contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 16:25
Loïs Parker
ft. Halle Berry
personnage
nom ○Parker. Ton nom de jeune fille, hérité de ton père duquel tu étais assez proche. Un grand classique. Pas très original mais tout aussi simple qu’efficace. Tu avoues que dans ton parcours professionnel, il était et est toujours plutôt le bienvenu. Lorsque tu étais toujours mariée, c’était sous l’étiquette de Madame Wairua que l’on te rangeait le plus souvent. Femme de politique et faire-valoir d’une belle, aimante et heureuse famille. Tout n’était pas faux mais, derrière les plus belles images se cachent souvent des secrets.
prénoms ○Loïs. Au féminin, on dit des Loïs qu’elles sont d’un charisme certain. Irrémédiablement attirée par l’art, elles sont cependant peu démonstratives dans leurs réactions. Elles cachent une grande sensibilité derrière une façade de femmes fortes. Loin d’être asociales, elles savent parfaitement s’adapter à leur environnement et supporteront la vie en société aussi bien que la solitude. Les Loïs aiment beaucoup leur famille. Bien qu’elles ne le montre pas souvent, elles se préoccupent beaucoup du bonheur de leur proches. Elles seront des femmes fidèles et des mères pleines d’affection. Tu t’es toujours demandée qui écrivait ce genre d’article et comment. Quel était la science cachée derrière ce qui semblait le plus frivole et visait pourtant si juste à de nombreuses reprises …
âge ○55 ans. Les années filent et certes un peu trop vite mais tu ne regrettes pas tes 20 ou tes 30 ans. Tu sembles avoir trouvé une certaine paix intérieure en ce qui concerne ton chemin de vie. Tu as décidé de ranger les peines et les regrets au placard. Tu as fait du mieux que tu pouvais à l’époque et tu te concentres aujourd’hui sur le moment présent. Il y a bien sûr des moments de faiblesse mais tu arrives plutôt bien à profiter de la forme que tu as su garder pour ton âge. Au fond, ce qui t’ennuie le plus, c’est cette foutue vue qui décline et l’obligation de toujours te balader avec une paire de lunettes dans ton sac juste au cas où … Un détail sur lequel, ton fils Otis, adore te taquiner.
lieu de naissance ○ Tu es née en Nouvelle Zélande mais tu as passé une bonne partie de ton enfance et de ton adolescence à faire des aller-retours entre ton pays et les 4 coins de l’Australie, suivant les affectations de ton père, pilote de ligne.
statut civil ○ Depuis maintenant 15 ans déjà, tu es divorcée de ton époux. Depuis, plus aucune réelle histoire sérieuse (au grand damne de ton fils et tes amis). Tu flirtes mais tu as du mal à t’engager à nouveau. Tu as perdu la seule qui ait réellement compté, alors depuis, tu t’amuses un peu mais sans plus. Tant pis. Tu te vois maman et “Granny” avant tout, et c’est plus que suffisant ! Pas vrai … ?
orientation sexuelle ○ Tes premiers émois ont été dirigés vers les filles. Depuis toujours. Mais tu as grandi au sein d’un couple un peu stricte avec une mère catholique très rigide et l’époque n’a pas aidé. Bien que tu aies toujours été lesbienne, tu as été mariée pendant plus de 20 ans à un homme. Aujourd’hui, voilà 15 ans que tu es entièrement libre de ne plus prétendre quoi que ce soit.
métier/études ○ Tu n’as jamais été du genre très studieuse. Après un parcours d’entrainement sportif au combat, tu as suivi une formation privée lié à la sécurité nationale pour devenir officier de protection rapprochée ou, plus simplement, garde du corps. Aujourd’hui, et après une longue carrière, tu prends du recul en t’installant à Island Bay. Mises à part quelques missions très exceptionnelles, ici, tu es surtout reconnue pour être une excellente coach sportive.
groupe ○ family portrait.
joueur
pseudo/prénom ○ Gypsy Moon / Ally / Nath. âge ○ 35 ans déjà . pays/région ○ Belgique rpz . présence ○ Régulière. J’ai retrouvé motivation et inspiration. (Et j’ai la chance d’avoir un job flexible où je peux m’adonner à mes petits plaisirs sur le côtés … mais chuuuut ) comment as-tu connu island bay ○ Un petit oiseau a - très innocemment (faux!) - mentionné le forum au cours d’une conversation. Il ne m’en a pas fallu beaucoup plus pour vous rejoindre. (Je suis faible que voulez-vous) scénario/pré-lien/inventé ○ Je dirais un mélange entre un pré-lien de @Jill hallenstein (n’ayant pas eu le temps d’être posté) et un personnage inventé. raison de ton inscription ○ Comme je le disais, voilà un moment que j’ai retrouvé l’envie d’écrire et de cultiver ma création. J’ai, en général, un peu peur de mettre les pieds sur un nouveau forum mais j’ai confiance en Vicky et il me semble avoir reconnu d’autres pseudos familiers par ici. Donc voilà, tout ça me met en confiance et j’ai vraiment envie de m’investir et de créer de belles histoires sur le long terme j’espère. dernier mot d'amour ○ D’ores et déjà merci pour l’accueil. J’ai un bon feeling sur cet endroit et surtout, je suis preneuse de pleins de liens donc n’hésitez pas à venir m’ennuyer en MP et sur Discord. crédits ○ loudsilence.
