contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Writer's Block {Giulia} (#) Lun 23 Mai - 16:44
Giulia Anderson
ft. Gia Mantegna
personnage
nom ○Anderson. Un nom de famille très commun dans le monde anglophone.
prénoms ○Giulia. Prénom italien qui rappelle les origines de ma famille. Rachel. C’est un prénom assez commun - mes parents trouvaient qu’il sonnait bien.
âge ○30 ans. Je suis née le 09 Juillet 1991.
lieu de naissance ○Boston, USA - la ville la plus importance de la région officieuse de la Nouvelle-Angleterre.
statut civil ○Célibataire. Je n’ai pas eu de relation sérieuse depuis bien deux ans, trop occupée par mon boulot.
orientation sexuelle ○Lesbienne. Depuis toujours je crois, même si je ne m’en suis rendue compte que vers mes dix-sept ans. Maintenant, je l’assume pleinement.
métier/études ○Romancière, spécialisée dans la science-fiction. C’est mon activité à plein temps depuis trois ans. Avant, je le faisais en parallèle de mon emploi d’hôtesse d’accueil dans une entreprise d’informatique.
groupe ○workin' day and night. Je n’ai pas arrêté depuis que je suis devenue auteure à plein temps il y a quelques années, publiant sept romans en trois ans. Ça a sans doute contribué à ma soudaine panne d’inspiration, il y a quelques mois …
joueur
pseudo/prénom ○ 3catsinacoat âge ○ 25 ans pays/région ○ Centre de la France présence ○ Au moins 5/7 jours comment as-tu connu island bay ○ Sur forums-rpg.fr scénario/pré-lien/inventé ○ iventé raison de ton inscription ○ le contexte m'a plu, ça change un peu des RPG dans les grandes villes dernier mot d'amour ○ j'ai faim crédits ○Gif : Mousse (Tumblr) Avatar : @giamantegna (Instagram).
les informations en vrac
1 - J’ai repris la cigarette récemment, avec le stress et le surmenage comme prétextes pour replonger. Je n’en suis pas très fière … mais je ne me sens pas pour autant l’envie d’arrêter cette fois-ci. Je suis à trois ou quatre clopes par jour. Une consommation assez … modérée, par rapport à d’autres, certes, mais ça ne change rien au fait que ce soit une mauvaise habitude. Par le passé, il m’est arrivé de temps à autre de fumer autre chose que du tabac - contrairement à ce que beaucoup disent, ça ne m’a pas rendue plus créative. Pour tout vous dire, ça m’a surtout donné la nausée.
2 - Mon type de femme ? Je n’en ai pas. Brune, rousse, blanche, asiatique … pour moi, ça n’a pas vraiment d’importance. Ce qui m’attire chez une nana, c’est qu’elle ait de la conversation, un minimum de culture, qu’on ait quelques points communs et valeurs communes. Mais ce serait hypocrite de ma part d’affirmer que je suis jamais sortie avec quelqu’un uniquement pour son physique, pour le sexe ou autre chose. Et j’ai quand même une attirance physique particulière … Pour la pilosité. J’aime beaucoup les femmes “au naturel” - sans que ce soit pour autant essentiel pour moi. Disons que c’est quelques points bonus, si vous voyez ce que je veux dire. Moi-même, souvent, “j’oublie” de m’épiler sous les bras, l’entrejambe, ou ailleurs … Ça vous fait une belle jambe de savoir ça, hein ?
3 - J’écris depuis que j’ai quatorze ou quinze ans, environ, mais je n’avais jamais imaginé en faire un jour mon métier ; en tout cas, pas à temps plein. Mon premier roman publié (après nombre d’échecs), il y a six ans, a eu des retours assez positifs alors je me suis dit que j’allais poursuivre dans cette voie puisque visiblement il existait des personnes qui s’intéressaient réellement à mes écrits. Aujourd’hui, j’arrive à en vivre. Mon œuvre la plus connue, c’est sans doute ma trilogie Station 13, l’histoire d’une jeune femme dotée de pouvoirs télékinésiques qui quitte sa colonie sur Mars pour partir à la recherche de sa mère disparue lors d’une expédition sur Terre, dévastée par un cataclysme mystérieux trois siècles auparavant. Au fil de ses aventures, elle découvre l’origine de ses pouvoirs, trouve l’amour … et vous n’aurez qu’à découvrir le reste par vous-même !
