in the sun. (jimmy)

Cocktail fruité qui se trouve dans une noix de coco entre les mains de la blonde, baissant ses lunettes de soleil pour admirer le pays aux couleurs estivales et au paysage tropical. Un soupir, en se pensant au fait que cela sera son dernier voyage avant longtemps, un dernier voyage pour oublier son renvoie, sa démission forcée. Sa maman lui a simplement conseillé de poursuivre la compagnie, l'aéroport, ce n'était peut-être pas une agression comme certaines femmes subissent, mais elle avait tout de même subi du chantage. Leona avait une peur de voir son corps souillé par quelqu'un avec de l'autorité et du pouvoir, et avec qui, elle ne voulait rien faire, ni rien savoir, si ce n'est qu'apprendre et acquérir de l'expérience professionnelle auprès du commandant, du chef de l'avion, mais non, rien ne se passe comme on le veut. Au lieu de cela, au lieu de monter un dossier et se mettre tout le monde à dos, car un jour, elle compte bien postuler à nouveau, se trouver un boulot dans un autre aéroport ou peut-être travailler pour quelqu'un qui est autonome et réglo. Leona a décidé de faire ses valises une dernière fois et de partir pour se vider la tête à l'étranger, seule, pas besoin de personne pour broyer du noir dans un coin et maintenant, qu'elle a obtenu un boulot dans une poissonnerie et un appartement près du port, elle va avoir besoin de courage, notamment pour supporter l'odeur. Elle sirote les dernières gouttes de sa boisson alcoolisée avant de se lever de la chaise longue, elle enroule une serviette autour de sa taille et ajuste le haut de son maillot de bain. « Allez, un dernier verre. » Pile poil, ce qu'elle voulait éviter en arrivant sur l'île d'Aruba, ne pas boire comme un trou pour oublier ses problèmes. Une fois à l'intérieur de l'hôtel, elle se dirige vers le bar, au moment où un serveur lui renverse un pichet d'eau sur le haut du corps. « Mais vous vous foutez de moi ? » L'employé s'excuse immédiatement, ce qui rend Leona mal à l'aise, d'autant que pas mal de personnes se sont retournés pour les regarder et elle n'est jamais ainsi, se mettre à crier pour un rien, c'est pas elle. « Ça va, ce n'est pas grave, ce n'est que de l'eau après tout. » Qu'elle dit pour détendre l'atmosphère, deux autres employés se dépêchent d'apporter des serviettes, mais Leona préfère rester silencieuse, alors, qu'elle aligne le bar, un peu plus loin.

L'eau n'a quand même jamais tué personne, certes, les noyades si, mais ça, c'est une autre histoire et cela ne s'applique aucunement à la situation actuelle. Quoi qu'il en soit, elle redescend sur terre, pas de quoi fouetter un chat ou quiconque d'ailleurs, pour si peu, disons seulement qu'elle a un peu la tête ailleurs et le serveur aussi. Ce voyage est censé l'aider à se détendre, à se vider la tête et pourtant, elle peine à y arriver, enfin, ce n'est peut-être qu'une question de temps. Encore heureux que ces petits cocktails pas très alcoolisés ne lui embrouillent pas l'esprit non plus. Tout cela pour dire, qu'une fois le dégât ramassé par les employés, elle se retire aussitôt au bar, tentant de se dire que cela arrive à tout le monde, absolument pas, qu'à ceux qui n'ont pas beaucoup de chance et comme elle est dans ce mood, c'est ce qui arrive. Leona secoue doucement la tête avant de glousser. « Oui, peut-être que je devrais. » Qu'elle répond à l'homme qui s'installe à ses côtés. Ce n'est pas une mauvaise idée d'aller se baigner et se rafraîchir, mais pour le moment, elle a une petite soif et elle fait signe au barman, occupé à servir d'autres clients. La blonde se retourne vers celui-ci, c'est vrai que c'est une sacrée technique de drague, elle se demande si cela fonctionne vraiment auprès des autres filles. « Dans un avion ? Et peut-être à l'arrière, si je me souviens bien. » Maintenant qu'elle le dit à voix haute, c'est un plan pour se faire passer pour une employée qui couche avec les voyageurs, mais