les informations en vrac
0 à 5 ans Tu es un beau bébé néo-zélandais. Fruit de l’amour entre un homme et une femme qui ne portaient plus grand espoir en leur capacité d’enfanter. Ton arrivée est vue comme un miracle. Surtout par ta mère, fervente religieuse, qui ne manque pas une seule journée pour remercier le ciel et ses anges de lui avoir accordé le plus beau des cadeaux. Tu es chéries et enveloppée d’amour. Peut-être même un peu trop. Si ton père n’avait pas été là pour t’autoriser à tomber de temps en temps, Dieu seul sait à quel âge tu aurais enfin réussi à marcher ou à nager. Maman couvait. Papa, lui, t’encourageait à vivre. Tu as été baptisée dans une chapelle en pleine nature. Tu mangé du sable avant d’aimer la purée de brocolis. Tu as grimpé trop haut dans les arbres et tu as appris à ne pas toucher les insectes trop colorés.
< Ton regard feuillette les pages jaunies de ton carnet de naissance. Quelques vieux clichés mal cadrés, une mèche de cheveux, et puis les notes de ta mère. Si cette vision t’aurait fait rouler les yeux dans leurs orbites il y a une dizaine d’années, depuis la mort de tes parents, tout ce bric à broc du passé semble prendre un sens nouveau. Tu y comprends l’amour maladroit, l’angoisse et le besoin de protéger. Tu y comprends l’importance de bien aimer, de ne pas se tromper. Tu y comprends et décodes enfin le seul sous-titre important, celui auquel toutes les mères du monde ne peuvent échapper : la peur d’un jour voir son enfant souffrir. Soudain envahie par un élan de nostalgie plus violent que prévu, une larme s’écrase sur ta joue. Tu n’as pas été assez présente. Pas assez agréable. Tu aurais dû leur accorder plus de temps, ne pas râler en ré-expliquant le fonctionnement du magnétoscope une 7ème fois. Tu n’avais jamais réellement partagé l’intensité de la ferveur pieuse de ta maman, mais tu te demandais malgré tout si, là haut, elle et ton père te comprenaient enfin. Pouvait-ils seulement voir et entendre comme, au fond, tu les aimais sincèrement ? Ils te manquaient. Surtout ton père, c’est vrai, mais ta mère également. Sa sévérité et sa maladresse n’avaient été que les traductions bancales d’une époque austère. Tu lui pardonnais. Oui, aujourd’hui, tu pouvais l’affirmer le coeur léger, tu pardonnais à ta mère les souffrances infligées. En refermant l’album, tu pries silencieusement pour qu’un jour Otis puisse, lui aussi, te pardonner tes faux pas. Tu n’étais pas parfaite et espèrais du fond du coeur ne pas avoir marqué l’âme de ton fils de quelconque traumas. Tu inspires et expires profondément avant de ranger le carton et quitter le grenier. En bas de l’échelle, tu essuies ton visage et enfiles un sourire à toute épreuve. “Mon coeur, vient voir ce que j’ai trouvé !” Otis, lui aussi rempli de poussière après avoir vidé la plus grosse partie du garage de feu ses grands parents, arrive la mine curieuse. Tu lui tends ton album de naissance et le laisses découvrir. Aussitôt intrigué, ton fils attrape le carnet et prend place dans le divan du salon. Te viens t’installer à ses côtés un instant, postérieur sur l’accoudoir. “Interdiction de te moquer d’accord !” Aussitôt dit, et aussitôt non respecté. Tes larmes ont fait place à de beaux rires partagés et à un joli moment de complicité avec la chair de ta chair. Et pour ça aussi, tu voudrais dire merci à tes parents … >
6 à 14 ans Tu passes une enfance mouvementée. Ballottée. Trimbalée. Les affectations de ton père pilote de ligne, vous forcent à déménager en Australie et à y rester plusieurs années durant lesquelles tu changera également de villes régulièrement. Tu prends peu à peu l’habitude de ne te sentir vraiment chez toi nul part. C’est un sentiment presque invisible dont tu ne prends pas entièrement conscience de suite, mais tu as vite compris qu’il ne servait à rien d’accrocher quoi que ce soit aux murs de tes chambres. Concernant ta scolarité, celle-ci en prend un coup également. Tu es une jeune fille dissipée, bavarde, et rester des heures assises sur une chaise n’est pas ton point fort. Tu aimes la nature, grimper aux arbres et rouler très vite à vélo. Tu trouves toujours le moyen de te faire des amis mais, malgré l’habitude qui devrait s’installer, les au-revoirs sont toujours aussi compliqué à encaisser.
15 à 17 ans Enième voyage. Tu ne les comptes plus. Mais cette fois, c’est un retour en Nouvelle Zélande qui t’attend. Tu es en pleine adolescence et les choses se compliquent quelques peu. C’est l’heure des premiers véritables questionnements, des premiers émois. Mais il est difficile de savoir qui l’ont est lorsque la bonne conduite nous est dictée par une mère un peu trop psycho-rigide et une éducation si mouvementée qu’il est impossible de s’attacher à quoi ou qui que ce soit … . Ton statut de perpétuelle “nouvelle de la classe” semble imprimé dans ton ADN. Tu ne t’en formalises même plus. Mais il est d’autant plus rude pour toi de prendre le monde de l’enseignement au sérieux. Le raz-le-bol commence à gonfler. Et bien que tes parents t’affirment que tu puisses terminer tes études et passer l’équivalent de ton bac ici-même, le doute s’installe. On ne sait jamais. Alors peut-être pour t’éviter une éventuelle désillusion, tu ne fais plus trop d’effort. Tu multiplies les absences, tu ne fais pas toujours tes devoirs et ton petit caractère te rapproche de la bande de caïds de l’école. Pour autant, tu n’en deviens pas une gamine insupportable. Au contraire, au-delà des bêtises, des petits larcins et de la triche, ton esprit vif et ton humour ont tendance à charmer le corps professoral; ce qui, soyons clairs, te sauve les fesses plus d’une fois. Et puis surtout… il y avait Jill. Et rien que pour ça, tu te devais d’être présente un minimum. Jill était douce, présente, amusante et tu la trouvais particulièrement jolie. Dans la classe, c’était ton premier repère. Sa présence t’apaisait et illuminait ton visage d’un large sourire pour la journée entière. A ton arrivée, les choses se sont faites doucement, avec distance. Mais peu à peu, vous vous êtes rapprochées. Elle a fini par s’installer à tes côtés en cours, et d’une belle amitié a fleuri la plus jolie des premières relations. Aimer une fille n’avait rien de diabolique comme ce qu’on avait pu t’apprendre. Tu ne comprenais pas les livres, ni le discours de ta mère. Jill et toi, c’était l’inverse du pêché. Tu avais l’impression que si le monde pouvait s’aimer de manière aussi vraie et pur que ce qui vous unissait, la société ne pourrait qu’aller mieux. Tout était découverte et tout te remplissait de bonheur. Pour peu que Jill soit là, tu te sentais invincible et pour la première fois, tu t’es sentie appartenir à quelque chose de plus grand. Tu as progressivement baissé la garde, tu as osé rêver et construire à ta petite échelle d’adolescente. Tu t’es vue rester et tu as a enfin osé laisser tes racines s’épanouir dans un sol que tu ne t’imaginais plus quitter de si tôt. Au mur de ta chambre, cette année là, tu as osé y accrocher des photos. De Jill et toi.
18 à 19 ans Tes parents n’avaient pas menti. Il t’ont laissé le temps d’avoir ton diplôme. L’année précédente, ils t’ont épaulé et ta mère a même engagé un tuteur privé pour t’aider à rattraper tes retards. Ainsi, en fin de dernière année scolaire, tu y mets un peu du tien. Jill n’y est clairement pas pour rien. Elle te pousse à tenir bon, à travailler encore un peu. Elle ne te cache pas que ça sera difficile pour toi, mais elle est là pour t’aider. Ce que vous pensiez être votre futur, en dépendait. Si seulement … Une fois ton diplôme en poche et les félicitations distribuées, la nouvelle tombe. Et cette fois, elle ne passe pas. Tu te sens te décomposer de l’intérieur. Tu te sens trahie et particulièrement en colère ! Nouveau déménagement. Retour en Australie. Ce soir là, tu te rappelles avoir crié ! Fort. Tu passera ton dernier été avec Jill. Les au revoir sont douloureux. Vous passez tout aussi bien de merveilleuses journées ensemble que de plus compliquées. Car tu ne sais pas gérer. Tu as l’impression de tout perdre. Alors tu reprends tes mauvaises habitudes et pas mal de bêtises. Vous vous promettez malgré tout que cela ne changera rien. Qu’à 21 ans et une fois majeures, vous vous retrouverez. C’était juste une étrange pause de vie que vous aviez prévu de ponctuer de lettres et de colis.