4 - Très casanière, j’ai souvent du mal à me sentir à l’aise dans les endroits que je ne connais pas - à chaque fois, j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose. Je ne saurais pas l’expliquer … il ne m’est jamais arrivé quoi que ce soit de grave. Quoi qu’il en soit, ça m’empêche de me laisser aller complètement, de profiter pleinement de ces rares moments où on réussit à me sortir de chez moi. J’ai toujours un œil sur mon verre, ou sur un type qui me paraît louche de l’autre côté de la boîte, j’essaie de toujours me mettre près des sorties de secours, ce genre de choses. Je sais que c’est une bonne chose d’être prudente, mais j’ai peur qu’on puisse parler de paranoïa, à ce stade-là … Au moins ça me donne une excuse de plus pour rester chez moi … et un bon prétexte pour faire la fête sur place, dans cet environnement que je peux contrôler et où je me sens pour le coup totalement à mon aise.
5 - Ayant toujours vécu en ville, ma famille n’a jamais eu d'animaux de compagnie. Je n’y ai jamais trouvé à redire - j’ai la phobie des chiens, et je suis allergique aux chats. Alors à la place, j’ai une plante. C’est un ficus en pot. Je l’appelle Princesse. On me l’a offerte pour mon anniversaire il y a dix ans et elle est toujours en vie - plus que ça même, elle est resplendissante ! Je lui parle parfois et lorsque je le dit on prend un peu pour une folle - c’est moins socialement acceptable de parler à un ficus qu’à son chat ou son chien. Hélas … je n’ai pas pu prendre Princesse avec moi dans l’avion, alors dès mon arrivée à Island Bay je suis allée acheter un autre ficus, plus petit, que j’ai baptisé Mini Princesse et que je garde sur son bureau. J’espère qu’elle aura l’occasion de rencontrer sa grande sœur !
6 - L’un de mes rêves, c’est de pouvoir un jour me payer une villa avec deux piscines - une à l’extérieur et une autre à l’intérieur pour pouvoir en profiter toute la journée. La natation est l’une de mes passions depuis que je suis toute petite. Je me sens bien dans l’eau. C’est un élément qui m’inspire ; de nombreuses idées d’intrigues, de personnages, de dialogues … me sont venues dans ma baignoire ou lorsque je nageais à la piscine de mon quartier, pour tout vous dire. En venant à Island Bay j’espérais que piquer une tête dans la baie m’aiderait à retrouver l’inspiration mais … ça n’a pas donné de résultats pour le moment. Au moins, j’en profite ! C’est une sensation très différente de nager dans l’océan, dans cette eau magnifique, surtout la nuit quand il y a moins de monde - malgré les dangers potentiels.
7 - La communication c’est important pour un artiste, alors il a bien fallu que je m’inscrive sur les réseaux sociaux même si ce n’est pas du tout mon truc à la base - je ne sais jamais quoi dire et j’ai horreur de raconter ma vie à des inconnus. J’ai un compte Instagram et un compte Twitter où je poste des photos de moi, des mèmes, des conseils d’écriture, un peu tout ce dont j’ai envie. Je ne poste pas de manière régulière mais j’essaye de prendre une demi-heure tous les jours pour répondre aux commentaires, parfois me disputer avec des inconnus sur Twitter à propos de choses sans intérêt, vous voyez le genre …
8 - J’ai déjà participé à quelques prides, mais je ne me considère pas du tout comme une militante ou une activiste pour la cause LGBT. Bien sûr, je soutiens totalement … mais ce n’est pas mon rôle. Ce n’est jamais une bonne idée de mélanger l’art et la politique, je trouve. Enfin … ne nous méprenons pas. Je suis lesbienne. Certains de mes personnages sont des femmes lesbiennes. Mais d’autres sont des hommes ou des femmes bi, ou hétéros. Parce que ce sont des personnes avant d’être des orientations sexuelles. Ils ont des caractéristiques qui leurs sont propres, des traits qui les définissent et leur attirance n’est qu’un trait parmi tant d’autres. Je dis ça parce qu’il est arrivé qu’on me reproche qu’un de mes personnages ne soit “pas assez gay”, que mes romans ne traitent pas suffisamment de la cause LGBT mais … j’écris juste des livres, moi. Pour divertir les gens. Si j’invente un personnage et que je l’imagine hétéro, eh bien … il est hétéro. Je ne force pas les choses. Vous comprenez ce que je veux dire, j’espère ?
9 - J’adore les peluches. Je les collectionne, en quelque sorte. Ça prend pas mal de place dans mon petit appartement à Boston alors j'essaie de me concentrer sur celles qui sont un peu uniques ou rares - mais il m'arrive parfois de craquer et d'acheter un énième ours, chaton ou lapin tout doux alors quand je sais que je n'en aurai pas l'utilité je le donne à ma nièce ou à des associations. Si ça peut faire des heureux… Par contre, hors de question que je me débarrasse un jour de ma peluche de Ronflex grandeur nature. C'est la meilleure pièce de ma collection, je dirais. Elle prend pas mal de place alors je lui ai aménagé un coin spécialement pour elle et quelques-unes de ses congénères dans mon salon, pas loin de Princesse le ficus.