comme elle ne bosse plus là-bas, elle s'en fiche bien, d'autant qu'elle n'est pas la seule à l'avoir déjà fait. « Vous travaillez pour votre père, non ? J'ai une assez bonne mémoire en général, mais je crois me souvenir de ce petit détail. »  Elle aime bien discuter avec les personnes, souvent cela les aide à oublier qu'ils sont à plusieurs mètres du sol et cela les détend également, d'autres veulent aussi tout simplement draguer, dans cas-ci, elle demandait souvent à un collègue masculin d'intervenir, aussi bien dans la classe économique que la classe affaires. « Vous êtes ici pour des vacances ou affaires ? »

La piscine, il n'y a pas mieux pour se rafraichir, ça et l'air climatisé, le tout inclus dans sa chambre d'hôtel, enfin, remplaçons la piscine par un bain à remous de luxe. C'est peut-être ce qu'elle devrait utiliser pour se détendre aussi. Quoi qu'il en soit, après ce petit incident, Leona se retrouve au bar avec un homme qui se met à lui faire la conversation. Elle ne se souvient pas forcément de tout le monde, normal, elle bossait dans un avion toujours plein à craquer et des visages, elle en a vu sans pouvoir dire combien. Néanmoins, elle se souvient de certaines têtes, d'autres tout simplement pas, c'est seulement ceux ou celles avec qui elle a eu des conversations presque inoubliables ou des moments plus privés. Leona baisse légèrement la tête en souriant, rien de mieux pour passer le temps, ainsi que picoler à l'arrière, mais c'est une autre histoire, une autre ambiance. Tout cela pour dire, qu'elle se souvient à peu près bien de ce type avec qui, elle avait discuté quelques minutes avant de rejoindre la cabine arrière. C'était il y a un petit moment déjà, mais il confirme au moins qu'elle ne se trompe pas sur son identité. « Enchanté Jimmy. Leona. » Au cas où, il aurait déjà oublié son prénom, voilà qu'elle lui rafraîchit la mémoire pour éviter qu'il l'appelle La Blonde ou un autre surnom douteux qui lui donnerait envie de lui balancer un verre à la figure. En parlant de cela, elle attrape son verre et elle en boit quelques gorgées, plus pour éviter de répondre que la soif. « Vacances, on peut dire cela, oui. » Qu'elle lui répond finalement. Pas besoin de lui raconter sa vie, ils ne sont pas amis et ils se connaissent à peine, elle lui évite les détails en répondant simplifiant tout ça. « Je faisais les vols internationaux, mais oui, c'est cela, je suis de la Nouvelle-Zélande et j'y suis toujours, à Wellington, plus précisément. » Pas la même maison, pas le même boulot, comme un nouveau départ pour elle, parce qu'elle ne passait pas beaucoup de temps sur le sol néo-zélandais, plus sur les vols, profitant parfois des avantages pour se retrouver dans un concert d'un groupe bien connu ou d'un quelconque chanteur populaire, aussi pour profiter du soleil du sud. Bref, maintenant, elle doit supporter l'odeur du poisson, c'était ça ou travailler comme caissière dans un fast-food, le choix a été vite pris. D'autant qu'elle aime bien l'appartement qu'elle a loué près du port. « Alors, pourquoi vous n'êtes pas en train de profiter du soleil et de la piscine ? »

Leona hausse légèrement les épaules. Il est vrai que maintenant qu'elle est là, autant en profiter et c'est déjà ce qu'elle est en train de faire, elle profite de l'alcool, chose qu'elle pourrait tout à fait faire chez elle, certes, mais sous le soleil tropical, c'est encore mieux. Après, elle n'a encore rien prévu pour le restant de ses vacances improvisées, ni même regarder ce que la ville offre comme activités pour les touristes, chose que tout le monde fait avant de débarquer dans un pays. Quoi qu'il en soit, rien ne presse, elle aura tout le temps de regarder cela plus tard, une fois qu'elle aura pris une bonne douche froide pour reprendre ses esprits. La blonde sirote sa boisson fraîche, pendant qu'ils discutent de la Nouvelle-Zélande, là où ils vivent. Elle n'est pas surprise de l'avoir jamais