle se retint et se contenta de répéter son prénom. « Lane… » Les souvenirs de Maxyne lui rendaient justice : il était toujours délicieusement attirant. Et beaucoup plus sûr de lui qu’au tout début qu’elle le connaissait aussi, une assurance qui respirait à travers lui. Sous le coup de l’étonnement, elle n’articula rien de plus pendant plusieurs secondes avant de se ressaisir. Island Bay était une petite ville, se recroiser était inévitable et elle n’avait aucun problème avec ça. « T’es de sortie ici aussi ? »
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It's time to talk (Maxyne&Lane)
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Depuis la visite de son meilleur ami le jour de leur anniversaire, Maxyne avait repris du poil de la bête. C’est pourquoi, après avoir passé les semaines précédentes à « hiberner » dans son appartement, conséquence d’une incapacité de travail imposée par les médecins pour qu’elle se repose, elle s’était ressaisie et elle recommençait à sortir un peu plus. Le chemin était encore long et son humeur oscillait d’un jour à l’autre, mais ce soir, elle rejoignit un groupe d’amies dans un bar où elle se rendait régulièrement avant et beaucoup moins depuis qu’elle ne fréquentait plus Lane. Cet endroit lui rappelait de bons souvenirs, pourtant leur histoire avait terminé droit dans le mur parce qu’elle avait été incapable de surmonter ses blocages. Refus catégorique d’afficher leur relation au grand jour de peur que celle-ci ne prenne un tournant plus sérieux. Maxyne l’avait senti, elle savait que c’était ce qui se serait passé. Leur histoire aurait pris de l’ampleur, Lane aurait continué de s’attacher et il aurait attendu plus que ce qu’elle aurait été en mesure de lui offrir à l’époque, parce que la nageuse n’était pas encore prête à oublier son passé et à donner une chance au présent. Ce n’était pas faute d’avoir apprécié chaque moment passé avec lui. Toutefois, sa phobie sentimentale l’avait amenée à le perdre lui aussi, la conduisant à conclure, à tort, qu’elle avait raison de ne pas s’attacher alors que c’était précisément cette peur idiote qu’elle avait qui avait blessé Lane et qui les avait poussés à s’éloigner l’un de l’autre pour ne pas s’infliger plus de mal encore. Depuis qu’ils avaient décidé d’arrêter de se fréquenter, Maxyne ne l’avait pas vraiment revu, bien qu’elle ait appris qu’il avait déménagé dans le même immeuble qu’elle, puisqu’ils s’étaient furtivement croisés dans le hall sans s’attarder, peut-être parce qu’elle était toujours avec son colocataire ou une amie quand cela arrivait. Peu importe. C’était sans imaginer que les retrouvailles se produiraient ce soir. Garant sa moto devant le bar, elle retira sa veste et son casque, puis entra et se posa à la table de ses amies. « Salut les filles, ça va ? Je suis encore la dernière arrivée, c’est ça ? » Petit rire collectif qui lui confirma cette affirmation. A part dans le cadre de son travail, Maxyne n’était pas ce que l’on pouvait qualifier de miss ponctuelle. Après avoir déposé ses affaires, elle salua le personnel du bar qu’elle connaissait puisqu’elle était une ancienne habituée et commanda une bière en même temps que la nouvelle tournée de la table. La monitrice de plongée trinqua avec le groupe de filles puis elle se leva pour s’éclipser aux toilettes. En sortant des sanitaires des femmes, elle en profita pour répondre rapidement à un texto avant de rejoindre la table mais juste derrière la porte, elle bouscula distraitement quelqu’un. « Pardon… » Répondit-elle, à l’unisson de celui qu’elle avait percuté. Elle se figea lorsqu’elle entendit ensuite son prénom. Son regard croisa celui de son interlocuteur. Une scène digne d’un cartoon se déroula à l’intérieur d’elle, elle avait presque envie de pousser un cri de surprise en mode « no wayyyy », toutefois elle se retint et se contenta de répéter son prénom. « Lane… » Les souvenirs de Maxyne lui rendaient justice : il était toujours délicieusement attirant. Et beaucoup plus sûr de lui qu’au tout début qu’elle le connaissait aussi, une assurance qui respirait à travers lui. Sous le coup de l’étonnement, elle n’articula rien de plus pendant plusieurs secondes avant de se ressaisir. Island Bay était une petite ville, se recroiser était inévitable et elle n’avait aucun problème avec ça. « T’es de sortie ici aussi ? » 