10 - Je suis très proche de ma famille. D’un point de vue géographique aussi, mes parents n'habitant qu’à quelques blocs de chez moi. J’aime bien leur rendre visite quand j’ai un peu de temps libre, ou plutôt quand j’arrive à me donner du temps libre. Depuis je suis à Island Bay ils m’appellent tous les deux jours parce que n’ayant jamais eu eux-mêmes l’occasion de voyager en-dehors du pays ils ont tendance à s’inquiéter ; ils me disent de bien faire attention aux gens que je ne connais pas, ils me demandent si je mange bien, si je n’ai pas le mal du pays … ils oublient un peu parfois que je ne suis plus une enfant, mais je trouve ça adorable ! Et en parlant de choses adorables, j’ai une nièce de trois ans, Lucy. C’est la fille de mon frère aîné Anthonio, qui a huit ans de plus que moi. C’est une gamine très … vive, disons, qui adore courir partout (et se faire mal à l’occasion), comme beaucoup d’enfants de son âge j’imagine.
Dernière édition par Giulia Anderson le Lun 23 Mai - 22:02, édité 6 fois
J’ai toujours aimé raconter des histoires. Toute petite déjà, je passais des heures et jours entiers à faire vivre des aventures plus ou moins fantasques à mes poupées ou aux Playmobil de mon grand-frère, devant des décors que j’avais dessinés sans talent mais avec passion. Je n’aurais jamais pensé en faire mon métier un jour - pour être honnête, même encore aujourd’hui j’ai du mal à réaliser la chance que j’ai de pouvoir vivre de ma passion.
Je suis née le 9 Juillet 1991 au sein d’une famille ordinaire issue de la vague d’immigration italienne au début du siècle, qui n’avait plus grand-chose d’italien après tant de générations. Ce qui n’empêchait pas mes parents, surtout mon père, d’en être très fier. Ils l’exprimaient par de petites choses ; le choix d’un prénom italien pour leurs deux enfants, le drapeau tricolore affiché en même temps que la bannière étoilée au-dessus de la porte d’entrée, l’apprentissage de quelques mots et expressions italiennes. Ils rêvaient d’y voyager un jour. Ce qu’ils ont pu faire l’année dernière, lorsque je leur ai offert un séjour à Rome pour leurs quarante ans de mariage. C’était le moins que je pouvais faire pour les remercier de m’avoir soutenue, lorsque j’ai quitté mon emploi stable d’hôtesse d’accueil pour devenir auteure à plein temps. Et aussi quand je leur ai révélé mon homosexualité.
J’ai toujours été branchée filles, je crois. Il m’a fallu du temps pour l’accepter totalement. J’avais peur d’être … différente. Qu’on me rejette. Alors j’ai fait semblant quelques années, semblant d’être comme les autres. Je suis sortie avec quelques garçons dont je pensais être amoureuse, sans jamais aller très loin - passer au stade plus … physique d’une relation avec eux ne m’intéressait pas. Mes fantasmes, mes envies, les pensées dans ma tête, c’était avec des femmes que ça passait. Alors un jour, quand j’avais dix-sept ans, j’ai décidé que je ne voulais plus faire semblant. J’ai avoué à mon copain la vérité puis je suis allée voir la camarade de classe que j’avais en permanence dans la tête pour lui révéler la vraie nature de mes sentiments pour elle. Cela n’était pas réciproque. Mais au moins, c’était une bonne chose de faite. J’étais libérée d’un poids ; je commençai enfin à être … vraiment moi.
C’est à l’âge de 23 ans que je tentai pour la première fois de me faire publier. J’écrivais depuis quelques années mais je n’avais jamais osé montrer mes écrits à quiconque en-dehors de ma famille et de quelques collègues de confiance. Un jour, je me suis simplement dit que je pouvais tenter ma chance, sait-on jamais. Qu’est-ce que je risquais, de toute façon ? Qu’on me dise que c’était mauvais ? Que je n’avais aucun talent ? Ce n’était pas comme si j’avais l’ambition que ça me rapporte de l’argent, encore moins que ça me permette d’en vivre un jour. J’avais déjà un travail pour subvenir à mes besoins. Alors je me suis lancée, sans trop y croire. Pendant près d’un an, j’ai essuyé les échecs. Visiblement, mon roman ne plaisait pas … j’ai persisté pourtant, et Leur idéal, un roman court d’anticipation sur un groupe de résistants à un monde dominé par une doctrine extrémiste, a fini par trouver un éditeur, et un public. Pour autant, j’ai gardé les pieds sur terre. N’importe qui pouvait publier un livre, ce n’était pas un si grand accomplissement que cela … mais dans le même temps, j’étais curieuse de savoir si je pouvais renouveler l’exploit.