croisé avant, après tout, elle était toujours en déplacement ces dernières années et ils n'ont sûrement pas fréquenté les mêmes endroits aussi. « Il y a quelques années, peut-être ? Je veux dire, avant de prendre un boulot d'hôtesse, mais je ne saurais dire où. » Elle se souvient vaguement voire pas du tout, des boîtes qu'elle a fréquentées. Leona se met à rire, c'est presque mignon, alors comment refuser une telle proposition ? De plus, cela l'évitera peut-être de se faire draguer par les vieux qui rôdent, parce que oui, cela reste cliché de voir des hommes d'un certain âge à la peau cramée par le soleil dans ce genre de lieu, donc pourquoi pas, elle accepte. « Allez, je te suis, ça me semble pas mal comme plan ! » Ce qui signifiait également qu'elle n'avait rien trouvé de mieux comme plan pour sa journée et rien de mieux à faire que suivre quelqu'un qu'elle ne connaissait pas si bien que cela. Elle termine le fond de son verre et elle suit Jimmy, à l'extérieur près de la piscine, où se trouvent déjà d'autres inconnus, d'autres vacanciers qui préfèrent l'eau de l'hôtel à celle de plage, plutôt marcher sur le ciment chaud que d'avoir les deux pieds dans les grains de sable. Elle ne comprenait pas vraiment ce choix, c'est bien plus agréable de regarder l'océan, même si l'ambiance reste la même, voir des gens en maillots bain défiler sous ses yeux. Elle s'installe à côté de lui. « Alors, comme ça, on vit à proximité de l'un et de l'autre, comme quoi le monde est petit. » Elle fait un geste de la main à un homme bedonnant pour lui dire de se bouger, cachant la magnifique vue sur la plage un peu plus loin, avec ses palmiers et ses flamants roses. « Je n'ai pas payé pour voir cette vue, moi. » Qu'elle balance à l'homme offusqué.

Elle n'a rien de planifier pour le reste de la journée, elle n'est même pas en train de travailler, alors, elle peut très bien se relâcher et se détendre sans se soucier du planning, puisqu'elle n'en a pas. Peut-être que cela sera plus amusant d'être avec un visage familier, bien qu'ils ne se connaissent pas vraiment, voire pas du tout, mais c'est toujours mieux que rester dans un coin, à attendre un miracle ou une quelconque action pour pouvoir bouger de là. Ce n'est pas en restant sur place, qu'elle va éviter de croiser le regard des vieux pervers et des mesdames au regard hautain, mais de toute façon, l'envie de marcher quelques mètres jusqu'à la plage ou se rendre ailleurs, ne lui tente pas plus que cela. « Wellington et non, ce n'est pas ma compagnie, enfin, pas vraiment, mais cela n'a pas vraiment d'importance. » Dans tous les cas, elle ne veut pas en parler, même si le dernier chèque était alléchant, ce n'est pas qui va lui rendre son boulot. Cependant, elle profite de l'endroit, un dernier voyage luxueux avant de devoir bosser comme tout le monde ou presque, dans une boutique, dans ce cas-ci, avec des poissons, ce qui, elle espère, sera temporaire. Heureusement, elle a assez d'argent pour se payer un appartement à Wellington, plutôt de retourner vivre chez sa mère. Bref, la vue est loin d'être aussi belle que celle sur l'océan, loin de là, il suffit de voir ce monsieur et bien qu'habituellement, elle est un peu plus polie, l'alcool venait d'y jouer un rôle dans sa façon de parler. Elle pouffe de rire. « Bon, désolée, d'accord, je juge rarement le physique des personnes, mais tu ne vas pas nier qu'il n'ait rien à voir avec le côté paradisiaque de la ville. » Elle est loin d'être méchante, en plus d'être sociable, normalement, elle n'est pas ainsi, à vrai dire, elle s'en fiche, si elle a dit cela, c'est surtout que ce n'est pas vraiment le paysage le plus agréable qu'elle venait d'apercevoir. Leona met ses lunettes de soleil pour éviter les rayons du soleil, pas vraiment pour le type qui a fini par rejoindre le buffet à volonté un peu plus loin sous une sorte de chapiteau. « Ça va me manquer les voyages. » Souffle Leona entre deux soupirs.

Qui aurait cru qu'elle tomberait sur quelqu'un qu'elle a déjà croisé dans le passé ? Sûrement pas elle, puisqu'elle pensait pouvoir se fondre dans la masse, être entouré d'inconnus et bien que c'est le cas en grande partie, elle n'avait pas imaginé cela. Elle n'est pas contre l'idée d'être complètement seule, en réalité, c'est même le but de son voyage, néanmoins, elle suppose qu'un jour ou l'autre, elle tombera forcément sur d'autres passagers qui sont montés à bord d'un vol où sur lequel elle était. Bien que la blonde n'ait pas sympathisé avec tout le monde, encore moins comme elle l'avait fait avec Jimmy, cela a tout de même rendu le vol un peu plus agréable, du moins, le temps de quelques minutes. Leona hausse doucement les épaules, cela n'a pas vraiment d'importance, inutile de regretter, maintenant que tout est payé, elle profite de son forfait et ses avantages. Bref, passons. Elle apprend qu'il juge les gens et qu'apparemment, c'est le cas de tout le monde. Certes, c'est sûrement dans la nature humaine de le faire, mais la concernant, elle ne critique pas tout ce qu'elle voit, même si les paroles qui ont été prononcés précédemment prouvent le contraire. Elle glousse à sa vantardise. « Oui, oui, je n'en doute pas ! » Dit-elle pour plaisanter à son tour, pour finalement lui faire une confidence sur le fait que les voyages vont lui manquer, sachant qu'elle était payée pour monter à bord et supporter les touristes, au moins, elle pouvait voir de nombreux paysages et faire de nombreuses rencontres. Elle sourit légèrement, il y aura toujours pire, la Nouvelle-Zélande, c'est à l'autre bout de la planète, mais ce n'est pas le pire endroit où vivre, la preuve, il n'y a même pas d'animaux dangereux qui y habitent. Leona s'assoit un peu mieux et elle le regarde, son sourire s'élargit. « Tu nous fais ta meilleure bombe ? » Là, il y aura de quoi éclabousser les autres qui sont toujours dans la piscine et ceux qui sont sur les rebords, malgré son poids, il y a de quoi faire. Leona est prête à le suivre, elle retire ses lunettes de soleil et repousse la serviette de plage.

Ce n'est pas à tous les jours, qu'elle ferait la bombe dans l'eau, mais aujourd'hui, pourquoi pas, surtout si c'est pour faire taire ces femmes égocentriques dans le coin de la piscine, ça et le fait, qu'elle aussi, elle a envie de se rafraîchir. Le soleil commence à taper, malgré la protection qu'elle a appliquée, quelques heures plus tôt, elle va être obligée d'en rajouter une couche dans pas longtemps. Quoi qu'il en soit, elle demande à Jimmy de faire les premiers pas, pendant qu'elle se prépare à son tour, elle le regarde s'élancer et sauter dans la piscine, rien à voir avec une véritable bombe, mais bon, ce n'est pas étonnant, parfois, il suffit d'avoir plus de poids pour pouvoir éclabousser tout le monde, même Leona, qui le suit de près, en faisant attention à ne pas entrer en collision avec qui que ce soit, n'arrive pas à arroser tout le monde, mais ce qui la réjouit dans cette histoire, c'est qu'il y a eu quelques gouttes qui ont réussi à atteindre les ménagères et à les faire rager, parce que forcément, les jambes dans l'eau, ça va, mais les épaules et le visage, c'est une autre histoire apparemment. Elle retire l'excès d'eau dans ses cheveux, sans en faire des tonnes, avec la température, ils vont vite sécher, pas besoin de séchoir pour faire le travail. « C'est clair ! » Dit-elle en gloussant. Mine de rien, elle garde ce côté enfant, alors, elle n'est pas contre de sauter dans l'eau, quitte à agacer les inconnus autour de la piscine. « Oh là, c'est une bonne question. » Il y a les plages, comme aux Bahamas, avec les cochons, elle adore, tout en respectant une bonne distance pour ne pas déranger l'animal, elle a aimé nager avec eux ou encore à Aruba avec les flamants roses, ça rend l'expérience plus magique. « Je n'ai pas de piscine ou de plage préférée, mais je dirais que tout ce qui se trouve dans les Caraïbes, c'est pas mal ce que j'aime comme petit coin de paradis. » Le soleil, l'océan, l'ambiance festive, on se sent complètement ailleurs là-bas, loin de la routine et des problèmes. « Sinon côté destination, j'avais beaucoup apprécié le Portugal et l'Afrique du Sud. Et toi, tu as des coups de cœur ? » Curieuse de savoir s'il préfère uniquement les destinations comme celle-ci ou des endroits plus simples comme les États-Unis ou autres. Elle demande à un serveur de leur apporter à boire, pour elle, un cocktail sans alcool. 

On peut dire qu'elle en a eu de la chance, de pouvoir voyager à volonté, être payé pour le faire, sans débourser un seul centime et avec les avantages, des billets pour voir des concerts, manger dans un restaurant étoilé, quoi de mieux comme quotidien. Oui, bien sûr, elle en a profité, comme tout le monde et elle a bien fait, après tout, c'était une récompense, pour oublier la clientèle parfois difficile. Quoi qu'il en soit, elle n'a pas visité que l'Australie ou les Fidji, les voisins les plus proches de la Nouvelle-Zélande, on peut donc dire que son passeport est bien rempli par de nombreux tampons. Elle pouffe de rire. « Tu ne vas quand même pas juger sans avoir visité, n'est-ce pas ? » Ce serait un peu débile quand même. Il n'y a pas que Cuba ou la Floride comme destination, puis franchement, la Floride, ce n'est pas vraiment ce qu'il y a de plus extraordinaire aux États-Unis comme endroit à visiter, entre les plages qui sont remplies de petits vieux bedonnants et de familles nombreuses, il n'y a rien de fameux là-bas. Et les Caraïbes, hé bien, vous savez que c'est vu et revu, dans tous les cas, on dirait bien que c'est ce qui l'anime, le Jimmy, les grosses plages de ce genre et pas forcément visiter comme un vrai touriste le ferait. « Je vois, je vois. » Qu'elle répond finalement, puis elle enchaîne. « Oui, du yoga et de la boxe. Et pour répondre, si c'est ton cas d'être tout le temps dans un hôtel avec buffet à volonté, ce n'est clairement pas mon cas. » Elle lui fait un clin d'œil. Elle fait également un peu de musculation, mais inutile de le mentionner, elle n'en voit pas l'intérêt. Leona sort finalement de la piscine quand des enfants se jettent à l'eau, rien de pire que rester dans les parages de gamins surexcités. « Et sinon, il y a quelque chose à faire de plus ? Sinon je pense que je vais rentrer à ma chambre. » Elle profitera de la piscine, comme un bain minuit, quand personne ne sera dans les parages.