< Front contre front, tu as ses mains dans les tiennes et les yeux fermés. Les paupières closes n’empêchent pas les larmes de couler. Tu la serres comme si tu désirais qu’elle devienne une partie de toi. Au moins, comme ça, rien ne pourrait vous séparer. Assises sur le sol de ta chambre vide, vous entendez à peine et au loin tes parents qui terminent de remplir le camion de déménagement deux étages plus bas. Lorsque tu rouvres les yeux, tu te lèves pour te diriger vers la seule photo encore accrochée sur l’un des murs. Tu la détaches et la tends à Jill. “Promets-moi qu’on y arrivera. Que tu ne m’oubliera pas. Que tu m’aimera toujours !” Jill se redresse à son tour, la mine tout aussi morose que la tienne et attrape le cliché sur lequel elle porte un regard déjà presque nostalgique. “Je te le promets ! Jamais je ne pourrais t’oublier Loïs” Vous vous serrez l’une contre l’autre et vos lèvres se retrouvent pour un dernier baiser. Il est triste et doux. Il est également teinté de peur. Celle de l’avenir et de l’inconnu. De la distance, surtout. Jill s’éloigne rapidement de toi dans une soudaine prise de conscience. “Attends. Ta mère pourrait nous voir !” En effet, dans la maison des Parker, c'était la zone des interdits. Mais ce matin, plus rien ne comptait et les règles n’en étaient plus. Tes bras viennent enlacer la brune et juste avant que votre ultime bisous de ne soit échangé, tu souffles avec assurance : “J’en ai strictement plus rien à foutre d’elle !” Le ton était donné. En cette seconde et pour 5 minutes encore, il n’y avait plus que vous deux qui comptait. Seules au monde et bientôt seules tout court … >
Le jour du départ, tu penses ne jamais pouvoir avoir plus mal au coeur que ça. C’est horrible. Ça te prend tout le ventre, les tripes et la poitrine. Tu passes le trajet entier à pleurer. Tu ne décroches pas deux mots à tes parents et tu laisses peu à peu une noire énergie t’envahir. Une fois installés, c’est ton père qui a l’idée de t’envoyer en stage intensif de boxe pour débutants. Une tentative pour t’aider à trouver un moyen d’évacuer et de canaliser ton énergie. Ton père est le seul avec qui la communication n’est pas entièrement été rompue. Son idée fut la bonne. Dans ce sport, tu découvres en effet, bien plus qu’une activité physique. La boxe devient ta discipline. Tu enchaines les entrainements, tu t’inscris officiellement à l’année et tu commences peu à peu à laisser les trottoirs et les embrouilles au profit de la salle et du ring. Tes coachs sont rudes mais toujours justes. Ils te poussent dans tes retranchements et t’initient peu à peu aux compétitions. Tu es un petit électron libre mais rempli de puissance. Et cette puissance, c’est en combat que tu peux la laisser exploser. Comprenant que ce nouveau mode de vie t’éloigne de ce qui aurait pu mal tourner pour toi, ton père arrive à convaincre ta mère de te laisser une année sabbatique pour te concentrer sur la boxe et les compétitions. La suite de ton parcours, ce serait pour plus tard. De toute façon, il était temps que ta maternelle intègre l’idée qu’il y avait de fortes chances que tu n’optes pas pour l’université. Quant à Jill, vos échanges se font plus espacés, jusqu'à finir par prendre fin. Tu ne te souviens plus réellement laquelle de vous deux a fini par mettre des mots sur l'évidence mais c'est avec douce nostalgie que vous vous rendez votre liberté.
Les mois passent et tu multiplies les apprentissages, tu mixes les disciplines et tu évolues rapidement. Les compétitions et les victoires que tu enchaines petit à petit te permettent d’enfin prendre ton indépendance financière. Tu t’installes à Sydney dans ton premier petit appartement. Au coeur de la capitale australienne, ton chemin re-croise celui d’un ancien ami d’enfance : Jack. Lui aussi vient de Nouvelle Zélande et, très rapidement, le passé ainsi que vos origines vous rapprochent. Il t’intègre à son petit groupe d’amis et votre complicité est indéniable. Lui, pourtant bien plus rigide que toi, trouve en ta personne celle qui à la parfaite manière de le bousculer. Avec toi, il aime ça. En réalité, sous ses airs de garçon sérieux, son humour se dessine. Vous deux, c’est un duo qui fonctionne. Il te stabilise, représente ton pilier; et quant à toi, tu lui apportes ce grain de folie dont il a temps besoin. Dans ton esprit, Jack est le meilleur ami idéal. Parfait même. Dans le sien, c’est un peu plus que ça. Il a du mal à te le faire comprendre mais lorsqu’il franchi le cap en t’embrassant à la fin d’une soirée, tu te laisses emporter dans une spirale. Tu es surprise, tu ne le repousse pas, tu ne dis pas non. La lourde influence de vos proches, de tes parents, et de la société, fini par te bercer de l’illusion parfaite. Cela devait être ça d’aimer puisque, sur papier, tout y était. Jack, tu sais que tu l’aimes. A ta manière. Et pourtant, lorsque tu te souviens de Jill, tu te souviens tout autant des papillons dans le ventre et ce qu’elle réveillait chez toi. Jack, lui, ne réveille rien du tout. Mais il est là. Présent. Attentionné. Il t’aime. Il te promet de toujours le faire ainsi que de t’offrir une belle famille … Dans ton dos, le regard de ta mère est lourd. Insistant. Après tout, ils ont peut-être tous raison ? Tout va très vite. Probablement bien trop vite. Tu n’as pas le temps de reprendre ta respiration, ni de voir que tu fonces dans le mur. Lorsqu’il te passe la bague au doigt, vous n’avez que 19 ans. Votre fils Otis arrive un an plus tard et - malgré les étranges conditions - il est bien là la plus belle raison de ne rien regretter.
20 ans Ta grossesse ne te permettant plus de garder ton activité principale, Jack en profite pour réaliser un rêve : étudier un an à Paris. Tout semblait parfait. Tu pourrais l’accompagner, profiter de la vie à la française et mettre au monde votre fils dans la plus belle ville du monde. C’est tentant mais l’idée que la famille de Jack vous entretienne, ne te plait pas énormément. Tant pis. Il n’y a pas vraiment le choix, ni d’autres alternatives. Cela fait partie des compromis de couple n’est-ce pas ? Et puis Paris a la réputation d’être l’une des plus belles capitales au monde. Qui serais-tu pour refuser telle opportunité ? Et en effet, une fois sur place, Paris est belle. Très belle même. Mais lorsque Jack, lui, étudie et se consacre à son année de droit dans une prestigieuse université, toi, tu t’ennuies … Tu te sens particulièrement seule. A la naissance d’Otis, tu passera des heures à te balader dans les rues, errant sans but réel. Juste bébé et toi. Tu as du mal à apprendre la langue et tu décomptes les jours avant la fin de l’année scolaire. Une fois septembre suivant arrivé, c’est la délivrance ! D’un commun accord, votre petite tribu décide de retrouver ses racines : direction la nouvelle Zélande où vos familles respectives se sont également installées pour de bon.
21 ans Le retour en terre natale fait du bien. Le climat et la vie dans ce coin du continent t’avait particulièrement manqué. A Wellington, tu retrouves ton énergie, ton sourire solaire et l’envie de tout faire découvrir à ton petit. En parallèle, une urgence s’impose : la remise en forme. Tu as besoin de bouger, de reprendre une vie pour toi. Ainsi, tu retrouves assez vite le chemin des clubs de boxe, et ce, malgré les réticences exprimées de certains membres de la famille. De son côté, Jack est un peu angoissé mais ne le montre pas. Bien qu’il préfère l’idée d’une maman plus présente pour Otis et surtout en un seul morceau, il te soutient.
De contact en contact, tu entends parler d’une nouvelle et prestigieuse école de protection privée. L’établissement est rattaché à la protection nationale et le concours d’entrée est plutôt corsé mais une petite lumière s’allume dans ton esprit. Ta voie se dessine. C’est là que tu dois être et tu t’en donnerais les moyens. Tu passes ainsi les tests avec acharnement et obtient l’acceptation tant attendue.
22 à 23 ans S’en suivent deux années de formation intensive au cadre presque militaire. Le rythme est plus que soutenu, la pression omniprésente mais tu aimes le challenge. Tu te pousses au fond de tes retranchements et ne lâches rien malgré plusieurs mises en garde concernant ton comportement. Tu n’es pas la plus conventionnelle des étudiantes et tu as tendance à laisser déborder ton caractère. Le résultat sera pourtant payant. Tu es non seulement la première femme à décrocher le diplôme de l’école, mais qui plus est, avec les félicitations d’un jury impressionné. Ta ténacité aura eu pour elle le mérité d’avoir su convertir l’avis de certains professeurs et encadrants plutôt réticents à voir une femme rentrer dans leurs rangs.
24 ans Tu passes une première année complète sur des missions collectives. Tu apprends la garde rapprochée sur le terrain et auprès d’autres agents de protection, toujours encadrée pour tes débuts. Les mois s’écoulent et tu prends tes marques avec rapidité. Non seulement tu aimes ce que tu fais, mais tu es plutôt douée dans ce secteur d’activité. Tu décroches ainsi assez rapidement tes premiers contacts solo. Ta réputation commence à se faire dans le milieu et le fait que tu sois une femme n’est pas toujours un frein, au contraire.
25 à 30 ans Tu jongles entre carrière, rôle de mère et épouse d’un mari particulièrement investi en politique. La passion de ton époux est prenante, ton métier l’est tout autant mais tu tiens à coeur de rester une mère présente pour Otis. Tu sais les risques du métier et chaque instant passé à ses côtés est une bénédiction. Tu aimes vous créer des rituels, des souvenirs rien qu’à vous deux. Tu t’assures que, même lors de déplacements, il reçoive toujours une lettre de ta part. Généralement, celle-ci est accompagnée d’un petit cadeau, un détail, mais de quoi lui prouver que, peu importe les circonstances, sa maman l’aime et pense à lui.
Ces années sont également l’étrange installation de votre rythme de couple un peu à part. Jack et toi passez des longs mois à vous croiser plus qu’autre chose. Bien qu’énormément de tendresse soit encore présente entre vous, l’éloignement physique de ton époux libère ton mental. C’est ainsi l’apparition des premiers dérapages. Des dérives charnelles. Tu retrouves les femmes, leurs courbes, leurs esprits. Bien que tu tentes de ne pas te laisser embarquer par une soudaine et dangereuse tempête d’hormones, tu as du mal à tout refuser. Ton corps et ton mental en ont besoin. Comme pour soigner le passé et le mal que tu t’es faite toute seule. Il y a donc des fins de services qui dérapent un peu, des soirées, voire des missions. Petit à petit et insidieusement, les écarts viennent ponctuer tes contrats et la culpabilité des débuts fait place au bonheur de pouvoir enfin être soi. Un monde s’ouvre à toi et tu as du mal à ne pas en profiter, risquant même quelques fois ton propre job.
30 à 37 ans Ce qui devait arriver arriva. Au détour d’une mission, d’un déplacement dans la ville voisine, et d’une petite incartade de plus, c’est en réalité la rencontre qui change tout. Avec Iris, c’est différent et tu le sens de suite. Elle prend place dans ton esprit, dans ton coeur. Tu n’as plus envie d’aller voir ailleurs. S’il n’y avait pas Otis, n’aurais même plus envie de rentrer chez toi. Tu la veux près de toi. Tu veux la sentir, l’entendre. Petit à petit, entre 2 villes, tu te construis une véritable double vie. Dans cette autre réalité, tu n’a pas de mari. Tu as une compagne, une femme qui t’aime et que tu aimes un peu plus chaque jour. Une femme à qui tu fais des promesses d’avenir. Tu veux lui offrir une famille, tout ton amour et ton inconditionnelle présence. Tu n’as de cesse de répéter que tu vas tout avouer à Jack, que tu vas le quitter. Mais les choses se révèlent plus compliquées que souhaitées. A chaque fois que tu quittes Iris pour retrouver Jack, tu as l’impression qu’une jolie cage dorée se referme autour de toi. Tu n’as plus la force, tu as peur, tu es lâche. Otis sera le premier à comprendre que quelque chose se trame. Il entend et observe ce que son père semble ignorer : les appels, les messages, les incohérences dans certains détails de tes histoires. Ton fils, lui, il sait … . Vous avez toujours été très proches tout les deux et tu finis par prendre le temps de tout lui expliquer. De tout lui avouer. Une fois l’étonnement inhérent à l’aveu passé, il sera ton plus fervent supporter. Il ne veut que ton bonheur et ne pense pas qu’il se cache dans ton mariage avec son père. Jack aussi finira par découvrir le pot aux roses. Beaucoup plus tard. Il avouera cependant avoir toujours su que tu aimais les femmes et que tu le trompais de temps à autre. Il ne disait rien car il ne voulait pas t’effrayer, prendre le risque de te perdre. Mais ce qui te lie à Iris est différent. Ce n’est pas un flirt ou une histoire de cul. Tu l’aimes et elle t’aime. Jack comprend que vous avez construit quelque chose ensemble et cela le détruit de l‘intérieur. Il t’en veut. Mais il t’implore aussi de rester. Encore un peu. Juste le temps des élections et de la mise en place du nouveau gouvernement. Peut-être même un peu après. Il a besoin de toi à son bras. Il a besoin de votre famille pour rassurer l’électorat. Rongée par la culpabilité, tu acceptes. Un choix lourd de conséquences puisqu’après 7 ans d’attente, c’est Iris qui finira par lâcher l’éponge. Votre séparation est déchirante et très douloureuse. Elle t’en veut et te reproche de l’avoir manipulée. Tu as beau tenter de lui expliquer, de la retenir et de lui dire combien tu l’aimes, elle n’en peut plus. Elle a besoin de s’éloigner de toi et de cette relation toxique que tu lui offres. Elle veut respirer à nouveau et construire une vraie vie. Elle a tenu 7 ans … Sept ans c’est long. Tu ne peux pas lui en vouloir. La seule que tu détestes profondément, c’est toi !!
38 à 40 ans Tu traverses les deux années les plus tristes et les plus douloureuses de ta vie. Le manque d’Iris est profond et blessant. La tristesse impacte tout autour de toi. Cette fois, tu évoques enfin la séparation et, Jack et toi préparez votre divorce. La procédure prend du temps. Car depuis la position de ton mari dans le gouvernement, tout est public. Votre vie privée semble envahie. Cela ne sera pas toujours chose aisée et les disputes, dont vous n’aviez pourtant pas l’habitude, se multiplient. Au cours de cette épreuve, celle qui aura su trouver le chemin du réconfort de ton âme n’est autre que Jill. Il y a quelques années maintenant que vos routes se sont recroisées. De jolies retrouvailles, inattendues, parfois ambiguës mais vous ayant montrer la voie vers une belle amitié. Vos parcours ont un étrange point commun. La présence l’une de l’autre dans vos vies respectives représente un ancrage indispensable. Tu as 40 ans tout rond lorsque tu es officiellement divorcée et que ta nouvelle vie commence.
41 à 52 ans Les débuts de cette décennie sont un peu flous. Tu te sens perdue. Pour combler la solitude, tu te plonges dans le travail et enchaines les missions aux 4 coins du pays. Certaines t’entraînent même à l’étranger. Le reste du temps, c’est auprès de ton fils que tu le passes. Lui seul semble réellement compter. Jack et toi finissez par trouver votre équilibre dans une relation de co-parentalité plutôt réussie. Au final, votre famille va plutôt bien et cela te rassure. Tu sembles avoir fait une croix sur l’amour. Depuis Iris, ton coeur ne s’attache plus vraiment. Il y a bien quelques amourettes et quelques besoins physiques comblés ci et là, mais rien de sérieux. Plus jamais, et ce malgré les lourdes tentatives d’Otis de te présenter des femmes.
53 ans à aujourd'hui Tu décides enfin de lever le pied côté carrière. Tu quittes Wellington pour t’installer à Island Bay. Tu as besoin de t’isoler un peu, de calme et d’encore plus de nature. Tu emménages dans une superbe maison en bord de mer du côté de South Bay. Les finances n’ont jamais été un problème et il temps d’en profiter. Ici, les missions se font beaucoup plus rares et mis à part quelques demandes exceptionnelles qui te ramènent alors à la capitale, ici, tu es surtout réputée pour ton statut de très bonne coach sportive. Tu aménages tes horaires à la demande et cela t’offre une liberté non négligeable. Adjacente à ta villa, tu as fait construire une petite extension lumineuse où tu as installé un atelier de menuiserie. Tu sculptes autant que tu ne restaures d’anciens meubles. Tu apprends un peu plus chaque jour et les heures passées à travailler le bois sont, pour toi, les plus belles des relaxations.
Le cadre est également parfait pour prendre soin de ton petit fils dont tu es complètement gaga. Depuis qu’Otis est lui-même papa, et comme si cela était encore possible, votre lien n’en a que gagné en épaisseur. D’ailleurs, c’est avec insistance que tu le tentes à te rejoindre dans ce petit coin de paradis de l’île. Dernier argument en date : les pompiers d’Island Bay recrutent. Tu sais toucher une corde sensible et il n’en aura pas fallu beaucoup plus pour qu’Otis multiplie les visites de “repérage”. D’ailleurs c’est lors de l’une d’elle qu’il en a profité pour t’inscrire sur l’application de rencontre Lovemaker. Tu t’es refusée à l’ouvrir pendant un bon moment avant de craquer, un soir, par curiosité. Tu as papoté de longues heures avec une jeune femme. C’était plutôt agréable. Sans contrainte. Mais ton sang n’a fait qu’un tour lorsque celle-ci t’a proposé de vous rencontrer. Tu as renoué avec l’angoisse des premiers rendez-vous et tu as détesté le sentiment. D’ailleurs, tu as manqué de peu de faire demi tour une fois sur place. Mais ta jeune correspondante t’as reconnue et tout aussitôt retenue. Contre toute attente, le feeling passe bien. Elle est aussi intéressante en vrai que par écrit. Un charme s’installe et bien que tu n’aies aucune idée d’où cela puisse te mener, tu profites du plaisir de sa compagnie …
Dernière édition par Loïs Parker le Dim 5 Juin - 15:25, édité 17 fois
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 16:29
Bienvenue :D
Alyx Beaumont
ONGLET 1
○ âge : vingt-neuf ans (27.02.1995). bientôt la trentaine, alors que sa vie est littéralement en train de voler en éclats.
○ statut : en couple avec son petit-ami depuis cinq ans. mais leur relation est un peu compliquée. leur couple n'était plus vraiment au beau fixe depuis quelques mois... avant que le drame se produise. maintenant, son petit-ami est cloué sur un lit d'hôpital, dans le coma.
○ métier : elle est wedding planner à son compte. c'est elle qui se donne corps et âme pour réaliser les rêves de mariage de ses clients.
○ quartier : elle vient d'emménager dans une colocation, au #27 center bay.
○ orientation sexuelle : théoriquement elle n'est attirée que par les hommes et est même un peu homophobe sur les bords. en vérité, elle renie tout ce qu'elle a déjà pu - ou pourrait - ressentir auprès de la gente féminine.
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 16:35
haaaaaaan c’est trop bien que tu sois là bon je te l’ai direct dit mais voilà, je le redis quand même bienvenue sur ib et on se trouvera un p’tit quelque chose
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 17:01
AH ! Tu fais une heureuse B i e n v e n u e parmi nous Bonne continuation pour ta fiche
Luca Flores
ONGLET 1
○ âge : trente-quatre ans, née un quinze novembre.
○ statut : pas tout à fait habituée au mariage, et pourtant déjà veuve. Et peut-être maman ?
○ métier : entre deux jobs, pas encore sûre de la suite.
○ quartier : south bay, dans la maison de sa défunte épouse.
○ orientation sexuelle : elle se dit bisexuelle, avec un fort penchant vers la gent féminine.
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 17:10
rien n'est jamais innocent avec Vicky
Bienvenue par ici On ne se connaît pas encore, mais j'ai déjà hâte d'en lire plus sur cette jeune belle dame pour venir te proposer quelque chose avec l'une de mes miss (même si j'ai dit que tegan resterait sage )
Nina Baranovski
ONGLET 1
○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle
○ posts : 4833
○ points : 305
○ pseudo : Nao'
○ avatar : Katherine McNamara
○ DC : Nova + Caitlin
○ crédits : Avatar by nao', Sign by miss pie
○ inscrit le : 07/09/2016
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 17:24
bienv'nue à toi ^^
_________________
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 20:05
@Giulia Anderson@Nina Baranovski : Merci beaucoup à vous ! @Lexa Herrman Encore plein de merci et trop heureuse de te retrouver aussi ! C'est carrément obligé qu'on se trouve un petit lien ! Mais je nous fais confiance pour ça @Jude Hurley : J'espère bien ! Et merci à toi ! Je me charge de la suite de ma fiche assez rapidement normalement @Tegan Castillo AHAHA voilà exactement, tout est dit : elle n'est jamais innocente. Merci !! Et avec un énorme plaisir pour le ou les lien(s). D'ailleurs, quand j'ai vu Arienne en perso, j'ai su que le forum avait des membres de qualité !
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 22:07
bienvenue parmi nous, bon courage pour la suite de ta fiche.