Quelques années ont passé et j’ai fait de ma passion mon métier. Je vis confortablement de mes droits d’auteur. La fortune est encore bien loin mais j’apprécie la liberté que m’offre cette vie. En tout, j’ai publié une dizaine de romans, dont sept en trois ans - un rythme bien trop élevé pour moi. Il y a deux mois, en pleine écriture d’un nouveau roman, soudainement tout s’arrête. Je … n’y arrive plus. Les idées ne me viennent plus, je ne trouve plus les mots. Page blanche. Le diagnostic est simple : j’ai fait un burn-out, après m’être surmenée toutes ces années. Ma famille, mes amis, mon éditeur, tous me conseillent un changement d’environnement. Des vacances. Chercher l’inspiration ailleurs … J’ai peur de ne plus jamais réussir à écrire, alors je ne réfléchis pas et me décide à partir. Je passe en revue les destinations possibles. J’ai envie … d’exotisme. De belles plages, de soleil, je veux quelque chose de très différent de mon quotidien. J’envisage la Californie et la Floride mais c’est encore l’Amérique. Puis je retombe sur ces photos de mes deux voyages en Nouvelle Zélande, que j’avais beaucoup appréciées. Island Bay, banlieue de Wellington, à l’autre bout du monde … pourquoi pas ? Le voyage, l’inconnu, les nouvelles expériences … c’est inspirant. Et c’est peut-être bien ce dont j’ai besoin.
Voilà deux semaines que je suis à Island Bay. Je m’amuse beaucoup, je m’ébats dans les magnifiques eaux de la baie … je suis parvenue à écrire quelques lignes. On dirait que ça fonctionne … un peu. Je vais sans doute devoir rester plus longtemps.
L’idée ne me déplaît pas, je l’avoue …
Dernière édition par Giulia Anderson le Lun 23 Mai - 21:09, édité 2 fois
Charli Lindström
ONGLET 1
○ âge : vingt-quatre ans (née le douze janvier deux mille).
○ statut : célibataire. revenue à ses grands classiques : s'amuser sans s'attacher.
○ métier : étudiante en cinquième et dernière année de communication et management sportif. elle a une année de retard.
○ quartier : dans une villa luxueuse à south bay, avec sa mère.
○ orientation sexuelle : bisexuelle. elle l'a rapidement su et ne s'en cache pas.
○ sujets abordés : troubles alimentaires.
○ informations en vrac : elle a vécu dix-sept ans en suède. ≅ à la mort de sa grand-mère, elle a été accueillie par sa mère, à island bay. ≅ elle est boulimique depuis plusieurs années. ≅ elle est suivie par une psychologue. ≅ lors de ses crises, il lui arrive de faire des malaises. ≅ elle joue de la batterie. ≅ elle aimerait voyager. ≅ elle pratique divers sports : du basket-ball, de la natation, de la course à pied et parfois du rugby. ≅ elle apprécie cuisiner. ≅ c'est une indécise.
bienvenue parmi nous et bon courage pour le reste de ta fiche
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vers le haut
“On veut se tirer vers le haut mais on fait tout l'inverse. Je sais pas si on obtient vraiment la paix en faisant la guerre.”
Alyx Beaumont
ONGLET 1
○ âge : vingt-neuf ans (27.02.1995). bientôt la trentaine, alors que sa vie est littéralement en train de voler en éclats.
○ statut : en couple avec son petit-ami depuis cinq ans. mais leur relation est un peu compliquée. leur couple n'était plus vraiment au beau fixe depuis quelques mois... avant que le drame se produise. maintenant, son petit-ami est cloué sur un lit d'hôpital, dans le coma.
○ métier : elle est wedding planner à son compte. c'est elle qui se donne corps et âme pour réaliser les rêves de mariage de ses clients.
○ quartier : elle vient d'emménager dans une colocation, au #27 center bay.
○ orientation sexuelle : théoriquement elle n'est attirée que par les hommes et est même un peu homophobe sur les bords. en vérité, elle renie tout ce qu'elle a déjà pu - ou pourrait - ressentir auprès de la gente féminine.
Bienvenue officiellement à la maison (J'ai sorti la Marley exprès ) Si tu as besoin de papoter liens, mes MP sont grands ouverts Bon courage pour ta fiche !
○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle