I got a blank space baby, and I'll write your name ○ Teeghan

teeghan lorenzini

I GOT A BLANK SPACE BABY AND I'LL WRITE YOUR NAME

les informations en vrac

Teeghan est née d’une mère anglaise et d’un père italien, d’où son nom, qu’elle adore. Elle a une soeur, son aînée de plusieurs années, qu’elle aime énormément et avec qui elle a toujours été très proche, bien qu’elles soient vraiment différentes • D’un naturel plutôt extraverti, dès petite elle prenait les choses en main pour organiser des spectacle avec ses cousins et cousines pendant les réunions de famille. • D’aussi loin qu’elle se souvienne, Teeghan a toujours dansé. A peine elle tenait sur ses pies qu’elle bougeait ses fesses au rythme de la musique, et cette discipline s’est vite imposée à elle. A 5 ans elle a pris ses premiers cours de classique, et en grandissant elle a essayé tout un tas de danses, du jazz au hip hop en passant par toutes les danses de salon. • Boulimique du travail, elle passerait sa vie à ne faire que ça, danser sans relâche, mais elle sait que son corps ne pourrait pas suivre, et c’est pour cette raison qu’elle se laisse du répit parfois, même si c’est difficile pour elle • Sa dévotion pour la danse l’a toujours empêchée de vivre de vraies histoires d’amour. Toutes celles qu’elle a vécues n’ont jamais duré plus de quelques mois, un an tout au plus, et ce dernier lui a brisé le coeur, alors autant dire qu’elle ne court plus après l’amour. Oh, elle est sociable et ne peine pas à charmer ni même à être charmée, mais elle ne met aucun espoir dans ses relations amoureuses. • Elle a eu une relation presque suivie avec un jeune homme du nom de Connor, de qui elle a fini par tomber enceinte. Prendre la décision d'avorté a été au dessus de ses forces, mais à la naissance de la petite Eileen, les angoisses ont submergé Teeghan et lorsqu'on lui a proposé une tournée internationale, elle a accepté et laissé sa fille à Connor, le père de cette dernière. • Teeghan parle 8 langues, dont 4 couramment : L’anglais, l’italien, l’allemand et le mandarin. Elle a toujours eu une soif d’apprendre, et elle trouve d’ailleurs que 24 heures dans une journée ne suffisent pas. • Ses parents ont divorcé lorsqu’elle avait 9 ans, c’est là qu’elle a quitté Venise sa ville natale pour aller vivre avec sa mère en Nouvelle Zélande, à Island Bay plus particulièrement. Son père lui, est allé s’installer à Berlin, en Allemagne, et elle allait le voir à chaque vacances scolaires, jusqu’à ses 21 ans, le jour où elle a pris son envol pour vivre de la danse, et qu’elle a parcouru le monde entier. • Elle a rencontré son meilleur ami Josh lorsqu’elle est arrivée à Island Bay il y a plus de dix ans, et son deuxième meilleur ami Sean à peu près à la même période, bien qu’il soit plus vieux. Il a été en couple avec sa grande soeur et c’est comme ça qu’elle s’est liée d’amitié avec lui. • Teeghan est de nature pétillante et positive, elle sourit tout le temps et aime donner aux autres une dose de bonne humeur. Elle sait s’amuser et prendre du bon temps quand il le faut. • Jusqu’à ses 21 ans que sa mère lui donne le droit de vivre de la danse - et que son père force un peu la main à sa mère - Teeghan a suivi un cursus scientifique, pour finalement faire une fac de médecine et apprendre tout ce qui pouvait toucher au corps humain. Devenir kiné, c’est la seule chose qu’elle voulait si jamais elle ne parvenait pas à vivre de la danse. Et d’ailleurs, c’est grâce à ces études qu’elle peut aujourd’hui continuer de travailler, même si elle n’a pas vraiment besoin d’argent. • Elle a été jury pendant 2 saisons de Australia’s got talent, et a dansé pour Dancing with the stars en Angleterre une année. Aujourd’hui, elle rentre de 9 mois à travers le monde où elle a joué plus de 200 représentations du spectacle qu’elle a elle-même monté et chorégraphié. Mais suite à une blessure récente, elle est obligée de prendre du repos pendant au moins neuf mois, et c’est ce qui l’incite à revenir à Island Bay pour retrouver sa famille et ses amis, mais surtout sa fille Eileen.

les indiscrétions sur le joueur

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l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Si on me demandait mon pourcentage de bonheur, je répondrai sans hésitation me trouver entre 90 et 95% en fonction de mes humeurs et des jours qui passent. Mais en règle générale, je me considère comme quelqu’un de foncièrement heureux. Je n’ai pas tout ce que la société voudrait pour moi comme un joli et gentil mari, et déjà des enfants. Non, je n’ai pas tout ça, mais j’ai mieux. Du moins, mieux à mes yeux. Ma carrière de danseuse me procure un bien-être infini, comme toucher des doigts son rêve ultime, et finir par le réaliser pleinement. C’est pourtant un métier de requins, surtout quand on est une femme, mais je m’en tire plutôt pas mal vu mon caractère affirmé. Ma mère m’a poussée à continuer mes études de kiné jusqu’à ce que je sois majeure et puisse prendre moi-même mes décisions me concernant. Et c’est ce que j’ai fait. Le jour de mes 21 ans, j’ai fait ma valise et suis partie passer des auditions en Californie, là où je pouvais selon moi avoir le plus de chance de faire repérer ce que je définissais pourtant pourtant pas encore comme un talent. D’auditions en rôles, de clips en spectacles, j’ai gravi les échelons, montré mon grand sourire aux plus grands chorégraphes, pour finalement en devenir une. Une chorégraphe. Plus encore que danser, j’avais besoin de créer. Nombreux de mes projets sont tombés à l’eau, mais certains on marché, ont cartonné même. Aujourd’hui, je ne suis pas à plaindre financièrement, j’ai traversé plus de la moitié des pays du globe, et j’ai fait de ma passion un métier.

Mais tout n’est pas éternel, et il arrive des fois où votre corps a tendance à vouloir vous passer des messages. Après plus de huit ans à parcourir le monde, danser tous les jours plus de huit heures par jour, mon corps s’est essoufflé et pas plus tard qu’il y a trois semaines, je me suis blessée, en plein milieu du show que j’ai monté et que je jouais depuis deux ans. Rupture des ligaments, ça ne pardonne pas. Une fois dans les loges, j’ai envoyé ma doublure et me suis excusée publiquement sur les réseaux sociaux de ne pas avoir pu finir le spectacle, mais ma raison était bonne, bien que douloureuse. Le médecin a été sans appel. J’ai été opéré le sur-lendemain de ma chute, sortie quelques jours plus tard, et ai commencé la rééducation. Mais rester seule à ne rien faire dans une ville qu’on habite sans y habiter, ce n’est pas ce qu’il y a de plus plaisant. C’est alors que j’ai décidé de revenir sur les terres de mon adolescence, la Nouvelle Zélande, Island Bay plus précisément. Ici, j’y retrouve ma mère bien sûr, mais aussi tous mes amis d’enfance, et particulièrement Josh à qui je me suis empressée de téléphoner pour prévenir de mon retour imminent, lui expliquant toute la situation. C’est là qu’il m’a proposé de bosser avec lui, avec celles qu’il appelle ‘ses filles’, les joueuses de basket qu’il entraîne.

C’est alors à l’heure de la fin de son entraînement que je débarque, hystérique à l’idée e le retrouver. Plus jeunes, on a fait les quatre cent coups ensemble, je me rappelle de tout dans les moindres détails. A pas feutrés, j’entre dans le gymnase et attends sur le côté, cachée, qu’il finisse son entrainement. Une fois terminé, il appelle les filles pour leur parler et j’arrive doucement dans son dos, avant de passer mes mains autour de son visage et les poser sur ses yeux, un large sourire sur mes lèvres. « Teeghan ! » Il se retourne et me prend dans ses bras, me faisant tourner comme des amoureux transis, et je l’embrasse, sur les lèvres, une vieille tradition. « Tu m’as trop manqué ! » « Ça fait du bien de te voir ! » Son sourire fait plaisir à voir. Il me pose par terre mais continue de me tenir par la taille, pour me présenter à ses joueuses. « Les filles, je vous présente Teeghan. Elle va nous suivre pendant la saison, elle sera notre kiné. Et elle a des mains en or ! » Je ris avec lui et secoue la tête, avant de regarder les demoiselles, mon sourire toujours figé sur mes lèvres. Certaines semblent enjouées de la nouvelles, certaines autres semble s’en foutre un peu, d’autres ont l’air de me reconnaître, et il y en a une qui me fusille du regard. Merde, elle doit être amoureuse de Josh, ça m’étonnerait même pas. En même temps, je ne peux pas deviner que le mec avec qui j’ai couché hier soir était son petit ami…