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Jeu 26 Mai - 22:26
Touaaaaa Je plaide totalement coupable et fière de l’être Merci d’avoir craqué, de me faire confiance, et pour ces deux premiers très beaux liens
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Ven 27 Mai - 6:23
bienvenue sur IB
jai hâte d'en apprendre d'avantage sur ton personnage et de voir ce que tu nous prépares avec la moman de Maddox
Dorian Burns
ONGLET 1
○ âge : 28 ans
○ statut : En couple avec Abigail
○ métier : Chef de production dans une usine de maroquinerie
○ quartier : West Bay
○ orientation sexuelle : Hétéro
○ informations en vrac :
○ posts : 1343
○ points : 60
○ pseudo : Sammix
○ avatar : Alexander Ludwig
○ DC : James
○ crédits : CND & Tumblr
○ inscrit le : 21/06/2019
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Ven 27 Mai - 16:38
Bienvenue :D
_________________
Janine Harris
ONGLET 1
○ âge : 26 ans (20.06.98)
○ statut : Célibataire.
○ métier : Serveuse le jour, chasseresse la nuit.
○ quartier : #5 à West Bay.
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle
○ informations en vrac : A passé les trois quarts de sa vie à Auckland. Est venue vivre à IB en 2015 et y a fait sa dernière année de lycée. ○ N'a presque pas connu son père et a grandi avec sa mère et sa grande soeur de 6 ans son aînée. ○ Passionnée de paranormal depuis la mort de sa mère. A d'ailleurs vécu une expérience troublante, c'est pour ça qu'elle a commencé à s'y intéresser. ○ Carrément geek sur les bords, elle est pas mal calée en informatique et est très créative, elle écrit, tient un blog, et s'est récemment mise à peindre. ○ Ne donne jamais son vrai prénom et se fait toujours appeler "Jan". Il n'y a que les personnes très proches d'elle qui connaissent son prénom entier. ○ A essayé d'être infirmière mais n'a pas supporté la pression des études. ○ A enchaîné quelques petits boulots alimentaires avant de trouver un poste qui lui convient bien, à temps partiel. ○ A pris l'habitude d'écumer divers lieux abandonnés à la recherche d'esprits.
○ posts : 194
○ points : 0
○ pseudo : Eilyam
○ avatar : Danielle Rose Russell
○ DC : Zoë
○ crédits : Eilyam (av) | ice&fire (sign)
○ inscrit le : 08/02/2022
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Ven 27 Mai - 20:46
Bienvenue sur le forum :D
_________________
Acting like a fool, I follow you blindly.
LET ME BE YOUR SHADOW, LE ME BE THE ONLY ONE.
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Mer 1 Juin - 19:48
@Charleen Holt@Dorian Burns@Janine Harris : Rolala cet accueil ça fait tellement plaisir ! merci beaucoup !! Vous me confortez dans l'idée que je ne me trompe pas d'endroit ;)
@Jill Hallenstein Youuuuu Je suis très contente d'avoir succombé à ma (très claire) faiblesse ahaha. Je me réjouis de mettre en place plein de choses par ici. Merci de m'avoir soufflés les bons mots à l'oreille
@Maddox Hallenstein Oh le super choix de FC ! Et un énorme merci à toi aussi ! J'espère que le personnage te plaira une fois le tout posté
>> J'en profite de passer par là pour demander si un petit délais pouvais éventuellement m'être accordé ? En effet, bien que je sois - de base - assez lente pour mes fiches (et certaines ici le savent ahah), je suis actuellement doublement ralentie. J'ai des problèmes de dos insistants et qui, depuis quelques jours me rendent la vie infernale. En gros, la position assise c'est no no ou très peu. Vous vous doutez donc que pour écrire c'est un peu chaud ^^. D'avance un énorme merci Et promis j'avance au plus vite
Dernière édition par Loïs Parker le Mer 1 Juin - 19:51, édité 1 fois
Celeste Wade
ONGLET 1
○ âge : trente-quatre ans (née un trente avril).
○ statut : en couple avec son premier amour, après plus de douze ans de séparation. maman de deux petits garçon : elliot (06.03.2017) et leo (22.03.2021).
○ métier : récente propriétaire d'un café. ancienne chargée de recrutement.
○ quartier : east bay.
○ orientation sexuelle : bisexuelle.
○ informations en vrac : celeste est née à wellington et a grandi juste à côté, dans un quartier d’island bay. // elle est le deuxième enfant, la deuxième fille également, d’une famille de cinq enfants. // elle a toujours été très studieuse, au point de finir major de sa promotion au lycée. // elle a fait partie de l’équipe de pom-pom girls. // elle est sortie avec une fille, une fois. c’était son premier amour. // elle a fait ses études à wellington. // après avoir travaillé dans une grosse entreprise, en tant que chargée de recrutement, elle a démissionné en apprenant qu’elle était enceinte du fils de son patron. // depuis trois ans, elle élève son fils seule.
○ posts : 4656
○ points : 60
○ avatar : shay mitchell.
○ DC : andrea, charli, elliott, riley.
○ crédits : wild heart.
○ inscrit le : 20/06/2016
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Mer 1 Juin - 19:50
bien sûr ! une semaine supplémentaire, ça irait ?
_________________
--- my wonderwall
and all the roads we have to walk are winding.
badges ♡ :
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: (best that I can) Loïs (#) Mer 1 Juin - 19:52
Oh oui ce serait parfait ! Vraiment merci merci pour la compréhension !!!